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Imhof 4e de la poursuite individuelle

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Claudio Imhof a terminé 4e de la poursuite des Mondiaux (© KEYSTONE/EPA/YOAN VALAT)

Claudio Imhof n'a pas signé d'exploit vendredi soir aux Mondiaux sur piste de Roubaix.

Le Thurgovien a logiquement subi la loi de la star italienne Filippo Ganna dans le match pour la médaille de bronze du tournoi de poursuite individuelle.

Le vice-champion d'Europe 2021, qui s'était qualifié pour cette petite finale en établissant un nouveau record de Suisse dans l'après-midi (4'07''609), n'a pas à rougir de cet échec synonyme de 4e place. Il s'est heurté à bien plus fort que lui vendredi soir.

Même au sommet de son art, Claudio Imhof n'aurait sans doute rien pu faire pour contrer un Filippo Ganna revanchard. Privé de finale pour plus d'une demi-seconde, le quadruple champion du monde de la spécialité a rattrapé le Thurgovien après moins de 3 km!

Lambie en or

Claudio Imhof (31 ans) en reste donc à une médaille mondiale, celle de bronze conquise en 2016 dans l'épreuve du scratch. Mais, en menant aussi le "quatre" helvétique à la 5e place de ces Mondiaux et à la 3e des récents Européens de Granges, il est parvenu à effacer la déception de sa non-sélection pour les JO de Tokyo.

Battu par Filippo Ganna en finale des Mondiaux 2020 à Berlin, Ashton Lambie a décroché pour sa part le premier grand titre de sa carrière. L'Américain de 30 ans, premier homme à être passé sous les 4' (3'59''930 cet été à Aguascalientes), a réalisé 4'05''060 en finale pour dominer l'Italien Jonathan Milan.

Thiébaud 6e de la course aux points

Membre de l'équipe de poursuite, Valère Thiébaud a par ailleurs terminé à une belle 6e place dans la course aux points, remportée par l'impressionnant Français Benjamin Thomas. Le Neuchâtelois, qui a récolté 16 points, n'a toutefois jamais semblé en mesure de monter sur le podium.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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TikTok menacé aux Etats-Unis après le feu vert de la Cour suprême

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La loi americaine fixe à la maison mère de TikTok, ByteDance, la date limite du 19 janvier - soit dimanche - pour céder l'application à un autre propriétaire (archives). (© KEYSTONE/AP/Andy Wong)

La Cour suprême américaine a approuvé vendredi à l'unanimité l'entrée en vigueur d'une loi menaçant d'interdiction imminente le très populaire réseau social TikTok, si sa maison mère chinoise refuse de le vendre.

"Il ne fait pas de doute que, pour plus de 170 millions d'Américains, TikTok offre un important mode d'expression, d'interaction et d'appartenance à une communauté. Mais le Congrès a établi que sa cession était nécessaire pour répondre à ses inquiétudes bien fondées en matière de sécurité nationale", estiment les neuf juges de la Cour.

Ils concluent donc que la loi contestée ne viole pas le Premier amendement de la Constitution américaine garantissant la liberté d'expression.

En pleine confrontation stratégique entre les Etats-Unis et la Chine, le Congrès américain a adopté cette loi en avril à une large majorité bipartisane, réunissant des élus démocrates comme républicains.

Elle vise à prévenir les risques d'espionnage et de manipulation par les autorités chinoises des utilisateurs de TikTok.

La loi, aussitôt promulguée par le président Joe Biden, fixe à la maison mère du réseau social, ByteDance, la date limite du 19 janvier pour céder l'application à un autre propriétaire.

L'entreprise table sur la sympathie du président élu Donald Trump, qui prendra ses fonctions le 20 janvier et a confié son "faible" pour TikTok.

Une des solutions envisagées en cas de maintien de la loi serait que ByteDance revende ses parts à des investisseurs non-chinois, une possibilité que l'entreprise a constamment repoussée.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Le procureur de la CPI rencontre le nouveau dirigeant syrien

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Le nouveau dirigeant syrien et son chef de la diplomatie ont rencontré "une délégation de la Cour pénale internationale dirigée" par Karim Khan (photo). (© KEYSTONE/AP/Peter Dejong)

Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Karim Khan, a été reçu vendredi par le nouveau dirigeant syrien, Ahmad al-Chareh. Ce dernier a pris le pouvoir après la chute de Bachar al-Assad accusé de crimes durant la guerre civile.

M. Chareh et le chef de la diplomatie syrienne, Assaad al-Chaibani, ont rencontré "une délégation de la Cour pénale internationale, dirigée" par Karim Khan, a déclaré l'agence de presse officielle Sana, qui a également publié des images de la réunion.

Le président déchu, Bachar al-Assad, qui a fui à Moscou, refusait de coopérer avec la CPI, ne reconnaissant pas sa compétence sur son territoire.

Rendre justice

Le groupe islamiste de M. Chareh, Hayat Tahrir al-Sham (HTS), a mené une coalition qui a renversé Assad le 8 décembre, plus de 13 ans après la répression sanglante de manifestations anti-Assad ayant déclenché une guerre qui a fait plus de 500'000 morts.

Les nouvelles autorités ont promis de rendre justice aux victimes des atrocités commises durant les décennies de règne du clan Assad, s'engageant à juger les responsables impliqués dans la torture des détenus. Elles ont exhorté la communauté internationale à leur remettre les personnes recherchées qui ont fui.

La CPI, basée à La Haye, n'a pas été en mesure d'enquêter sur la Syrie car le pays n'a jamais ratifié le Statut de Rome, son traité fondateur.

En 2014, la Russie et la Chine ont opposé leur veto à un projet de résolution du Conseil de sécurité visant à renvoyer le dossier syrien devant la CPI.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Russie-Iran: "accord de partenariat stratégique global" signé

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Le contenu précis du texte n'a pas encore été rendu public, mais Vladimir Poutine a salué après la signature du document un accord "aux objectifs ambitieux". (© KEYSTONE/AP/Vyacheslav Prokofyev)

Le président russe Vladimir Poutine et son homologue iranien Massoud Pezeshkian ont signé vendredi à Moscou un "accord de partenariat stratégique global". Celui-ci marque un nouveau rapprochement entre ces deux pays aux relations hostiles avec les Occidentaux.

Vladimir Poutine a salué après la signature du document un accord "aux objectifs ambitieux". "Les liens entre nos deux pays sont considérables et mutuellement bénéfiques", a-t-il insisté.

Ce pacte couvre tous les domaines, notamment de "l'énergie", "l'environnement" et "les questions liées à la défense et la sécurité", a indiqué l'ambassade iranienne en Russie la semaine dernière Aucun détail n'a cependant été dévoilé vendredi.

Soumis à de lourdes sanctions internationales qui affectent leurs économies, la Russie et l'Iran ont opéré un rapprochement accéléré ces dernières années, en particulier depuis l'assaut contre l'Ukraine.

Les deux pays ont également essuyé des échecs et une perte d'influence, en particulier en décembre avec la fuite de Syrie de leur allié Bachar al-Assad.

Opposés à tout "diktat"

Durant la conférence de presse suivant la signature de l'accord, Vladimir Poutine a affirmé que la Russie et l'Iran s'opposent ensemble à tout "diktat" de puissances étrangères. "Nos pays défendent fermement les principes de la primauté du droit international, les principes de la souveraineté et de la non-ingérence dans les affaires intérieures", a ajouté le président russe.

Le président iranien Massoud Pezeshkian a pour sa part appelé à un "règlement politique" du conflit en Ukraine qui dure depuis bientôt trois ans. "Les hostilités et la guerre ne sont pas la solution au problème", a-t-il dit selon une traduction en russe de ses propos. "Nous sommes donc favorables à un règlement politique entre la Russie et l'Ukraine."

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Saab: la croissance des ventes 2024 meilleure qu'attendu

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Sur le seul quatrième trimestre, Saab indique que le bénéfice d'exploitation est attendu à 2 milliards de couronnes, contre 1,4 milliard un an plus tôt. (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Le groupe suédois d'armement et d'aéronautique Saab a enregistré une croissance plus forte que prévu de son chiffre d'affaires grâce à la réalisation meilleure qu'attendu de ses projets en fin d'année, a-t-il annoncé vendredi.

Le chiffre d'affaires a atteint l'an dernier 63,8 milliards de couronnes suédoises (5,2 milliards de francs), une croissance organique de 23,4% meilleure que prévu précédemment (haut de la fourchette de +15% à +20%), a-t-il précisé dans un communiqué.

Cette hausse résulte "d'une évolution des ventes plus importante que prévu en raison de l'exécution exceptionnelle de projets au quatrième trimestre", précise le groupe.

Cette annonce a fait brièvement bondir le titre d'environ 3%, avant de retomber. Il perdait 0,90% à 233,85 couronnes à 12H50 locales (11H50 GMT) tandis que l'indice OMX 30 de la Bourse de Stockholm gagnait 1,60%.

Sur le seul quatrième trimestre, Saab indique que le bénéfice d'exploitation est attendu à 2 milliards de couronnes, contre 1,4 milliard un an plus tôt.

Saab est porté depuis plusieurs trimestres par le réarmement provoqué par la guerre en Ukraine et l'adhésion de la Suède à l'Otan.

Ces estimations sont publiées en amont des résultats annuels qui seront rendus publics le 7 février.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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