International
A un an de la présidentielle, les sondages accablent Biden
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A un an jour pour jour de la présidentielle de 2024, plusieurs sondages accablent Joe Biden, en le montrant distancé par son rival Donald Trump. Il semble déconnecté d'une opinion publique américaine profondément pessimiste.
Un sondage publié dimanche par le New York Times, donne le président américain perdant face à Donald Trump, favori de la primaire républicaine, dans cinq Etats clés sur six, et en perte de vitesse auprès des jeunes comme des minorités.
En 2020, Joe Biden avait arraché la victoire dans chacun de ces "swing states", des Etats qui "balancent" entre l'un et l'autre camp.
Mais aujourd'hui, selon cette enquête d'opinion, le milliardaire républicain de 77 ans domine son adversaire démocrate de 80 ans dans les intentions de vote au Nevada, en Géorgie, en Arizona, au Michigan et en Pennsylvanie. Ne resterait à Joe Biden que le Wisconsin.
"Ce qu'il faut vraiment retenir? Dans un an, le peuple américain va virer 'Joe Biden-la-Crapule' et recruter le président Donald Trump pour rendre sa grandeur à l'Amérique", a commenté la campagne du républicain dans un communiqué au ton triomphant.
Un autre sondage commandé par la chaîne CBS donne Donald Trump en tête des intentions de vote générales, avec 51% contre 48% pour Joe Biden.
Obama 2012
"Nous gagnerons en 2024 en nous mettant au travail tête baissée, pas en nous affolant pour un sondage", a répliqué Kevin Munoz, porte-parole de campagne de Joe Biden, en relativisant la portée de sondages réalisés un an à l'avance.
Il a pris pour exemple l'ancien président Barack Obama, promis à une cuisante défaite, et finalement réélu aisément un an plus tard.
Mais selon le stratège David Axelrod, qui a justement piloté cette campagne victorieuse de 2012, le camp démocrate a aujourd'hui de quoi ressentir "une inquiétude légitime".
Et d'asséner, sur le réseau social X: si Joe Biden "reste en course, il sera le candidat du Parti démocrate. Mais il lui faut décider si c'est sage; s'il se présente dans son intérêt à lui, ou dans celui du pays."
Pessimisme
Les sondages publiés dimanche révèlent que le président octogénaire n'arrive pas à réduire le fossé qui semble le séparer de l'opinion publique américaine. Selon le sondage CBS, 73% des Américains estiment que leur pays va mal.
Une enquête d'opinion de la chaîne ABC donne même 76% des Américains persuadés que leur pays va dans la mauvaise direction.
Ils sont 67% à penser la même chose dans le sondage déjà cité du New York Times, qui décompte par ailleurs 71% d'électeurs convaincus que Joe Biden "est trop vieux pour être un président efficace".
L'âge de Donald Trump préoccupe généralement moins les électeurs.
L'opinion publique reste donc imperméable au discours volontariste de Joe Biden, persuadé d'être le mieux placé pour battre à nouveau Donald Trump.
Gaza
Ses concitoyens sont inquiets pour leur pouvoir d'achat, rongé par l'inflation, et redoutent pour certains de voir les Etats-Unis entraînés dans une guerre à l'étranger.
Joe Biden répète lui qu'il n'a "jamais été aussi optimiste" pour l'Amérique, en vantant l'économie robuste et les solides alliances internationales qu'il a forgées.
Les experts assurent généralement que les questions de politique étrangère, justement, ne jouent pas un grand rôle dans les décisions électorales des Américains. Mais le soutien de l'opinion publique à l'Ukraine pourrait s'éroder, faute de succès militaires conséquents.
Et la manière dont Joe Biden s'est positionné face à la guerre entre Israël et le Hamas indigne nombre de jeunes électeurs, ainsi que les Américains d'origine arabe, deux électorats qui lui étaient jusqu'ici plutôt favorables.
Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées samedi à Washington, appelant à un "cessez-le-feu" immédiat dans la bande de Gaza, et critiquant pour certains "Joe le génocidaire".
Le démocrate a martelé le "droit" et le "devoir" d'Israël de se défendre. Il rejette jusqu'ici les appels à un cessez-le-feu, mais assure oeuvrer pour une "pause" humanitaire.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Fuchs gagne le GP d'Aix-la-Chapelle, Guerdat 3e
Les cavaliers suisses ont frappé fort dimanche dans le GP du prestigieux CHIO d'Aix-la-Chapelle.
Martin Fuchs a cueilli la victoire sur Leone Jei, Steve Guerdat terminant quant à lui 3e avec Dynamix de Belheme.
Martin Fuchs a survolé les débats dans le barrage final, qui réunissait les onze cavaliers ayant réussi un sans faute sur chacune des deux premières manches. Le Zurichois a mis 50''29 pour boucler son troisième parcours de la journée, soit 2''12 de mieux que sa dauphine américaine Laura Kraut qui montait Baloutinue.
Steve Guerdat a également signé un parcours immaculé sur le "jump off", mais en concédant 2''30 à son compère. Le vice-champion olympique de Paris 2024 empoche ainsi un chèque de 220'000 euros, alors que Martin Fuchs a droit à une prime d'un demi-million d'euros pour cette victoire.
C'est la cinquième fois que Martin Fuchs (33 ans dimanche prochain) remporte le Grand Prix d'un des quatre concours estampillés Grand Chelem (avec Genève, Bois-le-Duc et Spruce Meadows). Le champion d'Europe individuel de 2019, deux fois vainqueur tant à Genève (2019, 2021) qu'au Canada (2023, 2024), n'avait encore jamais triomphé dans la Mecque du saut d'obstacles.
Martin Fuchs est d'ailleurs simplement le quatrième cavalier suisse à s'adjuger ce prestigieux Grand Prix, après Paul Weier en 1973, Willi Melliger en 1983, et son oncle Markus Fuchs en 2004.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Lula dénonce "l'effondrement du multilatéralisme"
Le président brésilien Lula a dénoncé dimanche l'"effondrement sans précédent du multilatéralisme", à l'ouverture d'un sommet des Brics à Rio de Janeiro. La réunion débute alors que le monde est mis sous tension par les droits de douane voulus par Donald Trump.
Les dirigeants du groupe de 11 grands pays émergents (dont Brésil, Chine, Inde, Russie et Afrique du Sud) se retrouvent pour deux jours au bord de la sublime baie de Guanabara. Mais plusieurs chefs d'État manquent à l'appel, en particulier le président chinois Xi Jinping, dont le pays est pourtant la puissance dominante des Brics.
Alors que ce rendez-vous annuel est percuté par la guerre commerciale lancée par le président américain, le chef de l'État brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a dressé un sombre tableau de la coopération internationale.
La situation au Moyen-Orient s'est aussi imposée à l'ouverture du sommet. Lula a évoqué la guerre entre l'armée israélienne et le mouvement islamiste palestinien Hamas dans la bande de Gaza, accusant de nouveau Israël de "génocide".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Tour de France: coup double pour Mathieu van der Poel
Mathieu van der Poel a fait coup double à Boulogne-sur-Mer lors de la 2e étape du Tour de France. Le Néerlandais s'est imposé et a revêtu le maillot jaune de leader.
Au terme d'un sprint royal en montée, van der Poel a devancé le Slovèbe Tadej Pogacar et le Danois Jonas Vingegaard, soit les deux grands favoris pour la victoire finale à Paris. Le spécialiste des classiques - qui a cette année remporté Milan - San Remo et Paris - Roubaix - a ainsi fêté un deuxième succès sur le Tour de France. En 2021, il avait déjà gagné la 2e étape avant de porter le maillot jaune pendant six jours.
Son coéquipier Jasper Philipsen, vainqueur la veille à Lille et premier porteur du maillot de leader, a franchi la ligne à plus de 30 secondes. Au général, van der Poel compte 4 secondes d'avance sur Pogacar et 6 sur Vingegaard.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Bayern Munich: fracture du péroné pour Jamal Musiala
Jamal Musiala (Bayern Munich) souffre d'une fracture du péroné après un contact avec le gardien du PSG Gianluigi Donnarumma. Le milieu offensif allemand sera indisponible pour une longue durée.
Remplacé à la mi-temps du match perdu 2-0 à Atlanta, l'international allemand de 22 ans est en cours de rapatriement. Il sera opéré prochainement, a précisé le Bayern dans un communiqué. "Cette grave blessure et cette longue absence sont un véritable choc pour Jamal et pour nous tous", a commenté Max Eberl, directeur sportif du Bayern.
Selon la presse allemande, Jamal Musiala devrait être éloigné des terrains entre quatre et cinq mois, avec un retour espéré pour les derniers matches avant la trêve hivernale. Le choc avec Donnarumma s'est produit dans le temps additionnel de la première période, samedi. Musiala était parvenu à se faufiler entre le défenseur parisien Pacho et son gardien de but.
L'Italien a plongé, mais dans sa chute, la jambe gauche de l'attaquant allemand s'est retrouvée en porte-à-faux et a plié sous le poids de Donnarumma. "C'est une situation dans laquelle on ne doit pas sortir de cette façon. C'est très risqué. Il accepte le risque de blesser son adversaire", a reproché le gardien du Bayern, Manuel Neuer après la rencontre.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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