International
Voitures électriques: 2024 devrait être une nouvelle année record
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Les ventes de voitures électriques devraient poursuivre leur forte croissance en 2024, notamment en Chine, selon le rapport annuel publié mardi par l'Agence internationale de l'énergie (AIE).
"La dynamique des voitures électriques se maintient clairement dans nos données, même si elle est plus forte sur certains marchés", a indiqué le directeur de l'AIE Fatih Birol dans un communiqué.
"Plutôt que de ralentir, la révolution globale de l'électrique semble se préparer à une nouvelle phase de croissance", souligne Fatih Birol. "Avec une vague d'investissement dans la fabrication de batteries, la chaîne logistique s'apprête à s'accorder avec les plans ambitieux des constructeurs automobiles".
Des marges réduites, des prix volatils des matières premières de batteries, une forte inflation et la suppression de subventions à l'achat dans certains pays comme l'Allemagne ont provoqué de l'inquiétude quant à la croissance du secteur.
Cet accès de faiblesse se concentre cependant sur certains pays européens. La Chine, premier marché pour la vente de voitures électriques, est moins touchées et "les ventes mondiales restent solides", note l'AIE.
Au premier trimestre 2024, les ventes d'électriques ont encore progressé de 25% sur un an, une croissance similaire à celle de l'année 2023. Globalement, 2024 devrait encore être une année record avec une augmentation des ventes de voitures électriques de 20%, selon l'AIE.
Plus d'une voiture sur cinq vendue dans le monde serait ainsi électrique, avec environ 17 millions de véhicules écoulés.
La part de marché des électriques devrait notamment atteindre 45% en Chine, 25% en Europe et 11% aux Etats-Unis, poussée par la concurrence entre constructeurs, la baisse des prix des batteries et des voitures, et des aides publiques à l'électrification.
En Chine, les modèles électriques sont déjà souvent moins chers que leurs équivalents thermiques. Cette performance devrait être atteinte d'ici 2030 pour la plupart des modèles sur les autres grands marchés automobiles, dont l'Europe.
Le marché de l'occasion se développe rapidement aussi, baissant le coût d'accès à la technologie électrique.
Selon les projections de l'AIE, près d'un véhicule sur trois roulant en Chine devrait ainsi être électrique en 2030, et un sur cinq en Europe et aux Etats-Unis.
En 2035, toutes les voitures vendues dans le monde devraient déjà être électriques, évitant la consommation de 10 millions de barils de pétrole par jour.
Cette révolution profite pour l'instant aux constructeurs chinois: ils ont produit plus de la moitié des voitures électriques vendues dans le monde, alors qu'ils ne représentent que 10% des ventes de voitures thermiques.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Meta renonce aux publicités politiques dans l'UE
Le groupe américain Meta, qui possède notamment Facebook et Instagram, n'autorisera plus les publicités politiques sur ses plateformes à partir d'octobre dans l'Union européenne (UE), brocardant une nouvelle fois les règles "impraticables" de Bruxelles.
"Il s'agit d'une décision difficile", affirme vendredi l'entreprise de Mark Zuckerberg, qui pointe du doigt les "incertitudes juridiques" d'un nouveau règlement européen sur la publicité politique.
En raison des "exigences impraticables" de Bruxelles, Meta "n'autorisera plus les publicités politiques, électorales et sur les enjeux sociaux sur ses plateformes dans l'Union européenne" à partir du mois d'octobre, affirme le géant des réseaux sociaux dans un communiqué.
"Cela ne concerne que les publicités" et n'empêchera pas les citoyens et les responsables politiques de "produire et partager du contenu politique" sur leurs propres pages, ajoute-t-il.
Meta a multiplié ces derniers mois les critiques contre la législation européenne. En janvier, dans un mouvement de rapprochement avec Donald Trump, Mark Zuckerberg avait accusé l'Union européenne de censure.
Côté administration américaine, le Département d'État a récemment qualifié "d'orwellienne" la régulation de l'Union européenne sur les réseaux sociaux.
Adopté en 2024 avec une entrée en vigueur en octobre 2025, le règlement européen sur la publicité politique vise à garantir une plus grande transparence et à se prémunir des ingérences étrangères à l'approche d'élections.
Il impose notamment aux plateformes de signaler clairement les publicités à caractère politique et d'indiquer par qui elles sont financées.
Le profilage à partir de données personnelles relatives à l'origine ethnique, la religion, l'orientation sexuelle, est interdit, de même que l'utilisation des données relatives à des mineurs.
Aversion à la transparence
L'Union européenne a pris ces mesures à la suite notamment du scandale Cambridge Analytica survenu en 2018.
Ce cabinet de conseil britannique avait amassé, sans autorisation et à leur insu, les données personnelles de dizaines de millions d'utilisateurs de Facebook, utilisées ensuite à des fins de ciblage politique durant la campagne électorale américaine 2016 et le référendum sur le Brexit.
Meta souligne qu'elle n'est pas la première entreprise à dire qu'elle va renoncer aux publicités politiques dans l'UE, puisque Google l'avait fait fin 2024.
"Notre décision concerne uniquement l'Union européenne", "nous continuons à penser que la publicité politique en ligne est un élément essentiel de la politique moderne", assure l'entreprise américaine.
Ses plateformes Facebook et Instagram comptent respectivement quelque 261 millions et 272 millions d'utilisateurs actifs mensuels dans l'Union européenne. La loi concerne aussi son application WhatsApp, où a été annoncée en juin l'arrivée de nouvelles fonctionnalités publicitaires.
Au Parlement européen, le centriste Sandro Gozi estime que la décision de Meta montre sa "profonde aversion" de la "transparence" sur la publicité et de "la responsabilité démocratique".
L'UE s'est dotée d'un arsenal juridique renforcé pour encadrer les grandes entreprises technologiques, ce que Meta critique ouvertement.
Le géant américain des réseaux sociaux a annoncé début juillet contester en justice une amende de 200 millions d'euros infligée par la Commission européenne en avril, pour une infraction aux règles encadrant l'usage des données personnelles.
Facebook et Instagram font également l'objet de plusieurs enquêtes dans le cadre de la législation européenne sur les services numériques (DSA), pleinement entrée en vigueur l'an dernier pour protéger les internautes contre les contenus jugés dangereux.
L'annonce de Meta survient alors que les États-Unis intensifient leurs critiques contre le DSA.
Sur les réseaux sociaux mardi, le Département d'État américain a accusé l'Union européenne d'utiliser cette législation pour pratiquer la "censure" et "condamner" des "milliers" d'Européens dont le seul "crime" serait de "critiquer leur propre gouvernement".
La Commission européenne rejette régulièrement ces accusations.
"La liberté d'expression est un droit fondamental dans l'UE. Et elle est au coeur de notre législation, y compris dans le DSA", a souligné l'un de ses porte-parole, Thomas Regnier.
Jim Jordan, proche allié de Trump et président de la commission judiciaire de la Chambre des représentants, rencontrera lundi la commissaire européenne en charge du numérique Henna Virkkunen.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Le mandat d'arrêt visant Bachar al-Assad annulé en France
La justice française a estimé qu'aucune exception ne pouvait lever l'immunité personnelle d'un chef d'Etat. Elle a annulé le mandat d'arrêt émis par des juges d'instruction parisiens contre l'ex-président syrien Bachar al-Assad pour des attaques chimiques en 2013.
"Cependant", depuis que Bachar al-Assad a été renversé en décembre 2024 et n'est plus président, "de nouveaux mandats d'arrêt ont pu ou pourront être délivrés à son encontre" pour des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité, a déclaré vendredi le président de la plus haute juridiction de l'ordre judiciaire français, Christophe Soulard, lors d'une audience publique diffusée de manière inédite en direct sur internet.
L'information judiciaire ouverte à son encontre peut donc se poursuivre, a-t-il ajouté.
En novembre 2023, deux juges d'instruction parisiennes spécialisées avaient émis un mandat d'arrêt pour complicité de crimes contre l'humanité et de crimes de guerre contre Bachar al-Assad pour les attaques chimiques imputées au pouvoir syrien en 2013.
Ces attaques avaient été perpétrées du 4 au 5 août 2013 à Adra et Douma (450 blessés) et le 21 août dans la Ghouta orientale, où plus de mille personnes, selon les renseignements américains, ont été tuées par du gaz sarin.
En juin 2024, la cour d'appel de Paris a validé ce mandat.
Recours
Le Parquet national antiterroriste en première instance, puis le parquet général en appel, ont formé des recours, défendant l'immunité absolue devant les tribunaux étrangers dont jouissent les chefs d'Etat, Premiers ministres et ministres des Affaires étrangères en exercice.
Le 4 juillet, lors d'une audience devant l'assemblée plénière, sa formation la plus solennelle, le procureur général près la Cour de cassation Rémy Heitz a proposé le maintien du mandat d'arrêt.
Il a dans un premier temps contesté l'analyse de la cour d'appel d'après qui ces crimes "ne peuvent être considérés comme faisant partie des fonctions officielles d'un chef de l'Etat", en estimant notamment que "l'immunité personnelle a été consacrée" par une décision de la Cour internationale de justice en 2002.
Mais le procureur général a ensuite proposé à la Cour "une troisième voie", écartant l'immunité personnelle de Bachar al-Assad parce que dès 2012, il n'était plus considéré par la France comme le "chef d'Etat légitime en exercice", au vu des "crimes de masse" du "pouvoir syrien".
"Fondement moral"
L'avocat au conseil des parties civiles - des ONG et des victimes -, Paul Mathonnet avait lui demandé à la Cour "la possibilité d'écarter au cas par cas cette immunité personnelle" si l'impunité est en jeu, par exemple lorsque l'"interdit absolu" des attaques chimiques est franchi.
Pour Mazen Darwish, du Centre syrien pour les médias et la liberté d'expression (SCM), la position de M. Heitz est "très habile" juridiquement mais "sape le fondement moral" prôné par son organisation selon lequel "les immunités ne doivent pas s'appliquer" en cas de crime de guerre ou de crime contre l'humanité.
"Elle confère également à un seul gouvernement étranger le pouvoir de décider qui est ou n'est pas un chef d'État légitime, ce qui constitue un précédent extrêmement dangereux lorsqu'on accorde ce pouvoir à un seul État", a ajouté M. Darwish.
La Cour pénale internationale (CPI) n'est pas compétente pour les crimes internationaux commis en Syrie, le pays n'ayant pas ratifié le traité de Rome qui l'a instituée. Et aucune résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies n'a ordonné sa saisine.
Le contexte géopolitique a changé depuis la délivrance initiale du mandat d'arrêt: Bachar al-Assad a été renversé en décembre et s'est réfugié en Russie.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Ryanair: 6,5 millions de passagers retardés par le contrôle aérien
Quelque 6,5 millions de passagers de Ryanair ont subi des retards depuis le début de l'année en raison des grèves et de la "mauvaise gestion" du contrôle aérien français, a dénoncé vendredi la première compagnie aérienne d'Europe.
"Plus de 36'000 vols Ryanair et plus de 6 millions de passagers ont subi des retards entre le 1er janvier et le 22 juillet 2025 à cause de la mauvaise gestion du service de contrôle aérien français, du manque de personnel et de grèves +récréatives+", écrit la compagnie irlandaise Ryanair dans un communiqué.
La compagnie aérienne appelle le ministre français des Transport Philippe Tabarot à prendre des mesures "urgentes" pour réformer ce service en estimant que "90% de ces retards auraient pu être évités".
Elle préconise de protéger les survols lors des grèves nationales et d'obliger les contrôleurs aériens à assurer un effectif complet pour les départs de la première vague chaque jour.
D'après Ryanair, la France est le pays en Europe où le contrôle aérien cause le plus de retards pour ses passagers. A titre de comparaison, 3,8 millions de passagers ont subi des retards imputés aux contrôleurs aériens en Espagne, 1,8 en Allemagne, 700.000 au Royaume-Uni et 600'000 au Portugal, selon les statistiques citées par la compagnie.
Dernière en date, la grève déclenchée par deux syndicats minoritaires d'aiguilleurs du ciel français les 3 et 4 juillet, réclamant une amélioration des conditions de travail et des effectifs plus importants, a touché plus d'un million de passagers et coûté environ 120 millions d'euros aux compagnies européennes, selon l'organisme de surveillance du trafic Eurocontrol.
La compagnie aérienne britannique EasyJet avait elle aussi dénoncé "les coûts importants" liés à ce mouvement social lors de la publication de ses résultats du troisième trimestre, le 17 juillet.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Thaïlande/Cambodge: risque de "guerre", plus de 138'000 déplacés
La Thaïlande a prévenu vendredi que le conflit meurtrier l'opposant au Cambodge pourrait dégénérer en "guerre", juste avant une réunion d'urgence du Conseil de sécurité de l'ONU. Des affrontements ont provoqué l'évacuation de près de 140'000 Thaïlandais.
Le différend frontalier qui oppose ces deux pays d'Asie du Sud-Est donne lieu depuis deux jours à un niveau de violence jamais vu depuis 2011, impliquant des avions de combat, des tanks, des troupes au sol et des tirs d'artillerie.
Bangkok et Phnom Penh sont engagés dans un bras-de-fer depuis la mort d'un soldat cambodgien fin mai lors d'un échange nocturne de tirs dans une zone contestée de leur frontière commune surnommée le "Triangle d'émeraude".
Loi martiale
"La loi martiale est désormais en vigueur" dans huit districts frontaliers, a annoncé Apichart Sapprasert, responsable de l'armée thaïlandaise dans les provinces de Chanthaburi et Trat.
La Thaïlande fait état pour l'heure de 15 morts, le Cambodge d'un mort. Des journalistes de l'AFP ont vu quatre soldats cambodgiens recevoir des soins dans un hôpital, ainsi que trois civils traités pour des éclats d'obus.
A la demande du Premier ministre cambodgien Hun Manet, le Conseil de sécurité des Nations unies doit tenir vendredi une réunion d'urgence à New York.
Son homologue thaïlandais, Phumtham Wechayachai, a prévenu que l'aggravation de la situation conduirait à "une guerre". "Nous avons essayé de trouver un compromis parce que nous sommes voisins, mais nous avons donné l'instruction à l'armée thaïlandaise d'agir immédiatement en cas d'urgence", a-t-il poursuivi.
Bangkok "prêt" à négocier
Au même moment, Bangkok s'est dit "prêt" à négocier une sortie de crise, par la voie diplomatique ou par l'entremise de la Malaisie, qui occupe la présidence tournante de l'Association des nations d'Asie du Sud-Est (Asean), dont la Thaïlande et le Cambodge sont membres.
Les Etats-Unis, la France, la Suisse, l'Union européenne et la Chine ont déjà tous appelé au dialogue et à la fin du conflit.
Le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a qualifié vendredi de "déchirants et inquiétants" ces affrontements. "Ce problème trouve ses racines dans les séquelles des colonisateurs occidentaux et doit maintenant être abordé avec calme et géré de manière appropriée", a déclaré Wang Yi au secrétaire général de l'ASEAN, Kao Kim Hourn, à Pékin, selon un communiqué de la diplomatie chinoise.
Les deux pays contestent le tracé de leur frontière commune, définie durant l'Indochine française. L'épisode le plus violent lié à ce différend remonte à des affrontements autour du temple de Preah Vihear entre 2008 et 2011, qui avaient fait au moins 28 morts et des dizaines de milliers de déplacés.
"Signaux positifs "
Les relations diplomatiques entre les deux voisins, liés par de riches liens culturels et économiques, sont au plus bas depuis des décennies. Bangkok a rappelé mercredi son ambassadeur à Phnom Penh et expulsé de son territoire l'ambassadeur du Cambodge, qui a répliqué jeudi en retirant tout son personnel diplomatique stationné à Bangkok.
Les combats ont repris dans trois zones vendredi vers 04h00 du matin (jeudi 23h00 heure suisse), a indiqué l'armée thaïlandaise. Les forces cambodgiennes ont procédé à des bombardements à l'aide d'armes lourdes, d'artillerie de campagne et de systèmes de roquettes BM-21, a déclaré l'armée, et les troupes thaïlandaises ont riposté "avec des tirs de soutien appropriés".
Dans la ville cambodgienne de Samraong, à 20 km de la frontière, plusieurs familles avec des enfants et leurs affaires à l'arrière de leurs véhicules étaient en train de s'enfuir à toute vitesse, ont constaté des journalistes de l'AFP.
"Je n'ai pas pu tout prendre avec moi", explique Salou Chan, 36 ans, qui s'est réfugié dans un temple bouddhique avec ses deux enfants. "Je suis inquiet pour mes enfants. Ils ont pris peur quand ils ont entendu le bruit des fusillades." "Je ne sais pas quand on pourra rentrer chez nous", a-t-il poursuivi.
Les deux pays s'accusent mutuellement d'avoir ouvert le feu en premier et défendent leur droit à se défendre. Bangkok a aussi accusé ses adversaires de cibler des infrastructures civiles comme un hôpital et une station-service, ce dont Phnom Penh s'est défendu.
La Thaïlande a également déployé plusieurs avions de combat F-16 pour frapper ce qu'elle a présenté comme étant des cibles militaires cambodgiennes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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