International
Will Jordan, nouvelle star des All Blacks
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Auteur d'un triplé contre l'Argentine vendredi en demi-finale (44-6), le Néo-Zélandais Will Jordan s'est taillé une place de choix dans l'histoire de la Coupe du monde.
Il en est déjà à huit essais dans cette édition 2023, soit autant que les légendes Jonah Lomu et Bryan Habana.
L'ailier de 25 ans serait déjà le seul détenteur de ce record si son ouvreur Richie Mo'unga, trop gourmand, l'avait servi sur le côté droit à la 80e minute plutôt que de vouloir aller marquer seul. Qu'importe, Jordan aura encore une chance d'ajouter un neuvième essai à sa collection personnelle la semaine prochaine en finale et il n'a pas vraiment à rougir de la compagnie actuelle.
Will Jordan a tout de même rejoint dans les annales du Mondial un monument du rugby, le regretté Jonah Lomu, qui faisait tomber les défenseurs adverses comme des quilles et avait inscrit 8 essais en 1999. Un autre de ses compatriotes, Julian Savea, avait également fait parler sa puissance pour compiler lui aussi huit essais en 2015, alors que le Sud-Africain Bryan Habana, autre légende de ce sport, s'était surtout reposé en 2007 sur sa pointe de vitesse.
C'est aussi l'une des qualités de Jordan, dont l'allure de premier de la classe et un physique dans les standards du poste (1m88, 91 kg) cachent un finisseur hors pair. Il n'a pas eu grand-chose à faire sur son premier essai vendredi face aux Pumas argentins, à la réception d'une longue passe de Mo'unga (cette fois), ni sur le deuxième, également tout fait.
Mais le dernier, alors que le match était déjà plié, à la 73e minute, a laissé voir l'étendue de son talent sur une action individuelle de classe, entre accélération foudroyante et coup de pied à suivre parfaitement dosé.
Migraines récurrentes
"C'est un joueur à part. Vous savez que quelque chose peut se passer à chaque fois qu'il touche le ballon", a salué après la rencontre son coéquipier Rieko Ioane. "Il a montré toute sa classe et on fera en sorte qu'il marque encore une fois la semaine prochaine (en finale)".
Auteur de deux doublés contre l'Italie et l'Uruguay lors de la phase de groupes, d'un essai en quart de finale face à l'Irlande et maintenant d'un triplé, Will Jordan conforte depuis le début du tournoi des statistiques déjà hallucinantes en sélection.
Il a désormais aplati à 31 reprises en 30 apparitions sous le maillot noir à la fougère argentée et peut, à ce rythme, rêver du record de 49 essais de l'ancien ailier Doug Howlett si ses problèmes de santé ne le rattrapent pas.
Sujet à des migraines récurrentes après avoir subi plusieurs commotions, le "serial marqueur" néo-zélandais a récemment été éloigné des terrains pendant huit mois avant de signer un retour fracassant sur la scène internationale en juillet lors du Rugby Championship.
D'autres atouts
Qualifiés pour la cinquième finale de leur histoire en dix éditions, les All Blacks sont d'autant plus dangereux offensivement qu'ils disposent avec Mark Tele'a, lui aussi impressionnant face à l'Argentine, d'un autre ailier redoutable.
"Ils (Jordan et Tele'a) ont bien joué et il le fallait car Leicester (Fainga'anuku) avait été bon la semaine dernière" contre l'Irlande en l'absence de Tele'a, puni pour ne pas avoir respecté un couvre-feu, a commenté le sélectionneur Ian Foster.
"Mark a très bien défendu et Will a encore prouvé à quel point il était un excellent finisseur", a-t-il ajouté. "Je suis très satisfait de leur association, avec Beauden Barrett qui fait le lien entre eux au milieu", au sein du triangle arrière.
De quoi donner un autre type de migraine aux futurs adversaires des All Blacks.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Corruption: Zelensky impose des sanctions contre un proche
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a imposé jeudi des sanctions contre l'homme d'affaires Timour Minditch, considéré comme son ami proche et accusé d'avoir orchestré l'une des pires affaires de corruption de ces dernières années dans le pays.
Ces sanctions visant M. Minditch, 46 ans, ainsi qu'un autre homme d'affaires impliqué dans ce scandale, prévoient notamment le gel de leurs biens, selon un décret publié par la présidence.
Timour Minditch est accusé d'avoir orchestré un vaste système de corruption ayant permis le détournement de 100 millions de dollars destinés au secteur énergétique ukrainien. Ce scandale éclate alors que le réseau électrique ukrainien a été gravement endommagé par une série de frappes massives russes, provoquant des coupures de courant à l'approche de l'hiver.
M. Minditch est copropriétaire de la société de production Kvartal 95, fondée par Volodymyr Zelensky lorsque ce dernier était un comédien vedette, avant de se lancer en politique et devenir président en 2019.
Timour Minditch a quitté l'Ukraine peu avant que n'éclate ce scandale. Il est également soupçonné d'avoir influencé des décisions de hauts responsables du gouvernement, parmi lesquels l'ex-ministre de la Défense, Roustem Oumerov, aujourd'hui secrétaire du Conseil de sécurité national.
Les ministres ukrainiens de l'Energie et de la Justice, Svitlana Gryntchouk et Guerman Galouchtchenko, ont annoncé mercredi leur démission, à la demande de M. Zelensky, après la révélation de ce grave scandale de corruption.
M. Galouchtchenko est lui aussi accusé d'avoir perçu des "avantages personnels" dans cette affaire en échange du contrôle sur les flux financiers du secteur énergétique donné à M. Minditch. Mme Gryntchouk n'est pas directement visée par des accusations de corruption à ce stade mais elle est considérée comme une personne de confiance de M. Galouchtchenko par des médias ukrainiens.
Un vote parlementaire entérinant le renvoi des deux ministres est attendu vendredi, selon des députés.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Les policiers japonais désormais autorisés à tirer sur des ours
Les policiers japonais sont autorisés depuis jeudi à abattre des ours. Le pays a assoupli ses règles draconiennes sur les armes à feu, afin d'endiguer une série d'attaques mortelles.
Treize morts - plus du double de l'an dernier et un record depuis l'établissement de statistiques - et plus de 100 blessés ont été recensés dans des attaques d'ours depuis début avril au Japon. Des incidents sont rapportés presque quotidiennement par la presse, qui évoque des plantigrades errant dans des zones résidentielles, entrant dans des maisons, dévastant des supermarchés ou s'approchant d'écoles.
Les départements d'Akita et Iwate (nord-est), où la plupart des attaques ont eu lieu, ont organisé jeudi des cérémonies pour accueillir les policiers antiémeutes qui seront déployés dans la région armés de fusils.
Des responsables locaux ont confirmé à l'AFP que la modification des règles sur les armes à feu prenait effet ce jeudi. Les pistolets habituellement portés par les policiers n'étaient pas réputés assez puissants pour tuer un ours.
L'armée a également été déployée depuis la semaine dernière dans les deux départements du nord-est, mais les soldats ne sont pas armés. Équipés de sprays anti-ours, bâtons, boucliers, lunettes de protection, gilets pare-balles et lance-filets, ils aideront à transporter des pièges à ours, des chasseurs et des animaux capturés.
L'ambassade des Etats-Unis à Tokyo a posté mercredi sur son site "une alerte concernant la faune sauvage", pour enjoindre à ses ressortissants d'éviter de randonner seuls dans les zones où des ours ont été aperçus, ou bien de ne pas s'y rendre. Le gouvernement britannique a également appelé les voyageurs à éviter de marcher seuls dans les régions fréquentées par les ours.
Une pénurie de nourriture a poussé cette année certains ours, dont la population est en pleine expansion dans l'archipel, à s'aventurer dans les villes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
International
Burberry divise ses pertes par trois au premier semestre
Burberry, symbole du luxe britannique, a annoncé jeudi une perte nette divisée par trois pour son premier semestre décalé, à 26 millions de livres (29 millions d'euros), et voit les premiers signes d'un rebond après le recentrage stratégique amorcé il y a un an.
"Bien qu'il soit encore trop tôt pour tirer des conclusions définitives et qu'il reste du travail à accomplir, nous disposons désormais d'éléments probants démontrant" que cette nouvelle stratégie "est la bonne voie", a fait valoir le directeur général Joshua Schulman dans un communiqué.
Confronté comme l'ensemble du secteur du luxe à un ralentissement de la demande et à l'offensive protectionniste des Etats-Unis, Burberry pâtit en outre de choix stratégiques malheureux, notamment d'un pari (raté) de monter encore davantage en gamme, ce qui avait fait tomber dans le rouge son dernier résultat annuel.
Le groupe a amorcé ces derniers mois un recentrage d'urgence sur ses grands classiques, comme son trench coat et ses écharpes, pour enrayer le plongeon de ses résultats, avec des prix plus en rapport avec sa marque: le luxe, mais pas l'ultra luxe.
Si le groupe voit encore son chiffre d'affaires reculer sur un an au cours des six mois achevés fin septembre (-5% à 1,03 milliard de livres), il signale une progression de ses "ventes à périmètre comparable" (c'est à dire notamment hors effet des ouvertures et fermetures de magasins) au deuxième trimestre de son exercice, pour la première fois en deux ans.
Burberry met aussi en oeuvre un plan drastique de réduction de coûts qui "est en bonne voie pour générer 80 millions de livres sterling d'économies annualisées d'ici la fin de l'exercice", indique l'entreprise, tout en avertissant qu'elle évolue dans un marché qui "demeure incertain".
Pour autant, plusieurs groupes de luxe tels que Kering, L'Oréal ou encore Prada, ont eux aussi publié récemment des résultats encourageants.
Et en dépit de ses difficultés, l'entreprise fondée en 1856 à Basingstoke (sud de l'Angleterre) par un apprenti drapier, peut toujours compter sur sa renommée.
La Reine d'Angleterre elle-même avait décerné un "mandat royal" à l'entreprise dès 1955, faisant de Burberry un fournisseur régulier de la famille royale.
Le groupe a par ailleurs fait en septembre un retour parmi les valeurs de l'indice vedette FTSE 100 de la Bourse de Londres, un an après en avoir été délogé.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Royaume-Uni: la croissance s'essouffle au 3e trimestre, à 0,1%
La croissance de l'économie britannique a encore ralenti au troisième trimestre, le PIB ne progressant que de 0,1%, ce qui constitue un nouvel accroc pour le gouvernement travailliste à deux semaines de son budget.
Ce chiffre, publié par jeudi par l'Office national des statistiques (ONS), fait suite à une croissance inattendue de 0,7% au premier trimestre, puis à un fort ralentissement, à 0,3%, sur les trois mois suivants.
Cette croissance, inférieure aux attentes des analystes interrogés par Bloomberg, qui tablaient sur 0,2%, accroît un peu plus la pression sur la ministre des Finances Rachel Reeves, qui a promis d'équilibrer les comptes publics sans étouffer une économie à la peine et présente son projet de budget le 26 novembre.
"Cela brosse le tableau d'une économie qui a démarré l'année 2025 en force, mais qui perd aujourd'hui beaucoup de son élan", souligne Lindsay James, analyste chez Quilter, pour qui le budget sera "crucial pour la suite".
"L'incertitude quant à d'éventuelles hausses d'impôts et les rumeurs persistantes selon lesquelles les employeurs seraient à nouveau visés (...) risquent d'étouffer la fragile confiance des entreprises et de faire grimper le chômage", estime-t-elle.
La presse britannique spécule aussi depuis des semaines sur une possible hausse de l'impôt sur le revenu, qui viendrait compromettre une promesse formulée par les travaillistes avant leur retour au pouvoir en juillet 2024.
Mme Reeves a longtemps balayé l'hypothèse, avant d'évoluer peu à peu dans sa rhétorique, jusqu'à laisser entendre que cette hausse était possible, sans quoi il serait nécessaire de faire des "coupes profondes" dans les investissements publics, compromettant les espoirs de croissance à long terme.
Le gouvernement doit, outre une croissance faible, composer avec une inflation élevée, à 3,8% sur un an en septembre, et un chômage au plus haut depuis la pandémie, avec un taux de 5% au troisième trimestre.
La présentation du nouveau budget constitue une échéance décisive pour l'équipe du Premier ministre Keir Starmer, au plus bas dans les sondages et contesté jusque dans son camp, au moment où le parti d'extrême droite Reform UK caracole en tête des intentions de vote.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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