International
Gremaud 6e des qualifications, Höfflin 9e
Mathilde Gremaud et Sarah Höfflin disputeront la finale du Big Air mardi aux JO de Pékin.
La Fribourgeoise et la Genevoise ont terminé respectivement 6e et 9e des qualifications, remportées par la Canadienne Megan Oldham.
Victime d'une grosse chute à l'entraînement dimanche, Mathilde Gremaud s'est rassurée dès son premier saut, récoltant 88,25 points. Son deuxième run lui a rapporté 71,00 points, ce qui lui a permis de ne prendre aucun risque pour son troisième passage.
"C'est un peu douloureux, mais j'ai pu skier", a lâché la vice-championne olympique de slopestyle au micro de la RTS après son premier saut. "J'étais plus propre sur mes deux premiers sauts", a-t-elle analysé au terme de son concours.
Sarah Höfflin n'a en revanche pas pu se permettre d'assurer lundi. La Genevoise, dernière à s'élancer dans ces qualifications, occupait en effet le 13e rang avant son troisième run. La championne olympique de slopestyle a toutefois parfaitement maîtrisé ses nerfs pour se hisser dans le top 12.
La finale est programmée mardi dès 3h heure suisse. La Française Tess Ledeux, victorieuse aux récents X-Games dans la discipline, et la star chinoise Eileen Gu partiront avec les faveurs du pronostic. Les outsiders Kelly Sildaru et Maggie Voisin ont en revanche échoué dès les qualifications.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Macron affiche son entente avec le président italien
Emmanuel Macron a affiché mercredi à Paris une certaine complicité avec le président italien Sergio Mattarella. Une visite qui pourrait être suivie d'ici fin juin par la venue de la première ministre Giorgia Meloni. Avec elle, les relations ont été plus mouvementées.
Le chef de l'Etat français et son homologue ont visité, le jour de son inauguration, l'exposition "Naples à Paris" au musée du Louvre, qui a mêlé ses chefs-d'oeuvre de la Renaissance italienne avec les tableaux prêtés par le musée napolitain Capodimonte.
Devant la "Joconde" de Léonard de Vinci, ou "La Flagellation" du Caravage, présentée aux deux présidents comme "la Joconde de Capodimonte", Emmanuel Macron et Sergio Mattarella ont admiré cette installation qui, selon l'Elysée, "honore les liens historiques entre la France et l'Italie".
La présidence française a insisté sur la "relation de confiance et d'amitié" entre les deux hommes, mais aussi, au-delà, les "liens exceptionnels qui unissent" les deux pays.
Ces liens ont traversé quelques turbulences, notamment autour du dossier épineux de l'immigration, depuis l'arrivée au pouvoir à l'automne à Rome du gouvernement ultraconservateur dirigé par Giorgia Meloni, elle-même à la tête d'un parti post-fasciste.
Alors que la France a assuré avoir invité la cheffe du gouvernement italien depuis des mois, aucune date n'a été fixée, mais une visite est désormais évoquée d'ici la fin du mois, peut-être autour du sommet pour un nouveau pacte financier international organisé par Emmanuel Macron les 22 et 23 juin.
Mattarella cite De Gaulle
En attendant, la venue du président italien, qui joue à Rome un rôle constitutionnel de sage et de garant des institutions, semblait devoir permettre de démontrer la stabilité des relations entre les deux voisins, au-delà de l'identité de leurs dirigeants.
Devant de jeunes diplomates mardi soir à Paris, Sergio Mattarella a ainsi cité des propos tenus en juillet 1943 par le général De Gaulle. Juste après "la chute du fascisme" en Italie, alors qu'il s'agissait d'une "période tourmentée", a-t-il rappelé, "De Gaulle évoqua un 'voisinage étroit' et une 'interdépendance des deux grands peuples latins'".
"Les relations entre l'Italie et la France sont, nous le savons tous, séculaires. Votre tâche sera de continuer à les alimenter", a dit le président italien aux jeunes diplomates.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Swiatek domine Gauff et rejoint Haddad Maia en demi-finales
Iga Swiatek a dominé l'Américaine Coco Gauff (WTA 6) 6-4 6-2 en 1/4 de Roland-Garros. Elle rejoint l'inattendue Brésilienne Beatriz Haddad Maia (14e) dans le dernier carré.
Swiatek, tenante du titre et lauréate une première fois Porte d'Auteuil en 2020, n'a pas laissé échapper le moindre set depuis le début de la quinzaine parisienne. La Polonaise de 22 ans a même infligé quatre 6-0 à ses adversaires, un au premier tour, un au deuxième et deux au troisième. En huitièmes de finale, elle a bénéficié de l'abandon après six jeux de l'Ukrainienne Lesia Tsurenko (66e), malade.
Gauff ne trouve décidément pas la parade contre Swiatek. En désormais sept rencontres, l'Américaine de 19 ans ne s'est non seulement jamais imposée, mais n'a jamais réussi non plus à empocher un set.
Dans le premier set serré, Gauff, qui a tenté de bousculer Swiatek, a bien comblé un break de retard (3-1 à 3-3), mais la no 1 mondiale a su mettre un coup d'accélérateur à 4 jeux partout pour breaker et virer en tête.
Dans le second, Gauff n'a tenu le rythme que jusqu'à 2 partout, avant de perdre les quatre jeux suivants et de s'incliner en un peu moins d'une heure et demie. "Ca a été un match difficile, surtout dans le premier set, qui a été vraiment serré", a estimé Swiatek.
Sabalenka étant qualifiée pour le dernier carré comme elle, la jeune Polonaise doit impérativement se hisser au minimum en finale pour avoir une chance de se maintenir sur le trône de no 1 mondiale à l'issue de Roland-Garros.
Il y a un an en finale, Swiatek avait dominé Gauff 6-1 6-3 pour s'offrir son deuxième titre en Grand Chelem. Elle en compte trois désormais, depuis son sacre à l'US Open 2022.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le PDG de CNN, contesté, va quitter la direction de la chaîne
Le PDG de CNN, Chris Licht, va quitter la direction de la chaîne d'information américaine, a annoncé mercredi le groupe, après plusieurs semaines de remous au sein de la rédaction, dont une partie contestait sa gestion.
Chris Licht avait pris les rênes de la plus ancienne chaîne d'information en continu aux Etats-Unis en mai 2022, après le départ soudain du patron emblématique Jeff Zucker, qui n'avait pas fait état à ses dirigeants de sa relation amoureuse avec une cadre de CNN.
Depuis, le quinquagénaire a tenté de relancer la vieille dame de l'info en continu, dont les audiences souffrent de la concurrence avec sa rivale conservatrice Fox News, mais aussi avec MSNBC, à la ligne éditoriale plus à gauche.
Il a effectué plusieurs remaniements au sein de la grille des programmes, sans succès pour l'instant, et tenté quelques coups médiatiques, en premier lieu l'émission en direct et en public avec Donald Trump comme invité, mi-mai.
Ce programme a été mal reçu par une partie de l'opinion mais aussi au sein de la rédaction, qui y a vu une plateforme offerte sans réserve à l'ancien président, devant une assistance de sympathisants républicains pour la plupart acquis à sa cause.
En outre, l'effet de l'émission sur les audiences a été de courte durée, puisque quelques jours après, CNN est passée derrière la petite chaîne conservatrice Newsmax au classement de la journée.
Rupture
La position de Chris Licht a été encore davantage fragilisée par la publication, la semaine dernière, d'un très long article du magazine The Atlantic, qui a souligné la rupture nette entre le dirigeant et ses équipes.
"La tâche n'était pas simple, en particulier à un moment de grand chamboulement et de transformation et Chris y a mis tout son coeur", a commenté le PDG de Warner Bros Discovery, maison mère de CNN, David Zaslav, dans une note interne obtenue par l'AFP.
"Malheureusement, les choses ne se sont pas passées comme nous l'avions espéré et, au final, j'en assume la responsabilité", a-t-il ajouté.
La chaîne a indiqué que le ou la remplaçante de Chris Licht n'avait pas encore été choisi, et que dans l'intervalle, CNN s'appuierait sur une équipe de dirigeants par intérim, composée de trois vice-présidents déjà au sein du groupe pour les questions éditoriales et du numéro deux pour la partie commerciale.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Première demi-finale en Grand Chelem pour Haddad Maia
La Brésilienne Beatriz Haddad Maia, 14e joueuse mondiale, a créé la surprise en battant la Tunisienne Ons Jabeur 3-6 7-6 (7/5) 6-1 pour se qualifier pour les demi-finales de Roland-Garros.
À 27 ans, Haddad Maia est devenue la première Brésilienne a accéder à ce stade du Grand Chelem parisien depuis le début de l'ère Open, en mettant fin au parcours de Jabeur, 7e mondiale, finaliste de Wimbledon et de l'US Open l'an passé, et toujours en quête de son premier Majeur.La sensation est de taille, puisque la grande gauchère (1,85 m) n'était jamais parvenue à passer le deuxième tour d'un Grand Chelem avant son aventure Porte d'Auteuil.
La native de Sao Paulo signe le plus grand fait d'arme de sa carrière, freinée par quatre opérations et une suspension de dix mois pour contrôle positif aux anabolisants en juillet 2019. Ses avocats avaient à l'époque, réussi à prouver qu'il s'agissait d'une erreur de la pharmacie qui lui fournissait des compléments alimentaires.
"Je suis très fière de moi", a soufflé Haddad Maia au micro du court Philippe-Chatrier après sa victoire. La joueuse paraissait incrédule après avoir remporté sa balle de match remportée, concluant ainsi la partie en 2h29.
Beaucoup moins que son précédent match, bouclé en près de quatre heures (3h 51') face à l'Espagnole Sara Sorribes, ce qui en avait fait le troisième simple femmes le plus long de l'histoire du tournoi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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