International
Roglic de retour la semaine prochaine sur Tirreno-Adriatico
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Le Slovène Primoz Roglic, qui n'a plus couru depuis sa lourde chute à la Vuelta en septembre, fera son retour à la compétition lundi lors de la course par étapes italienne Tirreno-Adriatico.
Le triple vainqueur de la Vuelta (de 2019 à 2021) et champion olympique du contre-la-montre, s'était fait opérer de l'épaule droite en octobre pour éviter qu'elle continue de se déboîter, ce qui lui est déjà arrivé à plusieurs reprises.
Son retour n'était prévu que pour plus tard, mais le Slovène de 33 ans, qui a fait du Tour d'Italie en mai son grand objectif de la saison, s'estime prêt pour remonter sur un vélo en course.
"Il a travaillé dur et il est prêt. Revenir en course est la prochaine étape en vue de ses objectifs. Il prendra le départ sans pression et sans viser un résultat en particulier", explique son directeur sportif Merijn Zeeman de l'équipe Jumbo-Visma.
L'ancien champion de saut à ski a été impliqué dans de nombreuses chutes ces dernières années. En juillet, il s'était déboîté l'épaule sur le Tour de France, après avoir chuté sur les pavés du Nord. Il s'était remis l'épaule en place lui-même.
"Comme cela m'est déjà arrivé, je sais comment faire: j'attrape mon genou et je tire fort", avait-il expliqué avant d'abandonner quelques jours plus tard.
Il avait connu la même mésaventure sur Paris-Nice en 2021, course qu'il allait remporter un an plus tard.
Le 6 septembre, il a encore connu la poisse sur le Tour d'Espagne, tombant violemment au sol à quelques mètres de l'arrivée de la 16e étape, l'obligeant à mettre un terme à sa saison.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Le prince héritier saoudien reçu par Trump à la Maison Blanche
Donald Trump a reçu mardi le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane avec tous les honneurs protocolaires, pour sa première visite à Washington depuis l'assassinat en 2018 du journaliste Jamal Khashoggi.
Le président américain et le dirigeant de facto du royaume saoudien ont prévu de signer des accords économiques et militaires, en plus d'évoquer la question très sensible d'une reconnaissance d'Israël par l'Arabie saoudite.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Naufrage dans la Manche en 2023: huit passeurs condamnés
Huit hommes, des Afghans et Kurdes irakiens, ont été condamnés mardi à Paris à des peines de trois à quinze ans de prison ferme pour avoir organisé une traversée de la Manche qui a coûté la vie à sept migrants en 2023, tous Afghans.
Au terme de deux semaines de procès, les peines les plus lourdes, 12 et 15 ans de réclusion notamment pour homicides involontaires, ont été prononcées à l'encontre des deux Kurdes irakiens de 45 ans considérés comme les principaux responsables d'un réseau de passeurs à l'origine de ce naufrage, l'un des pires drames survenus dans la Manche depuis l'explosion en 2018 de ces traversées clandestines en "small boats".
Les prévenus, âgés de 23 à 45 ans, ont mené une activité "particulièrement lucrative" et "profité de la grande vulnérabilité (des migrants) pour monnayer des passages dans des conditions dangereuses", a déclaré mardi la présidente du tribunal, suivant les réquisitions du parquet, qui avait réclamé la semaine dernière des peines exemplaires pour des prévenus "aveuglés par leur volonté d'enrichissement".
"Vous avez tous, pour ceux qui sont déclarés coupables d'homicides involontaires, créé les conditions conduisant aux décès des personnes qui se sont noyées avant l'arrivée des secours et exposé les autres à un risque imminent de mort", a ajouté la juge.
Les faits remontent à la nuit du 11 au 12 août 2023, lorsqu'un "small boat" avec 67 personnes à bord a quitté la plage de la Huchette, près de Calais.
En haute mer, après une avarie de moteur, le pneumatique de fortune a chaviré et les passagers se sont retrouvés à la mer. Bilan: sept morts et soixante survivants pris en charge par les secours maritimes français et britanniques.
Le tribunal a en revanche prononcé la relaxe totale et la libération du neuvième prévenu de ce procès ouvert début novembre, un ressortissant soudanais originaire du Darfour qui s'est retrouvé dans le même box que ses passeurs pour avoir piloté l'embarcation - ce qu'il nie -, en reconnaissant à ce rescapé du naufrage sa qualité de victime.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
COP30: première esquisse de compromis, les tractations continuent
A quatre jours de la fin de la COP30, la présidence brésilienne de la conférence a surpris en publiant dès mardi une première ébauche de compromis mais les pays sont loin d'avoir encore abandonné leurs lignes rouges.
Le président Lula reviendra à Belem mercredi, un retour vu par les observateurs comme un moyen de peser sur la dernière ligne droite des négociations et éviter un échec de la conférence.
"Comme toujours à ce stade des négociations, c'est mitigé", a déclaré à l'AFP le commissaire européen au Climat, Wopke Hoekstra, présent à Belem depuis lundi.
Il a prévenu qu'il n'était pas question de "rouvrir les compromis atteints difficilement l'an dernier en termes de financement" des pays riches en direction des pays en développement, et aussi dénoncé tout entraînement "dans une conversation artificielle sur les mesures commerciales".
M. Hoekstra réagissait à l'inclusion d'options, dans le projet de texte, faisant allusion aux mesures commerciales unilatérales, ce qui vise implicitement la taxe carbone aux frontières que l'UE va mettre en place en janvier et qui est critiquée comme protectionniste par la Chine et d'autres pays exportateurs.
Mais "ce texte reflète la confiance de la présidence brésilienne", réagit pour l'AFP Li Shuo, expert de l'Asia Society qui suit les négociations à Belem. "C'est sans doute la première fois dans l'histoire récente des COP qu'un texte aussi propre est publié aussi tôt".
"Montrer que le multilatéralisme est vivant"
Ce texte est baptisé "Mutirão mondiale", en référence à un mot autochtone, qui désigne une communauté qui se rassemble pour travailler ensemble sur une tâche commune.
Les Brésiliens veulent qu'il démontre la poursuite de la coopération internationale sur le climat, dans un contexte géopolitique très difficile.
Une coalition d'Européens, de pays latino-américains et d'Etats insulaires se battent aussi à Belem pour envoyer un message très clair.
"Nous devons montrer au monde que le multilatéralisme est vivant", a déclaré Josephine Moote, représentante de l'archipel de Kiribati dans le Pacifique. Ed Miliband, ministre britannique de l'Energie, a appelé à conserver la "foi dans le multilatéralisme".
Bataille à venir
Le projet de compromis comporte de nombreuses options contradictoires, si bien qu'il devra encore être considérablement affiné avant tout accord entre les 200 nations environ présentes à la conférence.
La présidence brésilienne a annoncé lundi que les négociateurs travailleraient jour et nuit pour qu'un accord sur les sujets les plus épineux puisse être adopté en séance plénière "d'ici le milieu de la semaine".
"Nous sommes passés d'un brouillon à un semblant de décision mais avec encore un nombre de questions trop élevé pour vraiment voir une potentielle adoption mercredi", estime Rebecca Thiessen, experte finance du Réseau action climat (CAN) international.
Le texte laisse présager une bataille pour arracher des concessions mutuelles entre les blocs de pays sur l'aide financière ou sur l'ambition de la réduction des gaz à effet de serre.
Et les énergies fossiles?
Le document de neuf pages commence par réaffirmer son attachement à l'accord de Paris de 2015 et son engagement au "multilatéralisme". Concernant l'ambition climatique, le texte propose dans une option que le rapport qui fait la synthèse des engagements climatiques des pays puisse être désormais publié chaque année, plutôt que tous les cinq ans.
Plusieurs options font aussi allusion à la transition hors des énergies fossiles, point qui oppose pays producteurs et ceux qui souhaitent une "feuille de route" pour en sortir. Ces options vont de l'organisation d'une table-ronde à... rien du tout.
Les options sur "les énergies fossiles sont tout à fait inacceptables et constituent un manquement flagrant alors que le monde est en train de brûler", fustige Romain Ioualalen, de l'ONG Oil Change International.
Le texte suggère de tripler les financements des pays riches vers les plus pauvres pour leur adaptation au changement climatique, d'ici 2030 ou 2035, ce qui correspond à une demande des pays du Sud.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'UE pourrait durcir la régulation contre Amazon et Microsoft
L'UE pourrait soumettre les deux géants du secteur des services cloud, Amazon et Microsoft, à des règles renforcées. Bruxelles réfléchit à muscler son arsenal pour mieux contrôler ce secteur crucial pour toute l'économie, comme l'ont montré des pannes retentissantes.
La vice-présidente de la Commission européenne chargée du Numérique, Henna Virkkunen, a annoncé lors d'une conférence à Berlin l'ouverture de deux enquêtes qui visent à établir si Amazon Web Services et Microsoft Azure, numéros un et deux du secteur, doivent être soumises aux obligations du règlement européen sur les marchés numériques (DMA).
Le DMA est une loi emblématique entrée en vigueur l'an dernier et qui vise à mettre fin aux abus de position dominante des géants technologiques, via des règles et des contrôles renforcés.
Texte phare de l'arsenal juridique européen en matière de numérique, il prévoit des amendes pouvant aller jusqu'à 10% du chiffre d'affaires mondial de l'entreprise en cas d'infraction, et même 20% en cas de récidive.
Le cloud, réseau mondial de serveurs, de base de données et de logiciels connectés, est devenu l'épine dorsale de l'informatique mondiale sur laquelle repose une très large part de l'économie et de services du quotidien.
Au niveau mondial, ce marché est dominé par un trio de géants Américains : Amazon Web Services (AWS) détenait 30% des parts au deuxième trimestre 2025, suivi par Microsoft Azure (20%) et Google Cloud (13%), selon le cabinet Synergy Research Group.
Cette forte concentration, ainsi que plusieurs pannes majeures qui ont démontré ces derniers mois la vulnérabilité des clients en cas de dysfonctionnement de ces plateformes, nourrissent des appels à une plus forte régulation du secteur en Europe.
Pannes majeures
En octobre, AWS et Microsoft avaient subi coup sur coup des pannes mondiales qui avaient bloqué ou perturbé l'activité d'une longue liste d'entreprises et applications, illustrant la dépendance mondiale à l'égard des infrastructures et des programmes déployés par les géants américains.
La Commission s'est donnée douze mois pour conclure ses enquêtes.
Les deux groupes, eux, espèrent bien que leurs services cloud pourront échapper à ces contraintes supplémentaires, qu'ils jugent contreproductives pour leurs clients.
Selon un porte-parole d'AWS, l'enquête de la Commission devrait démontrer "que le secteur de l'informatique à distance est extrêmement dynamique, offrant aux entreprises un vaste choix, des innovations sans précédent et des coûts réduits", et que soumettre des opérateurs de cloud au DMA risquerait "de brider le progrès et de faire grimper les coûts pour les entreprises européennes".
Microsoft est "prêt à contribuer à l'enquête de la Commission européenne", a souligné de son côté le groupe de Redmond, tout en assurant lui aussi que le secteur est déjà "innovant, hautement compétitif et un accélérateur de croissance pour toute l'économie".
Amazon et Microsoft sont déjà soumis au DMA au titre d'autres activités, Amazon Marketplace (service qui permet à des vendeurs tiers de proposer leurs produits sur Amazon) et le réseau professionnel LinkedIn.
En outre, la Commission a ouvert mardi une troisième enquête pour voir si les règles du DMA suffiraient à réguler efficacement les acteurs du cloud, ou s'il est nécessaire de les adapter pour tenir compte des spécificités du secteur.
Par ailleurs, elle a justifié l'exclusion de Google Cloud du champ de ses investigations en invoquant sa part de marché réduite en Europe.
"Notre analyse préliminaire montre que Google joue un rôle moins important sur notre marché que les deux autres groupes sur lesquels nous enquêtons", a expliqué à la presse Thomas Regnier, porte-parole chargé des questions numériques.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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