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International

Une astrologue effrayée par l'éclipse tue son partenaire

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L'éclipse était visible lundi depuis la côte pacifique du Mexique à l'est du Canada, en passant par le Texas, l'Arkansas, les chutes du Niagara et la Nouvelle-Angleterre. (© KEYSTONE/EPA/CJ GUNTHER)

Une astrologue américaine obnubilée par l'éclipse survenue lundi au-dessus des Etats-Unis a poignardé à mort son conjoint et jeté ses deux filles de sa voiture en marche sur l'autoroute, quelques heures avant le phénomène céleste, selon le Los Angeles Times.

Retrouvée morte peu après dans son véhicule, l'astrologue se présentait comme une "guérisseuse divine" et proposait en ligne des "purifications d'aura", ainsi que des lectures des signes du zodiaque. Sur les réseaux sociaux, elle se faisait appeler Ayoka.

La semaine dernière, cette influenceuse a publié un message sur X comparant l'éclipse au "summum de la guerre spirituelle" et assurant que chacun devait "choisir un camp". "L'apocalypse est là", a-t-elle assuré dans une autre publication. Lundi matin, à quelques heures de l'éclipse, elle a tué à l'aide d'un couteau son partenaire, un ex-militaire de 29 ans, en le poignardant au coeur, selon le Los Angeles Times.

Elle a laissé des traces de pas ensanglantées dans leur appartement de Los Angeles, avant de s'enfuir dans sa Porsche Cayenne avec ses deux filles, selon les premiers éléments de l'enquête rapportés par le quotidien. Filant à toute allure sur une autoroute de la ville, elle a poussé ses enfants hors de la voiture.

Eclipse partielle à Los Angeles

L'aînée, âgée de neuf ans, a survécu. Mais sa petite soeur, un nourrisson de huit mois, a été retrouvée morte. La police a retrouvé un peu plus tard le véhicule, qui s'est écrasé à 160 km/h dans un arbre le long d'une route côtière. Le corps de Mme Johnson était sévèrement mutilé et a été difficile à identifier, selon le journal.

Les éclipses ont longtemps été associées à d'étranges prophéties de fin des temps, qui n'ont aucun fondement selon les scientifiques. Des millions de personnes ont admiré lundi une rare éclipse totale, qui a traversé l'Amérique du Nord, et laissait voir un soleil noir, obstrué par la lune.

Le phénomène était visible de la côte pacifique du Mexique à l'est du Canada, en passant par le Texas, l'Arkansas, les chutes du Niagara et la Nouvelle-Angleterre. Ce phénomène n'était pas observable depuis Los Angeles, qui a dû se contenter d'une éclipse partielle.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Pour le PSG, la route de Wembley passe par le "Mur Jaune"

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Mbappé et le PSG sont aux portes de la finale de la Ligue des champions (© KEYSTONE/EPA/Christophe Petit Tesson)

Le PSG est aux portes de la finale de la Ligue de champions.

Mais avant de poursuivre son rêve d'un sacre inédit en C1, il doit d'abord passer l'obstacle du Borussia Dortmund de Gregor Kobel et résister au fameux "Mur Jaune" lors d'une demi-finale aller qu'il aborde en position de favori, mercredi.

L'histoire est facétieuse: c'est en effet la saison où la direction du club, l'entraîneur Luis Enrique et les joueurs rejetaient officiellement "l'obsession" Ligue des champions que l'équipe se retrouve peut-être le plus près d'un couronnement sur la scène européenne.

Au gré d'un exercice au cours duquel ils auront élevé leur niveau mois après mois, à la faveur aussi d'un tableau ouvert à partir des 8es de finale et après une phase de groupe compliquée, les Parisiens auront réussi à rallier les demi-finales. Atteindre ce stade était peu envisageable en août dernier, au tout début de l'ère Luis Enrique, juste après les départs de Lionel Messi et Neymar et à l'approche des adieux de Kylian Mbappé cet été.

Paris favori logique

Désormais, le PSG et sa superstar peuvent légitimement être "obsédés" par la victoire finale, dont seuls les séparent trois matches, dont les deux contre le Borussia Dortmund. Un adversaire abordable pour le PSG, malgré les déclarations de principe du jeune attaquant Bradley Barcola à l'UEFA: "On les a déjà joués deux fois cette saison, on sait que c'est une très bonne équipe".

Car en l'occurrence, ces deux matches de poule restent de bons souvenirs pour le club français - victoire 2-0 au Parc des Princes, qualification pour les 8e de finale acquise au bout du match nul (1-1) au Signal Iduna Park. Si l'on ajoute la qualification en 2020 au bout des deux manches du 8e de finale (1-2; 2-0), sur le papier et pour les bookmakers, Paris part favori.

Sérénité

L'équipe est prête à faire parler son statut, assure Luis Enrique: "On l'a démontré, on est une équipe très difficile à battre, techniquement, tactiquement, mentalement. Les statistiques sont là. C'est maintenant qu'on va jouer pour la compétition que toutes les équipes désirent. Je suis convaincu qu'on va vraiment lutter et qu'on ira en finale, c'est mon objectif".

La dynamique de l'équipe est bonne avec le titre en Ligue 1 décroché dès le weekend dernier - après avoir éteint la concurrence dans les confrontations directes -, et une qualification pour la finale de la Coupe de France contre Lyon le 25 mai.

Tourné vers l'objectif d'un triplé historique, le PSG dégage une impression de confiance et de sérénité depuis plusieurs semaines, notamment à Barcelone en quarts de finale (qualification grâce à la victoire 4-1 au match retour après la défaite 3-2 au Parc des Princes).

Mais sérénité et PSG ne riment jamais très longtemps et une demi-finale de Ligue des champions avec le statut de favori n'aura rien d'évident lorsqu'il faudra affronter le Mur jaune du Signal Iduna Park mercredi soir. Quand bien même la plus grande tribune debout d'Europe sera en configuration UEFA (16'000 places contre les 24'500 habituelles, pour installer des sièges).

"Contrôler les émotions"

Luis Enrique, qui a remporté la C1 à la tête du FC Barcelone en 2015, sait que l'essentiel, "quand les matches importants arrivent, est de contrôler les émotions".

Orphelin de sa star Jude Bellingham partie au Real Madrid, le Borussia Dortmund a de surcroît prouvé qu'il avait du caractère au cours de sa saison chaotique. Larguée en Bundesliga (5e), régulièrement étrillée comme samedi par Leipzig (4-1), l'équipe a néanmoins terminé première du groupe de Ligue des champions où figurait le PSG, l'AC Milan et Newcastle.

Après avoir assuré contre le PSV Eindhoven en 8e de finale (1-1; 2-0), elle a renversé un quart de finale très mal embarqué après sa défaite à l'aller contre l'Atlético Madrid (1-2; 4-2). Et "on est une équipe encore plus stable et meilleure qu'en septembre ou en novembre", assure le coach Edin Terzic.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Un bâtiment de l'université de Columbia bouclé par la police

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Des étudiants pro-palestiniens continuent de manifester sur les campus américains. (© KEYSTONE/AP/Sarah Reingewirtz)

La prestigieuse université Columbia à New York, épicentre du mouvement pro-palestinien contre la guerre à Gaza sur les campus américains, a menacé mardi de renvoyer les dizaines de personnes qui occupent un bâtiment de l'établissement, totalement bouclé par la police.

La police de New York est intervenue mardi soir sur le campus de l'université Columbia pour y déloger des étudiants et militants pro-palestiniens barricadés depuis la nuit précédente dans un bâtiment, selon des journalistes de l'AFP.

Un camion de police avec une échelle s'est approché du bâtiment occupé et la presse a pu voir des dizaines de policiers en tenue anti-émeute grimper pour atteindre une fenêtre afin de pénétrer dans le "Hamilton Hall" où sont retranchées des dizaines de personnes depuis la nuit de lundi à mardi.

Les forces de l'ordre sont entrées vers 21H30 (03H30 Heure suisse) sur l'immense campus de cette grande université du nord de Manhattan, épicentre d'un mouvement national aux Etats-Unis en soutien à la cause palestinienne et contre la guerre que mène Israël dans la bande de Gaza contre le Hamas.

Barricadés

Dénonçant une "escalade", le porte-parole de Columbia Ben Chang a menacé de les "renvoyer" de l'université en les accusant de "vandaliser, casser et bloquer les accès" du Hamilton Hall. Le bâtiment a été renommé "Hind's Hall" par le groupe pro-palestinien "Columbia University Apartheid Divest", en hommage à une fillette de six ans tuée à Gaza.

La présidence de Columbia avait commencé lundi à "suspendre" administrativement des étudiants qui refusaient de quitter ce "village" de tentes. A six mois de la présidentielle dans un pays polarisé, le mouvement estudiantin inquiète la Maison Blanche et l'ONU.

Joe Biden, président du pays allié "indéfectible" d'Israël, a critiqué les tensions ravivées à Columbia, université privée qui forme l'élite: "Occuper par la force un bâtiment universitaire est la mauvaise approche" et ne représente "pas un exemple de manifestation pacifique", a tonné John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche.

Aux Nations unies, le secrétaire général Antonio Guterres a jugé "essentiel en toutes circonstances de garantir les libertés d'expression et de manifestation pacifique" tout en insistant sur le fait que "les discours racistes étaient évidemment inacceptables".

Accord

Avant un duel entre l'ex-président Donald Trump et le sortant Joe Biden, qui a besoin du vote de la jeunesse, le chef républicain de la Chambre des représentants Mike Johnson a dénoncé "l'illégalité et le chaos absolus sur les campus en Amérique" et "l'antisémitisme et l'échec dans la protection d'étudiants juifs". Il a réclamé le départ de la présidente de Columbia, Minouche Shafik.

Les manifestants pro-palestiniens exigent que leurs universités coupent les ponts avec des mécènes ou entreprises liés à Israël. Columbia refuse.

Mais un autre campus d'élite du nord-est, Brown University à Providence, a annoncé un accord avec les étudiants: démantèlement du campement contre un vote de l'université en octobre sur d'éventuels "désinvestissements de +sociétés qui rendent possible et profitent du génocide à Gaza+".

"Rétablir l'ordre"

A travers les Etats-Unis, les images de forces de l'ordre en tenue anti-émeute intervenant brutalement sur des campus ont fait le tour du monde.

Depuis le week-end dernier, des centaines d'étudiants, enseignants, militants d'une vingtaine d'universités ont été interpellés, certains arrêtés et placés en détention.

A l'université du Texas à Austin (sud), près de 80 personnes étaient en garde à vue mardi et seront poursuivies en justice pour "délit d'intrusion", selon le bureau du shérif local.

En Californie, la police "a fait évacuer et sécurisé" à l'aube deux bâtiments de l'université Cal Poly Humboldt et arrêté 35 personnes, afin de "rétablir l'ordre" selon cet établissement.

A l'Université de Caroline du Nord à Chapel Hill, un groupe d'étudiants a revendiqué avoir hissé un drapeau palestinien au centre du campus, avant que la police ne remette en place les couleurs des Etats-Unis, selon la presse.

Ces nouvelles manifestations pro-palestiniennes aux Etats-Unis ont ravivé le débat électrique depuis octobre entre liberté d'expression et accusations d'antisémitisme. Le pays compte le plus grand nombre de juifs dans le monde après Israël, et des millions d'Américains arabo-musulmans.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Université: un accord avec les étudiants pro-palestiniens

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Des étudiants pro-palestiniens protestent contre la guerre à Gaza devant un campus universitaire. (© KEYSTONE/AP/Mary Altaffer)

L'université américaine Brown, un prestigieux campus du nord-est des Etats-Unis, a annoncé jeudi un accord avec ses étudiants pro-palestiniens, premier du genre dans la crise qui secoue le monde estudiantin américain à propos de la guerre dans la bande de Gaza.

La présidente de Brown University à Providence (Rhode Island), Christina Paxson, s'est réjouie dans un communiqué du démantèlement d'un "campement" d'étudiants et de militants pro-palestiniens à 17H00 (23H00 Heure suisse) en échange de la promesse que le conseil d'administration de l'université se prononcera sur d'éventuels "désinvestissements de sociétés qui rendent possible et profitent du génocide à Gaza".

Couper les liens entre les grandes universités privées américaines et des mécènes et entreprises liés à Israël fait partie des revendications du mouvement étudiant et militant qui défend la cause palestinienne et est vent debout contre la guerre que mène l'Etat hébreu contre le Hamas dans la bande de Gaza.

L'accord à Brown est la première concession accordée par une université d'élite au mouvement national qui s'est propagé depuis deux semaines à travers tous les Etats-Unis, de la Californie à l'ouest (Universités Ucla, USC...) aux Etats du nord-est (Columbia, Yale, Harvard, UPenn) en passant par les Etats du centre et du sud comme le Texas et l'Arizona. Les étudiants et la direction de Brown doivent encore discuter de mai à octobre des contours de l'accord.

Dans le campement, des manifestants ont sauté de joie et se sont serrés dans les bras en chantant selon une journaliste de l'AFPTV.

Les manifestations sur les campus américains ont ravivé aux Etats-Unis le débat tendu depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza entre liberté d'expression, droit constitutionnel et accusations d'antisémitisme et d'antisionisme.

La présidente de Brown a reconnu que "les destructions et pertes en vie humaine au Proche-Orient ont poussé beaucoup (d'étudiants) à un appel à des changements significatifs".

La dirigeante universitaire, dont deux homologues à Harvard et UPenn avaient dû démissionner cet hiver pour des propos jugés ambigus devant le Congrès des Etats-Unis sur la lutte contre l'antisémitisme, a dénoncé aussi "l'escalade d'une rhétorique incendiaire (...) et la hausse des tensions sur les campus du pays".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Ligue des champions: 2-2 entre le Bayern et le Real

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Kane transforme un penalty (© KEYSTONE/AP/Matthias Schrader)

Rien n'est fait dans la première demi-finale de la Ligue des champions. Le Bayern Munich et le Real Madrid ont fait 2-2, un score qui laisse toutes les options ouvertes avant le retour le 8 mai.

Ce sont les hommes de Carlo Ancelotti qui ont frappé les premiers à l'Allianz Arena, Vinicius profitant d'une ouverture lumineuse de Kroos (24e). Cette réussite tombait alors que les Allemands avaient dominé, surtout lors des dix minutes initiales, mais sans parvenir à concrétiser.

Choqué, le Bayern a eu besoin des paroles sans doute fortes de Thomas Tuchel durant la pause. Car au retour des vestiaires, les joueurs bavarois ont retrouvé des couleurs, de l'énergie et des idées.

Situation retournée en quelques minutes

Cela leur a permis de retourner la situation en quelques minutes, d'abord sur une belle action individuelle de Sané (53e), puis sur un penalty obtenu par Musiala et transformé par Kane (57e). L'attaquant anglais a ainsi signé son 43e but de la saison, toutes compétitions confondues, en 43 matches!

Les Madrilènes, qui semblaient jouer sur du velours après l'ouverture du score, ne s'attendaient sans doute pas à une telle seconde période de leurs adversaires. Ces derniers ont d'ailleurs frôlé plusieurs fois près un troisième but qui aurait mis les visiteurs dans une situation difficile. Mais comme souvent, le Real a fini par s'en sortir. Kim a commis l'irréparable sur Rodrygo et Vinicius a égalisé sur penalty (83e).

Le Bayern aura donc besoin d'un exploit au retour s'il entend toujours caresser l'espoir de finir la saison en remportant un trophée majeur, lui dont le dernier exercice blanc date de 2012. Pour sa part, le Real a quand même légèrement les faveurs du pronostic pour atteindre une 18e finale dans sa compétition européenne favorite.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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