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Un python de 5 mètres avale une femme en Indonésie

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Un python de 60 kg avait été exposé à Cernier (NE) en 2018. (© KEYSTONE/VALENTIN FLAURAUD)

Une femme a été retrouvée morte dans le ventre d'un python qui l'avait entièrement avalée, dans le centre de l'Indonésie, a annoncé samedi un responsable local.

Le mari de Farida, 45 ans, et des habitants du village de Kalempang, dans la province de Sulawesi Sud, l'ont découverte vendredi à l'intérieur du python réticulé, qui mesurait environ cinq mètres.

La mère de quatre enfants avait disparu jeudi soir, et des recherches avaient été lancées, a expliqué à l'AFP le chef du village, Suardi Rosi.

Les villageois ont fouillé la zone et ont rapidement repéré "un python avec un gros ventre", a déclaré Suardi Rosi.

"Ils ont décidé de lui ouvrir l'estomac et la tête de Farida est apparue". Elle était entièrement vêtue à l'intérieur du serpent.

De tels incidents sont extrêmement rares, mais plusieurs personnes sont mortes en Indonésie ces dernières années après avoir été avalées par des pythons.

L'année dernière, des habitants du district de Tinanggea, dans le sud-est de Sulawesi, ont tué un python de huit mètres, qui avait étranglé et mangé un fermier.

En 2018, une femme de 54 ans a été retrouvée morte à l'intérieur d'un python de sept mètres dans la ville de Muna, dans le sud-est de Sulawesi. L'année précédente, un agriculteur de l'ouest de Sulawesi avait été dévoré par un python de quatre mètres dans une plantation d'huile de palme.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Léon XIV condamne "l'état d'esprit d'exclusion"

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Le pape Léon XIV célèbre dimanche la Pentecôte. Photo: une semaine plus tôt, le pape en papamobile sur la place Saint-Pierre pour célébrer une messe en faveur du Jubilé des familles. (© KEYSTONE/AP/ANDREW MEDICHINI)

Le pape Léon XIV a exhorté les fidèles dimanche lors de son homélie de Pentecôte à "ouvrir les frontières", les incitant à surmonter la peur de ceux qui sont différents et à rejeter un "état d'esprit d'exclusion" qui, selon lui, a conduit au nationalisme.

L'homélie du pape tombe un mois après l'accession au trône pontifical du cardinal américain Robert Prevost. Elle a suivi une messe dominicale pour célébrer la Pentecôte sous un ciel ensoleillé sur la place Saint-Pierre.

Avant la messe, le souverain pontife de 69 ans a parcouru la vaste place baroque dans sa papamobile sous les acclamations de la foule.

L'homélie de Léon XIV n'a pas spécifiquement évoqué d'événements ou conflits, ni désigné des dirigeants, se contentant d'encourager les fidèles à s'ouvrir aux autres, alors que la lutte contre l'immigration est un sujet majeur dans de nombreux pays du monde.

L'Esprit Saint, a-t-il déclaré, "ouvre également les frontières dans nos relations", tandis que l'Église doit "ouvrir les frontières entre les peuples et abattre les barrières entre les classes et les races", et que les fidèles doivent "éduquer les passions qui s'agitent en nous" afin de les contenir.

"Là où il y a l'amour, il n'y a pas de place pour les préjugés (...), pour l'état d'esprit d'exclusion que nous voyons malheureusement émerger aussi dans les nationalismes politiques", a-t-il dit.

Antidote aux relations toxiques

Le pape a également déclaré que Dieu était un antidote aux relations toxiques marquées par "le désir de manipuler les autres" et a fait référence à la violence envers les femmes, alors qu'en Italie une série de féminicides a fait la une des journaux le mois dernier, y compris le meurtre d'une fille de 14 ans par son petit ami la semaine dernière.

"Avec une grande douleur", Léon XIV a cité "ces cas où les relations sont marquées par un désir malsain de domination, une attitude qui conduit souvent à la violence, comme le montrent tragiquement de nombreux cas récents de féminicides".

Comme il l'a fait dans des discours précédents - ainsi que son prédécesseur - le souverain pontife a dénoncé les dangers des réseaux sociaux. "Nous risquons paradoxalement d'être davantage seuls, toujours connectés mais incapables de +créer des réseaux+, toujours immergés dans la foule mais restant des voyageurs désorientés et solitaires", a-t-il mis en garde.

Depuis son élection, Léon XIV a proposé de servir de médiateur entre des dirigeants de pays en guerre et, plus tôt cette semaine, il a eu son premier appel téléphonique avec le président russe Vladimir Poutine.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Iran: plusieurs villes interdisent de promener les chiens

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Le chien, comme le porc et d'autres animaux, est considéré comme impur par l'islam, de même que le fait de posséder un animal de compagnie. (© KEYSTONE/EPA/UWE ZUCCHI)

Promener son chien dans la rue est désormais interdit en Iran dans près d'une vingtaine de villes pour des raisons invoquées d'hygiène, de sécurité et d'ordre public, ont rapporté dimanche les médias locaux.

Le chien, comme le porc et d'autres animaux, est considéré comme impur par l'islam, de même que le fait de posséder un animal de compagnie. Aucune loi n'interdit toutefois en Iran, pays à majorité musulmane, d'avoir un chien et de nombreux Iraniens sont propriétaires d'animaux domestiques.

Certains responsables politiques et religieux y voient cependant le signe d'une certaine opulence et fustigent un symbole de l'influence occidentale.

Au moins 17 villes, à l'image d'Ispahan (centre), Kerman (sud) ou Ilam (ouest) ont interdit ces derniers jours de promener les chiens dans les lieux publics. "Des poursuites judiciaires seront engagées contre les contrevenants", écrit dimanche sans plus de précisions le quotidien réformateur Etemad, citant un responsable de la ville d'Ilam.

Pas appliquée

A Téhéran, une directive similaire de la police existe depuis 2019 mais l'interdiction n'est dans les faits pas appliquée. Dans la capitale iranienne, nombre de propriétaires promènent ainsi leur chien dans les rues et parcs des quartiers huppés, qui comptent par ailleurs un certain nombre de boutiques dédiées aux animaux de compagnie.

En 2021, 75 députés avaient signé un texte pour condamner la possession d'animaux domestiques, alors qualifiée de "problème social destructeur" pour la société iranienne.

En 2017, le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, avait estimé que "posséder des chiens pour des raisons autres que la garde de troupeaux, la chasse et la protection est considéré comme répréhensible". "Si cette pratique ressemble à celle des non-musulmans, promeut leur culture ou cause du tort et des troubles de voisinage, elle est considérée comme interdite", avait-il ajouté, alors cité par l'agence Tasnim.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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International

L'armée russe annonce attaquer la région de Dnipropetrovsk

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Des flammes et de la fumée s'élèvent du site où un missile russe a frappé un quartier résidentiel à Kharkiv, en Ukraine, samedi. (© KEYSTONE/AP/Anatolii Lysianskyi)

L'armée russe a annoncé dimanche mener une offensive dans la région ukrainienne de Dnipropetrovsk, bordant celle de Donetsk, une première en plus de trois ans de conflit, à un moment où les négociations de paix entre Kiev et Moscou sont dans l'impasse.

L'entrée de l'armée russe dans la région de Dnipropetrovsk (centre-est), non confirmée par l'Ukraine, marque un nouveau revers symbolique pour des forces ukrainiennes, en difficulté sur le front faute d'hommes et d'armements.

"Les unités de la 90e division blindée (...) ont atteint la frontière ouest de la République populaire de Donetsk et continuent de mener l'offensive sur le territoire de la région de Dnipropetrovsk", a écrit l'armée russe sur Telegram, en utilisant le nom que Moscou utilise pour la région de Donetsk annexée.

L'Ukraine n'a pas réagi dans l'immédiat à ces déclarations, mais les autorités régionales de Dnipro avaient fait part d'un mort dans un bombardement russe à Mejivska, localité située non loin de la région de Donetsk.

Moscou a par ailleurs annoncé la prise de Zarya, petit village dans cette région de Donetsk.

Au-delà de l'aspect symbolique, cette avancée des troupes de Moscou pourrait également avoir une valeur stratégique sur le terrain, en pleines discussions diplomatiques poussées par Washington pour un règlement du conflit.

Certains observateurs estiment en effet que les Russes pourraient vouloir continuer leur progression dans la zone de façon à mettre à mal le dispositif défensif ukrainien dans le Donbass, objectif "numéro un" proclamé par le président russe Vladimir Poutine.

"Plus de risques"

Avant l'offensive russe en février 2022, quelque trois millions de personnes vivaient dans la région de Dnipropetrovsk, dont environ un million dans la capitale régionale, Dnipro, qui est régulièrement la cible de frappes meurtrières de drones et de missiles.

Par ailleurs, la Russie avait tiré en novembre 2024 sur la capitale régionale Dnipro pour la première fois son missile expérimental de portée intermédiaire Orechnik, affirmant avoir touché un site industriel militaire.

De nombreux Ukrainiens, fuyant les combats dans les régions orientales de Donetsk et Lougansk, y ont trouvé refuge après l'assaut initial des troupes russes.

Selon l'analyste militaire ukrainien Oleksiï Kopytko, une avancée russe dans la région de Dnipropetrovsk présente "beaucoup plus de risques que d'avantages pour la Russie", en raison de son "impossibilité à concentrer des troupes" en nombre suffisant "pour une percée".

"L'armée russe ne dispose pas des forces et des moyens nécessaires pour mener des opérations à grande échelle", avait assuré auprès de l'AFP cet expert quelques semaines avant l'annonce de la percée russe.

L'annonce de cette percée intervient alors que Moscou et Kiev s'accusent mutuellement de perturber un échange de prisonniers prévu ce week-end, unique résultat concret des pourparlers directs tenus en début de semaine, plus de trois ans après le lancement de l'invasion russe en février 2022.

Mais ces négociations menées à Istanbul entre Kiev et Moscou sur une trêve, encouragée par Washington, n'ont pas permis de rapprocher les positions.

La délégation russe a remis à Kiev une liste de demandes comprenant notamment le retrait de ses forces de quatre régions dont Moscou revendique l'annexion, la renonciation de l'Ukraine à intégrer l'Otan et la limitation de la taille de son armée.

Des conditions qualifiées mercredi par Volodymyr Zelensky d'"ultimatums" inacceptables.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Trump déploie la Garde nationale en Californie sur fond d'émeutes

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Des manifestants s'en prennent à une voiture des douanes. (© KEYSTONE/AP/Eric Thayer)

La Maison Blanche a annoncé samedi le déploiement de 2000 membres de la Garde nationale en Californie, dans un contexte d'émeutes anti-expulsions à Los Angeles.

Des affrontements entre manifestants protestant contre les expulsions massives lancées par Donald Trump sont en cours à Paramount, une banlieue hispanophone de Los Angeles, selon des images diffusées en direct par l'AFP.

On y voit des manifestants brandir des drapeaux sud-américains et lancer des projectiles en direction de voitures de police aux gyrophares allumés, dans un nuage de fumée.

Dans ce contexte, le président américain Donald Trump "a signé un mémorandum présidentiel prévoyant le déploiement de 2000 gardes nationaux pour remédier à l'anarchie qu'on a laissé prospérer", a déclaré dans la soirée la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, en rejetant la faute sur les dirigeants démocrates californiens "incapables".

Le gouverneur démocrate Gavin Newsom, régulièrement en proie aux attaques du dirigeant américain, a dénoncé une décision "volontairement incendiaire".

Le président américain avait peu auparavant menacé d'une telle mesure, après une deuxième journée d'incidents.

"Si le gouverneur de Californie, Gavin Newscum, et la maire de Los Angeles, Karen Bass, ne peuvent pas faire leur travail, ce que tout le monde sait, alors le gouvernement fédéral interviendra et résoudra le problème", a-t-il dit sur son réseau Truth Social, en désignant M. Newsom par un quolibet.

Pour le deuxième jour consécutif à Los Angeles, des heurts ont opposé des manifestants, vent debout face aux expulsions massives de migrants illégaux dans le cadre de la politique lancée par M. Trump, et les agents fédéraux de la police de l'immigration (ICE).

Ceux-ci ont tiré des grenades assourdissantes et plusieurs personnes ont été interpellées à Paramount.

"Nous épluchons les vidéos pour identifier les auteurs. Vous amenez le chaos, on apporte les menottes", a écrit sur X le directeur adjoint de la police fédérale (FBI), Dan Bongino.

Attaque d'un car de police

Des membres de l'ICE s'étaient rassemblés samedi matin près d'un grand magasin de bricolage Home Depot, où des travailleurs viennent traditionnellement proposer leurs services pour la journée.

Il n'est pas clair si les agents de l'ICE s'apprêtaient à arrêter des personnes sans papiers, ou s'ils se rassemblaient simplement à cet endroit en vue d'une autre opération.

Mais des manifestants ont commencé à se regrouper et le bureau du shérif a indiqué avoir déployé des agents sur place en fin de matinée alors que les tensions montaient.

Des manifestants ont jeté des objets sur les forces de l'ordre et tenté d'empêcher un autocar de quitter les lieux. Les agents les ont repoussés à l'aide de gaz lacrymogènes et de grenades assourdissantes.

Des manifestants s'en sont également pris à un car de l'US Marshals Service qui sortait d'une autoroute voisine, conduisant les autorités à fermer les bretelles d'accès.

Les rues ont été jonchées de débris et de caddies renversés, selon les images des médias américains qui ont rapporté aussi que des manifestants ont mis le feu à un drapeau américain.

Des incidents du même type s'étaient déjà produits vendredi à Los Angeles, où des manifestants avaient jeté des oeufs sur des véhicules de l'ICE après que des agents eurent arrêté des sans-papiers.

"Tolérance zéro"

Des images partagées sur X samedi par le chef de la police aux frontières Michael Banks, et relayées par Stephen Miller, un des proches conseillers de Donald Trump, ont montré des dizaines d'agents en tenue militaire kaki, armés et équipés de masques à gaz, faisant face à des manifestants.

"L'administration Trump applique une politique de tolérance zéro à l'égard des comportements criminels et de la violence, en particulier lorsque cette violence vise des agents des forces de l'ordre qui tentent de faire leur travail", a martelé Mme Leavitt.

Stephen Miller, après les incidents de vendredi, avait évoqué sur X "une insurrection contre les lois et la souveraineté des Etats-Unis".

Le ministre de la Défense, Pete Hegseth, a menacé de faire aussi appel à l'armée régulière basée non loin. Si nécessaire, les "Marines de Camp Pendleton seront également mobilisés. Ils sont déjà en état d'alerte", a-t-il déclaré sur les médias sociaux.

Pour Gavin Newsom, la décision de déployer la Garde nationale "est délibérément incendiaire et ne fera qu'aggraver les tensions".

Le gouvernement fédéral intervient "non pas parce qu'il y a une pénurie de forces de l'ordre, mais parce qu'ils veulent du spectacle. Ne leur en offrez pas. N'utilisez jamais la violence. Exprimez-vous pacifiquement", a-t-il lancé à l'adresse des manifestants.

"Tout le monde a le droit de manifester pacifiquement, mais soyons clairs : la violence et la destruction sont inacceptables, et les responsables devront rendre des comptes", a pour sa part prévenu sur X la maire de Los Angeles, Karen Bass.

Le procureur du district central de Californie, Bill Essayli, a déclaré que la Garde nationale seraint en place "dans les prochaines 24 heures".

Le dernier déploiement de la Garde nationale en Californie pour des troubles civils remonte à 2020, à la suite des violentes émeutes provoquées par la mort de George Floyd, un Afro-Américain tué par un policier à Los Angeles.

Depuis son retour au pouvoir en janvier, le président américain et son gouvernement ont multiplié les initiatives pour expulser un maximum de sans-papiers du pays, tout en cherchant à étendre leurs prérogatives en la matière.

Le ministère de la Sécurité intérieure a déclaré que les opérations menées par l'ICE à Los Angeles cette semaine avaient abouti à l'arrestation de " 118 étrangers, dont cinq membres de gangs".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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