Suisse Romande
Deux passagers agressés et blessés dans un train à Chénens

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Deux passagers ont été agressés et blessés mardi vers 10h25 par un homme dans un train Intercity Genève-Fribourg à Chénens (FR). Les victimes ont été acheminées vers un hôpital. L’auteur présumé, âgé de 26 ans, a été interpellé et placé en arrestation provisoire.
Une quarantaine de personnes a été évacuée du train et prise en charge par les CFF, a indiqué mardi la police cantonale fribourgeoise. Les motifs de l’agresseur et son identité sont pour l’heure à déterminer.
L'agression s'est produite dans un train CFF InterCity sur la ligne Genève-Fribourg. Un voyageur s'en est pris à une passagère âgée de 27 ans et l’a sérieusement blessée avec un tesson de bouteille. Un passager de 20 ans s’est interposé et a aussi été sérieusement blessé avec le même objet.
Le train s'est arrêté en urgence, proche de la gare de Chénens. Immédiatement, plusieurs patrouilles de police ainsi que deux ambulances ont été dépêchées sur place. Une enquête a été ouverte par le Ministère public. Aucune autre information ne peut être communiquée pour le moment, précise la police.
Lausanne
Limitation de quatre spécialités médicales: la SVM prudente
La Société vaudoise de médecine (SVM) accueille avec prudence l’arrêté cantonal sur la limitation des admissions médicales dans quatre spécialités. Si plusieurs évolutions vont dans le bon sens, certains mécanismes prévus soulèvent des questions de faisabilité et de cohérence. Un manque de prise en compte ferme de la pénurie médicale interroge.
La SVM prend acte de l’adoption par le Conseil d’Etat de l’arrêté du 2 juillet 2025 relatif à la limitation de l’admission des médecins à pratiquer à la charge de l’assurance obligatoire des soins (AOS) dans le secteur ambulatoire. Ce dernier fixe un nombre maximal de neurochirurgiens, de cardiologues, d'ophtalmologues et d'urologues afin de réguler l'offre de soins dans le canton.
Dans son communiqué publié mercredi, la SVM reconnaît l’écoute manifestée par les autorités cantonales à l’égard des propositions formulées lors de la phase de consultation de la modification de la Loi sur la santé publique.
L'association s’inquiète néanmoins d’une prise en compte insuffisante de la pénurie médicale qui affecte certaines régions et spécialités. Elle salue en revanche le refus de limiter l’admission dans les disciplines les plus en tension (médecine interne générale, pédiatrie, gynécologie-obstétrique, psychiatrie et psychothérapie).
Fondées sur les besoins réels
La SVM appelle à ce que les décisions de limitation soient toujours fondées sur les besoins réels de la population, évalués de manière ciblée par région et par spécialité. "Les considérations budgétaires ne sauraient suffire, l’accessibilité et la qualité des soins prodigués doivent aussi être prises en compte”, souligne la Dre Séverine Oppliger-Pasquali, présidente de la SVM, citée dans le communiqué.
Parmi ses autres réserves, la SVM estime que la présidence de la commission de planification devrait revenir au médecin cantonal, plus proche des réalités du terrain. La méthodologie de calcul des nombres maximaux de médecins pour une spécialité soulève par ailleurs plusieurs questions en raison notamment de l'évolution démographique.
L’obligation pour un médecin de déposer une demande d’admission dix semaines avant le début de l’activité n’est pas problématique en soi, selon la SVM. Mais l’absence d’un délai clair de réponse de l’administration est préjudiciable, estime-t-elle encore.
Nouvelle réglementation
Le Conseil d’Etat a publié cet arrêté afin d’implémenter la nouvelle réglementation fédérale. Les mesures prévues dès le 2 juillet permettront de garantir une offre économique et de qualité sans impacter l’accessibilité aux soins, avait-il annoncé début juillet.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Evolène: accident mortel en montagne en aval de la cabane Bertol
Une citoyenne belge de 36 ans a perdu la vie, mardi, sur le territoire de la commune d'Evolène (VS). La randonneuse a été mortellement heurtée par un bloc de roche, alors qu'elle descendait depuis la cabane Bertol.
L'accident s'est produit vers 09h30 quand un rocher s’est détaché de la montagne avant de glisser sur quelques mètres sur un névé. Le bloc a ensuite percuté la randonneuse qui cheminait sur le sentier en contrebas de la cabane Bertol, résume la Police cantonale valaisanne dans un communiqué.
Les intervenants d’Air-Glaciers, de la Police cantonale et les pompiers spécialistes du groupe GRIMP (Groupe de reconnaissance et d'intervention en milieu périlleux) du CSI de Sion ont immédiatement été dépêchés sur place.
A leur arrivée, les secours n’ont pu que constater le décès de la randonneuse, Le Ministère public du Valais central a ouvert une instruction.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Zermatt: cambriolage nocturne d'une bijouterie
Un vol par effraction a été commis dans une bijouterie de Zermatt, dans la nuit de mardi à mercredi. Les auteurs ont pris la fuite. Un dispositif policier a été mis en place pour les appréhender.
Mercredi vers 03h30, les cambrioleurs ont brisé une vitre d'un commerce du centre de la station, précise la Police cantonale valaisanne, dans un communiqué diffusé quelques heures plus tard. Ils ont ensuite pénétré dans la bijouterie, avant de s’emparer de leur butin.
La Police cantonale valaisanne a immédiatement déployé un dispositif de recherches en collaboration avec la police régionale de Zermatt ainsi que l’Office fédéral de la douane et de la sécurité des frontières OFDF. Les pompiers de Zermatt ont également apporté leur soutien au moyen d’un drone.
Mercredi, en milieu de matinée, les auteurs étaient toujours en fuite. Les investigations se poursuivent. Le montant du butin, composé de montres, demeure encore indéterminé. Une enquête a été ouverte par le Ministère public du Haut-Valais.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Genève: au fil du Rhône sur le D'Artagnan, barge poubelle des SIG
Depuis près de six décennies, les barges poubelles des SIG transportent au fil du Rhône des milliers de tonnes de déchets ménagers du centre-ville de Genève jusqu'à l'usine des Cheneviers. Une équipe de Keystone-ATS a fait le trajet sur un long fleuve pas toujours tranquille.
A la bucolique pointe de la Jonction, vers 8h30, quelques rares coureurs et un ballet de camions poubelles. Les poids lourds déversent tour à tour les ordures ménagères de la ville de Genève et des communes de la rive gauche dans une barge abritée sous un couvert.
Sous des brumisateurs qui luttent contre les nuages de poussière, les tas de déchets sont égalisés, aplatis. Puis la benne d'une soixantaine de mètres de long, baptisée "D'Artagnan", est fermée par des stores mécaniques pour éviter les odeurs, la dispersion des ordures et d'attirer les gourmands rapaces qui tournoient non loin.
Sur 12 km
"Aujourd'hui, nous avons 165 tonnes, ce qui n'est pas loin du maximum", explique Philippe Riesen, responsable de la réception des marchandises et chef de l'équipe. La barge n'étant pas motorisée, un bateau pousseur, le "Tréville", la tire avec douceur hors du quai de chargement, avant de repousser une benne vide dans le chenal.
Très techniques, les manoeuvres sur le Rhône se déroulent "pile poil à la Jonction, là où le Rhône mange l'Arve", commente le chef d'équipe. Elles permettent de placer D'Artagnan devant le Tréville qui poussera la benne sur douze kilomètres.
Aux manettes de l'imposant convoi, Cédric Bernard, responsable du service de transport fluvial et l'un des cinq pilotes de barges des Services industriels de Genève. La vie à bord serait-elle un long fleuve tranquille? "Cela dépend des périodes", répond-il.
"Les péniches peuvent naviguer par tous les temps, notre seule contrainte, c'est le courant qui peut être très irrégulier. Nous nous sommes fixé une limite à un débit de 650 mètres cubes. En hiver, le brouillard peut perturber la navigation, il faut alors l'aide du radar", poursuit-il.
Tout un système d'alerte
"La période estivale est, elle, particulièrement stressante: le Rhône est envahi de nageurs, d'embarcations et d'objets flottants non identifiés", glisse M. Bernard. "Il faut être hyper vigilant". Et de montrer à une centaine de mètres en avant un canoë qui ignore superbement le coup de corne du bateau, avant de finalement se ranger sur le côté.
Dès le milieu de la matinée, "c'est l'enfer", abonde M. Riesen, "si bien que des mesures ont dû être prises: depuis 2019, une escorte fluviale précède la barge l'après-midi. Elle invite les adeptes de la descente du Rhône à se ranger sur la droite ou à s'arrêter. Banderoles et pancartes lumineuses font de même avant le pont de la Jonction".
"Ce n'est pas pour embêter, mais il est vraiment compliqué d'arrêter un convoi frôlant les 400 tonnes: lorsqu'il part en dérive, il est difficilement rattrapable", note le capitaine.
Nature sauvage
Après deux virages délicats passés de main de maître, le bateau continue sa course paisible dans la nature sauvage, à une "vitesse de pointe de 17 à 18 km/h". Suivant les méandres du fleuve d'un vert émeraude, il se faufile entre les roselières, sous le pont Butin, les tours du Lignon, la passerelle de Chèvres, "la plus complexe à passer, car il faut tenir compte de la dérive", relève M. Bernard qui avoue parfois quelques petites frayeurs.
Descendue à fleur de l'eau verte du fleuve, la barge arrive à bon port à l'usine des Cheneviers à Aire-la-Ville, où sont déchargées et incinérées les ordures ménagères. La descente aura duré 45 minutes. "Il faudra une heure pour le retour, les bennes vides étant plus difficiles à diriger", observe le capitaine.
40% des ordures du centre-ville
Par année, en moyenne 40'000 tonnes de déchets sur les 90'000 produites par le centre de Genève et la rive gauche sont transportées sur le Rhône, soit environ 40%. Les quatre barges - toutes au nom de mousquetaires - réalisent en général neuf allers et retours hebdomadaires, relève Thomas Servant, responsable d'unité, lors de l'arrivée au chenal de l'usine d'incinération.
"Outre le nombre de camions en moins sur les routes, ce moyen de transport doux permet de limiter les émissions de CO2. La capacité d'une benne équivaut à celle d'une petite vingtaine de poids lourds. A titre de comparaison, un camion transporte environ 8 tonnes", illustre-t-il.
Crues plus importantes
Reste que ce type de transport est soumis aux aléas climatiques. L'été dernier, à la suite à de pluies torrentielles, "l'Arve a transporté beaucoup de sable. Un gros volume de sédiments s'est déposé dans le chenal à la Jonction. Conséquence: les coques touchaient le fond et le trafic a été interrompu".
"Le problème des crues est récurrent. Mais force est de constater une accentuation de la gravité de ces épisodes", indique M. Servant.
Le dragage des sédiments fait d'ailleurs partie du travail de l'équipe, deux fois par an. Là aussi, les volumes sont de plus en plus importants. Huit mille mètres cubes vont notamment été retirés à la Jonction lors de la prochaine campagne, de fin août à mi-octobre.
Selon Thomas Servant, "l'activité va rester pérenne encore très longtemps". Et de rappeler qu'elle avait été imaginée par des ingénieurs lors l'ouverture de la première usine d'incinération des Cheneviers en 1966. Le transport fluvial de déchets se pratique ailleurs, notamment en France et aux Pays-Bas, précise le responsable.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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