International
Nick Kyrgios passe en cinq sets
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Malgré une épaule endolorie et des impasses parfois stupéfiantes, Nick Kyrgios trace toujours sa route à Wimbledon. L'Australien s'est hissé pour la deuxième fois de sa carrière en quart de finale.
40e mondial, Nick Kyrgios s'est imposé 4-6 6-4 7-6 (7/2) 3-6 6-2 devant Brandon Nakashima (ATP 56). Moins de quarante-huit heures après son clash contre Stefanos Tsitsipas, Nick Kyrgios n'a, cette fois, commis aucun débordement sur le court. Il s'est appliqué à vaincre cette douleur à l'épaule qui l'a conduit à céder les premier et quatrième sets sans vraiment se battre dans le "money time". Il a toutefois aisément forcé la décision dans la manche décisive sur des jeux de retours disputés avec toute l'intensité voulue.
Mercredi en quart de finale, le "bad boy" de Canberra affrontera Cristian Garin (ATP 43), auteur de la première remontada de la quinzaine. Appelé à affronter au premier tour Matteo Berrettini avant que ce dernier ne renonce en raison de sa positivité au Covid-19, le Chilien a battu 2-6 5-7 7-6 (7/3) 6-4 7-6 (10/6) Alex de Minaur (ATP 27) après un long combat de 4h34'. Cristian Garin a sauvé deux balles de match face à l'Australien à 5-4 15-40 au cinquième set pour se qualifier pour le premier quart de finale de sa carrière dans un tournoi du Grand Chelem.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Le salon du Bourget décolle dans l'ombre du drame d'Air India
Le salon du Bourget près de Paris, le plus ancien et plus grand rendez-vous aérospatial au monde, décolle lundi avec un fort accent sur l'espace et la défense, mais assombri pour sa 55e édition par la catastrophe du Boeing d'Air India.
Très attendu pour parler de la reprise de Boeing, le patron du géant américain Kelly Ortberg a annulé vendredi sa venue au salon, au lendemain du crash meurtrier en Inde d'un appareil de l'avionneur.
Ce drame, qui a fait 279 morts, a entraîné l'annulation en cascade de plusieurs évènements du rendez-vous du secteur aéronautique, dont la conférence de presse traditionnelle de Boeing avant l'ouverture officielle du salon, comme celle du motoriste CFM, coentreprise du français Safran et de l'américain GE, qui équipe la plupart des avions les mieux vendus de Boeing et d'Airbus.
"On a tous le moral à zéro" après cette catastrophe, a confié à l'AFP un acteur clé du secteur.
Boeing en vol
Boeing et son rival européen Airbus s'y affrontent traditionnellement à coups d'annonces de commandes d'avions, mais la catastrophe d'Air India risque de jeter une ombre sur le programme de l'entreprise américaine.
Vendredi, le président exécutif d'Airbus Guillaume Faury a exprimé au nom de son entreprise ses "condoléances aux victimes et aux familles des victimes du vol d'Air India".
"On travaille tous très fort dans cette industrie pour que cela n'arrive pas. Et quand cela arrive, c'est une tragédie", a déclaré le patron d'Airbus.
"Quelques jours avant l'ouverture du Bourget, cet accident a un impact particulier en France", a souligné le ministère français des transports Philippe Tabarot.
Rencontré dimanche au Bourget, au milieu des derniers préparatifs, le commissaire général du salon Emmanuel Viellard a cherché à relativiser l'absence de Kelly Ortberg.
"Une personne qui nous manque, ce n'est pas un salon qui s'arrête, le patron du Boeing a d'autres préoccupations en ce moment, mais Boeing sera en représentation avec des avions en vol", a-t-il déclaré à l'AFP.
Dans un contexte international tendu et avec l'intention de l'Europe de renforcer sa souveraineté stratégique, le salon est particulièrement attendu sur le thème de la défense.
"Heureusement que cette prise de conscience a eu lieu ! Mais, entre la volonté politique et la réalité, il y a un écart", a déclaré Éric Trappier, le patron du groupe Dassault, qui fabrique les avions de chasse Rafale, dans une interview dimanche au Figaro.
"Mettre plus d'argent n'est pas tout : il faut décider comment le dépenser, quels seront les prescripteurs, quel est l'effet militaire recherché et comment cet effort se conjugue avec la réalité de l'Otan", a-t-il poursuivi, critiquant une nouvelle fois le Danemark, qui achète des avions de combat américains F-35 malgré la menace d'une annexion du Groenland par Donald Trump.
Ukraine et Israël présents
C'est le Premier ministre français François Bayrou qui inaugurera le salon lundi matin, lors d'une cérémonie incluant un hommage aux femmes dans l'aérospatial.
La féminisation sera le fil rouge de cette édition du salon, organisé depuis 1909 tous les deux ans. Vendredi, premier jour d'ouverture au grand public, sera entièrement consacré aux femmes, avec la participation de professionnelles de 20 métiers de l'aérien et du spatial.
Le même jour, le président Emmanuel Macron est attendu avec un discours sur la nouvelle stratégie spatiale française.
"D'un point de vue industriel, le fait qu'il y ait une identification d'une stratégie nationale spatiale, c'est bienvenu", a déclaré Baptiste Voillequin, responsable chargé de l'espace du Gifas (groupement des industries aérospatiales françaises) qui organise le salon, en recevant les médias dans le pavillon de 2500 m2 dédié à l'espace, une première au Bourget.
Même fortement réduite, la présence d'Israël, l'un des leaders des capacités militaires de pointe dans l'aérospatial, est une source de tensions.
Le tribunal judiciaire de Bobigny a rejeté mardi la requête d'associations qui demandaient l'exclusion du salon des entreprises israéliennes au nom du risque de perpétuation de "crimes internationaux".
L'Ukraine, dont l'attaque de drones contre des bombardiers stratégiques russes est décortiquée par les militaires et avionneurs, sera également présente avec cinq entreprises, dont la jeune pousse Ailand Systems, spécialisée dans les drones détecteurs de mines, ainsi que l'avionneur Antonov et le motoriste Motor Sitch.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Ukraine: l'aide européenne compense le désengagement américain
Une hausse de l'aide des pays européens à l'Ukraine a permis en 2025 de combler le vide laissé par le désengagement de Washington, a rapporté lundi dans un communiqué l'institut allemand Kiel. "L'Europe comble largement le retrait de l'aide américaine", écrit-il.
Alors que "les Etats-Unis, qui étaient auparavant le plus gros donateur à l'Ukraine, n'ont pas annoncé de nouvelle enveloppe depuis le début janvier", l'Ukraine a tout de même reçu plus d'aide de janvier à avril 2025 qu'en moyenne les années précédentes sur la même période, précise l'institut allemand, qui recense l'aide militaire, financière et humanitaire promise et livrée à Kiev depuis l'invasion russe du 24 février 2022.
"Reste à savoir s'il s'agit d'une hausse temporaire ou du début d'une évolution plus durable du rôle de l'Europe en tant que principal soutien de l'Ukraine", a déclaré Christoph Trebesch, qui dirige l'équipe du Kiel Institute, cité dans le communiqué.
Au début 2025, les données du Kiel Institute montrent que "la récente augmentation de l'aide européenne a été tirée par un petit groupe de pays", au premier rang desquels figurent "les pays nordiques et le Royaume-Uni".
L'Europe devant
En revanche, "il est frappant de constater le peu d'aide allemande allouée ces derniers mois", a commenté M. Trebesch. "Au lieu d'augmenter son soutien après l'arrivée de Trump au pouvoir, nous observons une forte baisse de l'aide allemande par rapport aux années précédentes". "La tendance est la même pour l'Italie et l'Espagne", a-t-il précisé.
Au 30 avril 2025, 294 milliards d'euros au total ont été donnés ou alloués à des dépenses précises en faveur de l'Ukraine (sur 405 milliards promis), selon les derniers chiffres du Kiel Institute. Les 111 milliards restants ont été promis sur le long terme, mais pas encore alloués.
Sur la somme déjà donnée, 140 milliards d'euros (donnés ou alloués) sont de l'aide militaire, 133 milliards de l'aide financière et 21 milliards de l'aide humanitaire. Les premiers donateurs sont l'Union européenne et ses membres (131 milliards d'euros donnés ou alloués), les Etats-Unis (115 milliards) et le Royaume-Uni (19 milliards).
En matière d'aide militaire, l'Europe, Royaume-Uni compris, "dépasse pour la première fois depuis juin 2022 les Etats-Unis", selon le Kiel Institute. Les Européens ont déjà donné ou alloué à l'Ukraine 72 milliards d'euros d'aide militaire depuis le début de la guerre, contre 65 milliards pour les Etats-Unis.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'UE appelle à éviter le protectionnisme au G7
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a appelé dimanche le G7 à "éviter le protectionnisme" au début d'un sommet au Canada. La réunion est placée sous tension en raison des frictions entre alliés et le conflit entre l'Iran et Israël.
Le sommet, qui se déroule à Kananaskis dans l'écrin du parc national de Banff, dans l'ouest canadien, est le premier depuis que le retour de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis d'Amérique a fragilisé l'unité du club des grandes démocraties industrialisées.
Le nouveau premier ministre canadien Mark Carney a choisi d'inviter également de nombreux dirigeants d'autres pays: Inde, Ukraine, Mexique, Afrique du Sud, Australie et Corée du Sud seront présents.
Eviter les drames sera une priorité absolue pour tous malgré les nombreux sujets de frictions, des droits de douane imposés par Donald Trump à la guerre en Ukraine, ou encore celle au Moyen-Orient.
Pour cela, les pays du G7 devraient s'abstenir de publier le traditionnel long communiqué final.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Los Angeles: Trump ordonne de nouvelles opérations anti-immigration
Le président américain Donald Trump a ordonné dimanche de nouvelles opérations anti-migrants à Los Angeles et New York, en vue du "plus grand programme d'expulsions massives de l'histoire". Ces villes sont dirigées selon lui par des démocrates à "l'esprit malade".
"Nous devons redoubler d'efforts pour arrêter et expulser les étrangers illégaux des plus grandes villes américaines comme Los Angeles, Chicago et New York, où des millions d'étrangers illégaux habitent", a déclaré le milliardaire républicain sur son réseau social Truth Social. "Ces villes, et d'autres, sont le noyau central du pouvoir démocrate", a-t-il ajouté.
M. Trump a fait de l'expulsion des immigrés clandestins une priorité de son deuxième mandat, après avoir promis durant sa campagne de mettre fin à une supposée "invasion" de criminels étrangers. Mais ses efforts pour lutter contre l'immigration clandestine ont largement dépassé ce cadre et visé en particulier les immigrés latino-américains, indispensables à certains secteurs d'activité.
"Esprit malade"
Des descentes à répétition d'agents de la police fédérale de l'immigration (ICE) à Los Angeles ont déclenché des manifestations parfois ponctuées de violences dans la deuxième ville des Etats-Unis, auxquelles le président a répondu en déployant 4000 gardes nationaux et 700 Marines, un corps d'élite, contre la volonté du gouverneur de Californie et de la maire.
Dans sa longue diatribe sur Truth Social dimanche, le président républicain a affirmé que "chaque jour, les courageux hommes et femmes de l'ICE sont soumis à des actes de violence, au harcèlement et même à des menaces de la part de politiciens démocrates radicaux".
Mais, a-t-il insisté, "rien ne nous empêchera d'exécuter notre mission [...] Les agents de l'ICE ont, par la présente, ordre de faire tout leur possible pour atteindre l'objectif très important de réaliser le plus grand programme d'expulsion massive de l'histoire".
"Les démocrates d'extrême gauche ont l'esprit malade, détestent notre pays et veulent en réalité détruire nos centres-villes et ils y parviennent", a encore lancé le président.
Il a dit avoir ordonné à l'ICE et aux autres corps de maintien de l'ordre de "se concentrer sur nos centres-villes criminogènes et meurtriers". Toute l'administration, a-t-il insisté, a ordre "de mettre toutes les ressources possibles derrière cet effort, et d'inverser la marée de la migration de destruction massive qui a transformé des villes autrefois idylliques en scènes de dystopie du tiers-monde".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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