Culture
Béatrice Venturini aka Miss B dévoile les secrets de son parcours
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La prochaine session de Jazz History, mardi 30 février chez Bongo Joe à Genève, plonge dans le courant du jazz funk. Béatrice Venturini aka Miss B, DJ, productrice activiste et cofondatrice du Holy Groove Festival à Lausanne, en est l'invitée.
"On a demandé à ‘Miss B’, une des activistes de la première heure, de venir parler de la scène jazz funk", a dit Laurence Desarzens, entre autres présidente du jury du Prix suisse de la musique, à Keystone-ATS.
‘Miss B’, une Anglo-Italienne installée en Suisse romande, a notamment collaboré avec Gilles Peterson et Eddie Piller, James Taylor Quartet, The Brand New Heavies & Jamiroquai. Elle a aussi participé à la création de Jazz FM, la première radio jazz au Royaume-Uni.
Elle y travaille en tant que présentatrice, productrice et “chercheuse” de bons tracks. Pendant les années 90s, en tant que DJ elle mixe dans de célèbres clubs londoniens comme Jazz Café et Blue Note, ainsi que sur Jazz FM à Londres, Radio Capital & Rai Radio Due à Milan. Elle sort plusieurs compilations sur le label IRMA Records.
Le courant du jazz funk
Dans les seventies aux Etats Unis le jazz funk impose son groove, avant d’émigrer et d’influencer la scène britannique. Des artistes tels que Herbie Hancock, Roy Ayers et Patrick Rushen donnent naissance à ce nouveau style. Des producteurs comme les frères Mizell, Charles Stepney, Quincy Jones et Maurice White s’en emparent avec succès.
Aujourd’hui encore les rappers et les diggers recherchent obsessivement leurs "samples". Miss B dévoile les coulisses de cette période hybride.
Jazz History, ce sont des sessions d'écoutes contextualisées en images "pour situer les courants musicaux dans une époque, socialement, politiquement, parfois même au niveau de la mode". Ce format a été créé en 2018 par Laurence Desarzens et Alexandre Pointet, ancien directeur artistique de Vibrations Magazine, qui s'occupe aussi du visuel du festival 1066 Epalinges.
Les sessions Jazz History sont accueillies par les festivals Jazz Onze+ et Cully Jazz, l’association Le Salopard à Lausanne, Kasheme à Zurich et Bongo Joe à Genève.
Les passionnés de jazz et autres courants musicaux peuvent suivre quatre sessions par année - six avant le Covid. Et les premières réunions s'étaient tenues au Bourg à Lausanne.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Tom Cruise reçoit un Oscar d'honneur pour l'ensemble de sa carrière
Souvent nommé et jamais récompensé, l'acteur américain Tom Cruise, a reçu dimanche soir un Oscar d'honneur, la première statuette dorée de sa riche carrière, devant le gratin d'Hollywood lors de la cérémonie des Governors Awards.
Au son de la célèbre bande originale de "Mission Impossible", saga emblématique de la carrière de l'acteur âgé de 63 ans, le comédien est monté sur la scène du Dolby Theatre de Hollywood sous les applaudissements chaleureux de ses pairs, dont Colin Farrell et Emilio Estévez avec qui il a partagé l'écran, ainsi que du légendaire Steven Spielberg, qui l'a dirigé dans "Minority Report" et "La Guerre des mondes".
Malgré quatre nominations aux Oscars - en tant qu'acteur pour "Né un 4 juillet", "Jerry Maguire" et "Magnolia", et en tant que producteur pour "Top Gun: Maverick" -, il n'avait jusqu'ici jamais été récompensé.
"Cela m'a ouvert les yeux"
Visiblement ému, l'acteur a pris le micro pour exprimer sa gratitude. "Mon amour pour le cinéma a commencé très jeune", a déclaré la star, décrivant le grand écran comme le lieu qui lui a "donné faim d'aventure, de connaissance, de compréhension de l'humanité, de création de personnages, de narration, de découverte du monde". "Cela m'a ouvert les yeux", a-t-il ajouté.
Le comédien est largement vu comme une des dernières grandes stars de cinéma, capable de remplir les salles sur son seul nom.
Fana de cascades
Après la pandémie, ce fana de cascades a même été vu comme le sauveur d'Hollywood, grâce au succès de "Top Gun: Maverick", pour lequel il a renfilé son costume de pilote de chasse.
Les Oscars d'honneur, décernés chaque année par l'Académie des arts et sciences cinématographiques, saluent les légendes du cinéma pour leur carrière et leurs contributions à l'industrie cinématographique.
Au cours de la soirée, l'Académie a également remis des Oscars d'honneur à l'actrice Debbie Allen ("Fame"), au chef décorateur Wynn Thomas, et à la chanteuse country Dolly Parton, honorée pour son engagement humanitaire.
La légende de la musique country, 79 ans, absente pour raisons de santé, a remercié l'Académie via une vidéo. "Nous n'avions pas grand chose à partager, mais mes parents m'ont appris que plus on donne, plus on reçoit de bénédictions", a dit la star qui soutient l'éducation et d'autres causes sociales via sa fondation baptisée "Dollywood".
La chanteuse américaine a récemment annulé six concerts qu'elle devait donner en décembre à Las Vegas pour raisons de santé, en les reportant à septembre 2026.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Château de St-Maurice: Astérix a attiré plus de 38'000 visiteurs
L'exposition du château de St-Maurice (VS) consacrée à Asterix a fermé ses portes dimanche. En huit mois environ, elle a attiré 38'226 visiteurs, frôlant le record de fréquentation de 2023 avec l'exposition dédiée aux Schtroumpfs (38'420 entrées).
Après ses expositions créées autour du Marsupilami, d'Alice au Pays des merveilles, de Petzi, de Dracula, des Schtroumpfs ou de l'univers de Zep, le château de St-Maurice a, une nouvelle fois, réussi son pari avec le "petit gaulois", se réjouit-il lundi dans un communiqué. Principalement centrée sur le travail de création de René Goscinny et Albert Uderzo, cette exposition a conquis un public multigénérationnel "par sa mise en perspective tant patrimoniale que ludique."
Pour sa prochaine exposition, du 28 mars au 22 novembre 2026, le château proposera une nouvelle exposition originale sur un personnage mythique de la bande dessinée, Lucky Luke. Imaginé en 1946 par le Belge Morris (1923-2001), Lucky Luke fêtera l’année prochaine ses 80 ans.
"Il représente, de par facture, son ton, son inventivité et sa savoureuse galerie de personnages-clés (Jolly Jumper, Rantanplan, Les Dalton, les croque-morts, etc.) l'une des icônes mondiales absolues du 9e art", a relevé Philippe Duvanel, le directeur du château chablaisien, cité dans le communiqué.
Durant sa carrière, Morris a dessiné 72 albums de Lucky Luke, avec notamment, pour plus de la moitié d'entre eux, un scénario imaginé par René Goscinny. L'univers de Lucky Luke se prolonge aujourd'hui par le biais de nouvelles aventures imaginées par Jul et dessinées par Achdé et par divers albums hommages réalisés par Mathieu Bonhomme, Bouzard, Mawil, Ralf König, Blutch ou, tout récemment Appollo (scénario) et Brüno (dessin).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Voyage dans le temps archéologique au Palais de Rumine à Lausanne
Au Musée cantonal d'archéologie et d'histoire (MCAH) à Lausanne, l'exposition "Destination archéologie. 1798 - Futur" propose de découvrir comment la science construit le regard sur le passé. A bord d'une machine à voyager dans le temps, le public plonge dans le 19e siècle et traverse la grande histoire de l'archéologie. A voir du 21 novembre prochain au 7 février 2027.
"L'exposition explore deux siècles d'histoire de la discipline et questionne notre rapport aux civilisations anciennes, entre fascination, découvertes et stéréotypes hérités du 19e siècle", expliquent les responsables du musée au Palais de Rumine. Elle a été conçue par le MCAH, en collaboration avec le Naturéum.
"Destination archéologie" invite le public à embarquer dans une machine à voyager dans le temps pour vivre une expérience immersive sur plus de 1200 m2, mêlant objets, images, science et imagination. Le parcours propose cinq dates-clés, de 1798 à 1914, durant lesquelles "l'archéologie s'invente et se transforme, interrogeant les liens entre savoirs scientifiques, idéologies national(ist)es et représentations du passé", souligne le MCAH.
Quelles influences des clichés?
"De la campagne d'Egypte de Napoléon à la découverte des sites lacustres en Suisse, en passant par les fouilles de sites antiques, préhistoriques et médiévaux, ces nouvelles connaissances se diffusent très vite dans la population et engendrent des stéréotypes dont les 20e et 21e siècles ont hérité". Ces clichés continueront-ils à influencer l'homme dans le futur? questionne l'expo.
Cette dernière raconte aussi comment se construisent ces nouveaux savoirs fondés sur les découvertes vaudoises et européennes du 19e siècle, entre sciences du passé et sciences naturelles. Elle propose également "un contrepoint critique sur ces connaissances acquises, en montrant leur profond renouvellement grâce aux récentes avancées dans les domaines de la génétique, des datations ou en conservation-restauration".
Pour étayer ces propos, l'exposition met en lumière plus de 1500 objets, restes humains et spécimens des collections du MCAH et du Naturéum, datant du Paléolithique au 21e siècle. Ils proviennent d'Egypte, de Grèce, d’Italie, de France et de Suisse.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Genève: une vingtaine de films palestiniens à l'honneur
A Genève, la 14e édition des rencontres cinématographiques "Palestine: filmer c'est exister" (PFCE) débutera le 26 novembre aux cinémas du Grütli et au Musée d'ethnographie de Genève (MEG), jusqu'au 30 novembre. Au programme, 22 films réalisés entre 1960 et aujourd'hui.
"Depuis 23 mois, partout dans le monde, la société civile descend dans la rue pour montrer sa solidarité avec le peuple palestinien. Elle dénonce l’horreur du génocide à Gaza, le nettoyage ethnique en Cisjordanie et l’impunité d’Israël", soutient le PFCE dans un communiqué. La production cinématographique qui s'est ralentie a poussé le festival à s'intéresser aux films d'il y a trente ans et plus.
Les thèmes évoqués par ces films ont surpris par leur similarité avec ceux d'aujourd'hui, indique le communiqué. "La place des femmes dans la société, la liberté dans l'art de filmer les corps et l'effacement programmé de la culture" s'y retrouvent.
Cinq cinéastes palestiniens viendront présenter leurs films à Genève lors du PFCE. Comme Laila Abbas, réalisatrice de la comédie dramatique "Thank you for banking with us!", qui ouvrira le festival au MEG.
Le festival sera aussi l'occasion de découvrir l'exposition "Je suis palestinienne, j'ai le droit de broder comme les Palestiniennes" de Nur Dasoki, artiste diplômée de la Haute école des arts dramatiques à Genève. Elle "affirme une identité multiple nourrie par l'exil, la transmission et la création", célèbre la résistance culturelle palestinienne et "questionne l'appartenance à travers les fils de la diaspora".
www.palestine-fce.ch
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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