Culture
La Datcha invite Stephan Eicher à jouer à Château-d'Oex
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Château-d'Oex et Rossinière accueillent la première édition du festival "Le Son des Jardins" les 6 et 7 septembre. Un événement à taille humaine avec Stephan Eicher & Osomo en tête d'affiche, entourés de Buvette, Odd Beholder et Lugrinov.
Lancé par une poignée de passionnés du Pays-d'Enhaut, "Le Son des Jardins" mêle concerts en plein air et rencontres de voisinage. L'idée? Transformer des jardins privés en scènes vivantes pour une programmation musicale pointue mais accessible, gratuite en grande partie.
Stephan Eicher & Osomo joueront dimanche en fin d'après-midi au jardin du temple à Château-d'Oex. C'est le seul concert payant, les autres prestations étant offertes sur participation libre: "on a même fabriqué une petite crousille en bois pour l'occasion", explique Adrien Romedenne, cofondateur du festival et directeur artistique de La Datcha à Lausanne, à Keystone-ATS.
La Datcha s'invite à la montagne
En initiant ce projet estival, La Datcha prend ses quartiers d'été dans les Alpes vaudoises. Les responsables de ce petit club, niché à l'orée de la forêt du Flon à Lausanne, prennent un grand bol d'air, après plus de quatorze ans d'activités culturelles au centre-ville.
Un prolongement naturel, selon Adrien Romedenne: "On voulait faire un pas de côté par rapport aux salles de concerts traditionnelles. Ici, on crée du lien en musique".
Outre Stefan Eicher, le festival fait la part belle à la scène indépendante. A Rossinière, Odd Beholder, le nom de scène de la zurichoise Daniela Weinmann, proposera un concert minimaliste aux accents électro en début d'après-midi dimanche dans le jardin du Stanet à Château-d'Oex.
"Une claque monumentale"
"Odd Beholder m'a mis une claque monumentale. Elle a une relation très sensible à la nature, c'était une évidence de l'inviter dans un jardin", confie le programmateur. L'artiste avait notamment été accueillie à La Datcha lors du festival Label Suisse l'an dernier.
Buvette - Cédric Steuli -, musicien originaire de Leysin, jouera en solo avec ses machines samedi en fin d'après-midi à Rossinière. Mélange de musiques du monde, d'électro et de rythmes tribaux, son concert sous les pommiers d'un jardin privé, celui de la Combe, s'annonce comme un moment fort.
Toujours à Rossinière samedi, mais un peu plus tôt, le groupe local Lugrinov, mené par un paysagiste-musicien, donnera son tout premier concert. "Ils se sont autoproclamés groupe du festival. C'est spontané, joyeux, exactement l'esprit qu'on cherchait".
Un festival de voisinage
Le festival revendique un esprit artisanal et participatif. Chaque hôte de jardin a choisi son ou ses artistes, dans un dialogue direct avec les organisateurs. "Ce sont les habitants qui programment. Et ça change tout", note le Lausannois d'adoption.
Les parcours pour accéder aux concerts sont eux aussi à taille humaine: petites passerelles, chemins forestiers et points de vue insolites ponctuent l'expérience. "C'est un peu Indiana Jones par endroits. Mais c'est ce piment-là qui nous plaît."
Pas de foodtrucks ni de buvettes officielles. Les organisateurs ont préféré s'appuyer sur les commerces existants: restaurants, bars, et même une crêperie récemment ouverte qui propose une création dédiée au festival, la "Eicher". "C'est plein de petites histoires comme ça, de gens qui ont envie de participer à leur manière", raconte-t-il.
Les 400 billets mis en vente pour le concert de l'artiste bernois aux racines yéniches sont tous écoulés. Si la météo est clémente, les espaces extérieurs pourraient accueillir davantage de spectateurs. "Ce n'est jamais gagné d'avance. Mais là, on sent un vrai engouement", observe Adrien Romedenne.
Le festival a misé sur les transports publics, avec un partenariat avec le MOB (Montreux–Oberland Bernois). "C'était important que les gens puissent venir et repartir facilement en train. Et la compagnie a tout de suite été partante."
Pour l'hébergement, un camping à Château-d'Oex offre une solution abordable avec "piscine et vue imprenable". Hôtels et quelques Airbnb complètent les possibilités d'accueil.
La réussite de cette première édition pourrait donner lieu à des prolongements. "Plusieurs habitants nous ont déjà proposé leurs jardins pour l'an prochain."
Un cinéma de 1932 qui reprend vie
En parallèle de la Datcha et du festival, Adrien Romedenne va désormais programmer au cinéma Eden à Château-d'Oex, une salle historique datant de 1932. A partir de septembre, ce lieu accueillera des concerts et des ciné-concerts, à raison d'un événement environ tous les mois et demi.
"On commence une nouvelle aventure. Et on a de la chance: le trompettiste de jazz Erik Truffaz viendra fin novembre, avec le pianiste Benoît Corboz. Dans un si petit cinéma, ce sera très intime."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Affaire Haenel: la suite du procès en appel renvoyée au 23 janvier
La cour d'appel de Paris a remis vendredi au 23 janvier la suite du procès en appel du cinéaste Christophe Ruggia. Il est jugé à Paris pour agressions sexuelles sur l'actrice Adèle Haenel entre ses 12 et 14 ans.
A 20h00, la cour avait seulement eu le temps de procéder à l'interrogatoire laborieux du réalisateur de 60 ans, tandis qu'Adèle Haenel trépignait sur le banc de la partie civile, alors que le dossier n'était audiencé que sur une après-midi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Harrison Ford va recevoir un prix pour l'ensemble de sa carrière
Harrison Ford va recevoir un prix pour l'ensemble de son oeuvre dans le 7e art de la part du principal syndicat des acteurs d'Hollywood, a annoncé l'organisation jeudi, saluant une personnalité "singulière".
Ford, dont la carrière sur grand et petit écrans ont inclus des rôles parmi les plus célèbres du cinéma, recevra le SAG-AFTRA Life Achievement Award dans le cadre des Actor Awards (auparavant appelés Screen Actors Guild Awards), en mars prochain.
Ce prix, que le SAG-AFTRA remet chaque année à un interprète qui incarne "les idéaux les plus élevés de la profession d'acteur", consacre encore un peu plus un homme dont les personnages - d'Indiana Jones à Han Solo dans "Star Wars" - font partie de l'héritage culturel des XXe et XXIe siècles.
Parmi les précédents lauréats de ce prix figurent Robert De Niro, Jane Fonda, Morgan Freeman ou encore Elizabeth Taylor.
"Harrison Ford est une présence singulière dans la vie américaine, un acteur dont les personnages iconiques ont façonné la culture mondiale", a déclaré Sean Astin, président du SAG-AFTRA.
"Une légende"
"Sa carrière a été d'une richesse inépuisable, revenant toujours à son amour du jeu. Nous sommes honorés de célébrer une légende dont l'impact sur notre art est indélébile."
Ford, qui a travaillé comme charpentier avant d'accéder à la célébrité avec le rôle de Bob Falfa dans le film de George Lucas de 1973, "American Graffiti", s'est dit "profondément honoré" d'avoir été choisi pour cette prestigieuse distinction.
"Être reconnu par mes confrères acteurs compte énormément pour moi", a-t-il déclaré. "J'ai passé la majeure partie de ma vie sur des plateaux de tournage, aux côtés d'acteurs et d'équipes exceptionnels, et je me suis toujours senti reconnaissant de faire partie de cette communauté."
Outre ses rôles récurrents dans les multiples "Star Wars" et "Indiana Jones", Ford a aussi crevé l'écran avec son interprétation du chasseur d'androïdes Rick Deckard dans "Blade Runner" (1982), rôle qu'il a repris 35 ans plus tard dans "Blade Runner 2049".
Le public télévisuel l'a découvert ces dernières années aux côtés de l'oscarisée Helen Mirren dans le western "1923", ainsi que dans la comédie dramatique "Shrinking".
La 32e cérémonie des Actor Awards se tiendra le 1er mars et sera diffusée en direct sur Netflix.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Hommage à Robert Redford à la Cinémathèque suisse
La Cinémathèque suisse à Lausanne rend hommage à Robert Redford, disparu en septembre dernier. Elle propose de redécouvrir sept films de l'acteur et réalisateur américain, en attendant de préparer une rétrospective plus large.
La Cinémathèque explique qu'elle n'a pas eu le temps de monter, en peu de temps, une programmation à la hauteur de l'exceptionnel parcours artistique et humain de Robert Redford. En attendant de revenir avec un hommage "plus large et réfléchi", elle projette ces prochaines semaines une série de ses films emblématiques.
Premier grand acteur moderne à passer derrière la caméra, Robert Redford s'est engagé pour les causes qui lui tenaient à coeur: la défense de l'environnement et le soutien au cinéma indépendant. Il a tourné dans plus de cinquante films, réalisé neuf longs métrages, et n'a cessé d'explorer, à travers ses rôles et ses mises en scène, les grands archétypes de la culture américaine.
Jusqu'en mars
Samedi, la Cinémathèque met à l'affiche "Ordinary People" (1980), sa première réalisation pour laquelle il gagna quatre Oscars. Suivra le 27 décembre "Jeremiah Johnson" (1972), de Sydney Pollack, l'un de ses rôles préférés sur grand écran.
Le cycle se poursuit en janvier et février avec cinq autres films du Golden Boy d'Hollywood, dont la carrière s'étend sur plus de six décennies. Dans "L'Arnaque" (1974), il retrouve Paul Newman. "Les hommes du président" (1976) révèle son talent pour incarner des personnages engagés alors que "The Great Gatsby" (1974) illustre l'élégance et la subtilité de son jeu.
En 1998, il dirige et joue dans "L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux" (1998), reflet de son amour pour les chevaux, présents dans plusieurs de ses films. Enfin, le premier mars, place à "Out of Africa" (1985), avec Meryl Streep, qui remporta un énorme succès.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
"Racines", la nouvelle exposition de la Fondation Opale à Lens (VS)
Avec "Racines", la Fondation Opale à Lens (VS) dévoile sa nouvelle exposition d'art contemporain. L'institution propose une réflexion et un itinéraire poétique imaginés autour d'une soixantaine d'oeuvres issues de la collection de la mécène française Garance Primat.
Au départ, il y a une vision. Et "le désir de Garance d'avoir une forme d'ordre et de rythme qui présente la diversité de sa collection", relève le co-commissaire de l'exposition Samuel Gross. "Racines" s'impose ainsi comme une forme de "transcription plastique" du livre éponyme écrit par la collectionneuse.
Tout comme l'ouvrage, le parcours s'articule en sept chapitres, qui reprennent les mots-clés d'une formule élaborée par l'entrepreneuse: "Créer le Un sur terre qui est la nature de l'homme et la matrice originelle". Le récit se déroule à travers une soixantaine d'oeuvres, entre sculptures, dessins, peintures, oeuvres monumentales et objets scientifiques.
Constellation d'objets
Ici, l'art est vu comme un langage universel, et les artistes "permettent de percevoir la structure unitaire du monde," explique le curateur. Y résonnent les voix de Niki de Saint-Phalle, Olafur Eliasson, Louise Bourgeois ou encore Sheila Hicks. Quelques oeuvres d'artistes aborigènes - dont Emily Kam Kngwarray, Keith Stevens et Clifford Possum Tjapaltjarri - trouvent aussi leur place au sein du centre d'art valaisan, en écho avec sa mission de faire rayonner ce patrimoine australien en Europe.
Il s'agit d'un "ensemble vivant qui interroge nos origines et notre rapport au monde", résume la Fondation Opale. "J'ai compris, au fur et à mesure de mon parcours, qu'il y avait un fil conducteur, un message commun derrière chacune des oeuvres de ma collection qui étaient un voyage en soi", retrace Garance Primat, qui a rassemblé plus de 1200 oeuvres jusqu'à aujourd'hui.
"Ce qui nous intéressait, et ce qui est rare, c'est d'imaginer présenter une collection personnelle", raconte le commissaire d'exposition. D'habitude, les collections personnelles sont loin d'être formées comme celles institutionnelles. Le système de cohérence est différent."
Les soeurs Primat
Pour mémoire, la Fondation Opale s'appuie sur la collection de Bérengère Primat, fondatrice et présidente de l'institution, mais aussi soeur de Garance Primat. Le fonds compte plus de 1900 ½uvres de près de 440 artistes, ce qui en fait l'une des collections d’art aborigène contemporain les plus importantes au monde en mains privées.
Grâce à un nouvel espace permanent créé au centre muséal, et en parallèle à l'exposition "Racines", le public pourra s'imprégner des oeuvres issues du fonds de Bérengère Primat. Le premier accrochage est consacré à l'artiste aborigène Rover Thomas, considéré comme l'un des grands artistes du Désert de sable en Australie.
"Il y a l'idée de familiariser le public avec un certain nombre de noms", souligne Samuel Gross. Dans ce cas, l'introduction est plus qu'efficace au vu des chefs-d'oeuvre qui sont présentés."
Le tout est à découvrir du 21 décembre 2025 au 14 avril 2026.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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