Suisse
Holcim: intrusion sur un site Lafarge lors d'une action climat
Dix-sept personnes suspectées d'intrusion et de dégradations dans une cimenterie Lafarge à Val-de-Reuil (Eure) en décembre ont été interpellées lundi et placées en garde à vue, selon le procureur d'Evreux.
"En début de matinée, les services d'enquête saisis ont procédé à l'interpellation de 17 personnes, suspectées d'avoir fait partie des auteurs des faits", a indiqué le procureur Rémi Coutin dans un communiqué.
Seize des interpellés l'ont été en Normandie, et un en Seine-Saint-Denis, tous sont majeurs, selon le communiqué.
Le 10 décembre, lors d'une journée nationale de mobilisation d'activistes climatiques contre les cimentiers, une centaine de personnes s'étaient introduites sur le site industriel de Lafarge (groupe Holcim) à Val-de-Reuil.
"Vêtues de combinaisons blanches, les visages dissimulés et porteuses de gants", selon la même source, ces personnes avaient empêché l'agent de sécurité de sortir de son local avant de se livrer à "d'importantes dégradations".
Des tags "demain sera sans béton ou ne sera pas", "Lafarge terroriste", "le béton tue", "drogués au béton? Qui est votre dealer? Macron? Daesh? JO?" ainsi que le symbole des "Soulèvements de la Terre" avaient été relevés à "plusieurs endroits", d'après le parquet.
Les dégradations - mousse expansive à l'intérieur de plusieurs appareils, béton dans une arrivée d'eau, un contenant de billes de polystyrène et des sacs de ciment éventrés ou encore vitres brisées - sont estimées à plus de 450.000 euros.
Les activistes avaient pris la fuite "à l'arrivée d'une patrouille de police du commissariat de Val-de-Reuil en bousculant les policiers" qui n'avaient pas pu les interpeller.
Une enquête avait été ouverte pour séquestration, destructions/dégradations graves en réunion, participation à une association de malfaiteurs et violences sur personnes dépositaires de l'autorité publique sans incapacité.
Elle est confiée à la Sous-direction anti-terroriste (SDAT) de la Direction nationale de la police judiciaire et la Direction territoriale de la police judiciaire de Rouen.
Le 10 décembre, des manifestations avaient eu lieu également devant des sites Lafarge à Paris, dans le Maine-et-Loire, dans le Puy-de-Dôme, en Ardèche ou encore dans l'Allier, pour dénoncer l'impact climatique de cette industrie.
La production de ciment et de béton représente 8% des émissions de CO2 mondiales, plus que le transport aérien et le transport maritime réunis, admettent les professionnels.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Genève
Le Grand Conseil vote une baisse d'impôts pour la classe moyenne
A Genève, la classe moyenne devrait payer moins d'impôts. La majorité de droite du Grand Conseil a accepté vendredi un projet de loi dans ce sens. L'introduction du référendum obligatoire permettra au peuple d'avoir le dernier mot.
"Ce projet de loi est juste, équilibré et dynamique. Il renforce le pouvoir d'achat par une baisse d'impôts sur le revenu et apporte un bol d'air à la classe moyenne qui ne touche pas d'aide étatique", a relevé Sébastien Desfayes, rapporteur de majorité. Et le député du Centre de rappeler l'excédent de 1,4 milliard de francs des comptes 2023, qui montre que Genève n'a pas de problème de recettes.
Le texte de la droite a été modifié en commission des finances suite à l'acceptation d'un amendement général du Conseil d'Etat visant à augmenter la réduction d'impôts pour les revenus médians, a expliqué M. Desfayes. La baisse moyenne est de 8,7%, alors que la fourchette des diminutions va de 5,4% à 11,4%.
Les pertes fiscales sont estimées à 326 millions pour le canton et à 108 millions pour les communes. "Depuis 1999, toutes les baisses d'impôts dans le canton ont abouti à une hausse des recettes fiscales par un effet dynamique", a souligné M. Desfayes. Et même si la baisse est importante, Genève restera le canton où la fiscalité est la plus élevée de Suisse, a-t-il indiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Viola Amherd entend parler des abus sexuels avec le pape
La présidente de la Confédération Viola Amherd a rencontré vendredi Giorgia Meloni, au premier jour d'une visite à Rome et au Vatican. Samedi, elle entend aborder lors de son entretien avec le pape François la question des abus sexuels au sein de l'Eglise catholique.
La promotion de la paix par la Suisse et le Saint-Siège sera un thème central des entretiens qu'elle aura avec le souverain pontife et le cardinal secrétaire d'Etat Pietro Parolin, a dit la Valaisanne devant la presse. Elle réitérera l'invitation à la conférence de paix du Bürgenstock (NW) sur l'Ukraine à la mi-juin.
La ministre de la défense entend aussi évoquer la question des abus sexuels dans l'Eglise catholique. Le Conseil fédéral attend de l'Eglise qu'elle lutte efficacement contre les abus et qu'elle prenne des mesures de prévention importantes, a-t-elle dit. Viola Amherd veut aussi aborder l'égalité des droits entre hommes et femmes.
Vendredi, Mme Amherd a rencontré la cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni et le président Sergio Mattarella.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Frédérique Perler ne briguera pas de deuxième mandat
La conseillère administrative de la Ville de Genève, Frédérique Perler, ne briguera pas de deuxième mandat. Sous pression depuis une affaire d'embauches controversées dans son département, la Verte a annoncé sur les ondes RTS qu'elle ne se représenterait pas en 2025.
"Je ne briguerai pas un second mandat et je ne me suis absolument pas sentie poussée vers la sortie ni par mes collègues du Conseil administratif, ni par mon parti, ni par quelconque autre personne", a déclaré vendredi la magistrate dans l'émission Forum. Elle a expliqué mener cette réflexion depuis fin 2023.
"D'un côté, il y a toujours un intérêt à mener ses projets et à en mener de nouveaux. D'un autre côté, j'ai 64 ans et je me suis projetée à la fin de la prochaine législature, c'est-à-dire en 2030". Cette perspective allait à l'encontre de ses valeurs de Verte et de féministe, selon la magistrate.
Interrogée sur d'éventuelles erreurs commises lors des embauches controversées, elle n'en reconnait aucune. "Je ne suis pas incriminée", a-t-elle souligné.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
BNP Paribas Suisse compte supprimer une centaine de postes à Genève
BNP Paribas Suisse compte supprimer une centaine de postes à Genève, principalement dans les fonctions de support et l'informatique, a indiqué vendredi à l'agence AWP une porte-parole de la banque.
La filiale helvétique du groupe bancaire français, qui compte plus de 1000 employés en Suisse, "confirme avoir lancé une procédure de consultation avec la commission du personnel à Genève", a-t-elle précisé dans une prise de position.
Malgré ces mesures, l'établissement affirme que "son ambition demeure inchangée en Suisse" et qu'il veut "continuer à mettre en place son plan stratégique 2025" et poursuivre sa croissance.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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