International
L'absence de Djokovic est une "très triste nouvelle" pour Nadal
Rafael Nadal a regretté vendredi l'absence à l'US Open de Novak Djokovic, obligé de renoncer à participer en raison de son refus de se faire vacciner contre le Covid.
"De mon point de vue, c'est une très triste nouvelle", a déclaré le 3e joueur mondial en conférence de presse, à trois jours du début de l'US Open. "C'est toujours dommage lorsque les meilleurs joueurs du monde ne peuvent pas participer à un tournoi en raison de blessures ou pour d'autres raisons", a souligné l'Espagnol.
"Dans ce cas, ne pas avoir l'un des meilleurs joueurs de l'histoire dans le tableau d'un Grand Chelem, ça représente toujours un manque important, non ? C'est dur pour les fans, dur pour le tournoi. À mon avis, dur pour les joueurs aussi, parce que nous voulons avoir les meilleures conditions de compétition possibles", a poursuivi l'homme aux 22 titres du Grand Chelem.
"D'une certaine manière, le sport est plus grand que n'importe quel joueur. Même si ce n'est pas une bonne nouvelle pour tout le monde, le monde continue et le tennis continuera après moi, après Novak, après Roger (Federer)", a encore souligné le quadruple vainqueur de l'US Open.
"Du mieux que je peux"
Rafael Nadal avait manqué l'US Open l'an dernier en raison de sa douleur récurrente au pied gauche. Cette année, après ses victoires à l'Open d'Australie puis à Roland-Garros, il a été contraint de déclarer forfait en demi-finale à Wimbledon en raison d'une déchirure abdominale. Une blessure à laquelle il sait qu'il va devoir rester attentif.
"C'est une blessure sérieuse, car elle reste à risques. C'est une partie du corps qui est très sollicitée lorsque vous servez. (...) J'ai fait attention à Cincinnati, je me ménage à l'entraînement, et pendant les matchs j'essaie de ne pas trop forcer sur mes services. (...) Je fais les choses du mieux que je peux", a-t-il déclaré, en "espér(ant) être prêt".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Une frayeur pour Novak Djokovic
Novak Djokovic a été assommé par une gourde après son entrée en lice victorieuse dans le Masters 1000. Une vidéo diffusée par le site de la Gazzetta dello Sport décrit la scène.
En sortant du Central, le Serbe, vainqueur du Français Corentin Moutet 6-3, 6-1, signait des autographes à des spectateurs situés en tribunes au-dessus de lui quand il a reçu une gourde sur la tête. Il s'est affalé par terre et, rejoint par une personne de son entourage, il est resté plusieurs minutes prostré avant de repartir vers les vestiaires.
Contacté par l'AFP pour connaître l'état de santé de Djokovic, ni l'ATP ni les organisateurs n'ont donné suite. L'ATP a indiqué qu'il n'y aurait pas de conférence de presse d'après-match vendredi soir.
Le Serbe fait à Rome, un tournoi qu'il a remporté à six reprises, son retour en compétition depuis son élimination en demi-finale du Masters 1000 de Monte-Carlo.
Son début de saison est loin de ses standards habituels, puisqu'il n'a disputé que quatre tournois et n'en a gagné aucun.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Les Etats de l'OMS vont prolonger les négociations anti-pandémies
Les 194 membres de l'OMS n'ont toujours pas trouvé un consensus pour un accord contre les pandémies, à quelques jours du délai de l'Assemblée mondiale de la santé le 27 mai. Vendredi soir, ils ont décidé à Genève de poursuivre les négociations la semaine prochaine.
"Les gouvernements du monde entier ont accepté aujourd'hui de continuer à travailler sur la proposition d'un accord contre les pandémies", a affirmé l'Organisation mondiale de la santé (OMS) dans une déclaration. Ils doivent "encore affiner le projet".
Après les polémiques sur les inégalités d'accès aux vaccins pendant la pandémie liée au coronavirus, l'objectif est d'éviter la même discrimination à l'avenir. Un dispositif Covax avait été lancé pour tenter de compenser ces disparités, mais des retards et des problèmes de distribution avaient été subis.
Symbole des divisions entre pays riches et en développement, les délégués ont avancé au ralenti dans les discussions article par article. Les divergences restent importantes sur le transfert de technologies ou le partage des pathogènes.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Le procès Trump encore marqué par les mots crus de Stormy Daniels
Fin d'une troisième semaine de débats vendredi au procès de Donald Trump. Elle a été marquée par le témoignage marathon de l'ex-actrice pornographique Stormy Daniels, bénéficiaire des paiements dissimulés qui valent à l'ex-président ces poursuites pénales inédites
La semaine s'était ouverte lundi à New York par un nouveau coup de semonce du juge Juan Merchan, qui a infligé une série d'amendes à Donald Trump pour avoir attaqué verbalement les témoins et les jurés, en violation de ses instructions. Il l'a menacé de prison en cas de récidive.
Au tour de Michael Cohen
L'autre témoin vedette de ce procès, l'ancien avocat de Donald Trump, Michael Cohen, qui avait versé à l'actrice 130'000 dollars dans les derniers jours de la campagne pour l'élection présidentielle de 2016, remportée sur le fil par le candidat républicain, pourrait être appelé à la barre dès la semaine prochaine. Michael Cohen, qui dit avoir agi à sa demande, s'est retourné contre son ancien patron.
En pleine campagne contre le président sortant démocrate Joe Biden, le candidat républicain est jugé pour 34 délits de falsifications comptables pour dissimulation dans les comptes de sa holding, la Trump Organization, du remboursement des sommes à l'avocat. Il risque une condamnation et potentiellement une peine de prison, aux conséquences encore incalculables sur l'électorat.
Bien que les faits soient moins graves que ceux qui lui sont reprochés dans les trois autres procédures pénales à son encontre, ce procès est d'autant plus important qu'il pourrait être le seul à se tenir avant le scrutin du 5 novembre.
Seul le procès fédéral de Donald Trump à Washington pour tentatives illicites d'inverser les résultats de l'élection de 2020 pourrait encore débuter avant cette échéance, à condition que la Cour suprême rejette rapidement l'immunité qu'il revendique en tant qu'ex-président.
Ex-assistante et experts en téléphonie
Comme chaque jour, le candidat républicain a dénoncé à son arrivée au tribunal de Manhattan vendredi un procès "horrible" destiné selon lui à l'empêcher de faire campagne, mais a déclaré qu'il serait en meeting samedi dans le New Jersey voisin. Depuis son ouverture le 15 avril, le procès alterne morceaux de bravoure judiciaires et arides séquences très techniques.
Ainsi, la tension dramatique est retombée après le témoignage fleuve mardi et jeudi de Stormy Daniels qui a relaté avec force détails la relation sexuelle qu'elle affirme avoir eue avec lui en 2006, et a combattu pied à pied les tentatives de la défense de décrédibiliser son récit. Une liaison que Donald Trump, alors déjà marié avec son actuelle épouse Melania, nie catégoriquement.
Vendredi se sont succédés à la barre l'une de ses assistantes directes à la Maison Blanche, Madeleine Westerhout, qui a expliqué comment Donald Trump menait ses affaires, puis deux spécialistes d'entreprises de téléphonie, interrogés sur des relevés d'appels téléphoniques.
L'un des enjeux des débats est de déterminer ce que Donald Trump savait de ces tractations en coulisses pour acheter le silence de Stormy Daniels.
S'il était de nouveau élu, il pourrait, une fois investi en janvier 2025, ordonner l'abandon des deux procédures fédérales à son encontre, à Washington mais aussi en Floride (sud-est), où il est poursuivi pour rétention de documents classifiés après son départ de la Maison Blanche.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Des crues subites font 50 morts en une journée dans le nord
Au moins 50 personnes, "en majorité des femmes et des enfants", sont mortes vendredi lors de crues subites dans la province de Baghlan, dans le nord de l'Afghanistan, a indiqué à l'AFP un responsable local.
"Le bilan jusqu'ici est de 50 morts selon l'hôpital du district de Baghlan-e-Markazi", a affirmé Hedayatullah Hamdard, chef de l'autorité provinciale en charge de la gestion des catastrophes naturelles, et "il pourrait augmenter".
"Les pluies saisonnières ont provoqué des crues subites et les gens, qui n'avaient pas pu se préparer, n'ont pas pu se sauver", a-t-il ajouté. Des équipes de secours "cherchent s'il y a des victimes prises dans la boue ou sous les décombres", a-t-il encore dit dans la soirée.
Depuis mi-avril, des crues subites et des inondations avaient déjà fait une centaine de morts dans dix provinces du pays dont aucune région n'a été épargnée, selon les autorités. L'Afghanistan a connu un hiver très sec, rendant plus difficile l'absorption des pluies par les sols.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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