International
Osaka déclare vouloir revenir "probablement bientôt" sur les courts
L'ex-no 1 mondiale japonaise Naomi Osaka a expliqué lundi qu'elle serait "probablement bientôt" de retour sur les courts.
Elle ressent à nouveau "l'envie" de rejouer au tennis après plusieurs mois compliqués sur le plan mental.
"Je sais que je vais rejouer", a expliqué la double vainqueure de l'US Open (2018 et 2020) et de l'Open d'Australie (2019 et 2021) dans l'émission "The Shop" diffusée sur la chaîne américaine HBO, avant d'ajouter que son retour se ferait "probablement bientôt", sans plus de précisions.
"J'ai de nouveau cette envie, a-t-elle poursuivi. Ce ne serait pas vraiment important de gagner ou de perdre, je veux juste avoir le plaisir d'être de retour sur le court."
Osaka avait déclaré début septembre qu'elle souhaitait "faire une pause pendant un certain temps" après son élimination au 3e tour de l'US Open, suivie d'une conférence de presse où elle avait craqué nerveusement.
Auparavant, elle s'était retirée en cours de tournoi à Roland-Garros et avait fait l'impasse sur Wimbledon, révélant avoir des problèmes d'anxiété, marqués par "plusieurs épisodes dépressifs", dans un message sur Twitter, réseau social où elle est très présente.
La joueuse de 23 ans, désormais N.7 mondiale, a expliqué que ses problèmes étaient exacerbés lorsqu'elle devait se présenter devant les médias après ses rencontres.
"J'adorais la compétition, et simplement être compétitive", a-t-elle glissé. "Si je devais jouer un long match, plus il durait, mieux c'était pour moi."
"J'ai commencé à ressentir récemment que plus c'était long, plus je devenais stressée, mais je devais simplement faire une pause pour aller au fond de moi-même", a continué celle qui a allumé la vasque olympique lors des Jeux de Tokyo en juillet.
La Japonaise n'a toutefois pas précisé si elle comptait être présente à Melbourne en janvier pour défendre son titre conquis en 2021.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Macron nomme Bayrou à Matignon, pour tenter de dénouer la crise
Emmanuel Macron a nommé vendredi François Bayrou Premier ministre, un défi immense pour le président du MoDem et premier allié du président, chargé de dénouer la crise politique majeure ouverte par la dissolution et aggravée par la censure de Michel Barnier.
L'annonce de la nomination du président-fondateur du parti centriste est intervenue à la mi-journée, après une nouvelle matinée d'intenses spéculations. François Bayrou avait été reçu à 08h30 à l'Élysée pour un entretien de près de deux heures, suivi d'un long silence-radio.
A 73 ans, comme son prédécesseur Michel Barnier renversé le 4 décembre par l'Assemblée nationale lors d'une censure inédite depuis 1962, M. Bayrou devient le sixième locataire de Matignon depuis la première élection d'Emmanuel Macron en 2017. Et le 28e Premier ministre de la Ve République.
Une tâche immense attend rue de Varenne le maire de Pau, premier allié de M. Macron en 2017. Avec pour priorité le budget pour 2025, le projet de budget de la Sécurité sociale ayant été mis en échec par la censure.
Dans un contexte de colère des agriculteurs et de multiplication des plans sociaux, les niveaux des déficit et de la dette seront "une réalité qui s'imposera à tout gouvernement, quel qu'il soit", a prévenu Michel Barnier.
En attendant que ce nouveau budget soit adopté, un projet consensuel de "loi spéciale" permettant d'assurer la continuité du fonctionnement de l'Etat sera examinée lundi par l'Assemblée nationale.
La passation de pouvoirs est prévue à 17h00.
"Gouvernement d'intérêt général"
Cette nomination intervient trois jours après une réunion inédite des dirigeants des partis, hors Rassemblement national et La France insoumise, sous l'égide du chef de l'État. Où se sont esquissés les contours d'un "accord de coopération démocratique", selon la formule de M. Bayrou mardi: le gouvernement s'engagerait à ne pas recourir au 49.3 pour imposer ses lois, les opposants à ne pas le censure, Emmanuel Macron évoquant de son côté son intention de ne pas dissoudre à nouveau l'Assemblée.
Le dirigeant centriste a finalement été préféré à d'autres noms qui ont circulé jusqu'au bout, comme celui de l'ex-Premier ministre socialiste Bernard Cazeneuve, des ministres de l'aile droite de la macronie Sébastien Lecornu ou Catherine Vautrin.
Jeudi, c'est le profil de l'ex-ministre de l'Industrie Roland Lescure, un macroniste social-libéral, qui a été poussé par le secrétaire général de l'Elysée Alexis Kohler, selon plusieurs sources proches des consultations. Mais la droite et le RN sont montés au créneau pour lui faire barrage.
L'ancien chef de la diplomatie Jean-Yves Le Drian, qui accompagne Emmanuel Macron depuis 2017, a lui carrément fait savoir qu'il avait "refusé" Matignon, jugeant que "ce ne serait sérieux" d'accepter à 77 ans.
C'est une arrivée à Matignon aux allures de consécration particulière pour le lointain ministre de l'Éducation (1993-1997) depuis longtemps tourné vers la plus haute fonction: inlassable défenseur d'un centre indépendant, François Bayrou a été trois fois candidat à l'élection présidentielle de 2002 à 2012, sans parvenir au second tour (18,57% en 2007).
Son alliance avec Emmanuel Macron en 2017 a dégagé la voie pour l'élection du plus jeune président de l'histoire, porteur d'un "en même temps" droite-gauche en phase avec son projet politique.
Mais le Béarnais, nommé ministre de la Justice, n'est resté que 34 jours place Vendôme en 2017, empêché par l'affaire des assistants parlementaires du MoDem, jugée en première instance sept ans plus tard, en février 2024. Si le parti a été lourdement condamné, François Bayrou a été relaxé, mais le parquet a fait appel.
Depuis 2017, le maire de Pau a régulièrement distillé des critiques contre la politique - trop à droite - et la pratique du pouvoir - trop personnelle - de son allié, sans jamais se départir de sa solidarité.
Pas de censure d'emblée ?
Peu après l'annonce de la nomination, le président du RN Jordan Bardella a assuré qu'il n'y aurait "pas de censure a priori".
M. Bayrou devrait en revanche subir une censure de la part de La France insoumise. "Faire tomber Bayrou sera faire tomber Macron", a prévenu le coordinateur de LFI Manuel Bompard, qualifiant cette nomination de "nouveau bras d'honneur à la démocratie".
L'échec de M. Barnier, Premier ministre choisi en septembre par Emmanuel Macron alors que la gauche revendiquait Matignon, remet la pression sur le chef de l'État et le Premier ministre.
La donne a-t-elle évolué? Si le Parti socialiste, et dans une moindre mesure les communistes et les Ecologistes, ont donné quelques gages de compromis, poussant leur alliance avec LFI au sein du Nouveau Front populaire au bord de la rupture, pas sûr qu'ils soutiennent franchement François Bayrou.
Le centriste, qui plaide depuis des décennies pour des gouvernement oecuméniques, devrait tenter de conserver des ministres du parti Les Républicains côté droit, avec qui les relations sont historiquement tendues. Nicolas Sarkozy a notamment usé de son influence pour empêcher cette nomination à Matignon.
M. Bayrou devrait également se tourner davantage vers la gauche, à défaut de convaincre les membres du Nouveau Front populaire de participer au gouvernement.
Côté RN, le président du MoDem pourrait bénéficier du fait d'avoir apporté son parrainage à Marine Le Pen pour concourir à l'Elysée en 2022, dans un geste destiné à défendre le "pluralisme".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Israël demande à l'armée de rester dans la zone tampon en Syrie
Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a ordonné vendredi à l'armée de "se préparer à rester" tout l'hiver dans la zone tampon entre Israël et la Syrie sur le sommet du plateau du Golan, où se trouve une force de l'ONU.
Israël, qui a conquis une partie de ce plateau lors de la guerre israélo-arabe de 1967, s'est emparé dimanche de la zone démilitarisée, quelques heures seulement après la fuite du président syrien, Bachar al-Assad, chassé du pouvoir par les rebelles syriens.
Depuis, l'armée israélienne a mené des centaines de frappes aériennes et navales contre des installations militaires en Syrie, visant aussi bien les stocks d'armes chimiques que les défenses aériennes, afin de les empêcher de tomber selon elle entre les mains des rebelles.
La présence de troupes israéliennes dans la zone tampon intervient à un moment où l'armée continue de retirer des soldats du sud du Liban après le cessez-le-feu conclu fin novembre à l'issue de deux mois de guerre ouverte contre le mouvement libanais pro-iranien Hezbollah. Parallèlement, la guerre menée par l'armée israélienne contre le mouvement islamiste palestinien Hamas dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre 2023 est loin d'être terminée.
"En raison de ce qui se passe en Syrie, il est d'une importance sécuritaire capitale de maintenir notre présence au sommet du mont Hermon, et il faut tout faire pour garantir la préparation de (l'armée) sur place, afin de permettre aux combattants de séjourner dans cet endroit malgré les conditions climatiques difficiles" durant l'hiver, a déclaré le ministre israélien de la Défense dans un communiqué.
Le bureau du Premier ministre, Benjamin Netanyahu, a indiqué jeudi que l'effondrement du gouvernement Assad avait créé un "vide à la frontière d'Israël et dans la zone tampon", soulignant que la présence de troupes israéliennes y était temporaire, en attendant que la sécurité à la frontière entre Israël et la Syrie puisse être garantie.
Risques liés au "chaos"
L'occupation par Israël de la zone tampon a suscité de nombreuses critiques internationales, notamment de la part du secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres. Il a appelé jeudi, par la voix de son porte-parole, "toutes les parties" à "mettre fin à la présence non autorisée dans la zone de séparation et à s'abstenir de toute action qui saperait le cessez-le-feu et la stabilité du Golan".
L'ONU considère la prise de contrôle de la zone tampon à la lisière de la partie du plateau du Golan occupée et annexée par Israël comme une "violation" de l'accord de désengagement de 1974 entre la Syrie et Israël. Les Etats-Unis, principal allié militaire d'Israël, ont demandé que l'incursion israélienne soit "temporaire".
Selon certains analystes, Israël craint que les stocks d'armes chimiques ou d'autres armes stratégiques conservées par les forces armées du président syrien déchu ne tombent entre les mains de groupes djihadistes, qui pourraient les utiliser contre lui.
Pour Michaël Horowitz, expert en géostratégie, la durée de la présence des troupes israéliennes dans la zone tampon va "dépendre de la stabilité et des intentions du nouveau régime syrien".
Si les nouveaux maîtres de Damas semblent envoyer des messages conciliants, même à l'égard d'Israël, "je crois qu'après le 7-Octobre, Israël n'est pas prêt à prendre des risques", explique-t-il à l'AFP.
"Dans le chaos actuel (en Syrie), et au vu de la composition du gouvernement israélien (avec des ministres d'extrême droite, ndlr), je crois que la tentation sera très forte de rester sur la partie syrienne du Hermon, même à plus long terme", ajoute-t-il.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Moscou salue la position de Trump sur l'Ukraine - attaque "massive"
Le Kremlin a salué vendredi la dernière déclaration de Donald Trump s'opposant à l'emploi par Kiev de missiles américains contre le territoire russe. Cela dans la foulée d'une nouvelle attaque aérienne "massive" russe contre l'Ukraine.
Moscou a également déclaré que ces dernières frappes étaient une réplique à des tirs de Kiev avec des missiles de fabrication américaine ATACMS deux jours plus tôt sur un "aérodrome militaire" à Taganrog, dans le sud-ouest de la Russie.
L'administration américaine sortante du démocrate Joe Biden n'a autorisé qu'en novembre le recours à de tels missiles en territoire russe, après s'y être longtemps opposée, malgré des demandes répétées de Kiev.
En accord "total" avec la position russe
Dans un article publié par le magazine Time jeudi, le président élu Trump qui doit prendre ses fonctions en janvier s'est dit "vivement opposé" à cette idée. "Nous ne faisons qu'intensifier cette guerre et l'aggraver", a-t-il affirmé.
La dernière déclaration de Trump "correspond totalement" avec la position russe, a réagi vendredi le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov.
Moscou et Kiev tentent d'obtenir le soutien du républicain sur fond d'éventuelles négociations de paix qui pourraient commencer l'an prochain, après trois ans d'invasion russe de l'Ukraine qui a fait des dizaines de milliers de morts de chaque côté.
Donald Trump a d'ores et déjà appelé à un "cessez-le-feu immédiat" et à des négociations pour mettre fin à la guerre, après sa rencontre il y a une semaine avec son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky et Emmanuel Macron à Paris.
Reddition de l'Ukraine exigée
"Nous ne voulons pas d'un cessez-le-feu, nous voulons la paix, une fois que nos conditions seront remplies et que tous nos objectifs seront atteints", a froidement réagi Dmitri Peskov.
Il a estimé que les conditions "préalables aux négociations" n'étaient pas réunies, alors que Moscou réclame de facto une reddition de l'Ukraine avant de négocier les conditions de la paix.
Vastes coupures de courant
Moscou, dont les forces avancent dans l'est de l'Ukraine, n'affaiblit pas sa pression sur la population civile en lançant dans la matinée une nouvelle attaque massive contre son réseau énergétique, provoquant de vastes coupures de courant par des températures en-dessous de zéro.
"En réponse à l'utilisation d'armes américaines de longue portée, les forces armées russes ont mené une attaque massive contre des installations critiques de l'infrastructure énergétique" de l'Ukraine, a déclaré le ministère russe de la Défense sur Telegram.
La Russie a lancé 94 missiles balistiques et de croisière ainsi que 193 drones, a indiqué l'armée de l'air ukrainienne. Un total de 81 missiles et 80 drones ont été abattus par la défense aérienne et 105 autres drones "ont été perdus des radars et n'ont pas atteint leurs objectifs", selon la même source.
Zelensky demande "une réaction forte"
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a réclamé sur le réseau social X "une réaction forte" de la communauté internationale pour mettre fin à la "folie" de Vladimir Poutine.
Si les Occidentaux "ont peur de répondre ou s'habituent à la terreur, Poutine y voit la permission de continuer", a-t-il lancé. Son chef de la diplomatie Andriï Sybiga a appelé sur X les Occidentaux à livrer à l'Ukraine "20 systèmes de défense aérienne, NASAMS, HAWK et IRIS-T".
Centrales thermiques endommagées
Après avoir lancé son invasion en février 2022, la Russie bombarde régulièrement le réseau énergétique de l'Ukraine, plongeant dans le noir des millions de personnes à travers le pays en pleine saison hivernale.
Douzième attaque massive contre ce secteur depuis le début de l'année, les frappes de vendredi ont "gravement endommagé l'équipement de centrales thermiques", a indiqué dans un communiqué le groupe DTEK, principal fournisseur privé d'énergie du pays.
L'opérateur énergétique national Ukrenergo a lui annoncé l'élargissement de coupures d'électricité à travers le pays.
Les frappes ont notamment touché les régions occidentale d'Ivano-Frankivsk et de Ternopil, privant de courant la moitié de la population de cette dernière, selon les autorités régionales.
À la peine sur la ligne de front
Outre ces attaques, l'Ukraine est à la peine depuis des mois sur la ligne de front, ne parvenant pas à enrayer les avancées de la Russie, forte d'un avantage en nombre d'hommes, en armes et en munitions.
Kiev tente aussi de mobiliser ses alliés pour tenir, alors que l'arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche laisse craindre une réduction du soutien américain.
Le président français Emmanuel Macron et le Premier ministre polonais Donald Tusk ont, de leur côté, martelé jeudi à Varsovie que la paix en Ukraine ne pouvait se faire aux dépens des Ukrainiens. Ils ont discuté d'un potentiel envoi de troupes européennes dans ce pays, pour jouer un rôle de maintien de la paix en cas d'accord de cessez-le-feu.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Alaska: une seule vague de chaleur a anéanti des millions d'oiseaux
Le guillemot de Troïl, un oiseau marin présent dans les eaux du nord, a vu sa population chuter en Alaska lors de la dernière décennie en raison du changement climatique. Une vague de chaleur maritime a conduit entre 2014 et 2016 à la mort de 4 millions d'entre eux.
Cette hécatombe correspond à près de la moitié de la population alaskienne de guillemots de Troïl, révèle une étude publiée jeudi dans la prestigieuse revue Science.
Depuis lors, les populations de ces oiseaux à plumage noir et blanc, souvent confondus avec les petits pingouins, n'ont montré que peu de signe de reprise, ce qui suggère des changements à long terme dans le réseau alimentaire ainsi qu'un nouvel équilibre de l'écosystème.
"On parle beaucoup du déclin des espèces lié aux changements de température, mais, dans ce cas, il ne s'agit pas d'un résultat sur le long terme", explique à l'AFP Heather Renner, biologiste dans une réserve naturelle de l'Alaska et coauteure de l'étude.
"À notre connaissance, il s'agit du plus grand épisode documenté de mortalité de la faune sauvage au cours de l'ère moderne", insiste-t-elle avec ses collègues dans l'étude.
"Sonnette d'alarme"
Ces résultats doivent servir de "sonnette d'alarme", explique la chercheuse, car le réchauffement climatique, attribuable aux activités humaines, rend les vagues de chaleur plus fréquentes, plus intenses et plus durables.
Hauts d'une quarantaine de centimètres, les guillemots de Troïl sont pourtant considérés comme des oiseaux robustes, en raison de leurs ailes fines leur permettant de parcourir de grandes distances pour trouver de la nourriture et de leurs capacités de plongée.
Mais cette vague de chaleur s'étant étirée sur deux années et ayant touché une vaste zone du nord-est de l'océan Pacifique, de la Californie à l'Alaska, les a lourdement affectés. Durant cet épisode, 62'000 oiseaux émaciés, morts ou mourants, ont été retrouvés sur des milliers de kilomètres de côtes.
En cause, selon les chercheurs: une réduction de la qualité et de la quantité du phytoplancton liée à la chaleur, qui a ainsi affecté les poissons comme le hareng, la sardine et l'anchois dont se nourrissent les guillemots.
Ce phénomène s'est par ailleurs couplé à une augmentation des besoins énergétiques des grands poissons aussi due à la chaleur, qui sont alors entrés en concurrence avec les guillemots pour les mêmes proies.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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