Suisse
40'000 signatures contre l'expérimentation animale en Suisse
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La Suisse devrait en finir avec les expérimentations contraignantes sur les animaux. Cinq organisations ont déposé une pétition lundi à Berne, munie de plus de 40'000 signatures en faveur d'une recherche scientifique "sans douleur animale".
La Suisse devrait devenir un exemple pour une place scientifique innovante, efficace et sans douleur animale, lit-on dans un communiqué. Animalfree Research, la Ligue suisse contre la vivisection, Associazione svizzera per l'abolizione della vivisezione, Tier im Recht et Tierschutz de Zurich ont participé à l'action sur la terrasse du Palais fédéral.
Dans un geste symbolique, les organisations ont "libéré" d'une cage de laboratoire des baudruches en forme d'animaux. "Ces 40'550 signatures sont un signal fort", poursuit le communiqué. Comme le montrent des sondages, une majorité de personnes souhaitent que la recherche s'effectue sans contrainte sévère sur les animaux.
Sombre réalité
Mais la réalité est tout autre, déplorent les organisations. Actuellement, une grande partie des expérimentations animales est autorisée sans autre et financée massivement par les contribuables. Chaque année, des centaines de milliers de souris et d'autres animaux de laboratoire meurent lors d'expérimentations.
C'est une impasse, selon les organisations, notamment parce que les résultats des expériences menées sur les animaux sont difficilement reproductibles sur l'être humain. Et de réclamer un plan d'action réaliste qui permettrait de sortir de l'expérimentation animale contraignante par étapes.
La sénatrice écologiste Maya Graf (BL) partage les buts de la pétition. Elle entend agir au Parlement en ce sens. "Un plan d'action contraignant permettra de compléter la législation sur la protection des animaux et la stratégie actuelle des 3R" (Remplacer, réduire et réformer, qui prévoit que les contraintes infligées aux animaux soient limitées le plus possible), indique-t-elle, citée dans le communiqué.
Plusieurs échecs en votation
En 2022, le nombre d'animaux utilisés dans des expériences est monté à près de 586'000, en hausse de 2%; ceux utilisés pour des expériences qui causent des douleurs importantes étaient aussi en augmentation, de 5%, notamment pour des recherches sur le cancer et les maladies neurocognitives.
Depuis 1985, le peuple a rejeté quatre initiatives populaires visant à interdire à divers degrés l'expérimentation animale, la dernière en 2022 à plus de 80%. Les opposants ont relancé une récolte de signatures l'an dernier pour une nouvelle initiative.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Une 16e édition pour les cours de français à Lausanne-Vidy
Pour la 16e année consécutive, la Ville de Lausanne et son Bureau pour les immigrés (BLI) proposent des cours de français à ciel ouvert cet été aux personnes allophones. Organisés sur la plage de Vidy, gratuits et sans inscription, ils se tiennent dès lundi et jusqu'au 8 août.
Les cours se déroulent du lundi au vendredi, de 18h00 à 19h30, en plein air, "dans un cadre estival et convivial, entre le théâtre de Vidy et la piscine de Bellerive, indique la Ville dans un communiqué. Ouverts à toutes et à tous, ces cours accueillent toute personne souhaitant apprendre le français, sans distinction de parcours, d'âge ou d'origine, écrit-elle.
"Chaque soir, une nouvelle thématique du quotidien est abordée: faire ses courses, aller chez le médecin, se déplacer, etc. Cette approche permet à chacune et chacun de rejoindre les cours à tout moment", est-il souligné.
Depuis maintenant trois ans, une halte-jeux est désormais à disposition pour que les parents puissent confier leurs enfants dès l'âge de deux ans. Elle est gérée par des professionnels de la petite enfance.
En 2024, les cours de français ont accueilli 400 personnes de 78 nationalités différentes lors des 22 cours donnés. Près de 80% ont exprimé le souhait de poursuivre leur apprentissage du français après l'été, précise encore la Ville.
www.lausanne.ch/vidyplage
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Le Musée de l'absurde fait escale au Jardin botanique de Lausanne
Le Musée de l'absurde vient s'installer au Naturéum-Jardin botanique de Lausanne, le temps d'une exposition végétale. Intitulé "Végéstation", cet événement collectif donne à voir les oeuvres des artistes Anne Bory, Luc Aubort, Delphine Schacher, Laurence Scheurer et Sandra Romy, jusqu'au 4 octobre.
"Pour cette exposition, le musée s'est transformé en sorte de station d'observation de végétaux révolutionnaires", écrit l'institution itinérante dans un communiqué. Au menu: des "graines de gestation réalisées en technique mixte", une "graine de météorite réalisée en linogravure", des "dessins de molécules géantes", une "sculpture de géranium robuste" ainsi que des "tirages d'haiku végétaux".
Des événements et des ateliers ponctuels de création tout public auront lieu en marge de l'exposition, dont le vernissage aura lieu jeudi 10 juillet. Le musée sera ouvert les mercredis et samedis de 15h15 à 19h09, ou sur demande.
Créé par l'artiste lausannoise Sandra Romy, le Musée de l'absurde a ouvert à Bienne en 2015. Suite à des péripéties qui l'ont mené en 2017 à Vevey puis en 2019 à Lausanne, il a acquis une forme mobile et itinérante en 2023. Il est désormais monté sur roues et équipé d'un panneau photovoltaïque pour assurer ses besoins en électricité.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Féminicides: Jans préconise l'usage accru du bracelet électronique
Le ministre de la Justice Beat Jans recommande un recours accru au bracelet électronique et à un système d’alarme pour surveiller les auteurs de violences envers les femmes. En Suisse, 18 femmes et filles ont été tuées par des hommes durant le premier semestre 2025.
"Aucun autre crime violent ne fait autant de victimes que la violence contre les femmes", a-t-il déclaré dans un entretien publié samedi par Schweiz am Wochenende.
Des essais de surveillance électronique sont en cours dans une dizaine de cantons, dont Neuchâtel. En juin 2023, le procureur général neuchâtelois Pierre Aubert avait toutefois prévenu qu'il fallait rester vigilant car le bracelet électronique peut générer "un faux sentiment de sécurité". "On ne peut pas mettre un gendarme tous les 400 mètres, prêt à intervenir en cas d'alarme", avait-il ajouté lors d'une conférence de presse organisée par les autorités cantonales peu après un féminicide.
L'exemple espagnol
L’Espagne sert de modèle pour la Suisse en matière de surveillance et d’alarme contre les violences faites aux femmes. Beat Jans s’est lui-même rendu à Madrid pour s’informer sur les mesures de protection. Il estime qu’avec des lois efficaces et des outils technologiques, la Suisse peut elle aussi mieux protéger les victimes.
M. Jans est convaincu que les cantons et la Confédération investiront dans ce domaine. "Nous ne devons pas oublier que les conséquences de la violence domestique ont aussi un coût, en termes de soins aux victimes ou lorsque celles-ci sont en incapacité de travail", a encore pointé le ministre de la Justice.
Nouvelles mesures envisagées
Face à la hausse des féminicides, plusieurs mesures sont envisagées. En juin, une séance extraordinaire entre la Confédération, les cantons et les communes a conduit à la décision de combler les manques en matière d’hébergements d’urgence.
Par ailleurs, il est prévu de former davantage de spécialistes afin de renforcer la prévention de la violence dans les phases de séparation, comme l'a indiqué le Bureau fédéral de l'égalité entre femmes et hommes en juin. Enfin, l'introduction d'une analyse systématique des cas de féminicides est également envisagée.
En automne déjà, le Conseil fédéral veut en outre soumettre le message pour une révision de la loi sur l'aide aux victimes - plus tôt que prévu initialement. Selon M.Jans, les victimes devraient ainsi avoir immédiatement accès à des spécialistes dans les hôpitaux afin de préserver les preuves.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Route: le BPA veut des mesures de prévention des accidents
Mario Cavegn, membre de la direction du Bureau de prévention des accidents (BPA), estime que l'objectif de la Confédération en matière de nombre d'accidents est en danger. C'est aux politiques de prendre des mesures, a-t-il déclaré à la "Südostschweiz".
"Ces dernières années, il y a eu des décisions plutôt contre-productives qui nous préoccupent", dit le responsable du domaine de la circulation routière au Bureau de prévention des accidents (BPA) dans l'entretien publié samedi par le titre alémanique.
M.Cavegn cite les exemples de la vente d'alcool sur les aires d'autoroute et de l'abaissement de la limite d'âge pour les motocyclistes. Lors d'une rencontre avec les commissions fédérales de la circulation, il a partagé le point de vue du BPA.
Des chiffres encore supérieurs à l'objectif
L'objectif de l'Office fédéral des routes (Ofrou) est d'atteindre au maximum 100 morts et 2500 blessés graves par an d'ici 2030, précise-t-il. L'an dernier, 250 personnes ont perdu la vie dans un accident de la route en Suisse, soit le chiffre le plus élevé depuis 2015, a indiqué l'Ofrou en mars.
Le nombre de blessés graves a lui nettement diminué. En 2024, près de 3800 personnes ont été grièvement blessées dans un accident de la route, soit environ 300 de moins que l'année précédente. Il s'agit du chiffre le plus bas depuis cinq ans, selon l'Ofrou.
L'abaissement de l'âge minimum pour conduire une moto de 125 cm3 a clairement eu un impact: entre 2021 et 2023, le nombre d'accidents dans le groupe d'âge des 16-17 ans a plus que doublé par rapport à la période 2018-2020, comme le montre l'analyse de l'Ofrou.
Passage à la conduite automatisée
Selon M.Cavegn, le "stress dû à la densité" du trafic routier a récemment augmenté et continuera à le faire à l'avenir. Néanmoins, il est possible de réduire constamment le nombre d'accidents. Dans l’interview, M.Cavegn évoque des mesures qui nourrissent son optimisme, comme les systèmes de freinage d’urgence. "Nous sommes dans une phase de transition vers la conduite entièrement automatisée", selon lui.
L’expert souligne toutefois que les systèmes d’assistance ne sont pour l’instant que des copilotes. L’Ofrou travaille à intégrer les connaissances sur ces nouveaux systèmes dans la formation à la conduite. "Tout le monde doit savoir ce que son véhicule peut faire – et surtout ce qu’il ne peut pas faire."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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