International
Ditaji Kambundji s'empare du bronze sur le 100 m haies
Ditaji Kambundji a décroché la médaille de bronze du 100 m haies aux championnats d'Europe. A Munich, la Bernoise a couru en 12''74.
Elle n'a que 20 ans mais voilà déjà Ditaji Kambundji sur un podium continental. Comme sa grande soeur Mujinga, la cadette de la famille est allée chercher du métal. Après l'or du 200 m et l'argent du 100 m de son aînée, Ditaji Kambundji a complété la série avec le bronze.
Pour aller chercher cette breloque, la jeune Bernoise n'a pas battu son record de 12''70, mais elle a sorti une course très solide et surtout un cassé qui a fait toute la différence. C'est par ce geste caractéristique des sprinters sur la ligne que la Suissesse a pu passer devant la Néerlandaise Nadine Visser, l'une des favorites.
La cadette des Kambundji a su rebondir après deux désillusions importantes en finale des championnats du monde M20 l'an dernier à Nairobi et ce printemps en finale des Mondiaux du 60 m en salle. Deux chutes qui auraient pu la poursuivre dans la tête.
"C'est incroyable, je n'y crois pas encore, a-t-elle lancé au micro de la RTS. Je ne réalise pas très bien. Il y a toute ma famille, mes grands-parents, ma marraine. Au niveau de la course, le départ était meilleur qu'en demi-finale. J'ai essayé de pousser après la sixième haie. Le cassé, c'est automatique. De voir ce stade plein avec ce public, c'est vraiment addictif et on a vraiment envie de revivre ça."
Cette sixième médaille en athlétisme permet à la délégation helvétique de battre son record de 2016. A Amsterdam, la Suisse avait récolté cinq médailles.
Le titre est revenu à la Polonaise Pia Skrzyszowska en 12''53, alors que l'argent est allé à la Hongroise Luca Kozak (12''69).
Record de Suisse pour le relais masculin
Contrairement à Ditaji Kambundji, Noemi Zbären n'est pas parvenue à se hisser en finale. Mais pas franchement de regrets à avoir pour la Bernoise compte tenu du niveau de sa demi-finale. L'Emmentaloise a coupé la ligne en 13''15 pour terminer au 4e rang. Mais devant elle, l'Irlandaise Sarah Lavin s'est qualifiée au temps en 12''79.
Avec ses 12''94 cette saison, difficile d'imaginer Zbären en finale. Il aurait fallu qu'elle retrouve la Noemi de 2015 qui avait établi son record en 12''71.
Le relais 4x100 m masculin a parfaitement réussi sa mission. Qualifiés dans une finale de haute volée, Pascal Mancini et ses camarades ont terminé au 5e rang en battant au passage le record de Suisse. La nouvelle marque est désormais de 38''36, soit 18 centièmes de mieux que les 38''54 datant de huit ans à Zurich avec déjà Mancini comme premier relayeur.
A noter la belle performance du Staviacois qui a transmis le premier relais en tête.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Trump a remporté l'Arizona et donc tous les Etats clés
Donald Trump a remporté l'Arizona, selon les médias américains samedi soir. Le républicain s'est imposé dans les sept Etats pivots (swing states).
Après quatre jours de décompte, les chaînes CNN et NBC ont déclaré Donald Trump vainqueur de cet Etat du sud-ouest, traditionnellement républicain mais qui avait basculé de justesse en 2020 en faveur de Joe Biden, confirmant l'ampleur de sa victoire face à la démocrate Kamala Harris.
Le républicain a engrangé 312 grands électeurs contre 226 à Kamala Harris, la majorité étant fixée à 270. Les républicains devraient également avoir la majorité au Sénat et à la chambre des représentants.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Justine Mettraux et Alan Roura visent un top 10
Le Vendée Globe s'élance dimanche des Sables-d'Olonne avec trois Suisses au départ. Justine Mettraux et Alan Roura ne font pas partie des favoris, et un top 10 constituerait déjà une belle réussite.
Quarante navigateurs et navigatrices - 6 femmes et 34 hommes - s'attaquent à ce tour du monde en solitaire et sans escale. Parmi eux, trois Suisses: Alan Roura, Justine Mettraux et Oliver Heer. Si le dernier nommé, premier Suisse allemand à participer au Vendée Globe, tentera avant tout de boucler l'Everest des mers, les deux autres peuvent prétendre à un joli classement... s'ils parviennent à éviter les embûches.
Les deux Genevois ne disposent pas d'un bateau de dernière génération. Leurs monocoques respectifs - TeamWork et Hublot - ont déjà été mis à l'épreuve lors du dernier Vendée Globe lorsqu'ils étaient skippés par d'autres navigateurs, mais ne disposent pas forcément des dernières avancées technologiques.
Encore un Français?
Comme lors des 9 premières éditions, la victoire devrait revenir à un Français (ils sont 26 au départ), à moins que l'Allemand Boris Hermann ou les Britanniques Samantha Davies et Sam Goodchild ne créent la surprise.
Yannick Bestaven, vainqueur en 2021 au terme d'une arrivée rocambolesque a l'occasion de devenir le premier navigateur à remporter deux éditions consécutives. Mais comme lors de la dernière édition, Bestaven s'élancera avec le statut d'outsider.
Charlie Dalin, dauphin en 2021, fait office de favori, tout comme Jérémie Beyou, Louis Burton et Thomas Ruyant. Ce dernier reste sur deux succès à la Transat Jacques Vabre (en 2021 et 2023) et sur la Route du Rhum (2022).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Jannik Sinner s'avance en favori
L'ère post "Big Three" a également commencé dans les ATP Finals, dont l'édition 2024 démarre dimanche à Turin. Le favori se nomme logiquement Jannik Sinner.
Pour la première fois depuis 2001, le Masters se déroule sans Roger Federer, Rafael Nadal ni même Novak Djokovic. Le Serbe de 37 ans aurait pu participer à ce tournoi qu'il a remporté à sept reprises mais il a décidé de mettre fin à sa saison.
Jannik Sinner est lui assuré de boucler l'année à la 1re place mondiale. Il a cueilli sept titres - dont l'Open d'Australie, l'US Open et trois Masters 1000 - en 2024, et sa marge sur son dauphin Alexander Zverev est supérieure à 3600 points.
Zverev en outsider no 1
Rival annoncé de Sinner pour les années à venir, Carlos Alcaraz a lui aussi brillé cette année. Le plus jeune no 1 mondial de l'histoire a décroché les deux autres titres du Grand Chelem, signant un fabuleux doublé Roland-Garros/Wimbledon en battant Novak Djokovic en finale sur le gazon londonien.
Mais l'Espagnol de 21 ans est - comme toujours jusqu'ici - en perte de vitesse au bout d'une saison où il en a trop fait. Il a certes cueilli un titre cet automne, à Pékin en dominant Jannik Sinner en finale qui plus est. Mais il ne fait même pas figure de favori dans sa poule à Turin, ce statut revenant à Alexander Zverev.
Sacré dans le Masters 1000 de Paris, Zverev est d'ailleurs l'outsider no 1 dans ce Masters. A 27 ans, l'Allemand est toujours en quête d'un premier trophée majeur. Mais il est à l'aise dans les ATP Finals, qu'il a déjà remportées à deux reprises, en 2018 à Londres et en 2022 pour la première édition disputée à Turin.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Donald Trump écarte Pompeo et Haley de son futur gouvernement
Donald Trump a écarté samedi la possibilité de rappeler son ancien secrétaire d'Etat Mike Pompeo et l'ambassadrice des Etats-Unis à l'ONU sous son mandat Nikki Haley pour faire partie du gouvernement qu'il doit former après son élection à la Maison Blanche.
"Je n'inviterai pas l'ancienne ambassadrice Nikka Haley ou l'ancien secrétaire d'Etat Mike Pompeo, à rejoindre l'administration Trump, en cours de formation", a écrit sur son réseau Truth Social le président élu.
"J'ai beaucoup aimé et apprécié travailler avec eux par le passé et je voudrais les remercier pour le service qu'ils ont rendu à notre pays", a ajouté le milliardaire républicain, assortissant son message de son slogan "Make America Great Again".
Les noms des deux ténors de la première administration Trump (2017-2021) circulaient depuis l'élection de ce dernier lors du scrutin tenu mardi.
Mike Pompeo, ex-directeur de la CIA, était notamment pressenti pour prendre la tête du Pentagone.
"Faucon" venu de l'aile droite
Ce "faucon" venu de l'aile droite du parti républicain avait rapidement gagné la confiance d'un président inexpérimenté sur la scène internationale, tout en veillant à ne pas lui faire de l'ombre. Il avait notamment porté le retrait de l'accord de 2015 sur le nucléaire iranien et le rapprochement inattendu avec la Corée du Nord.
En juillet, il avait dévoilé un plan pour l'Ukraine aux antipodes des arguments sur lesquels Donald Trump a fait campagne. Ce plan impliquait de nouveaux transferts d'armes et des sanctions contre le secteur énergétique russe.
En juillet, il avait aussi été recruté par le géant japonais de l'acier Nippon Steel pour plaider sa cause dans le rachat de US Steel, auquel Donald Trump a promis de s'opposer.
Après avoir porté pendant deux ans la voix de Donald Trump sur la scène internationale, Nikki Haley était elle devenue l'ultime obstacle entre l'ex-président et l'investiture républicaine, en se présentant à la primaire, avant de renoncer en mars.
Elle avait durant sa campagne joué la carte du changement de style et de génération, alertant sur un risque de "chaos" en cas de nouvelle présidence Trump. La tentative d'assassinat contre le candidat cet été a rebattu les cartes et elle était finalement venue lui apporter son soutien lors de la convention républicaine mi-juillet à Milwaukee.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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