International
Violences sexuelles en RDC: l'OMS licencie quatre personnes
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L'OMS est en cause après les violences sexuelles présumées perpétrées par des employés en RDC. Des "défaillances structurelles" et des fautes professionnelles sont ciblées par les enquêteurs. L'organisation s'est excusée auprès des victimes et a licencié 4 personnes.
L'année dernière, The New Humanitarian et la Fondation Thomson Reuters avaient révélé des accusations de violences sexuelles et de harcèlement lancées par des dizaines de femmes contre des travailleurs actifs de 2018 à 2020 sur la réponse à Ebola dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC). Nombre d'entre elles avaient ciblé des personnes "déclarant être" de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), mais d'autres agences onusiennes ou des ONG comme Médecins Sans Frontières (MSF) étaient aussi en cause.
Dans son rapport publié mardi à Genève, la commission d'enquête indépendante lancée par l'OMS après ces révélations, présidée l'ancienne cheffe de la diplomatie nigérienne Aïchatou Mindaoudou et l'activiste congolaise Julienne Lusenge, a pu établir que 21 auteurs présumés oeuvraient pour l'OMS. Au total, elle a entendu 210 personnes, dont près de 80 victimes présumées, parmi lesquelles plus de 60 femmes, près de 25 employés de l'OMS et des dizaines de collaborateurs d'agences onusiennes et d'ONG.
"Je suis désolé par ce qui vous a été fait", a dit aux victimes devant la presse le directeur général de l'OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus, dénonçant des actes "inexcusables" et "un jour sombre" pour l'organisation. Il a promis que les responsables seraient punis et a annoncé des investigations et des réformes.
Plusieurs responsables sanctionnés
Quatre licenciements ont été prononcés récemment pour les auteurs présumés toujours sous contrat. Tous les cas seront relayés auprès des autorités judiciaires.
Pour les personnes en cause pour leur inaction, M. Tedros a annoncé une investigation externe et deux personnes ont déjà été mises en congé administratif. A l'avenir, des procédures préliminaires seront ouvertes en cas de soupçons sans attendre des plaintes. Les victimes seront soutenues.
La commission cible encore des "défaillances structurelles évidentes" et un manque de préparation pour faire face à ces situations. "Une plus grande implication du bureau de la représentation de l'OMS en RDC aurait probablement permis de mieux gérer certains risques", "y compris risques d'incidents d'exploitation et d'abus sexuels", a-t-elle également affirmé.
Elle dénonce aussi des "négligences individuelles" qui équivalent à des fautes professionnelles. Notamment de la part du responsable des opérations d'urgence de l'OMS en Afrique Michel Yao, qui n'a pas réagi rapidement aux indications remontées vers lui.
Collaborateurs locaux et internationaux
La commission déplore également que "des auteurs présumés et identifiés ont tout simplement nié les faits, même en présence d’indices concordants" ou se sont réfugiés derrière l'argument de la "relation consensuelle". Du personnel local et international est en cause.
La commission relève la différence entre le nombre de victimes présumées qui se sont présentées au cours des investigations et "l'absence totale de signalement de cas d'exploitation et d'abus sexuels au niveau institutionnel". Les violences étaient perpétrées en échange d'une possibilité d'emploi, souvent pas attribuée ensuite, ou du maintien d'un emploi.
Parmi elles figurent au moins neuf viols. Certaines femmes ont été remerciées pour avoir refusé des prestations sexuelles, a dit à la presse un membre de la commission. Selon la commission, l'OMS s'appuie sur un dispositif juridique "suffisant en matière de prévention et de lutte contre l'exploitation et les abus sexuels".
Mais celui-ci doit être appliqué de manière "plus efficace", dit Mme Mindaoudou. La commission recommande aussi d'établir plus clairement l'autorité́ au sein de l'organisation pour la prévention et la lutte contre les violences sexuelles.
Aussi bien M. Tedros que le chef du programme d'urgence Michael Ryan, tous deux à Genève, et la directrice régionale Matshidiso Moeti, sont hors de cause. Outre l'OMS, des agences onusiennes et des ONG avaient annoncé avoir ouvert une investigation.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Un tribunal américain annule le redécoupage électoral du Texas
Un tribunal fédéral américain a suspendu mardi la nouvelle carte électorale du Texas qui devrait permettre aux républicains de remporter cinq sièges de plus à la Chambre des représentants lors des élections de mi-mandat dans un an.
Saisi par des électeurs qui considéraient ce redécoupage électoral adopté en août comme "discriminatoire" envers les minorités, le tribunal a suspendu la loi et ordonné aux autorités d'utiliser pour le scrutin de mi-mandat en novembre 2026 la même carte que pour les élections de 2022 et 2024. Les républicains devraient faire appel de cette décision.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Trump défend Mohammed ben Salmane sur l'assassinat de Khashoggi
En plus d'offrir à "MBS" une spectaculaire réhabilitation diplomatique, Donald Trump a défendu avec vigueur mardi le prince héritier saoudien concernant l'assassinat du journaliste Jamal Khashoggi en 2018.
"Vous parlez d'une personne extrêmement controversée. Beaucoup de gens n'aimaient pas ce monsieur dont vous parlez. Que vous l'aimiez ou pas, des choses se sont produites", a lancé le républicain de 79 ans en réponse à une question sur l'ancien chroniqueur du Washington Post.
Mohammed ben Salmane "n'était au courant de rien", a affirmé Donald Trump, qui s'en est pris violemment à la journaliste de la chaîne ABC qui posait la question. Il l'a accusée de chercher à "embarrasser" celui qu'il qualifie de "très bon ami".
Reçu avec une garde à cheval, des coups de canon et un survol d'avions de combat F-15 et F-35, le dirigeant de facto du royaume saoudien a aussi eu droit aux louages du président américain, dans le Bureau ovale, pour son bilan "incroyable en matière de droits humains."
Résidant aux Etats-Unis, critique du pouvoir saoudien après en avoir été proche, Jamal Khasshoggi a été tué dans le consulat saoudien à Istanbul par des agents venus d'Arabie saoudite.
Son corps, démembré, n'a jamais été retrouvé. Les services secrets américains ont pointé une responsabilité directe de Mohammed ben Salmane, ce qui a quasiment gelé, pendant un temps, la relation entre les deux alliés.
"Énorme erreur"
"C'est douloureux et c'est une énorme erreur et nous faisons de notre mieux pour que cela n'arrive pas à nouveau", a dit mardi le prince héritier saoudien, surnommé MBS.
Alors que son prédécesseur démocrate Joe Biden voulait le traiter en "paria", le président américain l'a reçu avec plus d'égards que tout autre dirigeant venu à la Maison Blanche depuis son retour au pouvoir en janvier.
Le prince gouverne le royaume, mais son père, le roi Salmane, reste le souverain en titre. La Maison Blanche lui réserve pourtant un accueil digne d'un chef d'Etat, dîner de gala compris.
Le républicain de 79 ans a tenu à montrer à son invité une galerie de portraits d'anciens présidents américains, dans laquelle Joe Biden est remplacé par une machine à signer, dans une référence moqueuse au déclin mental supposé de l'ancien président.
L'affaire Khashoggi a relégué au second plan les autres dossiers de la visite.
Nucléaire, Israël
Donald Trump a confirmé que les deux pays discutaient de la conclusion d'un accord-cadre sur le nucléaire civil, et il a promis d'accéder à la demande saoudienne d'avions de combat F-35.
Il espère en retour que l'Arabie saoudite rejoindra les accords d'Abraham, son grand projet de normalisation des liens entre les pays arabes et Israël.
Le dirigeant saoudien a temporisé: "Nous souhaitons faire partie des accords d'Abraham. Mais nous voulons également nous assurer que la voie vers une solution à deux Etats est clairement tracée", alors qu'Israël refuse toute création d'un Etat palestinien.
"Nous allons y travailler afin de nous assurer que nous pouvons créer les conditions propices dès que possible pour y parvenir", a déclaré Mohammd ben Salmane.
Il n'est toutefois pas venu les mains vides à Washington. Le prince héritier a promis de porter à 1000 milliards de dollars, contre 600 auparavant, le montant des futurs investissements saoudiens aux Etats-Unis, comme Donald Trump le réclamait avec insistance.
Conflits d'intérêts
Le président américain a aussi assuré mardi que les deux pays s'étaient entendus sur un partenariat de défense.
Mohammed ben Salmane veut des garanties américaines renforcées, à l'instar du Qatar qui, après avoir subi des frappes israéliennes, a obtenu un engagement américain à le protéger en cas de nouvelle attaque.
Comme souvent depuis le début du second mandat Trump, les relations diplomatiques se doublent de contacts familiaux et de liens financiers. Les fils du président et son gendre, Jared Kushner, qui joue un rôle informel de médiation au Moyen-Orient, sont en affaires avec l'Arabie saoudite.
Donald Trump a toutefois nié tout conflit d'intérêts: "Je n'ai rien à voir avec les affaires de ma famille. J'ai quitté cela".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Naufrage dans la Manche: un réseau de passeurs lourdement condamné
Huit hommes, désormais reconnus comme "passeurs", ont été lourdement condamnés mardi à Paris pour avoir tenté de faire entrer clandestinement des migrants au Royaume-Uni. La traversée de la Manche avait tourné au drame en 2023, avec un naufrage et sept morts.
Déjà en détention pour certains depuis plus d'un an et demi, ces huit Afghans et Kurdes irakiens âgés de 23 à 45 ans ont écopé de trois à quinze ans de prison ferme selon leur rôle dans ce réseau de passeurs, essentiellement pour homicides involontaires et aide à l'entrée et au séjour irrégulier en bande organisée.
Dans ce drame qui a fauché sept candidats afghans à l'exil, la présidente du tribunal a en revanche relaxé le neuvième prévenu, un ressortissant soudanais originaire du Darfour en reconnaissant à ce rescapé du naufrage sa qualité de victime, lui qui comparaissait dans le même box que ses passeurs car soupçonné d'avoir piloté l'embarcation de fortune.
Les huit autres prévenus ont mené une activité "particulièrement lucrative" et "profité de la grande vulnérabilité (des migrants) pour monnayer des passages dans des conditions dangereuses", a déclaré mardi la présidente du tribunal, suivant les réquisitions du parquet, qui avait réclamé la semaine dernière des peines exemplaires pour des passeurs "aveuglés par leur volonté d'enrichissement".
Risque de récidive
"Vous avez tous, pour ceux qui sont déclarés coupables d'homicides involontaires, créé les conditions conduisant aux décès des personnes qui se sont noyées avant l'arrivée des secours et exposé les autres à un risque imminent de mort", a ajouté la juge.
L'affaire, un des pires drames survenus dans la Manche depuis l'explosion en 2018 de ces traversées en "small boats", remonte à la nuit du 11 au 12 août 2023, lorsqu'un pneumatique surchargé avec 67 personnes à bord quitte la plage de la Huchette, près de Calais.
Le bateau chavire en haute mer et les passagers, pour certains équipés de bouées faites de chambres à air, se retrouvent à l'eau. Bilan: sept morts et soixante personnes prises en charge par les secours maritimes français et britanniques.
Le procès a permis de déterminer "les responsabilités de chacun" dans ce réseau formé "d'une alliance de plusieurs branches", l'une irako-kurde chargée de la logistique, l'autre afghane chargée du recrutement des candidats à l'exil, a expliqué la magistrate.
La juge a justifié les peines particulièrement lourdes pour les deux Kurdes irakiens par leur "absence de remise en question" et le risque de "réitération des faits" pour ces hommes déjà condamnés comme passeurs et en situation de récidive.
Elle a ainsi condamné Tariq H. à 12 ans de prison et Idriss K. à 15 ans de réclusion.
Trouver "cette vie meilleure"
Les deux prévenus afghans pour lesquels la qualification d'homicides involontaires n'a pas été retenue ont écopé de 3 et 4 ans de prison. Les autres ont été condamnés à 7, 8 et 9 ans d'emprisonnement.
Le sort d'Ibrahim A., rescapé soudanais de 31 ans, a fait l'objet d'une appréciation particulière. A-t-il tenu la barre du bateau ? Le tribunal n'a pas pu l'établir formellement. "Vous êtes avant tout un candidat au départ et comme les autres passagers, vous auriez pu perdre la vie", lui a dit la présidente en lui annonçant sa relaxe totale.
Son avocat Raphaël Kempf s'est félicité auprès de l'AFP, à l'issue de l'audience, de cette décision "après deux ans et trois mois de prison".
"Rappelons qu'il a fui un génocide ou un nettoyage ethnique au Darfour (...) et qu'il a eu un parcours migratoire absolument terrible", a-t-il ajouté, indiquant que la relaxe allait lui permettre de solliciter le statut de réfugié en France.
Ibrahim A. est le seul, dans le box, contre lequel une interdiction définitive du territoire français n'a pas été demandée.
Avant qu'il ne quitte la salle du tribunal, encore menotté, la présidente a pris le temps de s'adresser à lui. "Le tribunal forme le voeu que vous trouviez en France cette vie meilleure à laquelle vous aspiriez en montant dans ce bateau", a lancé la juge en direction d'Ibrahim A., en détention depuis le 16 août 2023. Dans le box, il s'est rassis de soulagement.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
COP30: première esquisse de compromis, les tractations continuent
A quatre jours de la fin de la COP30, la présidence brésilienne de la conférence a surpris en publiant dès mardi une première ébauche de compromis mais les pays sont loin d'avoir encore abandonné leurs lignes rouges.
Le président Lula reviendra à Belem mercredi, un retour vu par les observateurs comme un moyen de peser sur la dernière ligne droite des négociations et éviter un échec de la conférence.
"Comme toujours à ce stade des négociations, c'est mitigé", a déclaré à l'AFP le commissaire européen au Climat, Wopke Hoekstra, présent à Belem depuis lundi.
Il a prévenu qu'il n'était pas question de "rouvrir les compromis atteints difficilement l'an dernier en termes de financement" des pays riches en direction des pays en développement, et aussi dénoncé tout entraînement "dans une conversation artificielle sur les mesures commerciales".
M. Hoekstra réagissait à l'inclusion d'options, dans le projet de texte, faisant allusion aux mesures commerciales unilatérales, ce qui vise implicitement la taxe carbone aux frontières que l'UE va mettre en place en janvier et qui est critiquée comme protectionniste par la Chine et d'autres pays exportateurs.
Mais "ce texte reflète la confiance de la présidence brésilienne", réagit pour l'AFP Li Shuo, expert de l'Asia Society qui suit les négociations à Belem. "C'est sans doute la première fois dans l'histoire récente des COP qu'un texte aussi propre est publié aussi tôt".
"Montrer que le multilatéralisme est vivant"
Ce texte est baptisé "Mutirão mondiale", en référence à un mot autochtone, qui désigne une communauté qui se rassemble pour travailler ensemble sur une tâche commune.
Les Brésiliens veulent qu'il démontre la poursuite de la coopération internationale sur le climat, dans un contexte géopolitique très difficile.
Une coalition d'Européens, de pays latino-américains et d'Etats insulaires se battent aussi à Belem pour envoyer un message très clair.
"Nous devons montrer au monde que le multilatéralisme est vivant", a déclaré Josephine Moote, représentante de l'archipel de Kiribati dans le Pacifique. Ed Miliband, ministre britannique de l'Energie, a appelé à conserver la "foi dans le multilatéralisme".
Bataille à venir
Le projet de compromis comporte de nombreuses options contradictoires, si bien qu'il devra encore être considérablement affiné avant tout accord entre les 200 nations environ présentes à la conférence.
La présidence brésilienne a annoncé lundi que les négociateurs travailleraient jour et nuit pour qu'un accord sur les sujets les plus épineux puisse être adopté en séance plénière "d'ici le milieu de la semaine".
"Nous sommes passés d'un brouillon à un semblant de décision mais avec encore un nombre de questions trop élevé pour vraiment voir une potentielle adoption mercredi", estime Rebecca Thiessen, experte finance du Réseau action climat (CAN) international.
Le texte laisse présager une bataille pour arracher des concessions mutuelles entre les blocs de pays sur l'aide financière ou sur l'ambition de la réduction des gaz à effet de serre.
Et les énergies fossiles?
Le document de neuf pages commence par réaffirmer son attachement à l'accord de Paris de 2015 et son engagement au "multilatéralisme". Concernant l'ambition climatique, le texte propose dans une option que le rapport qui fait la synthèse des engagements climatiques des pays puisse être désormais publié chaque année, plutôt que tous les cinq ans.
Plusieurs options font aussi allusion à la transition hors des énergies fossiles, point qui oppose pays producteurs et ceux qui souhaitent une "feuille de route" pour en sortir. Ces options vont de l'organisation d'une table-ronde à... rien du tout.
Les options sur "les énergies fossiles sont tout à fait inacceptables et constituent un manquement flagrant alors que le monde est en train de brûler", fustige Romain Ioualalen, de l'ONG Oil Change International.
Le texte suggère de tripler les financements des pays riches vers les plus pauvres pour leur adaptation au changement climatique, d'ici 2030 ou 2035, ce qui correspond à une demande des pays du Sud.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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