Lausanne
Le Tour de France fera escale à Lausanne et à Aigle
Le Tour de France passera en Suisse l'année prochaine. La Grande Boucle fera escale à Lausanne pour une arrivée et à Aigle pour un départ d'étape.
Les noms de Lausanne et d'Aigle avaient été cités cet été comme possibles points de chute du 109e Tour de France. La présentation du Tour à Paris ce mercredi a apporté une confirmation.
La huitième étape se terminera dans la capitale vaudoise le samedi 9 juillet. Elle sera partie de Dole dans le Jura. L'arrivée sera jugée devant le Stade olympique de la Pontaise après un passage dans la ville.
Le lendemain, Aigle sera le théâtre du départ de la 9e étape qui se terminera à Châtel en Haute-Savoie. Mais avant de rejoindre la station française, la caravane du Tour empruntera pendant 145 km les routes helvétiques avec des passages dans les cantons de Vaud, Fribourg et Valais. Le premier col sera celui des Mosses. Ensuite, les coureurs escaladeront le Col de la Croix et le Pas-de-Morgins avant d'arriver à Chatel.
Dernière fois en 2016
Voilà vingt-deux ans que la Grande Boucle ne s'était plus arrêtée à Lausanne, qui sera pour la sixième fois lieu d'arrivée d'une étape. Pour Aigle, siège de l'Union cycliste internationale (UCI), il s'agira d'une première. La dernière visite du Tour de France en Suisse datait de 2016. Berne avait jugé l'arrivée de la 16e étape. Après un jour de repos, le peloton était reparti de la capitale en direction de Finhaut-Emosson où le Russe Ilnur Zakarin s'était imposé.
Le départ de la prochaine édition du Tour de France sera donné déjà le vendredi 1er juillet - grâce à une dérogation - à Copenhague avec un contre-la-montre individuel. Le Grand Départ aurait déjà dû avoir lieu dans la capitale danoise cet été, mais en raison de la pandémie du coronavirus, il avait été transféré en Bretagne. Comme à son habitude depuis 1975, l'épreuve se terminera trois semaines plus tard sur les Champs-Elysées à Paris.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Le TAS rejette le recours du Servette FC
Le Tribunal arbitral du sport a rejeté le recours du Servette FC concernant la décision prise fin février par la Commission des transferts de la Swiss Football League.
Celle-ci n'avait pas accordé de dérogation aux Grenat pour radier deux joueurs supplémentaires hors délai et pouvoir aligner ainsi deux nouvelles recrues.
Servette avait déposé un appel urgent auprès du TAS afin d'obliger la SFL à radier Boubacar Fofana et Chris Bedia du contingent genevois, ou à accorder au club une dérogation afin d'inscrire Bassirou Ndiaye et Omar Rekik dans son effectif officiel. Parmi les recrues hivernales, seul le Japonais Takuma Nishimura Takuma Nishimura a intégré le cadre servettien en bonne et due forme.
Une procédure accélérée a été menée par le TAS, dont le siège se situe à Lausanne, et les parties ont été entendues le 22 mars au cours d'une audience. Le Tribunal arbitral sportif souligne dans son communiqué que "les motifs de la sentence arbitrale seront notifiés aux parties à une date ultérieure."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Photo Elysée: Man Ray entre portraits et expérimentations
Photo Elysée consacre une exposition à Man Ray, qui a immortalisé le Tout-Paris surréaliste des années 1920 tout en expérimentant de nouveaux procédés photographiques. L'accrochage lausannois réunit 188 photographies issues d'une collection privée.
Lorsqu'on évoque le surréalisme et la photographie, "le nom de Man Ray arrive inévitablement", a expliqué jeudi devant la presse Nathalie Herschdorfer, directrice du musée. Avec "Man Ray libérer la photographie", Photo Elysée s'inscrit dans les célébrations du centenaire du mouvement créé en 1924 par André Breton. Le musée voisin, le mudac a ouvert les feux en mars. Le MCBA suivra en avril.
New York puis Paris
Man Ray (1890-1976) réalise ses premières photographies à New York dans les années 1910. Mais c'est dans les deux décennies suivantes, alors qu'il vit à Paris, qu'il abandonne l'idée de faire carrière dans la peinture et se consacre à la photographie, un médium qui va lui permettre d'aller au-delà de la représentation du réel.
L'exposition, à découvrir dès vendredi et jusqu'au 4 août, s'attarde sur les années 1920-30, où Man Ray, proche de Marcel Duchamp, côtoie la scène artistique parisienne. Il rencontre Salvador Dali, Paul Eluard, Georges Braque, Jean Cocteau ou Tristan Tzara et les photographie dans son studio. Présenté au couturier Paul Poiret, il se met à faire des photos de mode. "Très vite il gagne très bien sa vie", observe Mme Herschdorfer.
Mises en scène
L'exposition revient sur ses relations avec ses muses, qu'il met en scène. "L'amour, la sexualité sont des thèmes qui ont été abondamment décrits par les surréalistes", rappelle la directrice. Aux cimaises, se succèdent ainsi Lee Miller, Meret Oppenheim et Kiki de Montparnasse, la femme aux ouïes de violon peintes sur le dos nu, un cliché vendu pour plus de 12 millions de dollars, un record.
L'artiste expérimente et explore. Il crée des photogrammes, qu'il nomme d'après son nom "rayographes". Dans une chambre noire, il pose un objet sur un papier photosensible et crée une image avec la lumière, sans appareil photo. Il s'essaye à d'autres techniques, comme la solarisation, une découverte dans laquelle Lee Miller a joué "un rôle important", souligne Mme Herschdorfer.
Réalisée à partir d'une collection privée anonyme, pour l'heure montrée qu'en Asie, l'exposition présente quelques-unes des photographies emblématiques de Man Ray. Certains tirages datent des années 1920 ou 1930 - souvent les petits formats -, d'autres ont été retravaillés plus tard par l'artiste, une pratique qui a persisté après sa mort. Environ 80% des tirages de l'exposition ont été faits de son vivant, a précisé le musée.
Cindy Sherman et Marclay
Avec le fil rouge du "portrait" en filigrane, Photo Elysée consacre en parallèle une exposition à la photographe américaine Cindy Sherman et à ses visages recomposés. Un travail de Christian Marclay et des étudiants de l'ECAL autour du photomaton, ainsi qu'un projet de recherche sur les "données" complètent sa programmation.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Hockey
Fin de saison pour Aurélien Marti
Aurélien Marti ne rejouera plus cette saison. Le défenseur du Lausanne HC a été victime d'une fracture du poignet gauche lundi lors de l'acte V du quart de finale de National League face à Davos.
Le hockeyeur de 29 ans a été opéré avec succès, a annoncé le LHC mercredi dans un communiqué. Le club vaudois a précisé que Marti sera opérationnel pour le début de la préparation de la saison prochaine, au mois d'août.
Battu 1-0 à domicile lundi, Lausanne n'a plus le droit à l'erreur dans son quart de finale. Une défaite à Davos mercredi lors de l'acte VI enverrait les joueurs de Geoff Ward en vacances.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Lauréat choisi pour le Service des eaux à Vidy
Le projet Lamello des bureaux mad architectes sàrl (Lausanne) et Boubaker Ingénieurs Conseils SA (Crissier) a remporté le concours d'architecture d'Epura SA pour le nouveau bâtiment administratif du Service de l’eau à Lausanne. Il sera exposé aux côtés des projets concurrents au forum d’architectures du 5 au 14 avril.
Afin de favoriser la cohésion des équipes et une meilleure coordination des activités, il a été décidé de regrouper une très grande partie du personnel du Service de l'eau dans un nouveau bâtiment. Le site de la station d’épuration (STEP) de Vidy a été choisi comme emplacement idéal, rappelle la Ville de Lausanne mercredi dans un communiqué.
Le concours comprenait non seulement la construction d’un nouveau bâtiment, mais aussi la rénovation et l'intégration soigneuse de l'actuel bâtiment administratif de la STEP noté *3* (objet d’intérêt régional) dans le cadre du recensement architectural vaudois. Au total, le jury a admis les 36 projets reçus.
Le projet lauréat, Lamello, a su convaincre le jury par son intégration harmonieuse à l'édifice existant et ses solutions innovantes en matière d'efficacité énergétique et d'écologie. Pierre-Antoine Hildbrand, directeur de la Sécurité et de l’économie, relève que "le résultat ici dévoilé l’a emporté par un choix clair dans le lien créé avec l’atrium de l’ancien bâtiment".
Ce projet marque une étape importante dans la modernisation des infrastructures de la STEP de Vidy. Epura SA, la société créée par la Ville pour prendre en charge le traitement des eaux, financera la construction du bâtiment et le louera au Service de l’eau. Les coûts sont estimés à un peu plus de 25 millions de francs.
Pour mémoire, le Service de l’eau doté de 250 collaborateurs gère l’ensemble du cycle de l’eau: de l'approvisionnement en eau potable de 20 communes en passant par l’évacuation et l’épuration des eaux usées.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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