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Xherdan Shaqiri: "Ce débat commence à me fatiguer..."
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"Ce débat commence à me fatiguer..." Non, il ne faut pas chercher querelle à Xherdan Shaqiri sur sa condition physique, sa faculté à "tenir" 90 minutes.
"Je ne suis pas en vacances lorsque je rejoins l’équipe de Suisse. Si je suis titulaire, je serai prêt à jouer les 90, 95 minutes d’un match, explique-t-il devant la presse. On lit et on entend beaucoup de choses sur ce sujet. Mais pour moi, il n’a pas lieu d’être. Il n’y a aucun problème. Comme il n’y a aucun problème dans ma relation avec l’entraîneur. Elle est ouverte et transparente."
A deux jours d’entamer la septième phase finale de sa carrière, on sent le Bâlois gonflé à bloc. Prêt à saisir la "chance" que lui offre l’absence de Steven Zuber qui n’avait toujours pas repris l’entraînement collectif jeudi. Rien ne s’oppose plus à sa titularisation samedi à Cologne face à la Hongrie. "L’envie est toujours bien là, poursuit-il. Je savoure l’instant présent. On ne joue pas tous les jours la phase finale d’un grand tournoi."
En Allemagne, Xherdan Shaqiri (32 ans) entend bien sûr poursuivre une série vertueuse. Après sa première expérience en Afrique du Sud en 2010, il a toujours marqué ces phases finales de son empreinte: le triplé contre le Honduras en 2014, l’incroyable bicyclette contre la Pologne en 2016 pour sans doute le plus beau but de sa carrière - "en tout cas le plus difficile à marquer", glisse-t-il -, le but de la victoire contre la Serbie en 2018, le doublé face à la Turquie en 2021 et, enfin, sa passe décisive pour Breel Embolo contre le Cameroun en 2022 pour un but qui a valu son pesant d’or.
Une aventure qui tourne au fiasco
La question est toutefois de savoir si l’homme aux 31 buts en 123 sélections est encore capable de tels coups d’éclat. Son aventure américaine tourne au fiasco avec des performances individuelles indignes de son rang.
A Chicago, il traverse une troisième saison sans play-off pour se retrouver dans la ligne de mire de bien des critiques, celles de son directeur sportif et ami Georg Heitz en premier lieu. "On peut s’interroger si la direction de Chicago a, depuis trois ans, pris les bonnes décisions pour que l’équipe progresse, répond-t-il. Regardez comment la venue de trois ou quatre joueurs a métamorphosé une équipe comme Miami !"
Malgré toutes les réserves suscitées par son rendement à Chicago, Xherdan Shaqiri témoigne d’un réel optimisme. Guidée par un Granit Xhala qui regorge de confiance après sa magnifique saison à Leverkusen - "en temps normal, Granit n’en manque déjà par vraiment", s’amuse-t-il -, cette équipe de Suisse peut, dit-il, faire encore mieux qu’il y a trois ans lorsqu’elle avait échoué aux tirs au but en quart de finale face à l’Espagne.
"Je ne sais pas si l’équipe de Suisse n’a jamais été aussi forte qu’aujourd’hui. Mais je veux croire qu’elle progresse au fil des ans, dit-il. J’ai confiance en la relève. Je m’efforce d’aider les jeunes à évacuer la pression inhérente à un tel événement. Nous les poussons aussi avec Granit."
"Je m'attends à un grand combat"
Même si la victoire contre l’Espagne en 2010 et le nul face au Pays de Galles en 2021 font exception à la règle, Xherdan Shaqiri mesure l’importance de gagner le premier match d’une phase finale. Les succès contre l’Equateur en 2014, l’Albanie en 2016 et le Cameroun en 2022 avaient placé la Suisse sur la bonne orbite.
"L’erreur à ne pas commettre est bien celle de sous-estimer la Hongrie. Ce match s’annonce compliqué. Je m’attends à un grand combat, lâche-t-il. Les Hongrois savent aussi jouer au foot. Et dans une phase finale, le statut du favori n’existe pas vraiment. Tout, vraiment tout, peut se produire." Comme un nouveau trait de génie de sa part...
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
La Suisse peut se qualifier pour le Mondial samedi
L'équipe de Suisse peut se qualifier pour la Coupe du monde 2026 samedi à Genève (20h45). Face à une Suède diminuée qui n'a plus rien à jouer, la sélection de Murat Yakin se doit de plier l'affaire.
Quels sont les scénarios qui permettraient aux Suisses de fêter leur qualification devant le public romand ? Pour le dire simplement, ils doivent obtenir davantage de points que le Kosovo, qui affronte la Slovénie dans le même temps. Un match nul contre les Scandinaves pourrait donc suffire, si les Kosovars s'inclinent à Ljubljana.
En cas de résultat équivalent, le billet pour l'Amérique du Nord serait pratiquement composté. La différence de buts largement en faveur des Suisses ne laisserait que peu de place au doute avant le dernier duel entre les deux pays à Pristina, mais l'infime possibilité d'une déroute mardi soir priverait Granit Xhaka et ses coéquipiers d'une communion avec le public du Stade de Genève.
Les joueurs de Murat Yakin semblent toutefois faire fi de toutes ces considérations. "Notre seul objectif, c'est de battre la Suède", déclarait mercredi le Fribourgeois Michel Aebischer. Le lendemain, son coéquipier zurichois Manuel Akanji lui a emboîté le pas: "Nous savons que tout est entre nos mains. Et nous sommes très motivés."
Changement de sélectionneur
La Suisse aborde en outre ce cinquième des six matches de qualification avec de nombreuses certitudes, notamment sur le plan défensif. Son gardien Gregor Kobel, qui a longtemps cherché son premier blanchissage pour faire oublier Yann Sommer, n'a plus encaissé de but sous le maillot helvétique depuis juin.
En revanche, Murat Yakin et son staff sont dans la brume en ce qui concerne l'adversaire suédois qui se présente à eux au bout du Léman. Le drakkar viking navigue en effet à vue depuis le licenciement du sélectionneur Jon Dahl Tomasson, qui n'a pas survécu aux deux défaites d'octobre contre la Suisse et le Kosovo.
Le Danois, qui communiquait en anglais avec ses joueurs, a été remplacé par... l'Anglais Graham Potter, qui maîtrise quant à lui parfaitement le suédois pour avoir longuement entraîné le club d'Östersunds dans les années 2010. Le technicien britannique avait ensuite fait de Brighton un bon club de Premier League avant de connaître deux expériences compliquées à Londres, d'abord à Chelsea puis tout récemment à West Ham.
Avec un point en quatre matches, la Suède n'a qu'un maigre espoir de terminer à la deuxième place du groupe, mais elle devrait quoiqu'il arrive disputer les barrages, grâce à ses bons résultats en Ligue des nations. Cela n'empêche pas Manuel Akanji de rester sur ses gardes: "Nous ne savons pas dans quel système ils vont évoluer, ni avec quels joueurs. Et avec leur nouvel entraîneur, ils auront tous envie de s'illustrer."
Une Suède décimée
Graham Potter aurait toutefois certainement préféré disposer d'un effectif au complet pour préparer au mieux son équipe aux périlleux barrages du mois de mars. Déjà privé de l'avant-centre d'Arsenal Viktor Gyökeres (cuisse), il a dû essuyer le forfait du jeune milieu de Tottenham Lucas Bergvall (commotion) cette semaine.
La présence sur le pré genevois de l'attaquant star Alexander Isak est également loin d'être garantie. Après avoir manqué quatre matches pour une blessure à l'aine, l'homme qui valait 140 millions de francs - et qui n'a toujours pas marqué en championnat depuis son transfert à Liverpool - est resté sur le banc dimanche lors de la cuisante défaite des Reds contre Manchester City (3-0).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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La Croatie se qualifie pour le Mondial
La Croatie n'a pas laissé passer sa chance vendredi.
Les Croates ont battu les Iles Féroé 3-1 vendredi à Rijeka pour s'assurer la 1re place du groupe L des éliminatoires et décrocher ainsi leur ticket pour la Coupe du monde 2026.
La Croatie a pourtant concédé l'ouverture du score, contre toute attente, dès la 16e minute. Mais des réussites de Gvardiol (23e), Musa (57e) et Vlasic (70e) ont permis à la troupe de Zlatko Dalic d'assurer l'essentiel.
Les Croates, qui possèdent 6 points d'avance sur la République tchèque, ne peuvent plus être rejoints avant la dernière journée des qualifications. Les Vatreni (Flamboyants) participeront à leur septième phase finale d'un Mondial.
L'Allemagne devra en revanche patienter avant de valider son ticket. La Mannschaft, victorieuse 2-0 au Luxembourg, reste sous la menace de la Slovaquie qui a battu l'Irlande du Nord 1-0. Allemands et Slovaques sont toujours à égalité avant la dernière journée, lors de laquelle les deux équipes seront opposées à Leipzig.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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La Suisse obtient un point face à la France
L'équipe de Suisse M21 n'est pas passée loin de l'exploit vendredi à Lausanne.
Les joueurs du coach Sascha Stauch doivent toutefois se contenter d'un match nul (1-1) face à la France, grande favorite du groupe C des qualifications de l'Euro 2027.
Les espoirs helvétiques, qui avaient égaré deux points face à l'Islande à Lucerne en octobre, ont livré une première mi-temps quasi parfaite au stade de la Tuilière devant seulement 5000 spectateurs. Mais ils regretteront leur manque d'efficacité.
La Suisse a ainsi très logiquement ouvert la marque à la 38e minute sur une réussite du co-meilleur buteur de Super League Alessandro Vogt (St-Gall), après un centre du Xamaxien Noah Streit. Elle a ensuite enchaîné les occasions franches, mais sans parvenir à doubler la mise.
Entré en jeu après sept minutes seulement à la suite de la blessure du titulaire Robin Risser, le gardien Ewen Jaouen s'est mis en évidence en fin de première période. Il a tout d'abord détourné un coup franc de Marc Giger (46e), avant d'annihiler une triple opportunité helvétique avec l'aide de ses défenseurs (48e).
Les Helvètes ont poursuivi sur leur lancée au retour des vestiaires. Mais Vogt a manqué le coche à deux reprises, ratant son duel avec Jaouen à la 54e après un une-deux avec Giger avant de manquer de quelques centimètres un centre de Zachary Athekame (58e). Et le vent a ensuite très vite tourné.
Dangereuse jusqu'au bout
Les changements opérés par le coach français Gérald Baticle ont fini par payer. A la 66e, Eli Junior Kroupi égalisait sur le premier tir cadré de son équipe, grâce à un assist involontaire - un tacle manqué - de Liam Chipperfield. A la 68e, le portier suisse Silas Huber était sauvé par son poteau sur un tir de Wilson Odobert.
La France a dominé les trente dernières minutes, multipliant les tirs. Mais l'équipe de Suisse est restée dangereuse jusqu'au bout, Ethan Meichtry manquant ainsi de peu le cadre sur son tir lointain de la 89e. Elle saura se satisfaire d'un point, et cherchera à confirmer cette excellente prestation mardi au Luxembourg.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Qui pour remplacer Remo Freuler ?
Qui remplacera Remo Freuler au milieu du terrain de l'équipe de Suisse samedi contre la Suède ? C'est la principale interrogation entourant les onze titulaires qu'alignera Murat Yakin à Genève.
"J'ai plusieurs options à ce poste avec Djibril Sow, Simon Sohm, Michel Aebischer, et même Johan Manzambi", a rappelé le sélectionneur vendredi en conférence de presse. Le Bâlois s'est encore lamenté du forfait de Freuler, victime d'une fracture de la clavicule, qui est venu s'ajouter à ceux des milieux défensifs Denis Zakaria et Ardon Jashari.
A un peu plus de 24 heures du duel face aux Scandinaves, Murat Yakin n'a pas laissé transparaître le moindre indice concernant l'identité de celui qui évoluera au côté du capitaine Granit Xhaka. "J'ai essayé plusieurs choses cette semaine, récupéré de bonnes informations, mais je ne vais rien révéler", a-t-il dit.
Aebischer en pole ?
Faire commencer Manzambi au poste de no 6 reviendrait à se priver d'un des rares jokers offensifs capables de redynamiser l'attaque helvétique. Le Genevois ne compte en outre qu'une seule titularisation, tout comme Sohm, qui avait joué 60 minutes au poste de no 10 il y a un an face à l'Espagne (défaite 3-2 à Tenerife).
Sow n'a quant à lui pas entièrement convaincu à Ljubljana, où la Suisse s'était heurtée au mur slovène (0-0) en octobre. Il avait remplacé le Bernois Fabian Rieder, lequel devrait retrouver sa place en soutien de l'indiscutable trio d'attaque Ndoye - Embolo - Vargas.
Michel Aebischer pourrait donc bien en profiter. Car même s'il évolue d'ordinaire un cran plus haut avec l'équipe de Suisse - la faute au vivier impressionnant de sentinelles helvétiques - le Fribourgeois de Pise a bien rappelé mercredi devant la presse qu'il était avant tout un "milieu défensif".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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