Sport
Football : CR7 rejoint Pelé avec 767 buts... ou pas
En inscrivant mardi son 767e but entre club et sélection, Cristiano Ronaldo a rejoint le total officieux - objet de multiples débats - attribué à la légende Pelé.
Un record de plus pour la superstar portugaise? Difficile à dire, tant les chiffres restent sujets à controverse.
En fonction des sources et des médias, Pelé (80 ans) aurait marqué entre 757 et 767 buts en matches officiels avec ses clubs et la sélection du Brésil. Mais le légendaire no 10 auriverde en revendique lui-même largement plus: 1283, selon la bio de son compte officiel Instagram. Toutefois, beaucoup ont été marqués lors de tournées internationales, hors de compétitions officielles.
Un autre Brésilien, l'ancien attaquant international Romario (55 ans), revendique le "total personnel" de 1000 buts en comptant ceux inscrits en catégories de jeunes, en matches amicaux et en matches de gala. Mais selon d'autres sources, son bilan officiel ne dépasse pas 772 buts, voire moins de 750 buts au fil d'une carrière qui l'a conduit du Brésil aux Pays-Bas, en Espagne et même aux Etats-Unis, en Australie et au Qatar.
Le total de Cristiano Ronaldo (36 ans), lui, est un peu moins sujet à caution, le Portugais n'ayant marqué qu'au XXIe siècle (depuis 2002). Même si certains médias, comme le Corriere dello Sport en Italie, lui adjoignent par exemple des buts marqués en sélection olympique du Portugal.
Reste que pour la plupart des médias ou des sites spécialisés, le chiffre attribué à Ronaldo est de 767 buts, répartis comme suit: cinq pour le Sporting Lisbonne, 118 pour Manchester United, 450 pour le Real Madrid et 92 pour la Juventus Turin, soit 665 en clubs. Auxquels s'ajoutent 102 réalisations avec le Portugal.
Bref, si l'on s'en tient aux matches officiels, la star portugaise a donc désormais rejoint Pelé dans l'histoire, symbole de l'appétit insatiable de ce monstre d'ambition et de travail. "Enième but et record: Ronaldo rejoint Pelé sur l'Olympe des buteurs", s'est enthousiasmée mercredi la Gazzetta dello Sport dans son édition en ligne, consacrant sa Une à "CR767".
Reste à trancher si ce score est, ou pas, le record absolu dans l'histoire du football. Toujours selon la Gazzetta dello sport, le Tchèque Josef Bican (805) et Romario (772) seraient encore devant "CR7" et Pelé. Ce qui sous-entendrait que le Portugais, qui ambitionne de jouer jusqu'à ses 40 ans, n'aurait plus qu'une ou deux saisons à jouer à son rythme d'ogre pour devenir le plus grand buteur de tous les temps.
Course aux records
Toutefois, pour le Corriere dello sport qui a longuement enquêté sur le sujet, "CR7" serait déjà devant car certains buts attribués à Bican et Romario n'ont pas été marqués en matches officiels. Et un autre buteur pourrait avoir fait mieux que tous ces attaquants, l'Allemand Erwin Helmchen, qui a principalement joué dans les années 1930 et 1940...
Quant à Lionel Messi (33 ans), grand rival de Cristiano Ronaldo, il n'est pas en reste: fin décembre, il a lui aussi égalé Pelé, cette fois au nombre de buts inscrits sous le maillot d'un seul club, en franchissant avec le FC Barcelone la barre des 643 unités établie par l'illustre Brésilien avec Santos.
Une performance saluée par Pelé lui-même: "Comme toi, je sais ce qu'est l'amour de revêtir le même maillot chaque jour. Comme toi, je sais qu'il n'y a rien de mieux qu'un endroit où on se sent chez soi. Félicitations pour ton record historique, Lionel", avait alors réagi le Brésilien sur Instagram.
Depuis, "La Puce" a continué à accumuler les buts et il en compte désormais 729, dont 71 inscrits avec la sélection argentine. Plus jeune que Ronaldo de deux ans, Messi pourrait donc à son tour se mêler à cette course aux records, symbole de l'éternelle rivalité entre le quintuple Ballon d'Or portugais et le sextuple Ballon d'Or argentin.
Football
Mbappé de loin le mieux payé, à 6 millions de francs brut par mois
Kylian Mbappé est largement le plus gros salaire de la Ligue 1, et un des sportifs les mieux payés du monde, à 5,96 millions de francs brut mensuels. Ceci selon le classement du quotidien "L'Équipe".
Le champion du monde 2018 est accompagné sur le podium par ses coéquipiers du PSG Neymar (3,655 millions de francs) et Lionel Messi (3,357 millions).
D'ailleurs le club champion de France truste les dix premières places du classement établi chaque printemps par les journalistes de L'Équipe.
Le salaire moyen brut mensuel du PSG dépasse le million de francs (1,011 million), selon leurs estimations.
Les deux seuls joueurs hors PSG des 16 premiers salaires du Championnat de France sont le Monégasque Wissam Ben Yedder (646'000 francs) et le Marseillais Jordan Veretout (547'000 francs).
L'OM place sept autres joueurs parmi les trente premières paies de L1, d'Alexis Sanchez à Mattéo Guendouzi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Hockey
Coup d'arrêt pour Denis Malgin et l'Avalanche
Coup d'arrêt pour Denis Malgin et Colorado ! Après trois victoires de rang, l'Avalanche a été battu 4-2 par Minnesota sur sa glace de Denver.
A la faveur de ce succès, son sixième de rang, le Wild a consolidé sa place de leader dans la Central Division avec un avantage de 3 points sur Dallas et Colorado. Passeur mardi lors du succès 5-1 devant Anaheim, Denis Malgin n'a bénéficié que d'un temps de jeu de 6'34''. Le Soleurois a été crédité d'un bilan neutre.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Hockey
Les Romands peuvent-ils battre les deux Z?
Les demi-finales des play-off commencent jeudi avec le duel entre Bienne et Zurich, alors que Genève affronte Zoug dès vendredi.
Pour battre les deux finalistes de l'an dernier, Genevois et Seelandais devront être cliniques.
Va-t-on assister à une répétition de la finale de l'année dernière entre le champion en titre Zoug et les Zurich Lions? Genève-Servette et Bienne vont tout mettre en oeuvre pour éviter que cela se produise.
Mais la mission des deux premiers de la saison régulière ne s'annonce pas facile. Les Aigles ont ainsi le redoutable honneur de jouer contre Zoug, double champion en titre. Les Genevois ont éliminé Lugano en six parties, tandis que la troupe de Dan Tangnes a également écarté Rapperswil en six rencontres.
Pour Jan Cadieux et ses hommes, Zoug représente un Everest. Et si l'on entend s'attaquer à la plus haute montagne du monde, il vaut mieux être bien préparé. En quatre parties de saison régulière, les deux organisations en sont à deux victoires chacune. Mais les play-off sont un autre animal qu'il convient de respecter.
Battre le monstre Genoni
A Genève, on a beaucoup parlé de l'importance des étrangers et du power-play. Or, si les Grenat ont pu écarter Lugano, c'est en raison d'un très bon travail de Robert Mayer devant le filet et de l'apport des joueurs suisses comme Tanner Richard, Simon Le Coultre, Roger Karrer ou encore Marc-Antoine Pouliot.
Finaliste en 2008, 2010 et 2021, le GSHC aimerait bien à nouveau goûter aux délices d'un ultime duel pour le titre, mais Zoug se pose en gros écueil. Moyens jusqu'au début du mois de février, les Taureaux de Suisse centrale ont opéré un virage à 180 degrés.
Quelconque une bonne partie de la saison, Leonardo Genoni redevient le monstre qu'il est lorsque ça compte. Fort de ses sept titres de champion, Leo fait de nouveau peur. Et cette formation zougoise peut compter sur des joueurs de play-off comme Fabrice Herzog, Dario Simion ou le revenant Justin Abdelkader. Machine bien huilée avec un power-play tournant à 30,77% et un box-play à 90,91%, bien coachée, cet EVZ représente un sacré défi. A Genève, le jeu de puissance est passé de 28,14 à 14,29% depuis le début des play-off.
Soutien à Törmänen
Entre Bienne et Zurich, on s'attend à une belle revanche de l'an dernier. Au stade des quarts de finale, les Zurichois avaient éliminé les Seelandais 4-3 alors que ces derniers avaient mené 3-2 dans la série.
Bienne donne l'impression d'avoir franchi un cap en dominant Berne en quarts, mais Zurich est un d'un tout autre calibre. Avec Marc Crawford à la bande, les Lions possèdent un coach qui sait comment cela se passe en play-off. Face à un très bon Davos, Zurich n'a pas fait traîner les choses pour l'emporter 4-1.
A Bienne, l'annonce d'une nouvelle tumeur cancéreuse détectée chez Antti Törmänen plonge tout le club dans la tristesse. Mais le coach finlandais continuera d'évoluer derrière le banc bernois. Le staff d'entraîneurs recevra en outre le soutien du directeur sportif Martin Steinegger.
Duel de gardiens
Si les Biennois en sont là maintenant, c'est aussi parce qu'ils ont la chance de pouvoir compter sur Harri Säteri dans les buts. Le dernier rempart finlandais impressionne depuis son arrivée en Suisse l'été passé. En six rencontres de play-off, Säteri affiche un pourcentage d'arrêts de 94,2%.
Malgré les absences de certains cadres comme Damien Brunner, qui pourrait revenir pendant la série, Bienne a toujours su faire face. Et là aussi, même si Toni Rajala a inscrit quatre buts, des joueurs comme Hofer ou Künzle peuvent se distinguer. Quant à la défense, des joueurs comme Beat Forster, Robin Grossmann et Noah Schneeberger possèdent une belle expérience des séries.
Mais attention parce que si Säteri en impose, que dire de Simon Hrubec? Le gardien tchèque des Lions en est à 95,9% d'arrêts. Auteur de parades déterminantes, Hrubec stabilise une défense qui fait déjà partie du haut du panier avec des routiniers comme Lehtonen, Kukan, Marti, Weber et Geering.
Et en attaque, on a le sentiment que Zurich en a sous le pied. Que les Andrighetto, Texier, Lammikko, Wallmark et autres Azevedo peuvent décider à tout moment du sort d'un match. Tout cela sans oublier les soldats Chris Baltisberger et Willy Riedi. Non, Zurich est décidément une belle machine de hockey...comme Zoug.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Une première finale de Coupe pour Servette Chênois
Leader invaincu de la Super League féminine, Servette Chênois disputera ce printemps la première finale de Coupe de Suisse de son histoire.
Les Servettiennes ont dominé leurs rivales du FC Zurich 3-0 mercredi en demi-finale à Meyrin. Elles affronteront St-Gall le samedi 29 avril en finale au Letzigrund.
Battu en demi-finale en 2018 - alors qu'il évoluait en LNB - et en 2022, stoppé par le Covid en 2020 alors qu'il devait déjà affronter Zurich pour une place en finale, le SFCCF n'a pas laissé passer sa chance. Des réussites de Cassandra Korhonen (13e) et de Natalia Padilla (16e) lui ont permis de faire rapidement la différence.
Les protégées du coach Eric Sévérac ont parfaitement géré cet avantage, Sandrine Mauron scellant le score à la 84e. En quête d'un deuxième trophée après le titre national conquis en 2021, les Servettiennes tenteront de devenir le troisième club romand à s'adjuger la Coupe de Suisse dames après Sion, lauréat des deux premières éditions (1976, 1977), et Yverdon (2010, 2011).
Le SFCCF partira favori en finale face à St-Gall (5e de Super League), que les Genevoises sont allées battre 3-2 à Wil samedi dernier en championnat. Les St-Galloises ont décroché leur ticket de finaliste en s'imposant 4-3 mercredi face à Lucerne, forçant leur destin grâce à un penalty transformé par Eva Bachmann au bout des arrêts de jeu (95e).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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