Économie
Grâce à ses poids lourds, la Suisse pèse dans les bourses mondiales
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La Suisse est classée à la cinquième position des pays comptant le plus d'entreprises présentes dans le classement des 100 plus grandes capitalisations mondiales.
Alors que l'Europe est en perte de vitesse par rapport aux continents américain et asiatique, la Suisse est parvenue à défendre sa position, stable depuis plusieurs années, indique EY jeudi dans un communiqué.
Le géant de l'agroalimentaire Nestlé, dont la capitalisation boursière s'élève à 321,2 milliards de dollars, figure en 23e position des entreprises mondiales cotées les plus valorisées, selon les données compilées par le cabinet de conseil. Les groupes pharmaceutiques Roche et Novartis figurent de leur côté respectivement aux 32e et 45e rangs.
Si la position de la Suisse est stable d'année en année grâce à ses trois poids lourds, l'Europe est de moins en moins présente dans le classement et 2022 n'a pas inversé cette tendance. Avant la crise financière, 46 des 100 premières capitalisations mondiales étaient européennes, rappelle EY. Cette année, aucune entreprise européenne ne fait partie du top 10. Et dans le top 100, seules 15 entreprises ont leur siège en Europe, contre 19 qui sont établies en Asie, détaille le cabinet de conseil.
Actuellement, la première capitalisation boursière européenne est le groupe de luxe français LVMH, à la 15e place. La France compte en tout cinq entreprises dans le classement tandis que l'Allemagne n'y figure plus. De son côté, la Grande-Bretagne compte quatre entreprises dans le top 100 mondial.
Domination américaine
Les entreprises états-uniennes ont réaffirmé leur suprématie sur les bourses internationales, avec 61 groupes de ce pays parmi les 100 premières capitalisations boursières mondiales à la fin de 2022. Apple arrive en première position, avec une valeur boursière de 2100 milliards de dollars, suivi par Saudi Aramco. Le groupe pétrolier d'Arabie Saoudite est valorisé à 1900 milliards de dollars. Microsoft (1800 milliards de dollars) et Alphabet, la société mère de Google (1100 milliards de dollars), suivent en troisième et quatrième position.
La Chine et Hong Kong ont affiché la meilleure progression, avec en tout 15 entreprises dans le top 100, contre 10 un an plus tôt. L'Inde en compte deux et le Japon une seule.
Par secteur, les entreprises technologiques ont cédé du terrain dans l'ensemble. En effet, fin 2022, on ne compte plus que 21 sociétés technologiques dans le top 100, contre 28 un an auparavant. "Nombre de sociétés technologiques avaient pris énormément de valeur pendant la pandémie, et celles-ci sont aujourd'hui confrontées à un environnement économique nettement plus difficile", observe Stefan Rösch-Rütsche, Country Managing Partner chez EY Suisse, cité dans le communiqué.
A l'inverse, les entreprises des secteurs "énergie" et "industrie" ont connu la plus forte progression. Désormais, respectivement huit et neuf entreprises de ces deux secteurs figurent dans le top 100, alors qu'elles n'étaient que cinq l'année dernière, précise EY.
En 2022, les 100 premières entreprises mondiales ont vu leur capitalisation boursière chuter de 20% pour atteindre quelque 28'600 milliards de dollars. L'étude d'EY repose sur les données de clôture disponibles le 27 décembre 2022.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Construction: entrepreneurs et syndicats ont trouvé un accord
Les entrepreneurs et les ouvriers du bâtiment représentés par les syndicats se sont mis d'accord sur une nouvelle convention collective nationale. Ils l'ont annoncé conjointement vendredi après la dernière série de négociations.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
La Suisse achètera moins de F-35 que prévu pour respecter le budget
La Suisse achètera "autant d'avions F-35 que possible" dans la limite de l'enveloppe financière de 6 milliards de francs. Aucun crédit supplémentaire ne sera alloué, a indiqué vendredi le Conseil fédéral. La volonté populaire sera respectée.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
L'Allemagne accuse la Russie d'une cyberattaque et d'ingérence
L'Allemagne a attribué vendredi à la Russie une "attaque informatique" visant son système de contrôle du trafic aérien ainsi qu'une "campagne" de déstabilisation durant les dernières législatives allemandes,. L'ambassadeur russe à Berlin a été convoqué.
"Le service de renseignement militaire russe GRU est responsable de cette attaque" informatique commise en août 2024 et "la Russie a tenté, à travers la campagne Storm 1516, d'influencer et de déstabiliser" la dernière élection en février, a déclaré un porte-parole du ministère allemand des affaires étrangères lors d'un point presse régulier.
Contactée vendredi par l'AFP, l'ambassade russe à Berlin n'avait pas réagi immédiatement.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Hausse des frais et disponibilité en baisse après la fusion CS-UBS
La fusion entre les deux plus grandes banques du pays Credit Suisse et UBS a érodé la compétitivité dans certains segments de marché. Le Conseil fédéral ne constate pourtant "aucun effet négatif généralisé sur la concurrence", selon un rapport publié vendredi.
Une étude de BAK Economics réalisée sur mandat du Secrétariat à l'économie (Seco) montre que la fusion UBS-CS a érodé la compétitivité dans certains domaines, précise le document. La fusion s'est en effet traduite par une diminution de la concurrence dans les crédits aux entreprises d'un montant important, les financements syndiqués structurés, les émissions d'emprunts en francs suisses et la conservation globale de titres.
"Aucun effet négatif généralisé n'a pu cependant être constaté sur les prix, les marges ou les positions de négociation; plus précisément, les effets observés ne peuvent être mis sur le compte de la fusion de manière univoque", écrit le Conseil fédéral.
Le gouvernement estime toutefois nécessaire d'adapter les procédures de contrôle des concentrations. Cela vaut en premier lieu pour la procédure applicable lorsque l'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (Finma) se substitue à la Commission de la concurrence (Comco) dans le cadre de fusions bancaires. Le Conseil fédéral examinera dans quelle mesure la coopération entre les deux organes de surveillance peut être améliorée dans le cadre de l'entraide administrative.
Le Conseil fédéral juge inopportune l'introduction de l'instrument de l'enquête sectorielle dans le droit suisse de la concurrence, dont l'examen a été expressément souhaité par le Conseil national. Cela augmenterait la charge administrative et l'insécurité juridique pour les entreprises.
Le rapport publié vendredi fait suite au postulat 23.3444 "Fusion UBS-CS. Évaluation de l'importance du point de vue du droit de la concurrence et de l'économie nationale" déposé le 4 avril 2023.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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