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Sport

Diego Maradona, icône du football et de tous les excès

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29 juin 1986, Diego Maradona soulève avec l’Argentine le titre de Champion du Monde après la finale à Mexico City, remportée 3-2 par l’Argentine contre l’Allemagne de l’Ouest (Archives ©KEYSTONE/AP Photo/Carlo Fumagalli)

Diego Maradona, génie du ballon rond décédé mercredi, a payé cher sa gloire en sombrant dans la drogue et l'alcool. Mais cette icône du football, l'égal d'un dieu en Argentine, avait toujours su rebondir.

En dépit de ses excès en tous genres, Diego Armando Maradona, né à Buenos Aires et qui venait de fêter ses 60 ans, restera à jamais le "diez", le numéro dix, capable de marquer les plus beaux buts de l'histoire, à l'instar du roi Pelé, finalement son seul rival.

Ange ou démon? La polémique n'a jamais cessé. "Rebelle. Héros. Arnaqueur. Dieu": dans son documentaire "Diego Maradona", présenté hors compétition au festival de Cannes en mai 2019, le Britannique Asif Kapadia raconte les années tumultueuses de l'Argentin à Naples, qui lui ont apporté ses plus grandes joies et ont fini par le broyer.

Issu des quartiers pauvres de Buenos Aires, le "Pibe de oro" ("gamin en or") est tombé dans le chaudron de la Bombonera, le stade du club Boca Juniors, quand il était petit.

Dribbleur hors pair capable de mystifier les défenses, Maradona restera le symbole et capitaine incontesté de l'Argentine. Sous les couleurs de l'équipe nationale pendant 17 ans (1977-1994), le légendaire numéro 10 a marqué 50 buts en 115 matches et offert à son pays la deuxième Coupe du monde de son histoire en 1986.

"La main de Dieu"

Parmi les milliers de photos accompagnant la gloire puis la déchéance de Maradona, deux images résument sa vie. La première remonte justement à 1986, un soir de finale de Coupe du Monde, dans le mythique stade Aztèque de Mexico, où le joueur de 1,65 m n'est qu'un immense sourire brandissant le trophée mondial. Il est au sommet de son art.

Son but inscrit de la main contre les Anglais en quarts de finale a fait hurler de joie tout un peuple qui a accepté l'explication improvisée et géniale de Maradona: "la main de Dieu".

Mais les fans de football retiendront surtout son deuxième but contre ces mêmes Anglais, lui qui a passé en revue toute la défense avant de tromper le gardien, un chef-d'oeuvre d'intuition et de talent pur.

Beaucoup moins glorieux, le second cliché date du 26 avril 1991. Hirsute, bouffi, mal rasé, l'oeil éteint, Maradona sort de son domicile de Buenos Aires entouré de deux policiers venus l'arrêter pour détention et consommation de cocaïne.

C'est le début de la déchéance, des déclarations tapageuses, des outrances de tous ordres, des retours au premier plan soigneusement orchestrés par un entourage de requins. Les cures de désintoxication vont désormais alterner avec les rechutes.

Après avoir goûté à la drogue dans le barrio Chino de Barcelone, où il a joué deux saisons (1982-1984), son accoutumance n'a pas faibli pendant ses années de gloire à Naples (1984-1991), club où il est adulé pour lui avoir fait gagner les deux seuls titres de champion d'Italie de son histoire, en 1987 et 1990.

Mais Maradona a payé cher cette célébrité qu'il n'a jamais su gérer. Sali par les scandales, sous le coup d'une suspension de deux ans pour un nouveau contrôle positif en 1994, il quitte officiellement le monde du football, à 37 ans, le jour de son anniversaire.

Diego Armando Maradona, durant un match en Argentine en février 2020. Le légendaire footballeur argentin est décédé ce 25 novembre d'une crise cardiaque. (Archives ©EPA/Demian Alday Estévez)

Crises à répétition

Loin des stades, la déchéance va s'accélérer. En 2000, il est hospitalisé à Punta del Este, célèbre station balnéaire d'Uruguay, pour une crise cardiaque liée à la drogue.

Il s'en sort et part à Cuba en cure de désintoxication. Quatre ans d'allers et retours entre l'Argentine et sa seconde patrie ne réussiront pas à le guérir durablement de sa dépendance à la cocaïne. En 2004, il frôle la mort après un accident cardiovasculaire à l'issue duquel il repart à La Havane.

L'année suivante, il subit à Bogota une opération chirurgicale destinée à réduire la capacité d'absorption de son estomac pour lutter contre l'obésité, ce qui lui permet de perdre près de 50 kilos.

L'Argentine veut à nouveau y croire. Fin 2005, charmeur et en forme, il bat des records d'audience avec son émission télévisée "La nuit du 10" où il invite notamment son grand rival Pelé. Pourtant, Diego se met à boire, grossit, fume et rechute dans une crise hépathique qui le ramène à l'hôpital en 2007.

Une fois encore, il s'en sort et reprend du service. Nommé sélectionneur de l'équipe d'Argentine en 2008, il est écarté deux ans plus tard pour mauvais résultats. Par la suite, il entraînera deux clubs émiratis avant de s'engager en tant que président du club bélarusse du Dinamo Brest (D1) en 2018.

La même année, il devient entraîneur des Dorados de Sinaloa (D2 mexicaine) avant d'en claquer la porte avec fracas huit mois plus tard à cause d'un pénalty non sifflé pour son club. Maradona dans toute sa splendeur...

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Hockey

La Suisse déroule devant la Lettonie

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Samuel Kreis (à gauche) affole la défense lettone. (© Keystone/AP/Martial Trezzini)

La Suisse a enfin réussi un match digne de son rang. A Lausanne, les hommes de Patrick Fischer se sont imposés 5-1 contre la Lettonie.

Il était temps, serait-on tenté d'écrire. Après avoir peiné contre la Slovaquie et battu difficilement la France à deux reprises, les Suisses ont cette fois réussi un match presque complet. Sans un but tardif de Krastenbergs, les hommes de Patrick Fischer auraient pu offrir un blanchissage à Leonatrdo Genoni.

La première période a duré bien trop longtemps en raison des nombreuses pénalités et de la nervosité des deux équipes. Marc Marchon a même dû rejoindre les vestiaires plus tôt que ses coéquipiers. A la 14e, le futur joueur de Berne a scotché un Letton à la bande et les arbitres, après visionnage des images, ont choisi de renvoyer l'attaquant de l'équipe de Suisse. On pourrait attribuer ce genre de fautes à l'envie des joueurs de bien se faire voir aux yeux du sélectionneur à l'heure où ce dernier doit effectuer des coupes dans son alignement.

Un deuxième tiers de feu

Mais ce coup du sort n'a pas porté à conséquence. Elle a juste retardé le premier but de l'équipe de Suisse. A la 18e, Tanner Richard a pu entrer dans la zone de défense lettone et battre Ivars Punnenovs alors que les Helvètes évoluaient avec un homme de moins sur la glace. La sélection de Patrick Fischer a pu doubler la mise à la 22e en avantage numérique, même si la réussite de Christoph Bertschy doit plus à sa vitesse et à la vision de jeu de Dominik Egli qu'à une action placée.

La Suisse a enfoncé le clou à la 29e sur un nouveau power-play. Après que le puck a heurté la transversale, les joueurs à croix blanche ont maintenu le puck autour du filet de Punnenovs et c'est finalement Marco Lehmann qui a pu le glisser au fond. Totalement dominateurs, les Suisses ont ajouté une quatrième réussite à la 32e par Senteler d'un très joli tir. Puis à la 37e, c'est Loeffel qui a salé l'addition lors d'une pénalité différée.

Les deux équipes se retrouvent samedi en fin d'après-midi à Kloten pour une revanche. Mais la Suisse devra faire attention de ne pas trop prendre en compte cette rencontre face à une Lettonie curieusement faible. Seulement dans le contexte actuel, toute victoire large est très bonne à prendre.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Football

Pedro Rocha désigné président de la Fédération

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Pedro Rocha est le nouveau patron de la fédération espagnole de football (© KEYSTONE/AP/PAUL WHITE)

Pedro Rocha a été nommé vendredi à la présidence de la Fédération espagnole (RFEF), a annoncé celle-ci dans un communiqué. Il est pourtant inculpé dans l'affaire de corruption qui secoue la RFEF.

"Pedro Rocha a été désigné aujourd'hui nouveau président de la Fédération espagnole, après avoir reçu le soutien de la majorité de l'assemblée de l'institution", a écrit la RFEF dans un communiqué. Il était le seul candidat à des élections qui devaient initialement se tenir le 6 mai si plusieurs personnes s'étaient présentées.

Cette annonce intervient au lendemain de la décision du gouvernement espagnol de placer sous tutelle la Fédération. Celle-ci est en crise depuis le scandale du baiser forcé de Luis Rubiales, ex-président de l'instance dont Pedro Rocha assurait l'intérim depuis le mois d'août.

Concrètement, "une commission de supervision, de normalisation et de représentation" créée par le Conseil supérieur du sport (CSD), un organisme dépendant du ministère des Sports, exercera "la tutelle de la RFEF durant les prochains mois", dans "l'intérêt de l'Espagne", future organisatrice du Mondial 2030 conjointement avec le Portugal et le Maroc, avait annoncé jeudi le CSD.

Enquête pour corruption

Déjà secouée par le scandale du baiser forcé à la championne du monde Jenni Hermoso après le sacre mondial de la "Roja" en août, qui a mené à la démission de Rubiales, la RFEF est désormais au centre d'une enquête pour corruption dans laquelle l'ancien homme fort du foot espagnol et Pedro Rocha ont été mis en examen.

Cette affaire porte sur des irrégularités dans les contrats signés par la RFEF au cours des cinq dernières années, pendant la présidence de Luis Rubiales, dont le juteux contrat conclu pour délocaliser la Supercoupe d'Espagne en Arabie saoudite.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Patrick Rahmen: "Ne pas être écrasé par le poids de l'histoire"

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Patrick Rahmen: l'entraîneur qui peut offrir un premier trophée au FC Winterthour depuis 107 ans. (© KEYSTONE/MANUEL GEISSER)

107 ans d’attente ! Le FC Winterthour est à deux victoires de remporter un premier trophée depuis son troisième et dernier titre de Champion de Suisse obtenu en 1917.

Ce dimanche, le FC Winterthour accueille le Servette FC en demi-finale de la Coupe de Suisse. Sous la férule de Patrick Rahmen, les Zurichois sont en passe de réussir une saison de rêve. La qualification pour le Championship Group en Super League a accompagné, en effet, ce magnifique parcours en Coupe de Suisse.

"J’ai compris au fil des semaines que cette saison pouvait vraiment nous sourire, reconnaît Patrick Rahmen. Mais à aucun moment, nous avons pensé obtenir de tels résultats." Pressenti pour diriger les Young Boys dès cet été, Patrick Rahmen explique que le "secret" de la réussite réside "dans un style offensif qui est vraiment la marque de fabrique de l’équipe".

"Nous avons toutefois mis un certain temps pour trouver le bon équilibre sur le plan défensif, poursuit le successeur de Bruno Berner. Il y a aussi un esprit d’équipe que nous avons su cultiver. Les joueurs témoignent d’une très grande solidarité. Ils savent aussi rester les pieds sur terre. Ils ne se sont pas enflammés devant ces résultats que nous n’attendions sans doute pas."

Limogé du FC Bâle, "son club", Patrick Rahmen a su rebondir avec une expérience que l’on peut qualifier de réussie à la tête de l’équipe de Suisse M21 qu’il a menée en quart de finale de l’Euro 2023. Mais avant même la phase finale de cet Euro, il avait accepté l’offre du FC Winterthour. "Ce club coche à mes yeux toutes les cases : la recherche d’un jeu offensif, des valeurs sur lesquelles on ne transige pas et un soutien populaire vraiment très marqué, dit-il. Je n’ai pas hésité très longtemps pour être convaincu par ce projet."

Il lui reste maintenant à bien négocier le virage de cette demi-finale devant un adversaire contre lequel le FC Winterthour n’a pas perdu cette saison (1 victoire et 2 nuls). "Nous avons prouvé cette saison que nous pouvons regarder les Servettiens les yeux dans les yeux. Dans cette demi-finale, je veux que mes joueurs se lâchent, qu’ils jouent avec l’élan qui les porte depuis des semaines. Qu’ils se nourrissent des encouragements d’un public fantastique. Je veux croire qu’ils ne surjoueront pas, qu’ils ne seront pas écrasés par le poids de l’histoire."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Hockey

Lausanne n'a plus le droit à l'erreur face à Zurich

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Les Zurichois ont plié le match en 51 secondes. ©KEYSTONE/Michael Buholzer

Puck de championnat pour Zurich. Les ZSC Lions ont battu Lausanne 3-0 à domicile et mènent à nouveau 3-2 dans la série.

Quel premier tiers de la part du LHC pourtant. Les Lausannois sont tout de suite entrés dans leur match, signant une première grosse occasion après une minute de jeu. Quelques secondes après, rebelotte avec une action juste devant la cage, mais Hrubec a défendu son territoire comme un vrai chef de meute.

Les hommes de Geoff Ward ne se sont pas arrêtés là, Cody Almond offrant un bon centre à Tim Bozon qui manque le but. Et à la 7e minute, Andrea Glauser est arrivé depuis l’arrière pour récupérer un puck au centre de la zone offensive, comme lors de son but deux jours auparavant. Mais lui aussi a vu son tir passer à côté.

Lausanne a ensuite dû tenir deux minutes avec un homme de moins sur la glace, Glauser ayant été puni pour coup de crosse. C’est là que Zurich a commencé à se montrer dangereux. Heureusement, les Vaudois ont très bien défendu. Cette phase de supériorité numérique a néanmoins eu le don de réveiller les ZSC Lions qui à partir de là ont commencé à se créer des occasions.

Notamment à la 13e avec une situation très chaude devant les filets de Connor Hughes. Le gardien lausannois a peiné à bloquer le puck et tout le monde a tenté de le jouer. Le portier réalisera encore un excellent double sauvetage quelques instants plus tard avant que Tim Bozon n’aille tenter une dernière fois d’ouvrir le score avant la sirène, sans succès. Ce premier tiers, le LHC l’a clairement dominé. Mais il y aura des regrets de ne pas avoir concrétisé.

2e tiers fatal

En deuxième période, Connor Hughes a montré qu’il était en pleine forme, déviant et arrêtant les pucks qu’il fallait. Et Lausanne avait besoin de ça car les Zurichois se sont montrés beaucoup plus agressifs. Les occasions de but, on les a plutôt vues dans leur zone offensive. Puis tout a semblé s’enchaîner très vite. Les Lausannois n’ont pas su être efficaces en powerplay. Ils ont bien défendu en boxplay. Zurich était au taquet après avoir joué à 5 contre 4. Les deux équipes ont manqué de grosses occasions.

Jusqu’à la première erreur de Connor Hughes et l’ouverture du score par les ZSC Lions. Juho Lammikko a traversé toute la glace, talonné par Lawrence Pilut. Il s’est ensuite placé sur la gauche de la cage, pratiquement au niveau de la ligne de but. Son tir a complètement trompé le portier lausannois (38e, assists: Jesper Frödén et Dean Kukan).

L’histoire, malheureusement se répète. Le LHC a, à nouveau, connu un passage à vide dans les instants suivants. 51 secondes plus tard c’est Vinzenz Rohrer qui a eu raison de Connor Hughes, notamment à cause d’un rebond malheureux (39e, assists: Derek Grant et Willy Riedi). Les explications de Damien Riat, attaquant du LHC.

Pendant ces 20 minutes de jeu, les Lausannois n’ont eu quasi aucune chance de revenir. Les statistiques parlent d’elles-mêmes, c’est 15 tirs cadrés pour Zurich contre 1 pour le LHC. Les Zurichois ont vraiment poussé au maximum. Et c’est la troisième fois que Lausanne encaisse deux buts en très peu de temps. Difficile cependant d’expliquer le pourquoi du comment. "On est en train de chercher la solution. Si on savait on ne serait pas en train de répondre à cette question", lâche Joël Genazzi.

Ces deuxièmes tiers, c’est un des points sur lesquels il faudra être vigilent samedi. "On doit être meilleurs, analyse simplement Mikka Salomäki. Je ne sais pas si c’est eux qui sont bons ou nous qui sommes mauvais mais on doit régler ça." D’autant plus avec cette capacité des Zurichois à marquer très vite. On retrouve Damien Riat.

Mais comment expliquer cette force des ZSC Lions dans les deuxièmes tiers?

"Déjà oublié"

Les Lions lausannois sont revenus aussi forts qu’en début de match. Ils ont tout tenté pour tourner le match. Ils se sont créé de belles occasions. Mais c’est l’exemple type de "quand ça veut pas, ça veut pas". Quand ce n’était pas Hrubec qui déviait ou bloquait, c’était le poteau qui attirait le puck à lui. Il y aura bien eu un dernier but en fin de match, mais c’était une fois encore pour Zurich et Justin Sigrist, dans la cage vide (60e).

Il est certain que le match aurait été différent si les Lausannois avaient marqué sur les nombreuses occasions du premier tiers. Il y aura peut-être des regrets. Mais quelques minutes après la sirène finale, les joueurs vaudois balaient les questions sur la frustration. "Déjà oublié. Plus de frustration du tout, lance Joël Genazzi, co-capitaine du LHC. On baisse pas la tête, on est déjà dans le match 6. J’ai déjà oublié ce qu’il s’est passé dans le match."

Même son de cloche du côté de Damien Riat.

Est-ce que ce ne sont que des paroles pour les médias, ou est-ce vraiment ce qui se passe dans la tête des joueurs? Seuls les principaux concernés ont la réponse, mais au vu de la mentalité dont ils ont fait preuve tout au long de la saison, ce ne sont probablement pas des paroles en l’air.

Damien Riat prend même la situation avec le sourire. "C’est comme ça, on laissera le suspense pour le 7e match apparemment, plaisante l’attaquant avant de reprendre son sérieux. C’est un match qu’on met derrière nous, on n’a rien à perdre. Mais voilà, on va aller d’abord gagner ce prochain match à la maison, c’est sur ça qu’on est concentrés."

Les Lions ont un peu plus de 24 heures pour reprendre des forces, analyser et ajuster leur jeu. Avec une mission, que Miikka Salomäki résume simplement: "On doit bien jouer pendant 60 minutes, c’est le plus important. On a joué deux bonnes périodes, mais en finale, ça ne suffit pas" Dans tous les cas, les Lausannois n’ont plus le droit à l’erreur s’ils veulent décrocher leur premier titre. L’Acte VI ce sera samedi à la Vaudoise Aréna. Le match se jouera à guichets fermés.

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Il est parfois judicieux d'adopter une approche très diplomate, envers les familiers, y compris les enfants, toutes vérité n’étant pas bonne à dire.

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