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Économie

La construction poursuit sa reprise au 2e trimestre

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Si l'activité a pratiquement renoué en été avec son niveau d'avant-crise, les entrepreneurs rechignent encore à étoffer des effectifs sinistrés par l'éclatement de la pandémie et les vagues successives de restrictions. (archives) (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Les activités de construction ont repris, après une année 2020 marquée par la pandémie de coronavirus. Au deuxième trimestre, le chiffre d'affaires de ce secteur s'est rapproché des niveaux avant-crise mais le nombre d'emplois reste toujours inférieur à 2019.

Les recettes du secteur principal de la construction ont augmenté de 5,2% sur un an à 5,7 milliards, en particulier grâce à la bonne santé du génie civil public qui a généré 2 milliards de chiffre d'affaires, une hausse de 1%, indique mercredi la Société Suisse des Entrepreneurs (SSE).

Le secteur du logement s'est aussi montré très dynamique avec un bond de 20% à 1,9 milliard. Selon les données de Documedia, le nombre de demandes de permis de construire dans le logement a augmenté de 21% au premier semestre 2021, et le volume en francs de 6%.

"Beaucoup de propriétaires souhaitent rénover ou agrandir leurs appartements ou maisons. Mais ce phénomène pourrait n'être que temporaire", avertit la SSE.

Selon les prévisions les plus récentes de l'indice de la construction, le chiffre d'affaires du secteur principal pourrait à nouveau dépasser la barre des 20 milliards de francs en 2021. La progression des recettes de l'exercice en cours est ainsi attendue à 4,5% contre 1,5% prévu auparavant.

Malgré ces pronostics optimistes, des incertitudes liées à la pandémie demeurent et nombre de sociétés hésitent à engager. "En juillet 2021, il y avait selon le Seco un quart de chômeurs en plus dans le bâtiment et le génie civil qu'en juillet 2019", relève la SSE.

L'indice suisse de la construction pour le 3e trimestre s'est ainsi inscrit à 145 points, une hausse de 1,7% par rapport au 2e trimestre et de 5,7% sur un an.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Italie: nouvelle baisse de la production industrielle en avril

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Tous les principaux secteurs industriels ont connu une baisse en avril sur un mois. (Archives) (© KEYSTONE/AP/ALBERTO PELLASCHIAR)

La production industrielle en Italie a enregistré en avril une baisse pour le quatrième mois consécutif. Elle a cédé 1,9% par rapport à mars, a indiqué vendredi l'Institut national des statistiques (Istat).

Elle avait déjà baissé de 0,6% en mars, de 0,1% en février et de 0,7% en janvier. Sur la période février-avril, la production industrielle a diminué en moyenne de 1,3% par rapport au trimestre précédent. La production industrielle en Italie n'avait progressé que de 0,5% en 2022, dans un contexte de crise de l'énergie et de guerre en Ukraine.

Tous les principaux secteurs industriels ont connu une baisse en avril sur un mois, les biens intermédiaires (-2,6%), les biens de consommation (-0,4%), le secteur de l'énergie (-0,3%) et les biens d'équipement (-2,1%). Comparé à avril 2022, la production industrielle a diminué de 7,2%, en données corrigées des effets de calendrier.

L'Italie a vu son Produit intérieur brut (PIB) augmenter de 0,6% au premier trimestre par rapport au précédent, notamment grâce à la bonne tenue des services. Après avoir enregistré un recul du PIB de 0,1% au quatrième trimestre 2022, l'Italie a échappé ainsi à la récession et affiche une croissance nettement supérieure à la moyenne de la zone euro, entrée en récession technique en début d'année avec un PIB reculant de 0,1%.

La croissance économique de l'Italie a atteint 3,7% en 2022, après une hausse record du PIB de 7% en 2021.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Économie

Imposition du télétravail des frontaliers

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Le Conseil fédéral veut une règle uniforme pour les frontaliers en télétravail (image d'illustration). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Les frontaliers travaillant partiellement en télétravail doivent être totalement imposés en Suisse. Le Conseil fédéral a mis vendredi en consultation une révision de loi visant à inscrire une base légale nationale.

Les frontaliers paient en Suisse l'impôt à la source sur le revenu de leur activité lucrative. Cependant, en vertu des conventions en vigueur, la part exercée en télétravail peut être imposée par le pays de résidence.

L'imposition de cette part en Suisse est possible si le droit d'imposer revient à la Suisse en vertu d'un traité international et s'il existe une norme d'imposition expresse en droit interne.

Le gouvernement entend donc répondre à cette deuxième condition. Des recettes fiscales sont garanties. La consultation court jusqu'au 2 octobre.

Depuis le 1er janvier, conformément à un accord entre Berne et Paris, les frontaliers paient en Suisse l'impôt à la source sur l'entier de leur salaire, à condition qu'ils n'effectuent pas plus de 40% en télétravail.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Berne et UBS signent le contrat de garantie contre les pertes

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UBS prévoit de finaliser l'acquisition de Credit Suisse probablement le 12 juin 2023. (Archives) (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

La Confédération et UBS ont signé le contrat de garantie contre les pertes, convenu dans le cadre de la reprise forcée de Credit Suisse par son homologue zurichois.

Le numéro un bancaire helvétique ne pourra puiser dans cette garantie plafonnée à 9 milliards de francs qu'après avoir pris à sa charge 5 milliards.

"La Confédération a accordé à UBS une garantie couvrant les pertes éventuelles liées à la réalisation des actifs de Credit Suisse", a précisé le Département fédéral des finances (DFF) vendredi dans un communiqué. Le contrat a été signé ce vendredi.

Le DFF a souligné que "la Confédération et UBS ont pour priorité de réduire les pertes éventuelles et les risques afin d'éviter si possible un recours à la garantie de la Confédération".

Concrètement, les garanties portent sur un portefeuille précis d'actifs de Credit Suisse représentant environ 3% du total des actifs d'UBS au terme de l'acquisition. Dans le détail, il est composé de crédits, de produits dérivés, d'instruments non stratégiques et de produits structurés ne faisant pas partie du coeur de métier de la banque aux deux voiles.

Le soutien public ne couvre que les pertes réalisées et définitives.

Des bénéfices à la clé

Si UBS ne recourt pas à cette aide, la Confédération pourrait ressortir bénéficiaire de l'opération. UBS doit en effet verser une prime de garantie à Berne, se composant d'un versement de départ à hauteur de 40 millions de francs, de l'émolument annuel de 0,4 % prélevé sur les 9 milliards (soit 36 millions par année) et d'une prime de risque entre 0% et 4% en fonction des pertes déjà réalisées et encore attendues.

Credit Suisse a de son côté remboursé à la Banque nationale suisse (BNS) la totalité des emprunts accordés au titre du mécanisme public de garantie des liquidités (PLB). "La garantie n'a donc engendré aucune perte pour la Confédération, mais lui a au contraire rapporté des recettes de 111 millions francs", s'est réjoui le DFF.

Le contrat de garantie d'UBS prendra fin lorsque le portefeuille concerné par la garantie aura été définitivement réalisé. Le numéro un bancaire helvétique peut résilier le contrat de garantie à tout moment, mais renoncerait alors à la garantie de la Confédération.

La banque aux trois clés devra se plier à des règles strictes: elle doit gérer les actifs de manière à réduire les pertes et à maximiser les recettes, créer une structure dédiée, instituer un comité de surveillance et s'engager à conserver son siège en Suisse. La Confédération dispose quant à elle de droits d'information et d'audit étendus.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

La Confédération et UBS signent un contrat de garantie

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Alerte Info_SU (© )

La Confédération et UBS ont signé le 9 juin un contrat de garantie couvrant les pertes éventuelles liées au rachat de Credit Suisse. Le Conseil fédéral en a pris connaissance vendredi. Cette garantie est limitée à 9 milliards de francs.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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