International
Imhof sacré en Endurance en Champions League
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Claudio Imhof s'est offert une victoire de prestige samedi soir à Londres.
Le Thurgovien de 32 ans s'est adjugé le classement général des disciplines d'endurance de la Track Champions League, organisée par l'UCI sur cinq étapes et qui rapporte 25'000 euros à ses lauréats.
Devancé de quatre points par Sebastian Mora Vedri avant l'ultime épreuve, une éliminatoire, Claudio Imhof a obtenu dans cette course le 2e rang dont il avait besoin. Le rouleur thurgovien de 32 ans a rejoint son rival espagnol en tête du général avec 125 points et est sacré grâce à un meilleur résultat dans la dernière épreuve, Sebastian Mora Vedri s'étant classé 4e de l'éliminatoire à Londres
Claudio Imhof, qui avait conquis le bronze mondial du scratch en 2016 dans le même vélodrome londonien, a parlé d'une "expérience de fou". Cité sur le site internet de Swiss Cycling, il affirme avoir vécu "l'un des plus beaux moments de (sa) carrière", soulignant que ces moments "resteront gravés à jamais dans (sa) mémoire."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Nippon Steel finalise le rachat de son rival US Steel
L'aciériste japonais Nippon Steel a finalisé le rachat de son rival US Steel, acceptant de strictes conditions, dont d'importants investissements aux Etats-Unis et un contrôle du gouvernement américain sur les décisions stratégiques du groupe.
"Les entreprises ont désormais finalisé la transaction envisagée par leur accord de fusion", ont annoncé mercredi les deux groupes dans un communiqué commun.
Ce rachat d'US Steel pour 14,9 milliards de dollars (12,2 milliards de francs) dont 800 millions de dette, qui crée le quatrième producteur mondial en volume, avait été annoncé fin 2023, en vue d'une finalisation au plus tard au troisième trimestre 2024.
Mais le dossier a connu moult rebondissements face à une farouche opposition syndicale et politique, qui a conduit le président Joe Biden à bloquer l'acquisition début janvier avant son départ de la Maison Blanche, invoquant des raisons de "sécurité nationale".
Son successeur Donald Trump s'était lui-aussi opposé au projet pendant la campagne électorale --US Steel ayant son siège dans l'Etat politiquement stratégique de Pennsylvanie--, mais a finalement lancé début avril un réexamen et donné son assentiment le 23 mai.
En février, en présence du Premier ministre japonais Shigeru Ishiba, M. Trump avait déjà affirmé avoir obtenu un "gros" investissement de Nippon Steel plutôt qu'un mariage.
Droit de veto
Mais la totalité du capital du sidérurgiste américain est désormais bel et bien entièrement détenue par le japonais: 100% des actions ordinaires d'US Steel seront logées dans une société ad hoc, elle-même filiale à 100% de Nippon Steel North America, d'après les documents diffusés mercredi.
Le gendarme américain de la Bourse (SEC) a reçu notification d'une demande de retrait de la cote des titres du groupe américain. "Nippon Steel a racheté toutes les actions ordinaires d'US Steel", a indiqué à l'AFP une source proche du dossier.
Fondé en 1901, comptant 22'000 employés, US Steel attisait les convoitises: en difficultés, il a entamé sa décarbonation avec l'installation coûteuse de fours à arc électrique. Il a réalisé un chiffre d'affaires de 15,64 milliards de dollars en 2024.
En volume de production, l'entité fusionnée se situera au quatrième rang mondial. Grâce au rachat, le groupe japonais va atteindre une capacité de production mondiale de 86 millions de tonnes, contre 63 millions actuellement.
Et ce sans avoir à construire de nouvelles usines, ce "qui serait absurde" dans un marché mondial déjà miné par les excédents et la surproduction chinoise.
Pour obtenir l'ultime feu vert de Donald Trump, Nippon Steel a dû s'engager à investir 11 milliards de dollars d'ici fin 2028, dont 2,7 milliards sont déjà engagés.
L'accord de fusion prévoit également qu'une majorité des sièges du conseil d'administration d'US Steel seront occupés par des citoyens américains, tout comme les postes-clef de sa gouvernance. Le gouvernement américain pourra nommer un administrateur indépendant.
Surtout, une "golden share", action privilégiée perpétuelle mais sans accès aux dividendes, sera octroyée au gouvernement fédéral.
Grâce à elle, certains changements seront impossibles sans le consentement du président américain: déplacement du siège d'US Steel hors des Etats-Unis, changement de nom, transfert de production ou d'emplois à l'étranger, fermeture d'usines, suspension d'activité...
Alors qu'experts et actionnaires s'inquiètent de voir restreinte la marge de manoeuvre du groupe, le PDG de Nippon Steel a cependant assuré jeudi que cette "golden share" n'allait pas "entraver les opérations envisagées".
"L'accord nous satisfait pleinement, car il garantit la liberté de gestion et la relance de la productivité", a déclaré Eiji Hashimoto devant la presse.
"Nous avons l'intention de mettre en oeuvre des mesures de revitalisation et développement dès que possible", a-t-il ajouté, promettant de ne pas "délocaliser les emplois et sites de production" américains.
Surveillance syndicale
Signe que les inquiétudes initiales du marché s'apaisaient, l'action Nippon Steel s'est envolée de 4,6% en séance jeudi à la Bourse de Tokyo.
"Nous allons continuer à surveiller, à confronter Nippon à ses engagements. Et nous utiliserons l'outil le plus puissant à disposition des ouvriers: la négociation de l'accord social", a réagi David McCall, président du syndicat de la métallurgie (USW), farouchement opposé au rapprochement avec Nippon Steel.
L'USW a aussi dénoncé le "saisissant degré de pouvoir personnel (obtenu par Donald Trump) sur une entreprise" privée.
Les résultats d'US Steel seront consolidés dans les comptes de Nippon Steel pour le troisième trimestre.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
La Birmane Aung San Suu Kyi fête ses 80 ans coupée du monde
Captive de la junte depuis le coup d'Etat de 2021, l'icône déchue de la démocratie birmane, Aung San Suu Kyi, fête ses 80 ans jeudi dans un pays en guerre. L'opposition n'a prévu aucune célébration publique pour marquer cet événement.
La prix Nobel de la paix 1991 purge une peine de 27 ans de prison, pour des accusations "montées de toutes pièces" par l'armée, selon les groupes de défense des droits humains. En Birmanie, les activistes, ciblés par une répression féroce, ont pris le maquis pour combattre les généraux par les armes, à rebours du discours de non-violence prôné par la "Dame de Rangoun".
"Ca sera difficile de célébrer sur le coup", a déclaré à l'AFP Kim Aris, 47 ans, l'un des deux fils d'Aung San Suu Kyi, qui réside au Royaume-Uni. "Nous avons appris à endurer ce qui se passe depuis si longtemps", a-t-il poursuivi.
"Cette grande personne"
Kim Aris terminait jeudi, dans un parc de Londres, une opération qui l'a vu courir 80 kilomètres en huit jours pour récolter 80'000 messages vidéo de soutien - que sa mère, détenue dans la capitale birmane Naypyidaw, ne verra probablement jamais.
Un groupe de partisans a organisé le même jour une manifestation spontanée à l'approche de son anniversaire dans la ville de Mandalay, sous contrôle militaire, selon les médias locaux, mais aucune célébration officielle n'étaitprévues dans les régions contrôlées par la junte.
Quelques manifestants masqués ont inondé une rue de tracts portant les messages "liberté de vivre sans peur" et "joyeux anniversaire", tandis qu'un membre brandissait un portrait d'Aung San Suu Kyi, selon des images partagées sur les réseaux sociaux. "Vous souvenez-vous encore de cette grande personne?" a demandé un manifestant dans la vidéo, que l'AFP n'a pas pu vérifier de manière indépendante.
Informations au compte-goutte
Depuis le putsch, Kim Aris n'a reçu qu'une seule lettre de sa mère, il y a deux ans. "Nous n'avons aucune idée de l'état dans lequel elle se trouve", a-t-il concédé. La junte livre au compte-goutte les informations sur sa santé.
"Elle est en bonne santé", a assuré le porte-parole Zaw Min Tun en mars. Il a assuré qu'elle bénéficiait d'examens médicaux réguliers. Selon Kim Aris, sa mère souffre de problèmes cardiaques, aux os et aux dents, qui ne sont pas traités.
Résidence surveillée
Fille du héros de l'indépendance Aung San, assassiné en 1947 alors qu'elle n'avait que deux ans, Aung San Suu Kyi avait surpris tout le monde en 1988 en décidant de s'impliquer dans le destin de son pays, alors en révolte contre la junte du général Ne Win.
Autorisée à former la Ligue nationale pour la démocratie (LND), elle est rapidement placée en résidence surveillée. Elle est libérée en 2010 et entre au Parlement deux ans plus tard, après l'autodissolution de la junte un an plus tôt, qui a ouvert une décennie d'expérimentation démocratique inédite.
En 2015, la LND (dissoute en 2023) avait triomphé aux élections, mais les règles établies par les militaires l'ont empêchée d'occuper formellement le siège de présidente.
Le drame des Rohingyas
Cependant, l'image de l'icône a commencé à se fendiller à l'international, après le drame des musulmans rohingyas, qualifié de "génocide" par les Etats-Unis. Des centaines de milliers de membres de cette minorité ont fui la Birmanie depuis l'été 2017 face aux exactions de l'armée birmane et de milices bouddhistes.
La passivité et le manque de compassion d'Aung San Suu Kyi sont alors pointés du doigt et l'ancienne dissidente est largement désavouée par la communauté internationale.
Aung San Suu Kyi est allée jusqu'à se défendre des accusations de génocide devant la Cour internationale de justice (CIJ) en 2019, chose rare pour une dirigeante. Elle y avait fustigé des allégations "trompeuses et incomplètes".
L'armée l'a délogée du pouvoir le 1er février 2021, en prétextant des fraudes électorales massives, sans preuves, lors des législatives de novembre 2020 largement remportées par la LND. Les militaires ont assuré qu'ils voulaient un nouveau scrutin, mais plus de quatre ans plus tard, leur promesse tarde à se concrétiser.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Un hôpital touché en Israël, Netanyahu menace Khamenei
Israël a prévenu jeudi que le guide iranien Ali Khamenei devrait "répondre de ses crimes" après des salves de missiles qui ont touché un hôpital et fait des dizaines de blessés sur le territoire de l'Etat hébreu. Téhéran assure que sa cible était un site militaire.
Après une attaque de dizaines de missiles iraniens particulièrement violente, l'alerte a été activée dans plusieurs régions d'Israël, où les habitants ont pris brièvement refuge dans les abris. Selon les services de secours, 47 personnes ont été blessées.
L'hôpital Soroka de Beersheva (sud) a été touché par une frappe iranienne. "Il y a eu d'importants dégâts", a indiqué l'hôpital. Les Affaires étrangères israéliennes ont fait état d'un "impact direct" sur l'établissement, où sont notamment soignés des soldats israéliens blessés dans la guerre à Gaza.
"Lâche dictateur"
"Le lâche dictateur iranien (...) tire délibérément sur des hôpitaux et des immeubles résidentiels en Israël. Ce sont là des crimes de guerre parmi les plus graves, et Khamenei devra répondre de ses crimes", a déclaré le ministre de la Défense Israël Katz.
Avec le Premier ministre Benjamin Netanyahu, "nous avons ordonné d'intensifier les frappes contre les cibles stratégiques en Iran et contre les infrastructures du pouvoir à Téhéran, afin d'éliminer les menaces pesant sur l'Etat d'Israël et d'ébranler le régime des ayatollahs", a-t-il ajouté.
"Les dictateurs terroristes iraniens ont tiré des missiles sur l'hôpital Soroka de Beersheva et sur des civils. Nous ferons payer un prix lourd aux tyrans de Téhéran", a averti M. Netanyahu sur X.
Cible militaire
"La cible principale de l'attaque était la base de commandement et de renseignement de l'armée israélienne (IDF C4I) et le camp de renseignement de l'armée dans le parc technologique de Gav-Yam, situé à proximité de l'hôpital Soroka", a répondu l'agence de presse gouvernementale iranienne Irna.
Elle précise que l'hôpital a été "exposé uniquement à l'onde de l'explosion" et que la "cible directe et précise" était l'installation militaire.
Sites nucléaires visés
Dans la nuit, l'armée israélienne a annoncé avoir frappé un "réacteur nucléaire inachevé" à Arak et "un site de développement d'armes nucléaires dans la région de Natanz", dans le centre de l'Iran. Une quarantaine d'avions de combat ont participé aux raids qui ont touché des dizaines de sites, a dit l'armée.
Israël a affirmé précédemment avoir détruit "la principale installation" du site d'enrichissement d'uranium de Natanz. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a fait état mardi d'"éléments montrant des impacts directs sur les salles souterraines" du site.
En Iran, les frappes israéliennes ont fait au moins 224 morts depuis le début de la guerre, selon un bilan officiel. En Israël, les tirs iraniens ont fait 24 morts, selon le gouvernement.
L'Iran a promis de faire "regretter et payer" à Israël ses attaques. "L'Iran continuera à exercer son droit à l'autodéfense (...) et nous ferons regretter et payer à l'agresseur sa grave erreur", a écrit jeudi sur X le chef de la diplomatie Abbas Araghchi.
"Toutes les options sont ouvertes"
Mercredi, le guide suprême iranien, Ali Khamenei a proclamé que son pays ne se rendrait "jamais", en réponse à l'appel de M. Trump "à capituler sans conditions".
Jeudi, l'Iran a de nouveau affirmé que "toutes les options sont ouvertes", en cas d'intervention américaine dans le conflit, après que le guide iranien a averti les Etats-Unis qu'une telle intervention conduirait à des "dommages irréparables".
Donald Trump a assuré mercredi n'avoir pas encore pris de décision sur une éventuelle participation des Etats-Unis aux frappes d'Israël contre l'Iran, affirmant devant la presse: "je vais peut-être le faire, peut-être pas". "Je n'ai pas pris (de décision) finale", a-t-il ensuite dit.
Interrogé sur une possible chute du pouvoir actuel à Téhéran, il a estimé que cela "pourrait se produire". M. Trump a précédemment affirmé que les Etats-Unis pouvaient s'ils le voulaient tuer l'ayatollah Khamenei.
400 missiles
Les Etats-Unis, qui ont déployé un troisième porte-avions, le Nimitz, vers le Moyen-Orient, sont les seuls à détenir la bombe GBU-57, unique arme susceptible d'être capable d'atteindre le coeur profondément enfoui du programme nucléaire iranien, à Fordo, au sud de Téhéran.
Affirmant disposer de renseignements prouvant que l'Iran s'approchait du "point de non-retour" vers la bombe atomique, Israël a lancé le 13 juin une attaque massive sans précédent contre ce pays, frappant des centaines de sites militaires et nucléaires et tuant les plus hauts gradés ainsi que des scientifiques du nucléaire.
L'Iran, qui dément fabriquer l'arme nucléaire, accuse Israël d'avoir cherché à torpiller les négociations qui avaient commencé sur le nucléaire entre Téhéran et Washington.
Depuis le 13 juin, l'Iran a tiré environ 400 missiles balistiques sur Israël, dont 20 ont touché des zones civiles, et un millier de drones, selon un responsable militaire israélien mercredi soir.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
La Juventus en maîtrise face aux Emiratis d'Al Aïn
La Juventus s'est imposée avec une maîtrise absolue mercredi à Washington face aux Emiratis d'Al Aïn, pour son entrée dans le Mondial des clubs.
Sa victoire 5-0 lui permet de chiper la tête du groupe G à Manchester City.
Dans une rencontre à sens unique, Randal Kolo Muani a montré la voie aux Turinois, avec l'ouverture du but d'une tête autoritaire (11e). Le gardien portugais d'Al Aïn Rui Patricio a ensuite vu, impuissant, les ailiers de la Juve augmenter la mise: Conceiçao l'a doublée (21e) et la pépite turque Yildiz l'a triplée après un show dans la surface (31e).
Kolo Muani s'est offert un doublé d'un ballon glissé de l'extérieur du pied dans les filets (49e), et Conceiçao l'a imité d'une jolie frappe côté opposé (58e). Les joueurs de la Juve furent en tout cas bien plus à l'aise sur la pelouse de la capitale que dans l'antre du pouvoir américain, la Maison Blanche.
Invités par Donald Trump, ils se tenaient là, droits comme des piquets derrière le président, quelques heures avant la rencontre. Le républicain en a profité pour s'adonner à son activité préférée: commenter l'actualité (et le conflit en Iran) dans une conférence de presse improvisée.
La Juventus affrontera les Marocains du Wydad Casablanca dimanche pour la deuxième journée et Al Aïn se frottera pour sa part à Manchester City, le 23 juin.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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