International
Epidémie pour les Tchèques à Roland-Garros, selon Tatiana Golovin
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2022/06/tatiana-golovin-a-affirme-que-toutes-les-joueuses-tcheques-avaient-contracte-le-covid-pendant-roland-garros-1000x600.jpg&description=Epidémie pour les Tchèques à Roland-Garros, selon Tatiana Golovin', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
"Les Tchèques ont toutes eu le covid" durant le dernier Roland-Garros, a assuré mercredi l'ancienne joueuse Tatiana Golovin.
Cette affirmation a été qualifiée de "complétement absurde" par la Fédération tchèque.
La problématique du Covid-19 se réaffirme dans le tennis après que deux joueurs de premier plan, l'Italien Matteo Berrettini et le Croate Marin Cilic, ont dû renoncer à Wimbledon. Selon Tatiana Golovin, reconvertie en consultante TV sur la chaîne beIN, "les Tchèques ont toutes eu le covid (durant Roland-Garros) et personne n'en a parlé".
"Il y a eu beaucoup de cas, on n'en a pas parlé, on en parle parce qu'il y a eu le cas Berrettini, il y a eu des cas à Roland et personne n'en a parlé", a insisté la Française, ex-no 12 du classement WTA, qui réagissait aux propos tenus la veille par Alizé Cornet à Wimbledon.
Cornet a allumé la mèche
Alizé Cornet avait affirmé après sa victoire au 1er tour du tournoi londonien qu'il y avait eu "une épidémie de Covid (à Roland-Garros)". "Dans les vestiaires, tout le monde l'a eu et on n'a rien dit", a-t-elle assuré, avant de revenir sur ses déclarations plus tard sur ses réseaux sociaux.
"J'ai dit que je soupçonnais quelques cas de Covid pendant Roland-Garros, sans avoir aucune preuve. C'était avant tout pour souligner que le virus faisait désormais partie de nos vies et qu'il fallait faire avec", a-t-elle ensuite précisé.
Absurde
Contactée par l'AFP, la Fédération tchèque a balayé les affirmations de Tatiana Golovin. "Sa déclaration est si absurde qu'on a du mal à croire que quelqu'un ait pu tenir de tels propos et voulu dire ça. C'est complètement absurde", a déclaré le porte-parole de la fédération Karel Tejkal.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Droits de douane: les Brics ne cherchent pas la confrontation
Pékin a déclaré lundi que les Brics ne cherchaient pas la "confrontation" après que le président américain Donald Trump a menacé d'imposer 10% de droits de douane en plus sur les pays qui s'alignent avec le groupe incluant notamment le Brésil, la Russie et l'Inde.
"En ce qui concerne l'imposition de droits de douane, la Chine a toujours affirmé sa position selon laquelle les guerres commerciales et tarifaires ne font pas de gagnants et que le protectionnisme ne permet pas d'avancer", a déclaré Mao Ning, porte-parole du ministère des Affaires étrangères.
Donald Trump a annoncé lundi qu'il enverrait ses premières lettres menaçant de droits de douane exorbitants les pays récalcitrants à conclure un accord commercial avec Washington, quelques jours avant l'expiration du délai annoncé aux partenaires commerciaux pour conclure un accord.
M. Trump avait déclaré dimanche qu'il enverrait une première série de 15 lettres, avertissant que les taxes américaines sur les importations reviendraient aux niveaux élevés qu'il a fixés en avril si les pays ne parvenaient pas à conclure des accords.
Le président américain a menacé les pays des Brics sur la plateforme Truth Social. "Tout pays s'alignant sur les politiques anti-américaines des Brics se verra appliquer un droit de douane SUPPLEMENTAIRE de 10%. Il n'y aura pas d'exception à cette politique", a-t-il écrit.
Créé pour rééquilibrer l'ordre mondial au bénéfice du "Sud global" face à l'Occident, le groupe des Brics (Brésil, Chine, Inde, Russie et Afrique du Sud) s'est élargi depuis 2023 avec l'Arabie saoudite, l'Egypte, les Émirats arabes unis, l'Éthiopie, l'Iran puis l'Indonésie.
Lundi, Pékin a décrit le groupe comme "une importante plateforme pour la coopération entre marchés émergents et pays en développement."
"(Les Brics) prônent l'ouverture, l'inclusion et la coopération gagnant-gagnant", a déclaré Mme Mao.
"(Le groupe) ne se livre pas à la confrontation des camps et ne vise aucun pays", a-t-elle ajouté.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Le transfert de Capela à Houston est officiel
Les transferts du Genevois Clint Capela et de Kevin Durant à Houston ont été finalisés dimanche. Pas moins de sept équipes sont impliquées dans cet échange, un record dans l'histoire de la NBA.
Le transfert de Durant des Phoenix Suns aux Rockets a été approuvé par la NBA dans le cadre d'une transaction entre sept équipes. Parmi lesquelles les Atlanta Hawks, qui laissent partir Clint Capela chez les Rockets, ainsi que les Minnesota Timberwolves, les Golden State Warriors, les Brooklyn Nets et les Los Angeles Lakers.
Clint Capela, dont le transfert avait été annoncé six jours plus tôt, va donc bel et bien effectuer son retour à Houston avec un contrat de 3 ans et 21,5 millions de dollars à la clé. Il avait disputé ses six premières saisons en NBA avec les Rockets, avant de rejoindre Atlanta en 2020. Au total, 13 joueurs sont concernés par ce "trade" historique.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Stefan Frei blessé après un choc à la tête
Le gardien suisse des Seattle Sounders Stefan Frei a été évacué en ambulance dimanche lors d'un match de MLS face à Columbus.
Le St-Gallois de 39 ans a reçu un coup de genou accidentel à la tête à quelques secondes de la fin du temps additionnel.
Stefan Frei a plongé en avant après un coup-franc et, en retombant, sa tête est entrée en collision avec le genou d'un joueur de Columbus. Il s'est alors écroulé, ses coéquipiers demandant très vite de l'aide. Il était conscient au moment de son évacuation.
Le gardien helvétique s'est d'ailleurs exprimé sur X (ex-Twitter) quelques heures après l'incident: "J'essaie toujours de comprendre ce qui s'est passé à la fin du match. Mais je suis incroyablement reconnaissant envers le staff qui s'est occupé de moi et heureux d'être de retour à la maison pour me reposer", a-t-il écrit.
"Ce qui résonne, ce sont tous les messages, les appels et l'amour que j'ai reçus de la part de tant d'entre vous", a-t-il ajouté, avant de poursuivre dans un autre post. "Merci - sincèrement. Cela signifie bien plus que ce que je suis capable d'exprimer."
L'émotion du coach
Brian Schmetzer, l'entraîneur de Seattle, et Wilfried Nancy, celui de Columbus, s'étaient finalement mis d'accord pour interrompre un match qui avait repris. Alors que Frei était transporté en ambulance, les supporters de Seattle avaient scandé son prénom.
Après le match, Schmetzer, très ému, a remercié Wilfried Nancy pour avoir insisté sur l'arrêt du match. "Tout le monde savait que le match aurait dû être arrêté. Alors merci Wilfried", a souligné le coach des Sounders, cité sur le site d'ESPN.
Stefan Frei (39 ans), qui prendra sa retraite au terme de cette saison, évolue sous le maillot des Sounders depuis 2014. Il a aidé Seattle à remporter le titre en MLS en 2016 et en 2019, et a même été nommé MVP en 2016.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Australienne coupable d'un triple meurtre aux champignons vénéneux
Le jury d'un tribunal australien a reconnu coupable lundi une quinquagénaire accusée d'avoir tué trois personnes en leur servant des champignons vénéneux. Une affaire qui a tenu en haleine les médias.
Erin Patterson, 50 ans, était accusée du meurtre des parents de son mari - dont elle était séparée - et de la tante de ce dernier. Elle leur avait servi en juillet 2023 une spécialité culinaire anglaise, un boeuf Wellington avec des amanites phalloïdes - un des plus dangereux champignons vénéneux.
Pendant son procès de plus de deux mois, l'accusée a maintenu que cet empoisonnement était accidentel. Mais après une semaine de délibérations, un jury de 12 membres l'a reconnue coupable de triple meurtre lundi, et également de tentative de meurtre sur un quatrième convive.
Le mari avait décliné l'invitation
Son époux, encore légalement marié à elle, avait décliné l'invitation, expliquant son malaise face à cette invitation. En toile de fond, leur relation se détériorait, en raison d'un désaccord sur une question de pension alimentaire.
Le procès, tenu dans la petite ville rurale de Morwell, dans le sud-est de l'Australie, a attiré de nombreux médias, notamment internationaux, et des passionnés d'affaires criminelles.
La peine d'Erin Patterson sera, elle, prononcée à une date ultérieure.
"Délicieux"
Le 29 juillet 2023, Erin Patterson avait organisé un repas de famille sur sa propriété du sud-est australien. A table ce jour-là: Don et Gail Patterson, les parents de son époux Simon, dont la tante Heather et l'oncle Ian - un pasteur d'une église bapstiste locale - étaient également présents.
L'Australienne a acheté des filets de boeuf à prix d'or et mixé la viande avec des champignons, enrobant le tout de pâte feuilletée pour confectionner des portions individuelles de boeuf Wellington.
Les champignons, identifiés ensuite comme des amanites phalloïdes, peuvent avoir un goût sucré qui cache leur caractère toxique.
La tablée a dit le bénédicité puis commencé le repas, "délicieux" aux dires de la tante invitée, Heather.
Un seul survivant
Mais le poison contenu par les champignons a vite envahi l'organisme des invités et déclenché des effets dévastateurs. Don, Gail et Heather ont succombé en une semaine. Seul Ian, le pasteur, a survécu.
"Il est particulièrement évident qu'ils ne pouvaient en réchapper", a décrit le spécialiste des soins intensifs Stephen Warrillow lors du procès.
Des détectives ont vite trouvé des indices suggérant qu'Erin Patterson, passionnée d'histoires criminelles à ses heures perdues, avait préparé son repas avec l'intention de tuer.
Mensonges
Mme Patterson a annoncé aux convives souffrir d'un cancer et demandé des conseils sur la façon dont elle devait l'annoncer à ses enfants, selon le parquet.
Pourtant, aucun dossier médical n'a fait état d'un tel diagnostic. Le ministère public a déclaré qu'il s'agissait d'un mensonge pour attirer à sa table ses convives.
Elle a également nié avoir eu en sa possession un déshydrateur alimentaire, alors que la police a retrouvé l'objet dans une décharge à proximité. Les analyses ont ensuite montré qu'il contenait des traces d'amanite phalloïde.
"Je reconnais avoir menti parce que j'avais peur qu'on me tienne pour responsable", a-t-elle déclaré lors du procès.
"Détective hors pair"
Les amanites phalloïdes comptent parmi les champignons les plus mortels de la planète, et sont responsables de quelque 90% de tous les décès dûs à la consommation de champignons vénéneux.
Seul le pasteur, Ian Wilkinson, a survécu au repas, après des semaines d'hospitalisation. Il n'a pu expliquer pourquoi la quinquagénaire avait pu vouloir le tuer.
Erin Patterson a été décrite comme une mère attentive, qui jouait un rôle actif dans sa petite communauté, se portant volontaire pour éditer le bulletin du village.
Passionnée d'affaires criminelles, elle était aussi membre d'un groupe Facebook où elle discutait des meurtres australiens les plus célèbres. Son amie Christine Hunter a dit au procès qu'elle avait une réputation de "détective hors pair".
"Terrible accident"
Erin Patterson a affirmé ne pas savoir comment les champignons mortels s'étaient retrouvés dans son plat.
L'empoisonnement était un "terrible accident", a déclaré son avocat, Colin Mandy lors du procès. "Elle ne l'a pas fait délibérément. Elle ne l'a pas fait intentionnellement".
Médecins, détectives, experts en informatique et spécialistes champignons se sont exprimés lors du procès pour disséquer chaque aspect du déjeuner.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
VaudIl y a 3 jours
Un label pour mettre en valeur le pain vaudois
-
ClimatIl y a 2 jours
Des inondations au Texas font près de 80 morts
-
ÉconomieIl y a 3 jours
Le Coq Sportif repris par le consortium piloté par Dan Mamane
-
SuisseIl y a 3 jours
Mercosur: négociations "difficiles" sur la pharma, dit Guy Parmelin
-
LausanneIl y a 3 jours
Droit de préemption: Lausanne veut revendre sept immeubles
-
ÉconomieIl y a 3 jours
Fribourg: percée dans le conflit avec les techniciens en radiologie
-
ÉconomieIl y a 3 jours
Droits de douane: Trump pense informer ses partenaires dès vendredi
-
LausanneIl y a 3 jours
Action de "Droit de rester" devant les bureaux d'Isabelle Moret