International
McIntosh remporte un duel d'adolescentes
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Au terme d'un duel d'adolescentes, la Canadienne Summer McIntosh, 15 ans, a devancé l'Américaine Katie Grimes, 16 ans, pour devenir championne du monde du 400 m 4 nages au dernier jour de compétition.
Summer McIntosh repart de Budapest avec deux titres mondiaux, après celui remporté en 200 m papillon mercredi.
"Katie est une top compétitrice, j'aime vraiment nager contre elle comme on est dans la même classe d'âge", a réagi la Canadienne, qui aura 16 ans en août.
"Je me fixe mes propres objectifs, et en général ce ne sont pas des objectifs de classement, mais cela concerne plutôt la manière dont je veux exécuter ma course, et je pense les avoir remplis", a ajouté la timide Canadienne.
Outre McIntosh et Grimes, plusieurs ados se sont révélés cette semaine à Budapest. Le Roumain David Popovici, auteur à seulement 17 ans du doublé 100-200 m nage libre, a été la tête d'affiche de cette nouvelle génération, aux côtés de l'Italienne Benedetta Pilato, 17 ans comme lui et sacrée en 100 m brasse, ou l'Australienne Mollie O'Callaghan, nouvelle reine du 100 m nage libre.
Sarah Sjöström n'avait que 15 ans quand elle a décroché son premier titre mondial en 2010. Douze ans plus tard, elle clôt également ces Mondiaux avec deux médailles d'or.
La Suédoise a été sacrée championne du monde du 50 m nage libre samedi au lendemain de sa victoire en finale du 50 m papillon.
Elle compte désormais vingt médailles mondiales, à deux unités du record de l'Américaine Katie Ledecky.
"C'est peut-être ma mentalité et aussi beaucoup de travail, mais surtout j'aime ce que je fais", a-t-elle déclaré pour expliquer sa longévité.
À Budapest, elle a également remporté l'argent du 100 m nage libre.
"C'est superbe, à chaque fois que je touche le mur devant, ça représente tant pour moi. Qu'est-ce que je peux dire, trois médailles, c'est génial", a-t-elle réagi.
Pour les dernières courses en bassin de la semaine, la Duna Arena a failli voir un quatrième record du monde lorsque l'Italien Gregorio Paltrinieri, 27 ans, a remporté le titre du 1500 m nage libre.
"C'était incroyable"
En avance sur les temps du record du monde au dernier virage, il a craqué dans les derniers mètres pour finalement réaliser la deuxième meilleure performance mondiale de tous les temps sur la distance (14 min 32.80). Seul le controversé Chinois Sun Yang a fait mieux (14 min 31.50).
"C'était incroyable, j'ai fait un 800 m décevant l'autre jour, donc je voulais me prouver à moi-même que j'étais encore capable de faire quelque chose de bien", a expliqué l'Italien.
"Je savais qu'ils étaient en train de revenir, mais j'avais une avance assez grande. C'était ma stratégie en fait, de partir vite et essayer de prendre beaucoup d'avance", a-t-il poursuivi.
La Lituanienne Ruta Meilutyte a, elle, décroché sa première médaille d'or mondiale depuis 2013 en s'imposant en finale du 50 m brasse, devant Benedetta Pilato et la Sud-Africaine Lara van Niekerk.
Meilutyte n'avait pas remporté de médaille dans une compétition majeure depuis 2015.
"C'est sympa d'être championne du monde", a-t-elle souri.
En fin de soirée, alors que la cérémonie du podium du 50 m dos masculin avait déjà eu lieu, un nouveau podium a été organisé pour remettre la médaille d'or à l'Américain Justin Ress, qui avait été initialement disqualifié.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
F1: Le Grand Prix du Portugal de retour au calendrier
Le circuit de Portimao au Portugal fera son retour au calendrier du championnat du monde de Formule 1 en 2027, a annoncé mardi le promoteur du championnat. Il remplace le Grand Prix des Pays-Bas.
Un accord de deux ans a été conclu entre la Formule 1 et l'Autodromo Internacional do Algarve de Portimao, liant le tracé portugais jusqu'en 2028. Situé dans l'extrême sud du Portugal, le circuit de 4,6 km "offre aux pilotes un défi technique avec des changements d'altitude spectaculaires, culminant dans une descente vers le dernier virage à droite qui mène à la ligne droite des stands", explique la F1 dans un communiqué.
Disparu du calendrier depuis 2022
Pour l'heure, aucune date n'a encore été annoncée mais le GP du Portugal doit remplacer celui des Pays-Bas disputé fin août et déjà assuré de disparaître du calendrier après 2026. L'Autodromo Internacional do Algarve a fait ses débuts comme circuit du Championnat du monde de F1 en octobre 2020, lors de la pandémie de Covid-19, mais a quitté le calendrier après une dernière édition en 2021.
Avant cela, le Portugal a accueilli son premier GP à Porto en 1958 avant de visiter en 1959 le circuit de Monsanto (à la frontière espagnole) puis celui d'Estoril, près de Lisbonne, entre 1984 et 1996.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
OpenAI rattrapé par les doutes et la concurrence
ChatGPT l'a catapultée comme aucune start-up avant elle, mais après trois ans au sommet, OpenAI est rattrapé par la concurrence, suscitant critiques et doutes dans le milieu de la tech et chez les investisseurs.
"OpenAI est le prochain Netscape, condamné et en pleine hémorragie de cash", a écrit sur X, début décembre, l'investisseur Michael Burry, rendu célèbre par le film "The Big Short".
Il faisait référence au portail qui contrôlait, début 1996, près de 90% du marché des navigateurs internet, mais plus que 1% neuf ans plus tard.
"C'était écrit", a surenchéri Gary Marcus, chercheur connu pour son scepticisme à l'égard de la façon dont se structure l'écosystème autour de l'intelligence artificielle (IA). "OpenAI a perdu son avance et a voulu beaucoup trop en faire."
La jeune entreprise de San Francisco restera, à jamais, le génie qui a fait sortir l'IA générative de sa bouteille.
Son désormais célèbre chatbot ChatGPT a battu, haut la main, tous les records de croissance pour un produit grand public, passé de rien en novembre 2022 à plus de 800 millions d'utilisateurs par semaine actuellement.
Sa valorisation atteint 500 milliards de dollars, un montant de très loin inédit avant que SpaceX ne la détrône il y a quelques jours.
Mais côté pile, OpenAI va finir l'année sur une perte de plusieurs milliards de dollars et ne prévoit pas d'être rentable avant 2029.
La même entreprise s'est engagée à payer plus de 1400 milliards de dollars à des fabricants de puces et bâtisseurs de centres de données pour démultiplier ses capacités de calcul, cruciales pour le développement de l'IA.
Sa trajectoire financière pose question, d'autant que Google revendique désormais 650 millions d'utilisateurs mensuels de son interface d'IA Gemini.
"Part du gâteau"
Commercial hors pair, charmeur, le patron d'OpenAI, Sam Altman, a montré, pour la première fois, des signes d'agacement en réponse à une question sur ces contrats à plus de mille milliards début novembre.
Quelques jours plus tard, il a prévenu, en interne, que le groupe risquait de connaître "un contexte chahuté" et un "environnement économique défavorable", mentionnant les avancées de Google.
Il a ensuite lancé une "alerte rouge", enjoignant à ses équipes de concentrer leurs efforts sur ChatGPT.
Jeudi, OpenAI a dévoilé un nouveau modèle d'IA, GPT-5.2, dont les performances se situent aux premiers rangs dans beaucoup d'évaluations, annonçant, le même jour, un partenariat d'ampleur avec Disney.
"OpenAI investit de très très grosses sommes d'argent dans la mise au point de ses modèles, mais quant à savoir comment cela va se traduire économiquement, ce n'est pas clair", estime Ashu Garg, associé au sein de la société de capital-investissement Foundation Capital.
S'agissant d'une entreprise déficitaire aux engagements considérables, que dire de la valorisation d'OpenAI, qui "lève (aujourd'hui) de l'argent à des prix pour lesquels le retour sur investissement fait question", dit-il.
"Je m'attends depuis longtemps à ce que la valorisation d'OpenAI baisse parce que la concurrence se rapproche et que sa structure capitalistique n'est vraiment pas adaptée, mais elle continue à monter", observe, interdit, Espen Robak, pourtant spécialiste reconnu de la valorisation d'actifs non cotés au sein du cabinet Pluris Valuation Advisors.
Selon les avis, cette période plus inconfortable pourrait amener OpenAI à repousser son entrée en Bourse, ou au contraire l'accélérer pour en appeler aux petits épargnants, dont plusieurs millions restent fascinés.
Certains reprochent aussi au petit prince de l'IA de s'être trop diversifié, des infrastructures au réseau social vidéo Sora, en passant par la conception d'un appareil connecté.
Mais en dehors de quelques commentateurs radicaux, très rares sont ceux qui voient OpenAI imploser.
"Il n'y aura pas de vainqueur" dans la course à l'IA, prédit Angelo Zino, analyste de CFRA, "mais il faudra plusieurs fournisseurs de modèles de qualité", parmi lesquels OpenAI, qui peut réussir sans rester numéro un, selon lui.
Il semble par ailleurs, que beaucoup des accords passés avec des fournisseurs de puissance informatique, processeurs ou "cloud" offrent des conditions assez flexibles.
En cette période plus agitée, la présence au capital d'un actionnaire de référence comme Microsoft (27% du capital) est précieuse, d'autant que le partenariat étroit avec le géniteur de Windows lui assure des revenus récurrents et conséquents.
"Toutes ces entreprises auront leur part du gâteau", insiste Angelo Zino, "et le gâteau va devenir beaucoup plus gros."
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Loïc Meillard, de retour au premier plan après les doutes
Arrivé à Val d'Isère en panne de résultats, Loïc Meillard repart des Alpes françaises avec un succès en géant et une 2e place en slalom. Sa saison olympique est-elle enfin lancée?
Fin mars, Loïc Meillard a conclu sa saison de géant en battant Marco Odermatt lors des finales de la Coupe du monde de Sun Valley. Lors de l'hiver 2024/25, le Valaisan d'origine neuchâteloise a clairement franchi un cap, devenant champion du monde de slalom à Saalbach, se classant dans le top 5 de dix des douze slaloms au programme, et terminant 3e du général, derrière l'intouchable "Odi" et à 40 points de Henrik Kristoffersen.
En quête de solutions avant Val d'Isère
Au niveau physique cependant, ses douleurs au dos, qui l'ont handicapé au début de l'hiver, n'ont pas disparu. Alors qu'on l'annonçait comme un rival de son coéquipier Marco Odermatt pour le général, il est arrivé en Haute-Tarentaise avec une 9e place au géant de Beaver Creek comme meilleur résultat.
Vendredi, avant les courses, il avait déclaré toute sa volonté de passer outre ces résultats et de capitaliser sur sa bonne forme du moment: "J'ai fait des kilomètres en slalom et en géant à Thyon, à la maison. Pour l'instant, ce n'est pas le ski espéré, mais c'est le sport." Le skieur d'Hérémence voulait surtout trouver des solutions. "Beaver Creek, c'était déjà un pas dans la bonne direction, avec des secteurs vraiment corrects. Maintenant, on va essayer de construire là-dessus", avait-il avancé, confiant.
Deux courses de rêves pour se relancer
Meillard l'a prouvé dès la première manche du géant samedi, avec sa 5e place provisoire derrière Odermatt. L'après-midi, le scénario rêvé et tant espéré par les Suisses se réalise: Loïc Meillard remporte le géant devant Luca Aerni et Marco Odermatt. Un nouveau triplé à croix blanche, mais un tournant pour Meillard. "Une 9e place, ça m'est complètement égal pour la confiance. Je veux retrouver les podiums!", avait-il martelé la veille.
La différence entre la victoire et une place dans le top 30 est parfois fine, comme il l'a indiqué une fois la victoire en poche: "Le premier podium de l'hiver fait toujours du bien, après je sais que j'ai encore du travail à fournir pour performer sur certains parcours."
Le lendemain, le skieur de 29 ans a encore signé deux manches de haut vol pour terminer 2e du slalom, preuve que la Face de Bellevarde lui convient bien. Au terme des deux courses, il a obtenu 180 points, lui qui n'en comptait que 78 auparavant.
Une préparation estivale tronquée
Pour expliquer cette progression, Julien Vuignier, entraîneur en équipe de Suisse, avance au terme de la compétition que "Loïc a passé des grosses journées d'entraînement à enchaîner les manches avant Val d'Isère. Et ça lui a fait du bien, tout comme d'être à la maison". Pour lui, pas de doute, Loïc Meillard a eu un déclic durant ce week-end à Val-d'Isère: "On sait que quand ça commence à gagner, il y a vraiment un relâchement dans tout le corps. D'un coup, la technique fonctionne et c'est parti."
Si le champion du monde de slalom n'a pas performé plus tôt, la clé de compréhension réside peut-être dans sa préparation estivale en demi-teinte. "Loïc a peut-être fait dix jours de bon ski, maximum" reconnaît Vuignier. Il n'a pas pu faire de volume, pas pu monter dans les intensités. Cela lui a donc demandé un peu de patience. Et là, d'arriver sur une piste technique, où l'expérience parle aussi, ça l'a aidé."
Libéré, Loïc Meillard est désormais prêt à enchaîner. "Le week-end prochain, il va falloir retrouver les mêmes sensations à Alta Badia. Il faudra se réadapter pour renouveler mon ski", a-t-il conclu avant de quitter la raquette d'arrivée dimanche.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Slalom de Courchevel: Holdener pour un podium?
Cela fait maintenant depuis 2017 que la Coupe du monde féminine fait halte à Courchevel, souvent pour une épreuve nocturne. Wendy Holdener peut-elle monter une 39e fois sur le podium en slalom mardi?
Wendy Holdener va-t-elle pouvoir aller chercher son premier podium de l'hiver? 8e puis deux fois 4e des trois slaloms disputés jusqu'ici, la Schwytzoise est "mûre" pour monter sur la boîte. Mais la piste Emile Allais n'est pas celle où elle se sent le mieux. Il lui faudra oublier son abandon de la saison passée, le seul sur ses 14 derniers départs. C'est Zrinka Ljutic qui avait dominé cette course. Holdener était 2e à l'issue du premier tracé, mais elle n'avait pas tenu en deuxième manche.
Très régulière en géant, Camille Rast sera le deuxième atout de Swiss-Ski dans la station savoyarde. Sur le virage court, c'est un petit peu plus aléatoire. 15e à Levi, la Valaisanne est montée sur le podium à Gurgl (3e), mais n'a décroché que la 10e place à Copper Mountain.
Mais attention pour la gagne à Mikaela Shiffrin. Victorieuse des trois premiers slaloms cet hiver, la dame aux 104 succès en Coupe du monde se verrait bien ajouter une couronne à son incroyable palmarès. A noter encore que les Suissesses seront 11 au départ de cette course.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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