Économie
La consommation des ménages a encore reculé au 2e trimestre (OFS)
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Les dépenses de consommation des ménages helvétiques ont subi une nouvelle contraction entre avril et juin, après être repassées sous le seuil de 50% des revenus en début d'année.
Au deuxième trimestre, elles se sont montées à 44,47% du revenu brut, leur plus bas niveau depuis trois ans, selon les données expérimentales de l'enquête publiée vendredi par l'Office fédéral de la statistique (OFS).
Avec une part de 13,12% - dont plus de 10% pour le loyer ou intérêts hypothécaires du logement principal - le poste logement et énergie continue d'être la principale dépense des ménages, devant les impôts (10,35%) et les assurances sociales (9,59%), alors que les primes de l'assurance-maladie de base représentent 6,81%, auxquels s'ajoutent 1,88% pour les complémentaires, relèvent les statisticiens fédéraux.
A noter que les dépenses de santé proprement dites, qui comprennent les produits pharmaceutiques, le matériel sanitaire et médical, ainsi que les services médicaux et hospitaliers, ont vu leur part ramenée à 1,57%, ce qui représente un recul de plus de moitié par rapport au premier trimestre et de trois quarts comparé au dernier de 2022 (6,41%). Le poste des transports également a connu une diminution de près d'un tiers à 3,79%, en dépit d'une légère hausse des frais déboursés pour les carburants.
Les dépenses consenties pour les loisirs et la culture se sont inscrites à 3,70% des revenus, la valeur la plus basse depuis le 1er trimestre 2021, au plus fort de la pandémie de coronavirus.
L'enquête sur le budget des ménages (EBM) désormais publiée à un rythme trimestriel, permet de rendre compte des effets de la crise sanitaire sur la consommation en particulier, mais aussi sur le budget des ménages en général, indique l'OFS. Toutefois, s'agissant d'estimations basées sur un échantillon relativement restreint - 900 ménages par trimestre - il faut "porter une attention particulière à l'incertitude liée à ces estimations".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Trump menace Musk de représailles s'il s'oppose aux républicains
Le président américain Donald Trump a menacé dans une interview samedi son ancien allié Elon Musk de "très lourdes conséquences" s'il tentait de nuire à des élus républicains, deux jours après leur violente rupture qui a éclaté aux yeux du monde entier.
Malgré une accalmie apparente depuis vendredi, les deux hommes s'étant souhaité mutuellement "bonne chance" et Elon Musk ayant supprimé plusieurs messages accusateurs et menaçants, les deux hommes semblent décidément bien loin d'un potentiel rabibochage.
Née d'un désaccord sur la vaste loi budgétaire voulue par le républicain, la rupture entre le président de la première puissance mondiale et l'homme le plus riche de la planète pourrait être porteuse de lourdes conséquences politiques et économiques.
Interrogé sur la possibilité que le richissime entrepreneur finance des candidats démocrates en campagne contre des élus républicains soutenant ce texte, Donald Trump a répondu à la chaîne NBC: "s'il le fait, il devra en payer les conséquences".
"Il devra faire face à de très lourdes conséquences", a-t-il ajouté, sans détailler la nature de ces potentielles répercussions.
"Très irrespectueux"
Après des mois d'une alliance idyllique savamment mise en scène, Donald Trump et Elon Musk se sont déchirés publiquement jeudi à coup de messages interposés sur leurs réseaux sociaux respectifs, s'accusant de "folie" pour le premier, "d'ingratitude" pour le second.
Interrogé sur l'avenir de leur relation, le président américain a déclaré samedi n'avoir "aucun" désir de renouer avec M. Musk et "aucune intention de lui parler". "Il est très irrespectueux. On ne peut pas manquer de respect à la fonction présidentielle", a-t-il encore dit.
Après être resté longtemps silencieux face aux attaques incessantes de l'entrepreneur contre sa "grande et belle loi", un texte qui prévoit d'énormes allègements fiscaux, de lourdes dépenses pour la défense et des coupes dans les prestations sociales, Donald Trump a fini par répliquer jeudi vertement.
Le qualifiant de "fou", le président a menacé "d'annuler les subventions et contrats gouvernementaux" du patron de Tesla et SpaceX, ce dernier ripostant avec une flopée de posts dans lesquels il a notamment accusé Donald Trump d'être impliqué dans l'affaire Jeffrey Epstein, du nom d'un financier accusé d'exploitation sexuelle de mineures.
"Pas nouveau"
"Il est temps de lâcher la grosse bombe: (Trump) est dans les dossiers Epstein", avait-il ainsi écrit sur X. "C'est la véritable raison pour laquelle ils n'ont pas été rendus publics."
Ce message, comme d'autres publiés ou partagés le même jour par le multimilliardaire, dont l'un appelait à destituer le président, n'étaient plus visibles sur son compte samedi.
Interrogé par NBC sur ses liens amicaux passés avec le financier, mis en avant par Elon Musk, le républicain a répondu samedi: "ce n'est pas nouveau, on en parle depuis des années".
Si Donald Trump l'a côtoyé, il a toujours nié avoir passé du temps dans la propriété d'Epstein sur les îles Vierges américaines où, selon les procureurs, le financier se livrait à un trafic sexuel avec des jeunes filles mineures.
L'histoire de Jeffrey Epstein, au coeur d'un vaste scandale international de crimes et d'exploitation sexuels et qui s'est suicidé en prison en 2019 avant d'être jugé, alimente de nombreuses théories complotistes et obsède une partie de la droite radicale américaine.
"Même l'avocat d'Epstein a dit que je n'avais rien à voir avec cela", a réaffirmé Donald Trump samedi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Conflit social au Panama: des négociations prévues lundi
Le gouvernement panaméen et les travailleurs de la filiale de la compagnie bananière américaine Chiquita Brands se rencontreront lundi. Ils tenteront de mettre fin à plus d'un mois de manifestations et de blocages de routes, a annoncé vendredi un dirigeant syndical.
Depuis le 28 avril, les travailleurs du secteur bloquent les routes de la province caribéenne de Bocas del Toro, à la frontière du Costa Rica, pour protester contre la nouvelle loi sur la sécurité sociale.
Le blocage des routes perturbe fortement l'activité touristique locale et a conduit à des pénuries de marchandises et de carburant ainsi qu'à la fermeture des écoles.
Ce mouvement social a entraîné quelque 75 millions de dollars de pertes pour le géant américain de la banane, qui a répliqué en licenciant ses plus de 6500 salariés dans la province.
Les grévistes protestent notamment contre la suppression de prestations de santé et de retraite pour les travailleurs du secteur, prévue par la récente réforme de la sécurité sociale.
"Il est temps d'entamer un dialogue et d'écouter ces humbles personnes", a déclaré Francisco Smith, dirigeant du syndicat de la banane, précisant lors d'une conférence de presse qu'une délégation du syndicat rencontrerait lundi dans la capitale panaméenne des ministres et des députés afin de trouver un accord pour mettre fin à la grève.
M.Smith a indiqué que les routes bloquées seront rouvertes six heures par jour et que si les négociations progressent, cette durée sera "augmentée".
Ces déclarations ont été faites après que le président panaméen, José Raúl Mulino, s'est engagé à présenter un projet de loi visant à rétablir les droits des salariés du secteur si les blocages prenaient fin.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
La Poste se concentrera sur l'intégration des entreprises achetées
La Poste Suisse veut se concentrer sur l'intégration des entreprises qu'elle a achetées. Le chef intérimaire Alex Glanzmann l'a dit aux journaux alémaniques de Tamedia en réponse à la question de savoir si la Poste allait poursuivre sa "tournée d'achats".
La Poste a acquis les compétences et les technologies qui doivent maintenant être intégrées à la Poste comme les pièces d'un puzzle, a déclaré M.Glanzmann dans l'interview de samedi. Le géant jaune a acheté deux entreprises l'année dernière et aucune cette année.
Il n'a pas exclu d'autres acquisitions - "si une occasion judicieuse se présente" - car les défis liés à la baisse des revenus susbistent, a dit le chef intérimaire de la Poste.
Faire avancer la numérisation
En investissant dans le numérique, le géant jaune a voulu réagir à la baisse du courrier et des colis ainsi qu'au recul des paiements au guichet et tenir compte de l'évolution des besoins de la population et de l'économie. C'est ainsi que le groupe a racheté, entre autres, le fournisseur de cloud "Tresorit", le fournisseur de plates-formes publicitaires numériques "Livesystems" et l'aide à l'administration "Klara".
Les entreprises n'ont pas été achetées pour faire concurrence aux PME, a déclaré M.Glanzmann, ajoutant: "Nous avons besoin des technologies pour continuer à développer nos propres produits numériques comme le courrier électronique."
Le Parlement veut une surveillance plus stricte
Afin de garantir le service universel, la Poste est autorisée à proposer des prestations en dehors du service public, a déclaré le chef intérimaire. «Si des limites trop strictes nous sont imposées ici, alors nous aurons un sérieux problème.» Si la politique devait restreindre la marge de man½uvre dans le domaine du numérique, «alors il faudra parler d’un changement de système et de subventions», a averti Glanzmann.
Le Parlement souhaite exercer un contrôle plus strict sur les acquisitions d’entreprises par La Poste. Le Conseil fédéral devra approuver les acquisitions qui ne relèvent pas du mandat de prestations de La Poste, selon une motion adoptée par le Conseil des États en mars. En outre, les projets de La Poste devront être justifiés auprès des commissions parlementaires compétentes. Dans sa prise de position défavorable, le Conseil fédéral a rappelé les lignes directrices stratégiques encadrant l’entreprise détenue par la Confédération et souligné que la politique n’intervient pas dans les activités opérationnelles de La Poste.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
UBS cloue au pilori la hausse "extrême" des fonds propres exigée
UBS a vivement critiqué vendredi la future règlementation concernant les banques d'importance systémique et qui exigerait qu'elle lève, selon ses calculs, au total jusqu'à 42 milliards de dollars supplémentaires de fonds propres de première catégorie (CET1).
L'établissement zurichois "soutient en principe la plupart des propositions régulatoires du Conseil fédéral publiées ce jour", mais "se trouve fortement en désaccord avec l'augmentation extrême des besoins en fonds propres" annoncée par la présidente de la Confédération Karin Keller-Sutter, a-t-il indiqué vendredi dans un communiqué.
"Ces changements résulteraient dans des exigences en fonds propres qui ne sont pas proportionnelles ou alignées au niveau international", a poursuivi UBS, qui s'était ces derniers mois vivement opposée à de nouvelles mesures en matière de capitaux additionnels.
Selon les calculs de la banque, et au vu de la cible d'un ratio de fonds propres durs (CET1) entre 12,5% et 13%, cette dernière aurait besoin de 24 milliards de dollars (19,7 milliards de francs) de fonds propres CET1. Ce montant viendrait s'ajouter aux 18 milliards dont UBS a besoin suite à l'acquisition de Credit Suisse.
Reversements aux actionnaires maintenus
Dans l'immédiat, et comme ces mesures ne doivent pas commencer à entrer en vigueur avant 2027, la direction a maintenu son objectif d'un rendement des fonds propres CET1 sous-jacents d'environ 15% et un rapport sous-jacent entre les charges et les recettes inférieur à 70% d'ici fin 2026.
UBS a également réitéré ses objectifs de reversement aux actionnaires cette année, avec une augmentation de 10% du dividende et des rachats d'actions de jusqu'à 2 milliards au second semestre.
Malgré ces critiques, le groupe veut "s'engager de manière constructive dans le processus de consultation" et "évaluer des alternatives", ainsi que des "mesures appropriées" pour répondre aux "effets négatifs" de cette régulation.
La banque compte aussi terminer "avec succès" l'intégration de Credit Suisse, qu'elle avait racheté en 2023 alors que la banque aux deux voiles se trouvait au bord de la faillite.
Les trois autres banques systémiques ont également réagi aux annonces du Conseil fédéral. Raiffeisen a demandé une prise en compte "proportionnelle et mesurée" lors de l'application de la future réglementation bancaire. La banque coopérative st-galloise estime que la régulation doit prendre en compte "la taille, le modèle d'affaires, les risques et les liens internationaux des banques".
La Banque cantonale de Zurich (ZKB) a dit "prendre connaissance" de propositions. La banque systémique va "analyser les propositions du Conseil fédéral" et contribuer "de manière constructive" aux discussions sur la réglementation bancaire.
Postfinance a pour sa part indiqué, dans une brève prise de position, "prendre connaissance des propositions de réforme du Conseil fédéral" qu'elle va "évaluer".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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