International
Israël menace le guide suprême iranien
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Israël a prévenu jeudi que le guide suprême d'Iran Ali Khamenei ne pouvait "être autorisé à continuer d'exister", après des tirs de missiles iraniens qui ont touché un hôpital et fait des blessés dans plusieurs villes israéliennes.
Au septième jour de la guerre, l'armée israélienne a dit avoir frappé des dizaines de sites en Iran, dont un "réacteur nucléaire inachevé" à Arak et "un site de développement d'armes nucléaires à Natanz", dans le centre du pays.
Le président américain Donald Trump, allié d'Israël, n'a pas exclu une entrée en guerre des Etats-Unis pour briser le programme nucléaire de l'Iran, accusé malgré ses démentis de chercher à fabriquer l'arme atomique.
A Beersheva, dans le sud d'Israël, une frappe a "entièrement détruit" plusieurs services du centre médical Soroka et l'ensemble de cet hôpital a subi "d'importants dégâts", a déclaré son directeur, Shlomi Codish.
"Le bâtiment directement touché était vide. D'autres services du centre, qui accueillaient des patients, ont été touchés. Nous comptons 40 blessés, la grande majorité légèrement", a-t-il ajouté.
Le porte-parole de l'hôpital a précisé que le bâtiment détruit avait été "évacué ces derniers jours".
Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a appelé à "respecter" et "protéger" les hôpitaux.
"Le lâche dictateur iranien tire délibérément sur des hôpitaux et des immeubles résidentiels en Israël. Ce sont là des crimes de guerre parmi les plus graves et Khamenei devra répondre de ses crimes", a déclaré le ministre israélien de la Défense, Israël Katz.
Ali Khamenei "considère la destruction d'Israël comme un objectif", a-t-il affirmé. "Un tel homme ne peut être autorisé à continuer d'exister."
Des images de l'AFP ont montré une colonne de fumée noire s'échappant de l'enceinte de Soroka, plus grand hôpital du sud d'Israël, et à ce titre centre de santé de référence pour les communautés bédouines du Néguev et habitué à recevoir des soldats israéliens blessés dans la guerre à Gaza.
"Ebranler le régime"
Les Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique de l'Iran, ont affirmé que "le centre de commandement et de renseignement du régime, situé près d'un hôpital, a été pris pour cible par des missiles guidés de haute précision".
"Nous ferons payer un prix lourd aux tyrans", a averti le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, après avoir affirmé lundi que tuer l'ayatollah Khamenei mettrait "fin au conflit".
En visite à l'hôpital Soroka, il a rappelé les buts affichés de la guerre: "Notre objectif est double: le nucléaire et les missiles balistiques. Nous allons les faire disparaître. Nous sommes en train de finir d'éliminer cette menace", a-t-il dit.
M. Katz a indiqué avoir, avec le Premier ministre, ordonné une intensification des frappes en Iran pour "éliminer les menaces pesant sur l'Etat d'Israël" et "ébranler le régime des ayatollahs".
Après une attaque de dizaines de missiles iraniens, l'alerte a été activée jeudi matin dans plusieurs régions d'Israël, dont Tel-Aviv. Les secours ont fait état de 47 blessés.
"La vérité, c'est que Dieu est avec nous et que le gouvernement doit continuer à faire ce qu'il fait (...) Personne ne doit s'arrêter, car tout ira bien", a déclaré Renana, une habitante d'un immeuble touché à Ramat Gan, une banlieue de Tel-Aviv.
En Iran, de nombreuses frappes ont visé Téhéran depuis le début de la guerre.
"Nous avons eu la guerre avant, mais celle-ci est terrible parce qu'elle est imprévisible et très brutale", a raconté à l'AFP une Iranienne de 50 ans originaire d'Australie, arrivée à la frontière turque.
"Les gens paniquent vraiment. Hier, l'internet s'est arrêté et deux grandes banques ont été piratées, si bien que les gens n'ont pas pu accéder à leur argent. Et il n'y a même pas assez de nourriture", a-t-elle affirmé.
Depuis le début de la guerre, les frappes israéliennes ont fait au moins 224 morts en Iran, selon un bilan officiel. En Israël, les tirs de missiles et de drones iraniens ont fait 24 morts, selon le gouvernement.
L'Iran "continuera à exercer son droit à l'autodéfense", a réaffirmé jeudi le chef de la diplomatie Abbas Araghchi, qui a annoncé sa participation à une réunion vendredi à Genève avec ses homologues allemand, français et britannique.
Pas de décision "finale" de Trump
Mercredi, Ali Khamenei a proclamé que son pays ne se rendrait "jamais", après un appel de M. Trump à la reddition, et averti les Etats-Unis qu'une intervention dans la guerre conduirait à des "dommages irréparables".
Donald Trump a ensuite assuré n'avoir pas encore pris de décision "finale" sur d'éventuelles frappes américaines.
La Russie a mis en garde Washington contre toute "intervention militaire" qui aurait des "conséquences négatives imprévisibles".
Les Etats-Unis, qui ont déployé un troisième porte-avions, le Nimitz, vers le Moyen-Orient, sont les seuls à détenir la bombe GBU-57, unique arme susceptible d'atteindre le coeur profondément enfoui du programme nucléaire iranien, dans l'usine d'enrichissement de Fordo, au sud de Téhéran.
Affirmant disposer de renseignements prouvant que l'Iran s'approchait du "point de non-retour" vers la bombe atomique, Israël a frappé depuis le 13 juin des centaines de sites militaires et nucléaires dans ce pays et tué les plus hauts gradés ainsi que des scientifiques nucléaires.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a affirmé mercredi que l'AIEA "n'est pas en capacité de dire qu'il existe (de la part de l'Iran) un effort direct vers la fabrication d'une arme nucléaire".
Israël maintient l'ambiguïté sur sa propre possession de l'arme atomique mais détient 90 ogives nucléaires, selon l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
"Nombreuses" frappes meurtrières contre l'EI au Nigeria, dit Trump
Les Etats-Unis ont mené de "nombreuses" frappes meurtrières contre l'Etat islamique dans le nord-ouest du Nigeria, a annoncé jeudi le président américain Donald Trump. Il a promis de nouvelles attaques si l'organisation continue de tuer des chrétiens dans le pays.
"J'avais précédemment prévenu ces terroristes que s'ils n'arrêtaient pas le massacre de chrétiens, ils allaient le payer cher et, ce soir, ils ont payé", a déclaré Donald Trump sur son réseau social Truth Social. Le "ministère de la guerre a réalisé de nombreuses frappes parfaites", a-t-il encore assuré.
Le commandement américain en Afrique a précisé sur le réseau social X qu'il avait frappé "à la demande des autorités nigérianes [...] tuant plusieurs terroristes de l'Etat islamique" dans l'Etat de Sokoto. Le chef du Pentagone, Pete Hegseth, s'est dit "reconnaissant pour le soutien et la coopération du gouvernement nigérian", saluant l'action de son ministère.
Nombreux conflits
Ces assauts marquent la première intervention militaire américaine dans le pays le plus peuplé d'Afrique sous Donald Trump. Affirmant que les chrétiens y étaient sous une "menace existentielle" de l'ordre d'un "génocide", il avait menacé le mois dernier de recourir à l'option armée.
Le Nigeria est divisé de manière à peu près égale entre le sud à majorité chrétienne et le nord à majorité musulmane. Il est le théâtre de nombreux conflits qui tuent aussi bien des chrétiens que des musulmans, souvent sans distinction.
De son côté, Abuja rejette ces allégations de massacres de chrétiens.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
"La tyrannie prospère" aux Etats-Unis, accuse l'humoriste Kimmel
L'humoriste américain Jimmy Kimmel, dont l'émission avait momentanément été suspendue en septembre, a affirmé jeudi que 2025 avait été, "du point de vue du fascisme", une "très bonne année" aux Etats-Unis. Il était l'invité du discours de Noël de Channel 4.
La télévision publique britannique diffuse chaque année depuis 1993 un discours de Noël alternatif à celui du monarque britannique.
Jimmy Kimmel est une vedette des fameux "late night shows" des télévisions américaines. Son émission avait été suspendue en septembre après qu'il avait accusé la droite américaine d'exploiter politiquement l'assassinat de l'influenceur partisan du président américain Donald Trump, Charlie Kirk.
"Honnêtement, je crois que je n'ai aucune idée de ce qui se passe chez vous. En revanche, je sais ce qui se passe chez nous et je peux vous dire que, du point de vue du fascisme, ça a été une très bonne année", a-t-il déclaré dès l'ouverture de son allocution.
"Tout va très vite"
"La tyrannie prospère ici", a-t-il renchéri, avant de revenir en détail sur sa suspension. Face aux accusations de censure, il avait finalement retrouvé le chemin du studio une semaine plus tard.
"Le fait qu'un gouvernement réduise ses détracteurs au silence est quelque chose qui se produit dans des pays comme la Russie, la Corée du Nord et à Los Angeles, mais pas au Royaume-Uni", a-t-il ironisé, avant de mettre en garde les Britanniques: "Tout va très vite".
Mais le président américain, qu'il a baptisé "le roi Donnie VIII", une allusion à Henry VIII, a "perdu", a-t-il assuré, dans une référence au fait que son émission "Jimmy Kimmel Live!" a été prolongée jusqu'au milieu de l'année 2027.
Il a également appelé les Britanniques à ne pas "abandonner" les Américains. "Nous traversons une période difficile en ce moment, mais nous allons nous en sortir", a-t-il ajouté.
Parmi les personnalités ayant déjà adressé le message alternatif de Noël figurent le comédien Stephen Fry, en 2023, et le lanceur d'alerte Edward Snowden, en 2013.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
NBA: Les Knicks matent les Cavaliers pour Noël
Après avoir connu 2 défaites lors de leurs 3 dernières rencontres de NBA, les New York Knicks ont pris le dessus sur les Cleveland Cavaliers 126-124. Jalen Brunson, auteur de 34 points, a été décisif.
Au terme d'une rencontre très serrée, les New-Yorkais sont parvenus à remonter un écart qui est monté jusqu'à 16 point en faveur de Cleveland en début de dernière période. Le meneur des Knicks Jalen Brunson a une nouvelle fois été très prolifique avec 34 points inscrits, le même total que Donovan Mitchell côté Cavaliers.
Solidement arrimés à la 2e place du classement de Conférence Est grâce à leurs 21 victoires en 30 matches, les New-Yorkais sont néanmoins toujours surclassés par les Detroit Pistons, qui comptent eux 24 succès. A la mi-décembre, les Knicks ont remporté la Coupe NBA face aux San Antonio Spurs, également 2e du classement de Conférence Ouest.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Zelensky a parlé avec les émissaires américains Witkoff et Kushner
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé jeudi avoir discuté au téléphone avec les émissaires américains Steve Witkoff et Jared Kushner, après avoir révélé la veille les détails du nouveau plan américain visant à mettre fin à la guerre avec la Russie.
"Nous avons discuté de certains détails importants du travail en cours. Il existe de bonnes idées qui peuvent contribuer à un résultat commun et à une paix durable", a indiqué M. Zelensky sur Facebook.
Il a affirmé avoir eu une "très bonne conversation" avec les émissaires américains et les a remerciés pour "leur approche constructive, leur travail intensif et leurs paroles aimables".
"J'espère que les ententes conclues aujourd'hui à l'occasion de Noël et les idées dont nous avons discuté s'avéreront utiles", a poursuivi M. Zelensky.
Le président ukrainien avait révélé mercredi la nouvelle mouture du plan américain visant à mettre fin à la guerre entre la Russie et l'Ukraine, négociée depuis des semaines entre Washington et Kiev.
Ce texte prévoit un gel du front aux lignes actuelles tout en n'offrant aucune solution immédiate sur l'épineuse question des territoires occupés par la Russie, qui représentent plus de 19% de l'Ukraine.
Contrairement à la version originale, rédigée par les Américains, de ce document, la nouvelle mouture laisse de côté deux exigences majeures de Moscou: un retrait des forces ukrainiennes des territoires du Donbass encore sous leur contrôle et un engagement juridiquement contraignant de Kiev à ne pas adhérer à l'Otan.
Pour cette raison, un accord de Moscou à cette nouvelle version semble improbable. Interrogé à ce sujet mercredi, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a indiqué que Moscou était en train de "formuler sa position" et refusé d'en commenter les détails.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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