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Sport

Marco Odermatt: "C'était génial"

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Marco Odermatt: un nouveau triomphe à Adelboden. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Cette fois, il le savoure pleinement. Marco Odermatt qualifie de "génial" son deuxième succès sur le Chuenisbärgli.

"L'an dernier, la pression et les attentes étaient énormes. Aujourd'hui, c'était une autre histoire, explique-t-il. J'avais gagné l'an dernier. J'étais en quelque sorte plus libéré."

Le Nidwaldien a, bien sûr, apprécié l'ambiance unique. Skier devant 22'000 spectateurs acquis à sa cause restera un grand souvenir. "C'était de la folie. J'ai entendu scander mon nom des milliers de fois", lâche-t-il.

Au moment de s'élancer lors de la seconde manche, Marco Odermatt ne savait pas que Henrik Kristoffersen avait soufflé la première place à Loïc Meillard. "Je savais seulement que je devais tout donner. Tout risquer, avoue-t-il. Je n'avais pas de marge dans la mesure où au moins un skieur parti avant moi avait dû réussir une superbe manche. J'étais plus d'une fois à la limite. Heureusement, la piste a parfaitement tenu, se félicite-t-il. Le fait que je signe le meilleur temps de la seconde manche en m'élançant en trentième position prouve que cette course a été régulière."

Le leader - intouchable - de la Coupe du monde se refuse de banaliser ses exploits. "Rien n'est simple, dit-il. Chaque course est un nouveau défi. Et celles disputées en Suisse entraînent davantage de pression." Avant le prochain rendez-vous fixé à Wengen avec un Super-G vendredi et une descente samedi, il entend recharger ses batteries chez lui. "Je vais dormir deux nuits à la maison. Cela va me faire le plus grand bien", sourit-il.

"L'an dernier, la pression et les attentes étaient énormes. Aujourd'hui, c'était une autre histoire, explique-t-il. J'avais gagné l'an dernier. J'étais en quelque sorte plus libéré."

Le Nidwaldien a, bien sûr, apprécié l'ambiance unique. Skier devant 22'000 spectateurs acquis à sa cause restera un grand souvenir. "C'était de la folie. J'ai entendu scander mon nom des milliers de fois", lâche-t-il.

Au moment de s'élancer lors de la seconde manche, Marco Odermatt ne savait pas que Henrik Kristoffersen avait soufflé la première place à Loïc Meillard. "Je savais seulement que je devais tout donner. Tout risquer, avoue-t-il. Je n'avais pas de marge dans la mesure où au moins un skieur parti avant moi avait dû réussir une superbe manche. J'étais plus d'une fois à la limite. Heureusement, la piste a parfaitement tenu, se félicite-t-il. Le fait que je signe le meilleur temps de la seconde manche en m'élançant en trentième position prouve que cette course a été régulière."

Le leader - intouchable - de la Coupe du monde se refuse de banaliser ses exploits. "Rien n'est simple, dit-il. Chaque course est un nouveau défi. Et celles disputées en Suisse entraînent davantage de pression." Avant le prochain rendez-vous fixé à Wengen avec un Super-G vendredi et une descente samedi, il entend recharger ses batteries chez lui. "Je vais dormir deux nuits à la maison. Cela va me faire le plus grand bien", sourit-il.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Hockey

La chasse aux Lions est ouverte

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Qui va succéder aux Zurich Lions? (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

La National League reprend ce soir, avec 6 matches au programme de la première soirée dont un derby lémanique entre le LHC et Genève. Retrouvera-t-on encore un Romand en finale au printemps prochain?

Battu 2-0 le 30 avril au septième match d'une très belle finale par des Zurich Lions à nouveau favoris, Lausanne a connu la même désillusion que Bienne un an plus tôt face à Genève. Les Seelandais ont vécu une saison 2023/24 particulièrement houleuse pour finalement se qualifier pour les quarts de finale via les play-in. Et ce scénario peut se produire à Lausanne. Parce que les Lions doivent composer avec plusieurs départs d'importance, à commencer par celui du gardien Connor Hughes. Excellent en play-off, le Canado-Suisse a tapé dans l'oeil du Canadien de Montréal, et il a sauté sur cette opportunité.

Pour le remplacer et faire la paire avec le prometteur Kevin Pasche (21 ans), les Vaudois ont misé sur le jeune Antoine Keller (20 ans en octobre). Le pari est risqué, mais les Lausannois peuvent compter sur Cristobal Huet en tant qu'entraîneur des gardiens.

Programme chargé à Fribourg

Le top 6, c'est également l'ambition de Genève-Servette. Avec les arrivées de Markus Granlund (Lugano) et Michael Spacek (Ambri), les Aigles ont le droit de viser le haut du classement. Hormis la question de la prolongation ou pas du coach Jan Cadieux, le point d'interrogation concerne les gardiens Robert Mayer et Gauthier Descloux. Mayer, pourtant grand artisan du titre en 2023, a plongé avec 3,47 buts encaissés par match et un pourcentage indigne de lui de 86,92%. Descloux avait fait mieux avec 90,22%, mais le GSHC était tout de même allé chercher Jussi Olkinuora.

A Fribourg, on va au-devant d'une saison bien remplie. Championnat, Coupe d'Europe, Coupe Spengler: les Dragons n'auront pas le temps de se reposer. Pour mener à bien les différentes missions, le demi-finaliste de la saison dernière a confié l'équipe à Patrick Emond, ancien assistant de Christian Dubé, limogé au mois de mai. Le Québécois sait qu'il ne restera pas plus longtemps puisque Roger Rönnberg a été engagé dès la saison 2025/26. Emond dispose d'un contingent solide qui n'a que peu évolué.

On parle finnois en Ajoie

Du côté de Bienne, on espère vivre une saison moins intense que la précédente. Les Seelandais ont un nouveau pilote, le Suédois Martin Filander. Mais Martin Steinegger ne semble pas avoir réussi à combler les départs de Rathgeb, Forster (retraite), Kessler (Davos), Künzle (Zoug), Hischier (Genève) et van Pottelberghe (Lugano). Et attention également aux blessures qui semblent s'accumuler au pied du Jura.

Dernier club romand, Ajoie va se battre pour échapper à la 14e place. L'arrivée des trois Finlandais Oula Palve, Jerry Turkulainen et Julius Nättinen est un bon signal, surtout que les deux premiers cités ont terminé en tête du classement des compteurs du dernier championnat de Finlande. Mais le contingent suisse suffira-t-il pour accrocher la 12e place et ne pas jouer le play-out?

De l'autre côté du Röstigraben, Zurich mais aussi Zoug donnent l'impression d'être bien armés. Quant à Lugano, Berne et Davos, ils devraient eux aussi se battre pour le top 6.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Jeux olympiques

Champion olympique de poursuite en 1980, Robert Dill-Bundi est mort

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Robert Dill-Bundi lors de son titre olympique à Moscou en 1980 (© KEYSTONE/ANONYMOUS)

Le Valaisan Robert Dill-Bundi est décédé lundi des suites d'une longue maladie, a annoncé sa famille. Il était âgé de 65 ans.

Il s'était révélé au grand jour en devenant champion olympique de la poursuite en 1980 à Moscou. Cela lui avait valu d'être élu sportif suisse de l'année.

Passé professionnel ensuite, Dill-Bundi avait gagné une étape du Tour d'Italie en 1982 et le prologue du Tour de Romandie 1983. Sur la piste, il avait encore obtenu le titre de champion du monde de keirin en 1984.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Football

La Ballon d'Or Aitana Bonmatí prolonge au Barça jusqu'en 2028

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Aitana Bonmati a prolongé au Barça (© KEYSTONE/AP/LAURENT CIPRIANI)

La Ballon d'Or 2023 Aitana Bonmatí, en fin de contrat à la fin de la saison, a prolongé de 3 ans au FC Barcelone jusqu'en 2028. Elle évolue depuis l'âge de 11 ans au sein du club catalan.

Un nouveau contrat qui devrait faire de la milieu de terrain espagnole de 26 ans la joueuse la mieux payée du monde, selon plusieurs médias spécialisés.

Considérée comme la meilleure joueuse de la planète, Bonmati s'est imposée comme la nouvelle étoile du football féminin, glanant 23 titres dont trois Ligues des champions et cinq Ligas avec le Barça, son club formateur, ainsi que la Coupe du Monde et la Ligue des nations avec l'Espagne.

Selon la presse catalane, le Barça a refusé plusieurs offres provenant de clubs anglais, dont Chelsea, pour conserver sa star et poursuivre son règne sur le football européen chez les femmes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Jeux olympiques

Coe et Lappartient rêvent de succéder à Bach

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Président de World Athletics, Sebastian Coe se verrait bien président du CIO (© KEYSTONE/AP/GREGORIO BORGIA)

7 candidats, dont l'ancien champion olympique britannique Sebastian Coe et le Français David Lappartient, brigueront en mars 2025 la succession de Thomas Bach à la tête du CIO. L'instance l'a annoncé.

Bach, qui dirige depuis 2013 l'instance internationale, a annoncé après les JO de Paris son intention de passer la main. Coe est le patron de World Athletics et avait été l'organisateur des JO de Londres 2012. Lappartient est pour sa part président de l'Union cycliste internationale (UCI) et du comité olympique français.

Coe, double champion olympique du 1500 m, a pour lui son aura sportive, une surface médiatique renforcée par la puissance de la presse anglophone, ainsi qu'un long parcours de dirigeant.

Il s'est cependant attiré des inimitiés dans le monde olympique en décidant d'attribuer des primes aux athlètes médaillés d'or des JO de Paris, sans consulter personne, alors que la plupart des fédérations internationales ne peuvent pas suivre financièrement.

Ses positions sans concession, dont le bannissement pur et simple des athlètes russes depuis le début de la guerre en Ukraine, tranchent aussi avec la recherche du consensus de Thomas Bach.

Les autres candidats à s'être officiellement déclaré sont, dans l'ordre alphabétique: Le prince jordanien Feisal al Hussein, l'ancienne championne de natation zimbabwéenne Kirsty Coventry, le Britannico-suédois Johan Eliash, patron de la Fédération internationale de ski, Juan Antonio Samaranch junior, fils de l'ancien patron emblématique du CIO et Morinari Watanabe, président de la Fédération internationale de gymnastique.

"Les candidats, précise le CIO, présenteront leur programme par vidéo à l'ensemble des membres du CIO à l'occasion d'une réunion à Lausanne en janvier 2025."

Encadrée par des règles drastiques, la campagne pour succéder à Thomas Bach s'annonce très feutrée. La commission d'éthique, outre des règles anticorruption, édicte des règles de discrétion très strictes. Pour "prévenir les excès", les prétendants doivent "éviter toute comparaison" avec leurs rivaux et "ne doivent participer à aucun débat public entre eux", selon ces directives.

Non seulement les membres du CIO ne peuvent soutenir publiquement un candidat, mais cette neutralité s'applique à toute la famille olympique, notamment aux fédérations internationales et aux comités nationaux olympiques et à leur personnel: même un "j'aime" sur les réseaux sociaux leur est interdit.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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