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Combiné dames: Brignone mène, Gisin et Holdener trop tendres

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Michelle Gisin seulement 14e du Super-G du combiné des Mondiaux (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Michelle Gisin et Wendy Holdener devront sortir une manche de slalom de feu pour espérer une médaille lors du combiné des Mondiaux à Méribel. Elles sont à plus d'1''50 de Federica Brignone.

14e et 15e, à respectivement 1''58 et 1''66, les deux atouts suisses ont manqué d'agressivité dans le Super-G. La double championne olympique a d'ailleurs reconnu au micro de la RTS avoir pris trop de marge et avoir été trop "gentille". Même si les deux Suissesses n'allaient pas calculer, elles devront prendre énormément de risque lors du slalom.

En tête on retrouve Federica Brignone qui a parfaitement su négocier tous les pièges de cette première course. La Valdôtaine, plus hésitante en slalom, devra attaquer comme une folle car Mikaela Shiffrin pointe au 6e rang à 0''96.

En plus de ces deux femmes, les Suissesses devront aussi garder à l'oeil la performance de Franziska Gritsch, excellente 7e du Super-G à 1''07. L'Autrichienne de bientôt 26 ans compte quatre top 10 en slalom cet hiver.

A noter que plusieurs femmes ont utilisé cette manche de vitesse comme un entraînement, puisque la FIS l'autorise. Ainsi Lara Gut-Behrami, 2e à 0''71 de Brignone, a pu prendre contact avec la piste et les conditions de neige. Sofia Goggia s'est pour sa part montrée plus attentiste en prenant la 20e place à 1''92.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Ryad et Damas discutent d'une reprise des services consulaires

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Le royaume saoudien avait rompu ses relations en 2012 avec la Syrie où il a soutenu des rebelles au début de la guerre (archives). (© KEYSTONE/EPA/ERDEM SAHIN)

L'Arabie saoudite et la Syrie tiennent des discussions sur une reprise de leurs services consulaires, ont annoncé jeudi les médias d'Etat saoudiens. Cela plus d'une décennie après que le royaume a rompu ses relations avec le régime du président Bachar al-Assad.

M. Assad était isolé sur le plan diplomatique depuis la répression en 2011 d'un soulèvement populaire qui a dégénéré en guerre. Depuis le séisme en Syrie le 6 février, des pays arabes ont intensifié leurs contacts et envoyé de l'aide à Damas.

"Des discussions sont en cours entre les responsables du royaume et leurs homologues en Syrie sur une reprise des services consulaires" entre les deux pays, a indiqué jeudi soir la chaîne Al-Ekhbariya, citant un responsable du ministère saoudien des Affaires étrangères.

Cette annonce survient environ deux semaines après celle du rétablissement des liens entre les deux puissances rivales du Moyen-Orient: l'Iran, grand allié de Damas, et l'Arabie saoudite, qui avaient rompu leurs liens diplomatiques en 2016.

Le royaume saoudien avait rompu ses relations en 2012 avec la Syrie où il a soutenu des rebelles au début de la guerre. Mais depuis le séisme du 6 février, Ryad a envoyé de l'aide en Syrie aux populations sinistrées, à la fois dans les zones sous contrôle gouvernemental et dans les zones rebelles.

Ryad avait évité jusqu'à présent tout contact direct avec le gouvernement de Bachar al-Assad, préférant se coordonner avec le Croissant-Rouge syrien pour la distribution de l'aide destinée aux zones sous contrôle de Damas.

"Consensus"

En février, un avion saoudien chargé d'aide humanitaire s'est posé à Alep, deuxième ville du pays, durement touchée par le tremblement de terre qui a également frappé la Turquie voisine. Il s'agissait du premier avion saoudien à atterrir en Syrie depuis le début de la guerre.

Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Fayçal ben Farhane, avait estimé en février nécessaire une nouvelle approche vis-à-vis de la Syrie impliquant des négociations avec Damas pour faire face aux crises humanitaires.

Le président des Emirats arabes unis a déclaré, en recevant le 19 mars à Abou Dhabi son homologue syrien, qu'il était temps que Damas rentre dans le giron arabe.

Fin 2018, les Emirats avaient rouvert leur ambassade à Damas. Et en mars 2022, Bachar al-Assad avait effectué à Abou Dhabi sa première visite dans un pays arabe.

M. Assad, dont le pays a été exclu de la Ligue arabe fin 2011, s'était aussi rendu le 20 février au sultanat d'Oman, une première en douze ans de guerre en Syrie.

Oman est l'un des rares pays arabes, et le seul dans le Golfe à avoir toujours maintenu des relations diplomatiques officielles avec Damas depuis le début de la guerre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Tournoi WTA 1000 de Miami: défaite sans appel pour Golubic

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Une défaite cuisante pour Viktorija Golubic (© KEYSTONE/EPA/FAZRY ISMAIL)

Le parcours de Viktorija Golubic (WTA 116) a pris fin au 2e tour du tournoi WTA 1000 de Miami. La Suissesse a perdu 6-1 6-1 face à la Russe Liudmila Samsonova (WTA 15), tête de série no 12.

Comme le score le laisse supposer, la Zurichoise n'a pas eu l'ombre d'une chance contre une adversaire qu'elle avait pourtant battue lors de leur seul précédent affrontement. Cette fois, la partie n'a duré que 53 minutes à sens unique.

Samsonova a pris à six reprises le service de la Suissesse, qui n'a de son côté réussi le break qu'une fois, à 6-1 3-0. Mais la Russe n'a pas cédé au doute et a remporté les trois derniers jeux dans la foulée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Réforme de la justice: Netanyahu veut "mettre fin à la division"

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Des manifestations populaires ont lieu depuis des semaines contre un projet de réforme du système judiciaire. (© KEYSTONE/AP/Ohad Zwigenberg)

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s'est engagé jeudi soir à "mettre fin à la division au sein du peuple". Cela après bientôt trois mois de manifestations massives contre le projet de réforme de la justice en cours d'examen au Parlement.

M. Netanyahu, qui était jusque-là resté en retrait sur ce dossier, a annoncé qu'il entrait "en scène" et qu'il était déterminé à faire avancer la réforme, mais qu'il ferait tout pour "parvenir à une solution" acceptable tant pour les défenseurs du projet que pour ses détracteurs.

"Nous ne pouvons permettre qu'un différend, aussi aigu soit-il, mette en danger notre avenir commun à tous (...) Les opposants à la réforme ne sont pas des traîtres, les partisans ne sont pas des fascistes", a-t-il déclaré en faisant référence aux invectives favorites de chacun des deux camps à l'encontre de l'autre.

Calmer les esprits

"Je ferai tout, tout, afin de calmer les esprits et de mettre fin à la division au sein du peuple", a-t-il encore dit. Lui-même avait qualifié à plusieurs reprises ces dernières semaines les manifestants de partisans de "l'anarchie".

La réforme vise à accroître le pouvoir des élus sur celui des magistrats. Selon ses détracteurs, elle met en péril le caractère démocratique de l'Etat d'Israël.

M. Netanyahu et ses alliés d'extrême-droite et ultra-orthodoxes estiment quant à eux la réforme nécessaire pour rétablir un rapport de force équilibré entre les élus et la Cour suprême, qu'ils jugent politisée.

Le Premier ministre a prononcé son adresse à la nation après s'être entretenu avec son ministre de la Défense, Yoav Gallant, qui avait initialement annoncé son intention de s'exprimer publiquement en début de soirée.

"Début de la dictature"

M. Gallant, qui a demandé plusieurs fois à la coalition au pouvoir de faire une pause dans le processus législatif pour permettre des négociations avec l'opposition sur la réforme, a finalement annulé son intervention.

Pendant un peu plus d'une heure, les télévisions israéliennes ont évoqué la perspective d'une démission du ministre, ou le scénario d'une hypothétique explosion de la coalition gouvernementale, l'un des plus à droite de l'histoire d'Israël.

Jeudi encore, plusieurs dizaines de milliers d'Israéliens ont manifesté contre la réforme au cours d'une nouvelle journée de mobilisation, émaillée de heurts entre manifestants et policiers.

A Tel-Aviv, une dizaine de manifestants ont été arrêtés pour atteinte à l'ordre public selon la police. Les forces de l'ordre ont utilisé des canons à eau pour disperser la foule qui avait bloqué le périphérique de la ville, selon une journaliste de l'AFP sur place.

"Si le vote [de la loi] sur la [composition de la commission chargée de la] désignation des juges passe la semaine prochaine [au Parlement], c'est le début de la dictature", a déclaré à l'AFP Nadav Golander, un manifestant de 37 ans, qui travaille dans la publicité.

Ce texte est un des éléments centraux de la réforme. Il a été amendé ces jours-ci en commission pour en adoucir la teneur en vue de parvenir à un vote plus large, et M. Netanyahu a confirmé qu'il serait bien soumis au vote des députés pour adoption en séance plénière "la semaine prochaine".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Trump probablement ni inculpé ni "arrêté" cette semaine à New York

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Donald Trump doit répondre devant la justice de l'Etat de New York d'une affaire de paiement de 130'000 dollars, juste avant sa victoire à la présidentielle de novembre 2016, à une actrice de films X, Stormy Daniels, avec qui il aurait eu une liaison (archives). (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

Donald Trump ne sera probablement ni inculpé ni "arrêté" cette semaine à New York comme il l'avait annoncé samedi. Le procureur en charge de l'enquête l'a accusé d'avoir "créé une fausse attente" médiatique sur une affaire aux conséquences politiques imprévisibles.

Le milliardaire républicain de 76 ans, qui rêve de "reconquérir" la Maison Blanche en novembre 2024, doit répondre, devant la justice de l'Etat de New York et son procureur pour la juridiction de Manhattan Alvin Bragg, d'une affaire de paiement de 130'000 dollars, juste avant sa victoire à la présidentielle de 2016, à l'actrice de films X Stormy Daniels, avec qui il aurait eu une liaison.

Donald Trump a réussi, samedi 18 mars au matin, un coup d'éclat en assurant sur son réseau social Truth Social qu'il serait "arrêté" mardi dans le cadre d'une inculpation au pénal par le procureur Bragg. Mais il ne s'est rien passé.

Cela n'a pas empêché New York - sa police, sa justice et la presse - d'être suspendue toute la semaine aux hypothétiques comparution, inculpation et même brève "arrestation" du 45e président américain. Ce qui serait sans précédent aux Etats-Unis.

Coup de tonnerre

La procureur Bragg, un élu démocrate à la tête du parquet de Manhattan depuis 2022 et qui a hérité de l'affaire Stormy Daniels, était resté mutique depuis samedi.

Mais dans une lettre datée de jeudi et adressée à trois parlementaires républicains, les services du procureur se plaignent du coup de tonnerre médiatique et politique qu'a provoqué M. Trump samedi.

Dans ce courrier consulté par l'AFP, le parquet de Manhattan répond aussi à ces trois élus de la Chambre des représentants qui avaient sommé, dans une lettre du 20 mars révélée par la presse à Washington, le procureur Bragg de témoigner devant une commission du Congrès.

Ils accusent le magistrat classé à gauche de mener des "poursuites aux motivations politiques". "Votre lettre", rétorque la secrétaire générale de M. Bragg, Leslie Dubeck, "est une ingérence sans précédent dans une enquête locale en cours".

Et elle "n'est venue qu'après que Donald Trump a créé une fausse attente sur le fait qu'il serait arrêté le jour suivant, et après que ses avocats vous ont apparemment pressé d'intervenir".

"Aucun fait n'offre de fondement légitime à une enquête du Congrès", balaie-t-elle.

Inculpation repoussée

D'après plusieurs médias, dont le Washington Post, la justice new-yorkaise a encore repoussé, jusqu'à la semaine prochaine, l'éventuelle inculpation pénale de Donald Trump.

Cette décision doit être votée par un grand jury, un panel de citoyens aux larges pouvoirs d'enquête qui travaille avec le procureur, lequel doit suivre s'y conformer et formellement inculper.

Ce grand jury pourrait encore se réunir jeudi après-midi, dernier jour de la semaine judiciaire, mais sans se prononcer sur l'affaire Trump/Stormy Daniels, selon la presse locale.

Même inculpé, M. Trump ne serait de toute façon pas "arrêté" dans l'immédiat. Il faudrait attendre plusieurs jours pour qu'il comparaisse à Manhattan, dans ce qui serait sans doute une indescriptible pagaille médiatique et politique.

Toute la semaine, les autorités à New York ont fait installer des barrières métalliques devant le palais de justice et la Trump Tower de Manhattan. Pour prévenir tout risque d'affrontements dans une ville à l'histoire émaillée de violences, la police municipale (NYPD) a dopé "la présence de policiers en tenue".

6 janvier 2021

M. Trump avait appelé samedi ses partisans à "manifester", rappelant ce qu'il avait fait en décembre 2020 et le 6 janvier 2021, jour de l'assaut de ses supporteurs contre le Capitole à Washington, pour contester sans preuve une présidentielle "volée", selon lui, par le démocrate Joe Biden.

Mais il n'y a eu cette semaine que quelques dizaines de manifestants devant le palais de justice et la Trump Tower de New York, et, devant chez Donald Trump, à Palm Beach en Floride.

Sur le fond, l'affaire Stormy Daniels est juridiquement complexe.

La justice cherche à déterminer si M. Trump s'est rendu coupable de fausses déclarations, une infraction, ou de manquement aux lois sur le financement électoral, un délit pénal, en ayant versé de l'argent à cette actrice de films pornographiques, juste avant la présidentielle de novembre 2016, que le républicain avait remportée.

Dans quel but? Pour qu'elle taise une supposée relation extraconjugale dix ans plus tôt, selon l'accusation.

L'homme clé du dossier s'appelle Michael Cohen: il est l'ancien avocat et désormais ennemi de M. Trump, et avait payé Stormy Daniels. Il a témoigné devant le grand jury et l'actrice a aussi coopéré avec la justice.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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