Suisse
Axpo acquiert une usine à biogaz en Pologne
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L'énergéticien argovien Axpo a acquis une usine de production d'énergie verte à partir de déchets principalement agricoles en Poméranie occidentale. Il prévoit de développer d'autres projets de biogaz en Pologne dans les années à venir.
Cette installation, acquise auprès d'actionnaires privés début octobre, sera rénovée et modernisée dans les mois qui viennent, informe Axpo dans un communiqué publié mardi.
Située dans le village de Stare Slepce, l'usine est en service depuis fin 2020 et traite chaque année environ 20'000 tonnes de substrats agricoles.
"Sans le processus de digestion anaérobie de l'usine, ces déchets rejetteraient de grandes quantités de méthane et de CO2 dans l'atmosphère", affirme Axpo. L'usine de biogaz produit 6640 mégawattheures (MWh) d'électricité par an ainsi que des engrais organiques appelés "digesteurs", dont le bilan en CO2 est neutre.
L'électricité produite est injectée dans le réseau et fait partie du portefeuille d'énergie verte d'Axpo. Le digestat est utilisé par les agriculteurs de la région pour fertiliser leurs champs.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Lausanne
Cathédrale à Lausanne: culte de Noël avec Elisabeth Baume-Schneider
La conseillère fédérale Elisabeth Baume-Schneider a participé dimanche matin à un culte traditionnel de Noël à la cathédrale de Lausanne. Elle a d'abord échangé des propos avec la pasteure lors de la liturgie avant de répondre à quelques questions du public présent.
Pas de discours officiel ni de sujets politiques: la cheffe du Département fédéral de l'intérieur (DFI) s'est prêtée au jeu d'une prédication à deux voix. Il a été question de parole et d'écoute, des valeurs auxquelles s'adossent les actes, de la relation à autrui, des raisons d'espérer malgré une actualité et un environnement sombres.
La ministre socialiste s'est exprimée à titre personnel à partir de textes bibliques choisis et lus par la pasteure Line Dépraz et quelques questions ciblées. "Nous avons abordé les thèmes de l'altérité, de l'identité et de la lumière", a confié à Keystone-ATS la pasteure depuis 2019 de la cathédrale lausannoise.
Un temps d'échange entre Mme Baume-Schneider et le public assistant au culte de Noël avait également été prévu. "L'idée était d'avoir un échange spirituel sur des valeurs plus personnelles et non pas d'aborder son bilan politique", souligne Mme Dépraz. Les questions du public étaient modérées par le journaliste Cyril Dépraz. Ce format était une première. Le culte a duré un peu plus d'une heure.
Performance lumineuse
Le culte de la nuit de Noël, le 24 décembre à 23h00, verra, lui, la participation du journaliste Arnaud Robert. Son expérience relatée dans le podcast "Mon corps électrique", confrontée au récit de la nativité, ouvrira une discussion sur les thèmes du corps, de la légèreté, du handicap et du miracle.
"Ce programme de Noël s'inscrit dans l'esprit d'ouverture que nous développons depuis plusieurs années. Il s'agit de continuer à tisser des liens entre un dialogue spirituel et des questions de société", souligne Line Dépraz.
Elle a d'ailleurs déjà accueilli plusieurs personnalités lors de ses cultes. En 2023, l'écrivain de polar Marc Voltenauer avait notamment participé à celui de Noël. Pour la pasteure, ces échanges permettent de sortir du "patois de Canaan" et d'apporter un éclairage différent.
Pour cette fin d'année, entre les deux temps forts, du 22 au 24 décembre, un partenariat avec Lumen Créations et les TopoPhoniques va permettre de présenter une performance lumineuse et sonore dans la cathédrale, via un éclairage en vidéo-mapping. Intitulée "Corps à corps", elle aborde les thèmes du corps et de la naissance de manière contemporaine, "une référence à la naissance de Jésus, incarnation de Dieu sous forme de corps humain", selon la pasteure.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Climat
L'hôtel "Momentum" ouvre ses portes dans le Lötschental sinistré
Il a poussé de terre en seulement quatre mois. L'hôtel temporaire du Lötschental, baptisé "Momentum", a ouvert ses portes en fin de semaine à Lauchernalp, au-dessus de Blatten (VS). S'il ne remplacera jamais le patrimoine perdu, il vient offrir des lits supplémentaires et de nouvelles opportunités au tourisme de la vallée.
Les deux hôteliers à l'origine du projet découvrent les finitions des lieux pratiquement en même temps que les médias. Vendredi, quelques heures avant l'ouverture officielle du soir, le soleil se lève sur la vallée et vient blanchir le bois déjà clair des façades.
Lukas Kalbermatten et Esther Bellwald sont propriétaires de deux des trois établissements hôteliers engloutis lors de l'éboulement du 28 mai dernier. "Il y a beaucoup de bonheur aujourd'hui, mais aussi beaucoup de tristesse", raconte la Haut-Valaisanne dans une voix qui se met à trembler. On est là, car on a tout perdu."
Elle et sa famille possédaient l'hôtel le plus ancien de la vallée, dont l'histoire s'écrivait depuis près de 157 ans. "On peut remplacer un travail, mais pas un lieu", évoque-t-elle.
Une forme d'urgence
L'idée de "Momentum" a germé très vite après la catastrophe de ce printemps. Il s'agit du "premier bâtiment qui est (re)construit", souligne Mathias Fleischmann, chef des remontées mécaniques de Lauchernalp et de Lötschental Marketing. C'est tout un "symbole", qui crie "nous sommes encore là, attractifs et tournés vers le futur."
Pensé comme une structure temporaire, l'hôtel doit combler une partie des lits perdus à Blatten jusqu'à l'horizon 2030. "Le tourisme ne pouvait pas attendre la reconstruction du village", relève Lukas Kalbermatten. Il fallait faire quelque chose maintenant."
Avec ce nouvel établissement, 64 lits s'ouvrent aux touristes. Mais la capacité d'accueil de la vallée est tout de même réduite, seuls deux tiers des lits perdus lors de l'éboulement étant compensés aujourd'hui.
Lieu marqué par Blatten
Situé à 1970 mètres d'altitude, le bâtiment rectiligne trouve sa place à proximité de la télécabine de Lauchernalp et au pied des pistes de ski. La station surplombe le village de Wiler et la vallée du Lötschental.
Une fois en haut, la coulée de boue n'échappe ni aux yeux attentifs, ni à la neige arrivée tôt cet hiver. Depuis les balcons des 19 chambres non plus.
Les imposantes montagnes - dont le petit Nesthorn - occupent le reste du panorama. "La montagne est toujours aussi belle, je ne la regarde pas avec tristesse", confie Esther Bellwald.
Sur le lit, une couverture: elle est similaire à l'objet traditionnel autrefois fabriqué à Eisten, l'un des hameaux de Blatten. Elle a servi de modèle pour choisir les couleurs du lieu, explique Lukas Kalbermatten. Le sol est rouge et bleu, et quelques traces de jaune se retrouvent ici et là.
L'heure est aux réjouissances
Pour mener à bien le projet, les hôteliers ont pu compter sur leur longue expérience. "Ce n'est jamais comme ça qu'on ouvre un hôtel, en finissant le chantier le jour de l'ouverture", glisse Esther Bellwald.
"On a par exemple pas encore reçu les terminaux pour les cartes de crédit, poursuit l'habitante de Ried, l'un des autres hameaux du village sinistré. Mais on trouve toujours un chemin."
Lukas Kalbermatten ne cache pas son "envie de travailler". Lui, Esther et l'hôtel sont prêts à accueillir les premiers clients. Ouvertes depuis près d'un mois, les réservations réalisées jusque-là sont satisfaisantes, même s'il reste quelques places pour les prochaines semaines.
Un travail d'équipe
Il aura fallu environ quatre mois pour relever ce "défi". Le projet, qui représente un investissement de près de 4,6 millions de francs, a nécessité une collaboration étroite entre les différents partenaires, relèvent les hôteliers.
À noter que les deux entrepreneurs détiennent chacun 45% du capital-actions, tandis que les remontées mécaniques de Lauchernalp en détiennent 10 %. Le projet a également bénéficié du soutien du canton du Valais à hauteur de 1 million de francs, ainsi que de celui de l’Aide suisse à la montagne à hauteur de 0,5 million de francs.
D’autres acteurs ont également été impliqués, notamment des associations hôtelières et des fournisseurs, qui ont contribué au financement sous forme de soutiens et de dons.
"Ce projet montre une fois de plus comment la population de la montagne reste soudée et fait preuve de résilience", déclare Eva Jaisli, présidente du Conseil de fondation de l'Aide suisse à la montagne. "Momentum" renvoie d'ailleurs directement à la symbolique de saisir les bons moments, relève Esther Bellwald. En physique aussi, le mot indique qu'on reste en mouvement, qu'on arrive quand même à avancer."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
La loi sur l'approvisionnement en gaz a toujours du mal à passer
Le projet de loi sur l'approvisionnement en gaz révisé par le Conseil fédéral est largement rejeté. Parmi les cinq plus grands partis de Suisse, seul le Centre le soutient.
Selon le Conseil fédéral, les objectifs du projet sont une sécurité accrue de l'approvisionnement grâce aux gaz renouvelables et une ouverture partielle du marché avec des règles claires pour les ménages et les gros clients.
Pour le PS et les Vert-e-s, le projet de loi réglemente un "modèle de fin de vie pour l'énergie fossile" au lieu d'encourager le passage aux gaz renouvelables comme le biogaz ou l'hydrogène. Pour eux, le gaz naturel fossile doit disparaître de l'approvisionnement énergétique. Les deux partis ne veulent en outre pas d'une libéralisation globale du marché du gaz.
Pour le PLR et l'UDC, la réglementation prévue va trop loin dans le contexte d'un marché en déclin. Au lieu d'une "politique réglementaire allégée visant à éliminer des incertitudes juridiques ponctuelles", le projet "met en place une nouvelle architecture de marché et de surveillance", ce qui représente une charge supplémentaire pour les clients finaux, écrit l'UDC. Les libéraux-radicaux proposent eux des accords sectoriels au lieu d'une loi.
Seul le Centre soutient le projet. Ce parti estime que le statu quo actuel en matière d'approvisionnement en gaz est "inacceptable".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
En Valais, un élan solidaire qui rayonne pendant les Fêtes
Repas de Noël, collectes de produits et récoltes de dons: en période de Fêtes, la solidarité s'organise et s'intensifie. En Valais aussi, associations et bénévoles tendent la main aux personnes seules, fragilisées ou démunies. Mais les besoins sont là toute l'année.
Sur les quatre collectes annuelles de produits et de denrées alimentaires organisées par Les Restos du Coeur de Sion, celle de Noël est la plus fructueuse. "Les gens sont encore plus enclins à donner à cette période", explique à Keystone-ATS Magali Charlet, présidente de l'association sédunoise.
"Peut-être qu'ils dépensent pour les cadeaux et trouvent normal de donner un peu aux plus démunis, ou simplement, c'est une période de Fêtes qui encourage à penser à ceux qui ont moins de moyens", estime la directrice de la Croix-Rouge Valais, Isabelle Darbellay Métrailler. En cette période où la générosité est sans pareille, la récolte de fonds est essentielle.
Entre actions et récoltes de dons
L'association au logo rouge et blanc tient ainsi un stand d'emballage cadeaux à Sierre pendant dix jours jusqu'au 24 décembre. L'opération nationale "2 x Noël" vise, quant à elle, à collecter des denrées non-périssables et des produits d'hygiène corporelle pour les personnes touchées par la pauvreté. On estime que 6,4% de la population du canton, soit 19'500 personnes, comptent parmi celles-ci.
Les Restos du Coeur de Sion ne s'arrêtent pas non plus à leur collecte de dons matériels à la sortie des supermarchés. L'envoi de 55'000 flyers tout-ménages, début décembre, fait partie intégrante des différentes actions.
"Un franc investi de notre côté nous permet de récolter 7 francs de dons", se réjouit Magali Charlet. Cela représente près de la moitié des dons reçus à l'année.
Davantage de bénévoles à Noël
Mais l'engagement de la population va au-delà du soutien matériel et financier. Beaucoup profitent des instants festifs pour dédier de leur temps aux différentes actions qui s'organisent dans le canton.
Qu'est-ce qui anime les gens à s'engager? "A Noël, les gens sont très sensibles au fait que certaines personnes peuvent être seules les soirs de réveillon, avance Magali Charlet. Il y a aussi peut-être encore une valeur chrétienne" qui se glisse dans les initiatives.
En guise d'exemple, l'association Les Repas du Coeur de Martigny prévoit depuis 2021 un souper annuel le 24 décembre, reprenant une tradition ancrée dans la ville depuis près de vingt ans. L'année dernière, l'événement a accueilli près de 400 personnes, un chiffre qui augmente d'année en année, et qui comprend autant les bénévoles que les bénéficiaires.
Valeurs liées au partage
"On compte tout le monde ensemble, on n'aime pas faire de différence", souligne Jade Andrey, co-présidente de l'organisation qui rappelle aussi que, parfois, "les personnes qui s'engagent sont elles-mêmes des personnes seules ou dans le besoin, qui ont envie d'aider." Les bénévoles seront près de 85 cette année et s'attèleront en cuisine, au service du repas ou encore en tenant des ateliers pour les enfants.
"Ce qui nous tient à coeur, c'est l'idée du partage et de la solidarité de Noël, que les gens viennent sans être jugés et que l'humain soit remis au centre." La Valaisanne note d'ailleurs que les gens ont tendance à venir en famille, pour transmettre les valeurs du partage aux enfants, ou simplement pour vivre une fête moins traditionnelle.
Les Restos du Coeur de Sion ont, eux aussi, organisé un repas de Noël le 19 décembre, qui a convié plus de 80 bénéficiaires et bénévoles. Etre en contact avec les personnes aidées est essentiel, relate la présidente de l'association. "Cela permet que les actions trouvent leur sens, et que les bénévoles gardent leur motivation", poursuit Magali Charlet.
Le défi, l'engagement à long terme
Cet engouement est essentiel, notamment pour s'engager pendant plus longtemps. "Ce qui est difficile, c'est de trouver des gens disponibles régulièrement sur une longue période", regrette la directrice de la Croix-Rouge Valais. "Pour les visites aux personnes âgées par exemple, c’est souvent toutes les semaines, ce qui est assez astreignant. Mais du trop ponctuel n’aurait pas de sens, car la relation est très importante."
Les deux types d'engagement restent essentiels, s'accordent Isabelle Darbellay Métrailler et Magali Charlet. "Le bénévolat, ce n'est plus comme il y a dix ans. On n'a pas rendez-vous tous les mardis. Ça peut être très ponctuel, et ça nous aide tout autant", relève la seconde. Et les événements des Fêtes s'insèrent volontiers dans cette veine-là, en offrant un "moment hors du temps, l'espace d'une soirée", raconte Jade Andrey.
Il n'en reste que chacun peut espérer trouver à tout moment de l'année une activité "hyper gratifiante" - pour reprendre les mots de la présidente des Restos du Coeur de Sion Magali Charlet. Un moment tel qu'une collecte "booste et permet de se réconcilier avec l'humanité."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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