Suisse
Lausanne refuse d'interdire la cigarette sur les places de jeux
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L'Exécutif lausannois s'oppose à la création de zones sans tabac dans les lieux publics extérieurs fréquentés par les enfants. Une telle mesure serait "disproportionnée et sans effets", commente le syndic Grégoire Junod (PS), qui dénonce une certaine hypocrisie.
La Municipalité a, dans un rapport publié jeudi, écarté l'idée lancée par l'élu écologiste Ilias Panchard en 2018. "Aucune étude sérieuse n'atteste le danger d'être exposé à la fumée passive à l'extérieur, dans des espaces publics ouverts", commente Grégoire Junod vendredi dans le 24 Heures.
"Je suis un grand défenseur des interdictions de fumer dans les lieux publics fermés, ajoute-t-il, mais dans les espaces extérieurs, qui sont tout sauf des endroits confinés, cette mesure apparaît disproportionnée et sans effets réels".
"Un problème qui ne se pose pas"
Aux yeux du syndic, l'accès universel aux espaces et équipements publics prime. "En restreignant la fumée dans ces lieux, on prendrait le risque d'exclure certaines catégories de la population, explique-t-il, et cela concerne surtout les personnes les plus défavorisées socialement".
"On veut résoudre un problème qui ne se pose pas", ajoute encore le socialiste, qui dénonce une certaine hypocrise. Ce type de mesure aurait une grande visibilité, une forte portée symbolique, mais sans réels bénéfices. Et elle déplacerait le problème dans l'espace privé, explique-t-il.
Grégoire Junod se dit conscient que la Ville de Lausanne est un peu à contre-courant d'une tendance générale "qui aimerait codifier les comportements de tout le monde". "Nous voulons faire confiance aux gens, miser sur la responsabilité de chacun", assure-t-il.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Alain Barbey à la présidence du conseil d'administration des tl
Alain Barbey devient dès janvier le président du conseil d'administration des Transports publics de la région lausannoise (tl). Il est nommé pour une période provisoire de six mois, jusqu'à la prochaine assemblée générale ordinaire du 30 juin 2026.
Cette mesure de transition fait suite au souhait de l'actuelle présidente, Tinetta Maystre, de ne pas prolonger son mandat au-delà du 31 décembre, annonce jeudi l'Etat de Vaud dans un communiqué.
Alain Barbey, qui faisait déjà partie du conseil d'administration en qualité de représentant du canton depuis trois ans, voit son mandat renouvelé pour trois ans, du 20 mars 2026 au 19 mars 2029. Conformément aux statuts des tl, le Conseil d'Etat désigne trois membres du conseil et en choisit la présidence parmi ces personnes.
Ex-directeur CFF pour la Romandie
Alain Barbey, né en 1957, met au service des tl une expérience de direction reconnue dans le domaine des transports publics et de la mobilité. Son parcours comprend notamment des fonctions dirigeantes aux CFF - où il a oeuvré comme directeur pour la Suisse romande -, chez Lyria ou dans le secteur du transport aérien.
La continuité de gouvernance assurée par M. Barbey constitue un élément-clé pour accompagner la société et préparer la désignation d'une nouvelle présidence durable, souligne le communiqué. Les tl se préparent à des enjeux importants, notamment le développement de leur offre et des nouveaux projets (tramway, m3) et la maîtrise des défis organisationnels. La société a atteint un nouveau record de fréquentation en 2024, avec plus de 131 millions de voyageurs.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Climat
Le décret en faveur de Blatten et du Lötschental va entrer en force
Les députés valaisans ont accepté jeudi, en une seule lecture, le décret urgent lié à la gestion des conséquences des événements naturels ayant frappé le Lötschental en mai. Au vote, le texte final a été accepté par 112 voix contre 0 et 16 abstentions vertes et PLR.
L'analyse des 43 amendements proposés n'a débouché que sur une modification significative du projet du Conseil d'Etat. Les deux tiers du Parlement ont accepté une proposition de l'UDC du Valais romand de doter les services de la mobilité, du développement territorial et des dangers naturels d'un poste à durée déterminée supplémentaire chacun, dès 2026.
Le décret d’une durée maximale de cinq ans vise à alléger, à simplifier et à accélérer les procédures liées à la reconstruction de Blatten, afin d’aboutir à un rétablissement de la situation d’ici à 2030. Les coûts de reconstruction sont estimés pour l'Etat du Valais à quelque 100 millions de francs.
Les travaux ne seront pas soumis à l'accord intercantonal sur les marchés publics. Le délai des mises à l'enquête sera de 20 jours au maximum.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Hausse de moitié du nombre de faillites à fin novembre
Les procédures de faillites ont connu un coup d'accélérateur entre le début de l'année et la fin novembre. Certains cantons romands ont même durement été touchés. Dans le même, temps, la croissance du nombre de créations d'entreprises est restée limitée.
De janvier à novembre, 8343 entreprises ont mis la clé sous la porte, soit une progression de 50%, selon le cabinet Dun & Bradstreet jeudi. Le Valais et le Jura ont particulièrement souffert des faillites, avec des envolées respectives de 124% et 118%, quand le canton de Neuchâtel, le canton de Fribourg et le Tessin ont oscillé autour de 50%. A Genève, l'augmentation atteint 38%, devant le canton de Vaud (+30%).
Parmi les branches, celle de l'informatique (+73%), des services aux entreprises (+71%) ainsi que les holdings et les sociétés d'investissement (+70%) ont été les plus secouées. A l'inverse, l'industrie du bois et du meuble (+23%), les entreprises artisanales (+33%) et l'hôtellerie-restauration (+45%) ont enregistré les poussées les moins fortes.
Selon le cabinet, cette forte augmentation a des raisons conjoncturelles, mais c'est surtout la révision de la loi sur les poursuites pour dettes et la faillite, entrée en vigueur au 1er janvier 2025, qui a joué un rôle important.
Au cours de la même période, le nombre de créations d'entreprises a augmenté de 5% à 50'213 sociétés. A Genève, la croissance se situe à 10%, devant le Jura (+7%) et le Valais (+6%). Fribourg (+4%), Berne et Neuchâtel (+1%) se sont inscrits dans la zone positive, quand le canton de Vaud et le Tessin ont décliné de 1%.
Les gents et gestionnaires immobiliers ont été les plus nombreux à fonder leur entreprise en Suisse (+23%), devant les prestataires informatiques (+18%) mais aussi les holdings et les sociétés d'investissement (+17%). La logistique (-1%), les services à la personne (-3%), l'hôtellerie-restauration (-4%) et surtout le commerce de détail (-9%) ont peiné.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Pas de commission d'enquête parlementaire sur Ruag
Le scandale Ruag ne devrait pas être passé au crible par une commission d'enquête parlementaire (CEP). Le National a rejeté deux initiatives du PS et des Vert-e-s déposées suite à la publication du rapport du Contrôle fédéral des finances sur Ruag.
La gauche aurait souhaité une enquête sur les importants dysfonctionnements au sein de Ruag, sur les problèmes liés à l’acquisition d’armement et sur les structures de conduite, de contrôle et de surveillance au sein du Département fédéral de la défense (DDPS).
Ruag MRO a été épinglé fin février dans des rapports publiés par le Contrôle fédéral des finances. Ils montrent des manquements très graves. Plus de deux dizaines de cas de fraude présumée avec de gros dommages financiers sont mentionnés.
"Lorsqu'on tolère de tels déficits, nous ne faisons pas du bien à notre sécurité", a déclaré Samuel Bendahan (PS/VD), qui n'a pas manqué d'énumérer les scandales qui ont traversé la Défense ces dernières années.
Des problèmes existent effectivement, a répondu le camp bourgeois. Mais des travaux sont déjà en cours. Les commissions de gestion évaluent actuellement la situation et doivent rendre un rapport au printemps 2026, a déclaré Benjamin Roduit (Centre/VS).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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