Suisse
Givaudan augmente son chiffre d'affaires au premier trimestre
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2024/04/les-chiffres-pour-le-premier-trimestre-sont-ressortis-conformes-aux-attentes-archives-1000x600.jpg&description=Givaudan augmente son chiffre d'affaires au premier trimestre', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Le géant des arômes et parfums Givaudan a enregistré des ventes en hausse au cours du premier trimestre 2024. La direction souligne une croissance dans tous ses secteurs et régions portés par une hausse de la demande, et confirme ses objectifs à moyen terme.
De janvier à mars, le chiffre d'affaires a progressé de 2,8% à 1,8 millard de francs par rapport à la même période un an plus tôt, indique un communiqué. La croissance organique, effets de change exclus, est affichée à 12,6%.
Par divisions, les ventes de Parfums et beauté a avancé de 16,3% à 900 millions. Côté arômes et bien-être, les recettes ont augmenté de 9,3% à 922 millions.
Par région, la plus forte progression revient à l'Amérique latine avec 5,8% de plus, l'Europe a avancé de 4,9% et l'Amérique du Nord de 1,2%. Seule l'Asie-Pacifique a reculé de 0,7%.
Ces chiffres sont conformes aux attentes du consensus AWP dont les analystes tablaient sur un chiffre d'affaires d'environ 1,8 milliard et une croissance organique de 7,1%.
A moyen terme, la direction vise une croissance organique des ventes de 4 à 5% à périmètre constant et un flux de trésorerie disponible d'au moins 12%.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse Romande
Renvoi des étrangers en situation irrégulière: chiffres valaisans
La question du renvoi des étrangers en situation irrégulière s'est invitée jeudi au Grand Conseil valaisan, à la suite d'une interpellation de l'UDC du Valais romand. Pour le domaine de l’asile, 230 personnes faisant l’objet d’une décision de renvoi en force n'ont pas encore quitté le canton.
Cent cinquante d'entre elles sont dans la phase d’organisation du renvoi, précise le Conseil d'Etat. Les autres font l’objet d’une suspension en raison par exemple d’une demande de réexamen, d’une nouvelle demande d’asile, d’un mariage ou d’une demande de permis humanitaire.
A cette liste s'ajoutent les ressortissants de pays dont le retour sous contrainte est impossible (Erythrée, Iran, Russie, Syrie). En moyenne, cette population se trouve en situation irrégulière depuis six ans.
De plus, 117 personnes relevant de la loi sur les étrangers et l’intégration (expulsions, refus d’octroi ou révocations de permis) sont concernées par une décision de renvoi ou d’expulsion pénale. Celles-ci se trouvent dans la phase d’organisation du retour.
La question des ressortissants algériens
Le renvoi de ressortissants algériens pose actuellement problème. A la fin mai 2025, 23 personnes demeuraient dans en Valais en procédure de renvoi. En moyenne, ces personnes sont dans l'illégalité depuis dix ans, l'une l'est depuis 1996. Une situation qui a interpellé le député UDC Damien Fumeaux,
"L’exécution des renvois est devenue une tâche de plus en plus complexe et fastidieuse, nécessitant beaucoup de temps et de ressources humaines pour être effectuées dans les délais", a conclu le Conseil d'Etat dans sa réponse.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Prilly: le syndic Alain Gilliéron ne se représentera pas en 2026
Une page se tourne dans la commune de Prilly, dans l'Ouest lausannois: le syndic Alain Gilliéron ne se représentera pas lors des élections communales de mars 2026. Son parti a indiqué jeudi qu'il ne rempilerait pas, après 26 années passées à l'exécutif communal, dont 22 en tant que syndic.
"Son engagement, son sens de l'intérêt général et sa loyauté envers la population ont profondément marqué Prilly. Il continuera à accompagner et soutenir la nouvelle génération", écrit le PLR Prilly dans un communiqué. Pour cette dernière législature, il était le seul élu de droite dans une Municipalité à majorité de gauche (2 Vert-e-s, un PS et un Centre).
Son dernier mandat aura d'ailleurs été marqué par plusieurs problèmes au sein de l'exécutif. L'an passé, M. Gilliéron avait été blanchi par les conclusions d'une enquête administrative ordonnée par le Conseil d'Etat vaudois à son encontre, sur signalement de l'élue écologiste et vice-syndique Rebecca Joly. Elle dénonçait alors de possibles irrégularités dans des dossiers sous la responsabilité du syndic.
Cette législature en cours a aussi été le théâtre de tensions entre le municipal socialiste Ihsan Kurt et ses autres collègues, dont une altercation violente le 2 mai dernier avec Alain Gilliéron. La Municipalité avait alors demandé au gouvernement vaudois la suspension de l'élu PS, chose faite en juin dernier.
Cette mise à l'écart a ensuite été confirmée par la Cour de droit administratif et public (CDAP), rejetant un recours de M. Kurt. Celui-ci reste donc suspendu jusqu'au 31 décembre. Il y a dix jours, l'intéressé a annoncé, lui aussi, qu'il ne se représenterait pas pour un nouveau mandat.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Valais: l'utilisation des caméras piétonnes ancrée dans la loi
Le Grand Conseil valaisan a accepté jeudi matin de modifier, en une seule lecture, la loi sur sa police cantonale. Celui-ci va permettre l'utilisation des caméras piétonnes (bodycams) et la recherche automatisée des véhicules. Seuls les Vert-e-s ont voté contre.
Le plénum a accepté trois des 26 amendements déposés. Les députés ont principalement tenu à ce que la police cantonale puisse utiliser une bodycam afin de documenter ses interventions, sans avertissement préalable ou autorisation spéciale, dans le cadre de certaines missions.
La volonté du Centre du Haut-Valais d'ajouter l'utilisation des tasers dans cette nouvelle mouture de la loi n'a par contre pas été soutenue par la majorité du Parlement. Le souhait du Centre du Valais romand de créer un alinéa sur le port du bracelet électronique, afin de "compléter l'arsenal des outils à la disposition de la justice", a été retiré dans l'attente d'une solution à l'échelle fédérale.
Le Grand Conseil n'a pas validé la demande des Vert-e-s de donner le droit aux personnes contrôlées de demander le déclenchement de l'enregistrement de la caméra piétonne. Il a aussi refusé aux citoyens au bénéfice d'une autorisation d'établissement (permis C) de faire partie de la police cantonale. Neuchâtel, Jura et Bâle-Ville avaient, par le passé, pris une décision inverse.
Une utilisation stricte
Le choix de doter la police cantonale d'une dizaine de bodycams est lié à une volonté de faciliter le travail d’enquête, afin d'"identifier des auteurs", avait souligné le Conseil d'Etat dans son message au Parlement. Ces caméras sont déjà utilisées dans la plupart des cantons romands.
Le nouvel article 58a de la loi sur la police cantonale délègue à l'exécutif cantonal de légiférer, dans une ordonnance, sur les modalités d’exécution de l’utilisation de ces données. "Il est impératif que l’utilisation des bodycams soit strictement réglementée", précise le Conseil d'Etat dans son message.
Les bodycams seront utilisées "lors des missions de maintien de l'ordre et par les groupes d'intervention" de la police cantonale, avait précisé mardi le conseiller d'Etat en charge de la sécurité, Stéphane Ganzer, lors du débat d'entrée en matière.
Mise en conformité
Avec cette modification de la loi, la police cantonale sera par ailleurs habilitée à utiliser le système de recherche automatisée de véhicules ("système RVS") uniquement pour la prévention d’infractions et plus dans le cadre de la poursuite de crimes et délits. De plus, la durée de la conservation de la donnée sera réduite de 100 à 30 jours. Le Valais modifie sa loi pour se mettre en conformité avec une décision du Tribunal fédéral d'octobre 2024.
Au vote, la modification de la loi sur la police cantonale a été acceptée par 112 voix contre 9 et 6 abstentions. Seuls les Vert-e-s ont voté contre. Le Parlement a ensuite accepté de traiter cette modification légale en une lecture unique (101 voix contre 26).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Neuchâtel: le lynx tiré était gravement malade
Le lynx, abattu le 9 septembre par un garde-faune du canton de Neuchâtel, était gravement malade. Un rapport démontre que l’animal souffrait de la maladie de Carré et présentait d’importantes inflammations touchant plusieurs organes internes.
Les constatations de l’Institut pour la santé des poissons et des animaux sauvages (Institut für Fisch- und Wildtiergesundheit – FIWI) "confirment que la décision du garde-faune d’abattre l’animal était justifiée et conforme au droit fédéral", a indiqué jeudi le canton.
Le rapport précise que la maladie de Carré affaiblit fortement le système immunitaire. Celle-ci s'accompagne généralement de troubles neurologiques tels que désorientation, vertiges et perte de conscience. "Ces symptômes pourraient expliquer, au moins en partie, le comportement inhabituel, peu farouche et parfois agressif du lynx", a précisé le canton.
Le décès de ce lynx avait suscité de nombreuses réactions dans la population et le canton avait été pris à partie.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
LausanneIl y a 3 jours
Le stationnement maximum passe de 2 à 3 heures dans tout Lausanne
-
SuisseIl y a 3 jours
Accord permettant le retour de la Suisse dans Horizon Europe signé
-
LausanneIl y a 2 jours
Lausanne va réserver ses locaux d'injection aux seuls Vaudois
-
LausanneIl y a 3 jours
La cathédrale de Lausanne va changer d'éclairage dès le 29 novembre
-
SuisseIl y a 3 jours
Armée: nouveaux systèmes de camouflage de fabricants européens
-
SuisseIl y a 2 jours
Les services de soins à domicile ont atteint un record l'an dernier
-
GenèveIl y a 2 jours
La Voie bleue à Genève visée par un acte de sabotage
-
VaudIl y a 3 jours
Incendie à Glacier 3000: 30 jours-amendes requis avec sursis


