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Slalom de Madonna: Foss-Solevaag s'impose, Meillard 6e

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Loïc Meillard a réussi une belle remontée à Madonna (© KEYSTONE/AP/Gabriele Facciotti)

Sebastian Foss-Solevaag a remporté le slalom de Madonna. Le Norvégien a devancé Alexis Pinturault, alors que Loïc Meillard s'est classé 6e.

De Noël à Joël il n'y a qu'un pas. Ou qu'une lettre. Comme Joël Gaspoz lors du géant des Mondiaux de Crans-Montana en 1987, Clément Noël avait une voie royale. Impérial lors des deux manches, le Vosgien filait vers son dixième succès en Coupe du monde. Mais coupable d'une faute à une porte de l'arrivée et alors qu'il avait plus d'une seconde d'avance, Noël est parti sur le flanc en manquant la dernière porte. Comme le Valaisan.

Cette improbable mésaventure a fait les affaires de Sebastian Foss-Solevaag. Le champion du monde norvégien signe sa deuxième victoire en Coupe du monde après le slalom de Flachau la saison passée. Le Scandinave a devancé Alexis Pinturault et le Suédois Kristoffer Jakobsen qui signe un deuxième podium en autant de courses.

Meillard le meilleur

Malgré une imposante délégation forte de neuf membres, dont sept dans le top 30, la troupe de Matteo Joris pensait faire beaucoup mieux et a déçu. Heureusement, Loïc Meillard a "sauvé les meubles" avec sa 7e place. Seulement 29e à l'issue du parcours initial, Loïc Meillard a profité d'une piste immaculée en deuxième manche pour remonter dans la hiérarchie. Le skieur d'Hérémence a signé le meilleur temps de la seconde manche. De quoi lui redonner le sourire après un début de saison difficile.

Sur une piste qui a bien réussi aux Helvètes ces dernières années, ce fut plus compliqué en 2021. Huitième "à la mi-temps", Luca Aerni n'a pas retrouvé le feeling de 2017 lorsqu'il avait décroché l'unique podium de sa carrière en Coupe du monde en finissant tout juste derrière Marcel Hirscher. Moins tranchant lors de son second run, le skieur de Crans-Montana a terminé 17e, juste devant Ramon Zenhäusern.

Yule déçoit

31e, Marc Rochat a manqué la qualification pour 0''02. Grosse déception pour Daniel Yule finalement 36e à 2''40. Vainqueur en 2018 et 2020 dans la station italienne, le skieur du Val Ferret n'a jamais trouvé le bon rythme sur cette piste après avoir commis une grosse faute sur le haut du tracé. Surprenant, surtout après sa très belle 4e place à Val d'Isère. Sandro Simonet, Reto Schmidiger et Noël von Grüningen ont connu le même sort.

Eliminé à Val d'Isère après avoir enfourché la première porte sur le second parcours, Tanguy Nef n'a une fois de plus pas rallié l'arrivée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

La 100e victoire de Novak Djokovic à Paris

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Novak Djokovic: un sans-faute pour l'instant à Roland-Garros. (© KEYSTONE/AP/Aurelien Morissard)

Après le 100e titre à Genève, la 100e victoire à Roland-Garros : Novak Djokovic est parfaitement lancé pour, pourquoi pas, écrire à 38 ans un nouveau chef-d’½uvre.

Le Serbe s’est qualifié pour les quarts de finale à la faveur de son succès 6-2 6-3 6-2 devant Cameron Norrie (ATP 81) qu’il avait battu il y a dix jours en demi-finale à Genève. Il a gagné en seulement 2h14’ pour confirmer sa montée en puissance.

Mercredi, il affrontera Alexander Zverev, le finaliste de l’an dernier, pour un quart de finale qui promet énormément. L’Allemand a également été très expéditif dans la mesure où son adversaire, le Néerlandais, Tallon Griekspoor, a été contraint à l’abandon au début du deuxième set. Le dernier affrontement entre Djokovic et Zverev avait tourné court en janvier à Melbourne. Blessé, le Serbe avait jeté l’éponge après la perte du premier set. Cette fois, il semble en pleine possession de ses moyens.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Le durcissement migratoire du chancelier allemand Merz retoqué

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Le nouveau chancelier allemand Friedrich Merz a fait de la réduction de l'immigration l'une de ses priorités (archives). (© KEYSTONE/EPA/CLEMENS BILAN)

La justice allemande a sanctionné lundi le tour de vis migratoire du nouveau chancelier conservateur Friedrich Merz. Elle a jugé illégale sa politique de refoulement aux frontières des demandeurs d'asile, déjà contestée par les pays voisins.

Cette mesure controversée, dont certains partis d'opposition ont souligné l'incompatibilité avec les règles européennes, a été mise en place dès le 7 mai, soit le lendemain de l'entrée en fonction du nouvel exécutif allemand.

Le chancelier de 69 ans tenait ainsi une promesse faite pendant la campagne électorale de réduire nettement l'immigration dans le pays, dans un contexte de montée de l'extrême droite et après plusieurs agressions mortelles ayant impliqué des étrangers.

Mais le tribunal administratif de Berlin s'est montré très clair dans un jugement publié lundi, où il juge "illégal" le refoulement de demandeurs d'asile.

"Les personnes qui demandent l'asile lors d'un contrôle aux frontières sur le territoire allemand ne peuvent être refoulées sans que la procédure (européenne) de Dublin ait été appliquée afin de déterminer l'État membre responsable de l'examen de leur demande d'asile", a-t-il indiqué dans un communiqué, après avoir été saisi par trois Somaliens.

Pas de "situation d'urgence"

Ces derniers, deux hommes et une femme, étaient arrivés en train depuis la Pologne. Après un contrôle le 9 mai 2025 à la gare de Francfort-sur-l'Oder, ils ont été renvoyés en Pologne le jour même, alors qu'ils avaient demandé l'asile. Ils ont alors contesté ce refoulement devant la justice allemande, qui leur a donc donné raison.

Comme les Somaliens avaient exprimé une demande d'asile, "ils devaient être autorisés à franchir la frontière" et la procédure de Dublin, déterminant quel pays était responsable de leur demande d'asile, devait être appliquée en Allemagne.

L'Allemagne ne peut pas "invoquer (...) une situation d'urgence", comme le fait le gouvernement, a poursuivi le tribunal, soulignant que la police "n'a pas suffisamment démontré l'existence d'une menace pour la sécurité ou l'ordre public".

La "décision n'est pas susceptible d'appel"", a-t-il ajouté. Si le jugement porte sur le cas précis des trois plaignants somaliens, "les considérations juridiques du tribunal sont transposables à des cas comparables", a indiqué une porte-parole à l'AFP, et devraient donc faire jurisprudence.

Les Somaliens pourront revenir en Allemagne, mais pas au-delà de la région frontalière, où leur demande devra être traitée.

Freiner l'AfD

La multiplication des contrôles et le refoulement des demandeurs d'asile ont irrité les voisins de l'Allemagne, notamment la Pologne et la Suisse. Les maires de Strasbourg et de Kehl, villes française et allemande situées de part et d'autre du Rhin, ont aussi dénoncé les contrôles aux frontières renforcés qui compliquent à leurs yeux la vie des frontaliers.

Le conservateur Friedrich Merz s'est engagé à réduire nettement l'immigration durant la campagne électorale des législatives du 23 février, dominée par les questions migratoires.

Pour lui, seul un renversement complet de la généreuse politique d'accueil héritée d'Angela Merkel (2005-2021) peut combattre efficacement l'essor du parti d'extrême droite Alternative pour l'Allemagne (AfD), arrivé deuxième aux élections avec le meilleur score de son histoire.

Le gouvernement allemand vient en parallèle d'adopter des projets de loi visant à durcir les règles migratoires, notamment une suspension du regroupement familial pour les réfugiés n'ayant obtenu qu'un statut subsidiaire et la suppression d'un mécanisme de naturalisation accélérée.

Cette dernière mesure, introduite par le précédent gouvernement d'Olaf Scholz, visait à promouvoir les réfugiés ayant fait la preuve de leur bonne intégration dans un pays vieillissant et en manque de main-d'oeuvre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La sensation Loïs Boisson

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Loïs Boisson: un parcours extraordinaire à Paris. (© KEYSTONE/AP/Christophe Ena)

Pour la première fois depuis huit ans, une Française jouera les quarts de finale de Roland-Garros. 361e mondiale, Loïs Boisson a signé l'exploit devant la tête de série no 3 Jessica Pegula.

La Dijonnaise de 22 ans s’est imposée 3-6 6-4 6-4 après 2h40’ de jeu devant l’Américaine. Mirra Andreeva (WTA 6), sa prochaine adversaire, devra vraiment se méfier de cette joueuse qui pratique un tennis en toucher dans un style qui lui est propre. Et qui possède un coup droit bien percutant.

Avant cette quinzaine, Loïs Boisson n’avait gagné qu’un seul match sur le Circuit de la WTA, en avril dernier au WTA 250 de Rouen. Son accession en quart de finale à Roland-Garros a vraiment quelque chose d’irréel.

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Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Musée Grévin: la statue de Macron volée par des activistes

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Emmanuel Macron a sa statue au Musée Grévin depuis 2018 (archives). (© KEYSTONE/EPA/HOW HWEE YOUNG)

La statue en cire d'Emmanuel Macron a été dérobée au musée Grévin lundi par des militants de Greenpeace. Ils l'ont ensuite déposée devant l'ambassade de Russie en signe de protestation contre les liens économiques de la France avec la Russie.

Selon une source policière, deux femmes et un homme sont entrés lundi matin dans le musée parisien, situé dans le IXe arrondissement (centre). Après s'être changés, se faisant passer pour des artisans ou des employés de l'établissement, ils ont réussi à dérober la statue, d'une valeur de 40'000 euros, en la dissimulant sous une couverture et en sortant par une issue de secours.

D'après une porte-parole du musée, ils ont détourné l'attention du vigile en posant une question sur l'accès de l'ascenseur aux personnes handicapées pendant que d'autres revêtaient une blouse d'agent d'entretien.

"Ils avaient manifestement fait des repérages très précis", a-t-elle déclaré à l'AFP, ajoutant que les militants avaient rapidement appelé le musée pour leur garantir que la statue serait restituée "indemne".

La statue du président de la République française a ensuite été déposée dans l'après-midi devant l'ambassade de Russie, située dans le XVIe arrondissement (ouest) de la capitale, a constaté une journaliste présente sur les lieux.

L'action devant l'ambassade n'a duré que quelques minutes: un drapeau russe a été déployé derrière la statue d'Emmanuel Macron et un militant de l'ONG a brandi une pancarte jaune fluo portant l'inscription "Business is business". Des membres de Greenpeace ont lancé de faux billets de banque.

"Double jeu"

"Pour nous la France joue un double jeu" et "Emmanuel Macron incarne ce double discours: il soutient l'Ukraine mais encourage les entreprises françaises à continuer à faire commerce avec la Russie", a déclaré Jean-Francois Julliard, directeur général de Greenpeace France.

L'ONG veut protester contre les liens économiques entre la France et la Russie dans les secteurs du gaz, des engrais chimiques et du nucléaire.

Greenpeace déplore notamment l'explosion des importations d'engrais russe dans l'UE entre 2021 et 2023 (de plus de 80% selon les fabricants français d'engrais, rassemblés au sein de l'Union des industries de la fertilisation, l'Unifa).

L'Union européenne veut taxer les importations d'engrais russes, pour réduire cette dépendance. Les agriculteurs européens, eux, mettent en garde contre une mesure qui ne ferait que renchérir les prix des engrais et réclament d'abord la suppression des droits de douane sur les fertilisants en provenance du reste du monde.

"On vise nommément Emmanuel Macron, parce qu'il a une responsabilité toute particulière dans cette situation-là", a ajouté Jean-Francois Julliard. "C'est lui qui devrait être le premier dans les discussions européennes" pour mettre fin aux contrats commerciaux entre la Russie et les pays européens.

Précédents

L'effigie en cire de Jacques Chirac avait elle aussi été dérobée au musée Grévin, en décembre 1983, lorsqu'il était maire de Paris, avant d'être retrouvée quelques jours plus tard au zoo de Vincennes.

Celle de Georges Marchais, secrétaire national du PCF, avait elle été dérobée par un groupe nationaliste en 1980 et retrouvée au Jardin des plantes à Paris.

Enfin, pendant son mandat à l'Elysée (1974-1981), la statue de Valéry Giscard d'Estaing avait été subtilisée par des motards en colère.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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