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International

Berlin va examiner la demande polonaise "avec l'urgence requise"

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La Pologne est prête à livrer 14 chars Leopard de fabrication allemande à Kiev dans le cadre d'une coalition internationale (archives). (© KEYSTONE/AP/Michael Sohn)

Le gouvernement allemand va examiner "avec l'urgence requise" la demande d'autorisation de la Pologne de transférer 14 chars lourds Leopard 2 à l'Ukraine afin de l'aider à repousser l'invasion russe, a annoncé mardi un de ses porte-parole.

"La demande nous est parvenue (...) Nous allons traiter la demande avec l'urgence requise conformément à la procédure prévue", a-t-il précisé.

Le ministre polonais de la Défense avait auparavant dit avoir demandé à l'Allemagne son accord pour envoyer des Leopard 2, des blindés de fabrication allemande, à l'Ukraine, où les forces russes continuent de revendiquer des avancées sur le terrain.

Le gouvernement d'Olaf Scholz subit depuis plusieurs jours une pression croissante en vue de donner son aval, aux États membres de l'Otan qui le souhaitent, pour livrer à l'Ukraine des chars de combat, mais a rechigné à s'y résoudre à l'heure actuelle.

La Pologne et la Finlande ont proposé de livrer des Leopard qu'elles possèdent, mais ont besoin de l'agrément officiel de Berlin en vue d'une réexportation.

"J'espère que cette réponse des Allemands viendra rapidement cette fois, parce que les Allemands tardent, tergiversent, agissent d'une manière difficile à comprendre", a déclaré à la presse le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

Football

Le Bayern éteint Flamengo et défiera le PSG

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Le Bayern de Harry Kane défiera le PSG en quart de finale du Mondial des clubs (© KEYSTONE/AP/Lynne Sladky)

Tout simplement plus fort, le Bayern Munich de Harry Kane, auteur d'un doublé, a fait parler sa puissance dimanche à Miami pour écarter Flamengo (4-2) de sa route au Mondial des clubs.

Les Bavarois défieront le PSG dans un quart de finale choc. Ce sera donc un duel entre cadors européens, plus habitués à se défier en Ligue des champions, qui aura lieu samedi prochain à Atlanta, les Parisiens s'étant débarrassés sans ménagement de l'Inter Miami de Lionel Messi (4-0).

"Ce sera difficile contre Paris, a anticipé Kane. Ils ont eu une saison incroyable. Nous avons déjà joué contre eux et gagné cette saison (en Ligue champions). Nous devons nous en inspirer, même si nous savons que ce ne sera pas facile."

Le Brésil, qui a placé ses quatre équipes en 8es de finale, peut encore en voir une seconde, après Palmeiras, rallier le prochain tour, si Fluminense fait tomber l'Inter Milan lundi. En attendant, après Botafogo, c'est l'un de ses clubs les plus emblématiques, celui de Zico, Bebeto ou encore Romario qui prend la porte.

Neuf avertissements

Ce 8e de finale au parfum intercontinental vintage, très animé et bien tendu (9 avertissements), les Bavarois l'ont pris au sérieux. En trois minutes, dans les dix premières, Munich a fait plier la défense. D'abord sur un corner dévié contre son camp par le Chilien Erick Pulgar (6e), puis après un tir à l'entrée de la surface de Harry Kane, légèrement dévié (9e).

En prenant à la gorge Flamengo d'entrée, Munich venait de mettre un gros coup sur la carafe de son adversaire. Mais c'était sans compter "la force mentale des joueurs brésiliens", mise en avant la veille par leur entraîneur Filipe Luis. Il a eu raison, puisque son équipe a réduit le score par Gerson, auteur d'un missile en demi-volée sous la barre de Manuel Neuer (33e).

Bousculé et coffre-fort percé, le Bayern a néanmoins vite repris son sérieux et le contrôle du ballon. Et Leon Goretzka a permis aux siens de refaire le break (3-1, 41e). Flamengo a repris espoir quand Jorginho a transformé un penalty (55e) mais, après une belle occasion manquée par Bruno Henrique devant Neuer (66e), c'est l'inévitable "HurriKane" qui a scellé le sort du match (73e).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le Canada annule une taxe pour un accord commercial avec Washington

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Donald Trump avait mis fin aux négociations commerciales avec le Canada en raison d'une taxe canadienne sur les géants du numérique (archives). (© KEYSTONE/EPA/JOHN G. MABANGLO)

Le gouvernement canadien a annoncé dimanche annuler une taxe visant les géants de la technologie dans l'espoir de parvenir à un accord commercial avec les Etats-Unis. Le président américain Donald Trump avait mis fin aux discussions en raison de cette taxe.

Le ministre canadien des finances, François-Philippe Champagne, "a annoncé aujourd'hui [dimanche, ndlr] que le Canada annulerait la taxe sur les services numériques (TSN)", selon un communiqué du gouvernement, qui précise que la reprise des négociations doit déboucher sur un accord commercial avec les Etats-Unis d'ici au 21 juillet.

Donald Trump avait annoncé vendredi mettre fin aux négociations commerciales avec son voisin canadien, jugeant que la taxe d'Ottawa visant les géants du numérique était un "coup direct et évident" porté aux Etats-Unis. Le président américain avait justifié l'arrêt des discussions avec le Canada par l'entrée en vigueur de cette taxe le 30 juin.

La TSN devait cibler les géants de la technologie, qui génèrent un chiffre d'affaires mondial annuel supérieur à 1,1 milliard de dollars canadiens et qui gagnent des revenus annuels au Canada supérieurs à 20 millions de dollars canadiens.

Elle visait notamment les géants américains du numérique Google, Apple, Meta (Facebook), Amazon ou Microsoft. Ceux-ci sont accusés de profiter du caractère immatériel de leur activité pour échapper à l'impôt.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Au moins deux personnes tuées dans une embuscade dans l'Idaho

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Les pompiers intervenaient contre un incendie dans l'Idaho, lorsqu'ils ont été pris pour cible par un tireur embusqué. (© KEYSTONE/AP/Bruce Deming)

Au moins deux personnes ont été tuées dimanche dans l'Etat américain de l'Idaho (nord-ouest) dans une embuscade tendue à des pompiers qui luttaient contre un feu de broussailles, a annoncé le shérif local. Le tireur n'a montré "aucun signe de vouloir se rendre".

"Nous avons maintenant deux morts. Nous avons un nombre inconnu de victimes [...] En ce moment même, nous essuyons des tirs de tireurs embusqués", a déclaré le shérif du comté de Kootenai. Il a encouragé les forces de l'ordre "à tirer pour neutraliser la menace".

"Plusieurs pompiers héroïques ont été attaqués aujourd'hui alors qu'ils intervenaient sur un incendie dans le nord de l'Idaho", a annoncé sur le réseau social X le gouverneur de l'Etat, Brad Little. Il a dénoncé "une attaque directe odieuse contre nos courageux pompiers".

189 fusillades en 2025

Les autorités ont demandé aux résidents de rester sur place jusqu'à ce que l'affrontement soit terminé.

Avec plus d'armes à feu en circulation que d'habitants, les Etats-Unis affichent le taux de mortalité par arme à feu le plus élevé de tous les pays développés. Les tueries sont un fléau récurrent que les gouvernements successifs n'ont jusqu'à présent pas réussi à endiguer, de nombreux Américains restant très attachés à leurs armes.

Aux Etats-Unis, le droit au port d'arme est protégé par le deuxième amendement de la constitution.

Selon le Gun Violence Archive, il y a eu 189 fusillades de masse cette année aux États-Unis, qui sont définies par l'organisation comme des incidents, durant lequel au moins quatre personnes, autres que le tireur, sont tuées ou blessées.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Brésil: menacé de prison, Bolsonaro combatif devant ses partisans

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L'affluence des soutiens à Jair Bolsonaro était en nette baisse dimanche à São Paulo par rapport aux rassemblements d'avril et de février. (© KEYSTONE/EPA/Sebastiao Moreira)

L'ex-président brésilien Jair Bolsonaro, menacé de prison pour tentative présumée de coup d'Etat, s'est dit prêt dimanche à São Paulo devant ses supporters à "changer le destin du Brésil". Seuls quelques milliers de militants étaient venus le soutenir.

"Ceux qui m'accusent peuvent avoir beaucoup d'atouts dans leur jeu, mais moi, j'ai trois choses qu'ils n'ont pas de mon côté: Dieu, la liberté et le soutien d'une bonne partie de la population brésilienne", a-t-il scandé face à ses sympathisants vêtus de jaune et de vert sur l'emblématique avenue Paulista.

Plusieurs manifestations ont été organisées depuis le début des déboires judiciaires de Jair Bolsonaro. L'affluence s'est effritée au cours de ces derniers mois.

Selon les calculs de chercheurs de l'université de São Paulo environ 12'400 personnes ont participé dimanche au cortège sur l'avenue Paulista, contre 45'000 en avril et 185'000 en février.

Inéligible jusqu'en 2030 pour ses attaques sans preuves sur les urnes électroniques utilisées au Brésil, l'ancien président (2019-2022) a évoqué les élections générales de l'an prochain, mettant notamment l'accent sur les législatives.

Législatives de 2026

"Donnez-moi 50% des députés et des sénateurs et je change le destin du Brésil", a-t-il déclaré, vêtu d'une veste de survêtement bleue sur un polo jaune pâle.

Mais cette fois, M. Bolsonaro, 70 ans, ne s'est pas présenté explicitement comme le candidat du camp conservateur à la présidentielle de 2026, contrairement à d'autres occasions, quand il se disait convaincu qu'il parviendrait à faire annuler son inéligibilité.

Lors de la manifestation de dimanche, Jair Bolsonaro a reçu le soutien appuyé d'un de ses plus puissants alliés, le gouverneur de São Paulo Tarcisio de Freitas, qui l'a qualifié de "plus grand meneur de l'histoire" du pays.

"Il va encore faire la différence et contribuer beaucoup au Brésil", a déclaré cet ancien ministre, pressenti comme un présidentiable en puissance en l'absence de M. Bolsonaro.

Accusé d'être le "meneur d'une organisation criminelle" ayant conspiré pour son maintien au pouvoir après l'élection présidentielle d'octobre 2022, remportée par Lula, M. Bolsonaro encourt jusqu'à 40 ans de prison. Il se dit victime d'une "persécution politique" visant à l'empêcher de se présenter à la présidentielle l'an prochain.

A gauche, le président Luiz Inacio Lula da Silva, dont la popularité est en berne, n'a toujours pas annoncé s'il briguerait ou non un nouveau mandat.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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