Suisse
Easyjet renonce aux licenciements en Suisse
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2021/05/brf041-2-1000x600.jpg&description=Easyjet renonce aux licenciements en Suisse', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Easyjet Switzerland assure mercredi avoir renoncé à prononcer des licenciements dans le cadre de la réduction de voilure à l'aéroport de Bâle-Mulhouse annoncée il y a huit mois.
Les effectifs ne s'en sont pas moins amenuisés d'une quarantaine d'équivalents plein temps (EPT), pour représenter encore près d'un millier de postes.
Le recours à des départs contraints a pu être évité au travers de l'aménagement des pourcentages de temps de travail et du transfert d'une poignée de membres d'équipages de Bâle vers Genève. "Les 23 positions de pilotes et 45 places de personnel de cabine qui étaient à risque ont été grâce à ces mesures intégralement préservées", a précisé par téléphone à AWP le directeur général, Jean-Marc Thévenaz.
La représentation helvétique du transporteur à bas coûts britannique avait en effet mis début octobre en consultation avec les représentants du personnel le sort d'une septantaine d'emplois, menacés par le retrait de deux de ses douze appareils stationnés sur le tarmac rhénan. La base de Genève et ses quinze avions n'étaient pas concernés.
La compagnie - qui continue par ailleurs à avoir recours au chômage partiel - se félicite de conserver à la fois la souplesse nécessaire en période de pandémie et la possibilité d'ajuster son niveau d'activité au fur et à mesure de la levée des restrictions de voyage.
Easyjet Switzerland emploie près de 1000 personnes, dont 560 en périphérie de la cité de Calvin et 420 à l'aéroport de Bâle-Mulhouse.
Le syndicat Easyjet Switzerland Pilot Association (ESPA) souligne que le mécanisme qui autorise l'employeur à réduire les taux d'activité des pilotes dans une mesure prédéterminée pour les faire remonter à leur niveau antérieur en cas de normalisation, en échange d'une absence de licenciements, illustre la large solidarité entre les pilotes.
Visibilité réduite
Le calendrier pour une telle normalisation du trafic européen dans le ciel du Vieux continent demeure toutefois nébuleux.
"Nous sommes pour l'instant toujours en phase de reconquête, mais disposons d'une visibilité réduite, du fait de l'énorme influence des restrictions aux voyages sur la demande et de l'appel d'air que génère le moindre allègement de ces mesures," a expliqué M. Thévenaz.
L'objectif à ce stade est de remonter progressivement en puissance au mois de juin, pour atteindre jusqu'à 90% de la production initiale sur les mois de juillet et d'août, sous réserve de l'évolution du dispositif politique et sanitaire.
"Nous attendons notamment de voir comment le certificat Covid helvétique va s'harmoniser avec le certificat européen, car il est très important que nous ayons une compatibilité sur cet instrument", a rappelé le responsable.
"Nous sommes très inquiets quant à l'impact sur notre activité de la taxe carbone si elle venait à passer", a ajouté M. Thévenaz.
Sur le front des capacités, le deuxième transporteur helvétique attend toujours la livraison entre l'automne et la fin de l'année de cinq Airbus A320neos. "Ces avions sont destinés au remplacement d'appareils plus anciens, mais nous conservons une grande flexibilité pour augmenter nos capacités en fonction de la demande", a expliqué M. Thévenaz.
Chemin à suivre
L'issue des négociations entre Easyjet Switzerland et les représentants de son personnel résonne comme un tintement d'espoir pour celui de Swiss. La compagnie à croix blanche négocie en effet en ce moment un douloureux plan de restructuration, prévoyant en l'état la suppression de 1700 équivalents plein temps, représentant 20% des effectifs recensés en 2019.
Pour 780 de ces collaborateurs, occupant 650 équivalents plein temps, la filiale de Lufthansa n'exclut pas de devoir se résoudre à prononcer des licenciements. La flotte de Swiss doit, elle, être réduite de 15% à 85 avions.
Ce nouveau volet de restructurations avait provoqué une levée de boucliers dans le monde syndical et politique, qui redoute notamment que la compagnie nationale se coupe les ailes à l'aube d'une reprise du trafic aérien.
Économie
Helvetia: feu vert des actionnaires à la fusion avec Baloise
La fusion entre Bâloise et Helvetia franchit une 1ère étape. Réunis en assemblée générale extraordinaire, les actionnaires de l'assureur Helvetia ont approuvé toutes les demandes concernant l'opération. Les propriétaires de Baloise doivent encore se prononcer .
A l'image de l'ensemble des six autres propositions soumises par le conseil d'administration, le contrat de fusion a été accepté à plus 97% des voix représentées lors de la réunion tenue à St-Gall, a indiqué vendredi à AWP un porte-parole d'Helvetia. Son approbation nécessitait une majorité des deux tiers.
Les propriétaires de l'assureur de Suisse orientale ont également validé l'ensemble des autres propositions liées à la naissance du futur numéro deux helvétique de la branche, à savoir le changement de raison sociale du groupe en Helvetia Baloise Holding ainsi que le transfert du siège de la nouvelle entreprise de St-Gall à Bâle.
Les actionnaires ont en outre désigné le conseil d'administration de la nouvelle société. Actuel président de l'organe de surveillance de Baloise, Thomas von Planta, a été élu en tant qu'administrateur d'Helvetia Baloise et à la présidence.
La conclusion de cette première étape n'a guère laissé place au suspense, l'actionnaire principal d'Helvetia, la coopérative Patria, laquelle détient aussi une participation importante dans Baloise, ayant apporté son soutien au projet dès son annonce le 22 avril dernier. Les actionnaires du groupe de bancassurance rhénan se prononceront dès 16h00, l'unique point à l'ordre du jour étant le contrat de fusion entre les deux partenaires.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Genève
Hubert Hurkacz premier finaliste du Geneva Open
Hubert Hurkacz (ATP 31) est le premier finaliste du Geneva Open 2025. Le Polonais a dominé le qualifié Sebastian Ofner (ATP 128) 6-3 6-4 dans une première finale qui n'a duré que 60 minutes.
Ce match, son sixième en sept jours sur la terre battue du Parc des Eaux-Vives, fut celui de trop pour Sebastian Ofner. L'Autrichien n'a jamais eu sa chance face à un Hubert Hurkacz bien trop solide. Sa défaite aurait pu être plus nette encore s'il n'avait pas écarté quatre balles de double break au total dans la deuxième manche.
Tête de série no 8 du tableau, Hubert Hurkacz a sorti le grand jeu sur son engagement, ne perdant que 7 points au total en 10 jeux de service. Le Polonais de 28 ans jouera samedi dès 15h sa première finale de l'année, la première depuis juin 2024 à Halle. L'ex-no 6 mondial, qui affrontera Novak Djokovic (ATP 6) ou Cameron Norrie (ATP 90) samedi, vise un 9e titre sur le circuit principal.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Gaza: le DFAE prié de mener l'enquête sur une ONG controversée
Le DFAE doit mener l'enquête sur la Fondation humanitaire de Gaza (GHF). Trial International a déposé deux dénonciations auprès des autorités afin de faire toute la lumière sur cette ONG controversée, créée pour distribuer de l'aide dans la bande de Gaza.
Une dénonciation a été déposée mardi auprès de l'Autorité fédérale de surveillance des fondations (ASF) et une autre mercredi auprès du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE), indique Trial International vendredi dans un communiqué.
L'organisation de lutte contre les crimes internationaux veut savoir si GHF, dont une filiale est enregistrée depuis février à Genève, respecte le droit suisse et le droit international humanitaire. Les liens de la fondation avec les Etats-Unis, où se trouve le siège, et Israël l'inquiètent particulièrement.
"En participant à une action humanitaire qui découle d'un plan voulu par le gouvernement israélien, le risque de voir la population palestinienne discriminée est important", indique à Keystone-ATS le directeur exécutif de Trial, Philippe Grant.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Des actionnaires de Credit suisse ne seront pas indemnisés
Le Tribunal fédéral rejette la plainte contre la Confédération d'un couple qui avait acheté 38'000 actions de Credit suisse entre le 10 et le 15 mars 2023. Les actionnaires s'étaient fiés aux propos rassurants du Conseil fédéral quelques jours auparavant.
A l'issue des plaidoiries et de la délibération, la 2e Cour de droit public a annoncé le rejet de la plainte. La présidente a précisé que la décision était valable pour ce cas d'espèce uniquement.
Le couple réclamait une indemnité de 54'601 francs, plus intérêts, pour la perte de valeur de leurs actions Credit suisse. Les 10, 13 et 15 mars 2023, les plaignants avaient acheté un total de 38'000 titres pour une valeur de 84'636 francs. Ils affirment avoir investi après que le Conseil fédéral ait affirmé, début mars, que la banque était bien capitalisée.
Au lendemain de l'annonce de la reprise de Credit suisse par UBS le 19 mars, les deux investisseurs avaient revendu leurs actions pour 30'187 francs. Ils estiment que la Confédération est responsable de la perte qu'ils ont subie.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
ClimatIl y a 2 jours
Blatten (VS): environ 2 mios de mètres cubes de roches décrochés
-
VaudIl y a 2 jours
Huit nouveaux trains à crémaillère pour les Rochers-de-Naye
-
ClimatIl y a 1 jour
L'incertitude règne toujours à Blatten (VS)
-
LausanneIl y a 2 jours
Un candidat à la naturalisation obtient gain de cause
-
InternationalIl y a 3 jours
La situation chez Tesla a "déjà été rétablie", clame Elon Musk
-
SuisseIl y a 2 jours
La menace des escroqueries aux faux policiers persiste en Valais
-
VaudIl y a 2 jours
Les locataires sont plutôt satisfaits de leur logement
-
FootballIl y a 2 jours
Christelle Luisier veut "tirer profit de l'élan" créé par l'Euro