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Suisse

Cinq milliards pour la reconstruction de l'Ukraine

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Le Conseil fédéral débloque cinq milliards de francs en soutien à la reconstruction de l'Ukraine d'ici 2036 (archives). (© KEYSTONE/EPA/SERGEY KOZLOV)

La Suisse devrait contribuer à hauteur de 5 milliards de francs à la reconstruction de l'Ukraine d'ici 2036. Un premier montant de 1,5 milliard doit être débloqué sur le budget de la coopération internationale d'ici 2028.

Cette aide financière, qui sera étalée sur douze ans, est un "signe fort de solidarité à l’égard des personnes touchées par la guerre en Ukraine", indique mercredi le Conseil fédéral. La Banque mondiale a estimé le montant total nécessaire à la reconstruction à 440 milliards de francs.

La Confédération soutient déjà des projets en Ukraine visant à remettre en état les infrastructures énergétiques et sanitaires civiles ainsi que les routes détruites. Lors de la Conférence de Lugano de juillet 2022, les points essentiels du processus de reconstruction politique ont été fixés.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Suisse

Pas de millionnaire au tirage du Swiss Loto

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Le Swiss Loto n'a pas fait de nouveau millionnaire mercredi (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante du Swiss Loto mercredi soir. Pour empocher le gros lot, il fallait cocher les numéros 2, 3, 6, 19, 24 et 40. Le numéro chance était le 1, le rePLAY le 2 et le Joker le 620273.

Lors du prochain tirage samedi, 19,3 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande.

https://jeux.loro.ch/games/swissloto/

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

L'occupation des étudiants pro-palestiniens prend fin à l'UNIL

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Des étudiants et militants pro-palestiniens ont tiré un bilan de leur mobilisation mercredi à l'Université de Lausanne. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le dialogue entre l'Université de Lausanne (UNIL) et le collectif pro-palestinien a abouti à un accord. L'occupation du bâtiment Géopolis, qui durait depuis près de quinze jours, a pris fin mercredi soir. Les étudiants ont promis de poursuivre la mobilisation.

Mardi après-midi, la direction de l’UNIL a présenté à une délégation du collectif ses dernières réponses aux revendications. Elles ont été acceptées dans la soirée par l’assemblée générale du collectif.

Si la direction de l'alma mater a à nouveau refusé d’entrer en matière sur le boycott académique réclamé par le collectif, elle a pris un certain nombre d'engagements, dont la création d'une cellule d’experts. Cette dernière évaluera les collaborations avec des instituts scientifiques de pays en guerre "sous l’angle de l’éthique, de l’intégrité scientifique, du droit international et de la liberté académique".

La principale revendication du collectif était justement ce boycott académique. Les porte-paroles des étudiants ont présenté en fin de journée mercredi leurs recherches sur les universités israéliennes avec qui l'UNIL collabore. Le rapport de 30 pages pointerait notamment l’Université hébraïque de Jérusalem (HUJ) et l’Ashkelon Academic College (AAC). Il détaillerait les violations de droits humains commises par ces institutions et leurs collaborations avec l’armée israélienne et des compagnies militaires privées. Joseph Daher est professeur invité à l'Université de Lausanne, et soutien au mouvement :

Joseph Daher était présent au rassemblement, comme soutien au mouvement. Il salue le courage et la détermination de ces étudiants :

Le professeur de l'université espère que la mobilisation ne s'arrêtera pas là :

Pressions dénoncées

En fin d'après-midi mercredi, plusieurs centaines d'étudiants, 1300 selon le collectif pro-palestinien, ont participé à un rassemblement devant Géopolis. S'ils ont détaillé les avancées obtenues dans l'accord, ils ont déploré les pressions de l'Université et la gestion autoritaire du ministre de l'éducation Frédéric Borloz, copieusement hué. Sam est étudiant à l'Université de Lausanne :

"L'accord met fin à l'occupation mercredi soir, mais pas à la mobilisation", ont-ils assuré. "Une voie pour le militantisme s'est ouverte dans toute la Suisse", se sont-ils réjouis. Et le collectif poursuivra la surveillance des engagements pris par l'université. Sam, étudiant de l'UNIL :

En début de soirée, les étudiants ont évacué leurs dernières affaires du hall de Geopolis

Mesures transparentes

Dans l'accord finalement trouvé, l'UNIL accepte d'inciter ses chercheuses à faire preuve "de la plus grande diligence" dans leurs collaborations scientifiques. Elle renforcera par ailleurs le réseau et le dispositif "Scholars at risk" pour les chercheurs palestiniens, ainsi que son appui aux étudiants palestiniens.

La direction mettra également en place un programme de soutien à la reconstruction des capacités académiques palestiniennes et émettra une prise de position sur la situation de ces universités.

Garantissant la transparence sur ces mesures, l'UNIL souligne toutefois qu'elles sont soumises au respect par le collectif des engagements pris de son côté. Elle réitère sa condamnation ferme de tout propos contraire aux valeurs édictées dans sa charte. Les actes et discours répréhensibles qui auront été constatés feront l’objet d’une investigation.

Entre satisfaction et regrets

Le conseiller d’Etat en charge de la formation Frédéric Borloz a salué "la fin de l’occupation non autorisée des locaux de l’Université de Lausanne, conformément à la volonté de l’Université, du Conseil d’Etat et du Grand Conseil". Il s'est dit satisfait de l'issue trouvée sur plusieurs points.

"Il n’y a pas eu d’intervention de police, l’occupation est terminée et le dialogue a pu être maintenu. Il n’y a pas eu non plus de violences physiques ni de déprédations", déclare-t-il dans une note aux médias. Il regrette néanmoins le sentiment d’insécurité vécu pendant trop longtemps par des étudiants et des membres du personnel de l'UNIL.

Le ministre déplore également "les messages injurieux, voire racistes et qui incitent à la haine. Enfin, il y avait clairement d’autres moyens qu’une occupation non autorisée de locaux pour manifester", a-t-il estimé. Les universités doivent rester des institutions dédiées à la recherche de la vérité et à la diffusion du savoir".

Robin Jaunin avec Keystone-ATS

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Vaud

La Poste teste les conseils numériques gratuits dans ses offices

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Actuellement en projet pilote, les prestations numériques gratuites au sein des offices postaux pourraient à l'avenir se généraliser en Suisse (Image d'illustration ©La Poste)

La Poste étend son projet pilote de conseils et de prestations gratuits dans le domaine du numérique. Initialement lancé durant l'été 2023 en Suisse alémanique et au Tessin, il a été étendu en février dernier dans six autres filiales, dont celle de Vallorbe en terres vaudoises.

La Poste suisse expérimente depuis bientôt une année un projet pilote de conseils et de prestations numériques gratuits. Lancé en juillet 2023 dans des filiales de Wetzikon, Gossau et Locarno, cet essai propose un soutien, gratuit, pour les besoins numériques de la clientèle. Utilisation de téléphones portables, soutien pour des formulaires en ligne ou encore accompagnement, les collaborateurs postaux peuvent donc distribuer certains conseils. Depuis février dernier, six nouvelles filiales sont concernées par ce projet pilote. En Suisse romande, il s'agit du Lignon et de Vallorbe.

Un soutien, qui se veut adapté à tous les âges et tous les besoins numériques. Corinne Tschanz est la porte-parole vaudoise de la Poste :

La Poste souhaite donc endosser un rôle de pont, entre le monde physique et le monde numérique :

Ces offres numériques sont déjà proposées dans d'autres offices postaux, mais cela est payant. Le projet pilote entend déterminer si la place existe pour des conseils, gratuits, avec des collaborateurs formés. La porte-parole vaudoise de la Poste, Corinne Tschanz :

Les clients souhaitant des conseils peuvent donc s'adresser directement aux offices de poste. Ils seront reçus par les collaborateurs de la Poste.

Encore en test

Il s'agit donc d'un projet pilote, en essai encore pendant plusieurs semaines. La Poste envisagera ensuite de l'étendre ou non à davantage d'offices postaux du pays. On retrouve Corinne Tschanz :

La Poste annonce poursuivre cet essai pilote jusqu'en juillet 2024.

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Suisse Romande

Le Conseil des jeunes se lance en Ville de Fribourg dès jeudi

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La séance inaugurale du Conseil des jeunes de la Ville de Fribourg se tiendra ce jeudi dans la salle du Grand Conseil (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Le Conseil des jeunes de la Ville de Fribourg tiendra sa séance inaugurale ce jeudi. Instauré dans le cadre de la stratégie enfance-jeunesse du chef-lieu cantonal, le nouvel organe citoyen a remis ses statuts au Conseil communal le 27 mars dernier.

Le Conseil des jeunes, ouvert aux 15-25 ans qui vivent, travaillent ou étudient en ville de Fribourg, se réunira en séance plénière quatre fois l’an, ont indiqué les autorités fribourgeoises mercredi lors d'une conférence de presse. Sa séance inaugurale aura lieu à 18h30, dans la salle du Grand Conseil, à l'Hôtel cantonal.

Le cahier des charges du comité et la charte, rédigés de manière participative, ainsi que le fonctionnement y seront présentés. Les jeunes désireux de rejoindre le Conseil des jeunes pourront ensuite s’y engager en tant que membre. La séance est publique et sera suivie d’un apéritif, annonce la Ville de Fribourg.

Stratégie ad hoc

Le Conseil des jeunes a été développé dans le cadre de la stratégie enfance et jeunesse "Grandir en ville de Fribourg" et de son objectif "Encourager la participation et la citoyenneté". Sa création répond notamment à l'acceptation de deux postulats, rappelle le communiqué.

Créé par et pour les jeunes, le Conseil est ouvert à toute personne, qu'elle soit aux études, en formation ou en apprentissage. L'organe offre une plateforme active et collaborative d’idées, de débats et de vote. Il aide et permet la réalisation de projets et forme et encourage les jeunes à la vie citoyenne.

Avec un budget

Outil parlementaire, la question permettra en outre d’interpeller le Conseil communal. Bilingue, le Conseil de jeunes gérera de façon indépendante sa communication interne et externe. Il possède son propre logo et bénéficie d’un budget annuel de 10'000 francs et du soutien d’un référent à la Ville de Fribourg.

Avant le jour j, le 27 mars, une délégation du futur Conseil des jeunes avait donc remis officiellement ses statuts au syndic Thierry Steiert et à Mirjam Ballmer, conseillère communale. La rencontre avait alors permis de présenter le travail effectué par la Constituante et le logo du Conseil élaboré par les jeunes.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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