International
Raducanu battue par une qualifiée à Linz

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Son sacre-surprise à l'US Open semble difficile à digérer pour Emma Raducanu (WTA 20).
La Britannique de 18 ans s'est inclinée dès son entrée en lice dans le tournoi WTA 250 de Linz, dont elle était exemptée de 1er tour en sa qualité de tête de série no 1.
Emma Raducanu s'est inclinée 6-1 6-7 (0/7) 7-5 devant la Chinoise Xinyu Wang (WTA 106), qui avait battu la Schaffhousoise Leonie Küng (ATP 167) au 2e et dernier tour des qualifications. Elle a effacé deux balles de match à la relance dans le dixième jeu du troisième set, mais a cédé sur la troisième quelques minutes plus tard.
La "teenager" britannique n'a remporté que deux des cinq parties qu'elle a disputése en trois tournois joués depuis son titre à Flushing Meadows. Sortie d'emblée à Indian Wells un mois après son triomphe new-yorkais, elle avait atteint les quarts de finale à Cluj-Napoca fin octobre.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Quatre fois plus d'électricité aux centres de données qu'en moyenne
La consommation électrique des centres de données, exploités notamment pour l'intelligence artificielle (IA), est quatre fois supérieure à la moyenne. De 2020 à 2023, quatre des principaux acteurs ont vu la leur exploser de 150%, a averti jeudi l'UIT à Genève.
Dans un rapport, elle dévoile les chiffres pour 2023. Dans les six ans qui ont précédé, depuis 2017, la consommation des centres de données a augmenté de 12% chaque année, affirme l'Union internationale des télécommunications (UIT).
Plus positif toutefois, davantage d'entreprises ont établi des objectifs de diminution des émissions de gaz à effet de serre, ont recouru à des énergies renouvelables ou se sont alignées avec des cadres scientifiques. "Davantage doit être fait", estime la secrétaire générale de l'agence onusienne Doreeen Bogdan-Martin.
Il faut une réponse aux défis de ces effets énergétiques, ajoute l'UIT. Les émissions de gaz à effet de serre de quelque 160 entreprises numériques les plus importantes ont constitué 0,8% du total en 2023. Et celles-ci absorbaient également 2,1% de la consommation d'électricité, dont la moitié est liée à 10 sociétés seulement.
Parmi les entreprises, 41 se sont engagées à la neutralité carbone d'ici 2050 et 51 même avant. Autre indication, 23 fonctionnaient entièrement aux énergies renouvelables, sept de plus que l'année précédente. Plus de 100 sociétés publiaient en 2023 leurs émissions indirectes liées à toute leur filière, un chiffre en augmentation d'un tiers sur un an.
L'UIT demande de renforcer les efforts, de recourir davantage encore aux énergies renouvelables, de collaborer avec les entreprises énergétiques et également de dévoiler toutes les émissions liées à l'IA. Cette situation doit être reflétée dans les engagements nationaux des Etats, a encore ajouté l'agence onusienne.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
L'Allemagne veut "5'000 à 60'000" soldats supplémentaires
L'Allemagne va avoir besoin de 50'000 à 60'000 soldats supplémentaires au cours des prochaines années, a affirmé jeudi à Bruxelles son ministre de la Défense Boris Pistorius.
"Nous supposons, mais ce n'est qu'une estimation approximative, que nous avons besoin d'environ 50'000 à 60'000 soldats de plus dans les forces armées" pour répondre aux nouvelles capacités de défense réclamées par l'Otan, a-t-il déclaré devant la presse, peu avant une réunion des ministres de la Défense de l'Alliance.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Allemagne: hausse surprise des commandes industrielles en avril
Les commandes industrielles en Allemagne ont surpris à la hausse en avril notamment grâce au secteur informatique et électronique, confirmant un troisième mois sans baisse pour l'indicateur mensuel publié jeudi.
Cet indice clef pour le secteur manufacturier, pilier de l'économie allemande, a augmenté de 0,6% sur un mois, d'après des chiffres provisoires de l'institut des statistiques Destatis.
Les analystes de Factset s'attendaient eux à une baisse de 2,2% en avril.
Il s'agit du troisième mois consécutif sans baisse de cet indicateur d'habitude volatil, en dépit d'une légère correction à la baisse pour le mois de mars (+3,4%)
En avril, le secteur de la fabrication de produits informatiques, électroniques et optiques (+21,5%) ont fortement soutenu le volume global des commandes.
L'indicateur a aussi profité d'une hausse des commandes dans le matériel de transport autre que les voitures et dans la métallurgie.
En revanche, les commandes à l'industrie pharmaceutique sont retombées, avec une baisse de 14,1% en avril après avoir bondi de 16,2% le mois précédent.
La fabrication d'équipements électriques et de machine ont aussi eu un effet négatif sur le volume global.
En excluant les grosses commandes, davantage volatiles d'un mois à l'autre, l'indicateur progresse légèrement moins, de 0,3%.
"Derrière ces chiffres presque anodins se cache peut-être un retournement de tendance pour l'industrie", espère Jens-Oliver Niklasch, expert pour la banque LBBW.
Il se réjouit de la stabilité actuelle de l'indicateur, avec une hausse de 0,5% enregistrée sur les trois derniers mois disponibles.
Sur un an, les commandes industrielles allemandes ont elles progressé de 4,8%.
Dans un communiqué séparé, le ministère de l'Economie pointe néanmoins "l'incertitude persistante en matière de politique commerciale et le climat d'affaires toujours morose".
"Il reste à voir" si la demande industrielle continuera de progresser au cours du deuxième trimestre, ajoute le ministère.
L'apathie de l'industrie allemande, plombée par des prix de l'énergie élevés et une perte de compétitivité à l'international, affaiblit considérablement la première économie européenne.
Si bien que l'Allemagne table sur une stagnation de son produit intérieur brut (PIB) cette année, après deux années consécutives de récession.
Pour retrouver la croissance, le gouvernement a présenté mercredi plusieurs aides fiscales pour soulager les entreprises et relancer les investissements privés.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
TotalEnergies au tribunal pour des accusations de greenwashing
TotalEnergies répond jeudi devant un tribunal civil d'accusations de "publicités mensongères" portées par plusieurs ONG, un premier procès de "greenwashing" en France pour un énergéticien.
Trois ONG, Greenpeace France, les Amis de la Terre France et Notre Affaire à Tous, ont assigné la multinationale pétrogazière française en mars 2022 devant le tribunal judiciaire de Paris pour "pratiques commerciales trompeuses" en raison d'allégations environnementales laissant penser que le groupe pouvait atteindre la neutralité carbone tout en continuant à extraire du pétrole et du gaz.
Au coeur de l'affaire se trouve la campagne de communication du groupe déployée à partir de mai 2021, notamment sur son site internet, dans la presse, sur les réseaux sociaux et à la télévision. A l'époque, Total s'était rebaptisé TotalEnergies pour souligner ses investissements dans les énergies bas carbone, l'électricité notamment.
Le groupe affichait alors son objectif de "neutralité carbone d'ici 2050", en ajoutant souvent "ensemble avec la société", et vantait le gaz comme "l'énergie fossile la moins émettrice de gaz à effet de serre". Au total, une quarantaine de messages sont visés au tribunal, des "publicités mensongères" selon les ONG ne reflétant pas "de façon sincère la réalité des activités de TotalEnergies", a expliqué à l'AFP Apolline Cagnat, responsable juridique de Greenpeace.
En face, le groupe conteste la nature "publicitaire" ou "commerciale" de ces messages qui relèvent selon lui de "sa communication institutionnelle", encadrée par le droit boursier et les règles de l'Autorité des marchés financiers (AMF), et non par le droit de la consommation.
"Verdissement total"
Pendant des années, faute de cadre clair, les entreprises ont communiqué abondamment sur leurs politiques environnementales, clamant la neutralité carbone ou utilisant des termes vagues comme "vert", "durable" ou "écoresponsable". Ce qui a poussé des militants du climat à saisir la justice pour tenter d'obtenir une jurisprudence sur le "greenwashing" (écoblanchiment), le fait de se clamer plus vertueux qu'on ne l'est, via le droit de la consommation.
En Europe, des tribunaux ont déjà épinglé pour écoblanchiment les compagnies aériennes KLM, en 2024, et Lufthansa, en mars dernier. Mais dans l'énergie, l'énergéticien espagnol Iberdrola a échoué à faire condamner le groupe pétrogazier ibérique Repsol, qui était poursuivi pour avoir présenté des informations environnementales "mensongères" dans ses communications marketing.
En France, la procédure, fondée sur une directive européenne relative aux pratiques commerciales déloyales, est inédite pour une entreprise d'hydrocarbures.
Pour les associations, TotalEnergies a induit les consommateurs en erreur en affichant "un verdissement total" de son image, "qui ne présente absolument pas de façon objective, sincère et transparente comme l'exige la directive, la réalité de sa production et de ses investissements", "largement fondés sur les énergies fossiles", de plus en plus le gaz, que le groupe présente comme une alternative au pétrole et au charbon.
Le tribunal va d'ailleurs, soulignent-elles, "juger, de façon inédite à l'échelle internationale, la légalité de publicités présentant le gaz comme une énergie indispensable à la transition", malgré son bilan climatique contesté par les experts du climat, en raison des fuites de méthane, au pouvoir très réchauffant pour l'atmosphère.
TotalEnergies assure qu'"aucune pratique commerciale trompeuse ne peut lui être reprochée". Le groupe voit dans cette procédure, à laquelle aucune organisation de consommateurs n'est associée, un détournement du droit de la consommation pour attaquer sa stratégie.
Il entend "exposer en quoi les communications (...) sur son changement de nom, sa stratégie et son rôle dans la transition énergétique sont fiables et fondées sur des données objectives et vérifiables", a indiqué sa direction, en mettant en avant les progrès de l'entreprise: "investissements, nouveaux métiers, baisse significative des émissions directes de gaz à effet de serre..."
Les associations demandent notamment au tribunal "d'ordonner la cessation immédiate sous astreinte des pratiques commerciales trompeuses", ce qui serait un "signal fort" envers les entreprises d'hydrocarbures, selon Mme Cagnat.
A côté de cette procédure au civil, d'autres associations ont attaqué avec un arsenal juridique différent, cette fois au pénal, là encore pour "pratiques commerciales trompeuses". Et dans cette affaire, c'est le parquet de Nanterre qui enquête.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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