Économie
Le bénéfice net d'UBS accélère en 2022
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UBS a vu son bénéfice net augmenter l'année dernière, malgré la volatilité des marchés et dans un contexte géopolitique tendu. Les actionnaires verront leur dividende relevé et profiteront d'un nouveau programme de rachat d'actions.
En 2022, le numéro un mondial de la gestion de fortune a enregistré un résultat avant impôts en hausse de 1,3% à 9,6 milliards de dollars. Le bénéfice net attribuable aux actionnaires s'est quant à lui établi à 7,63 milliards, en progression de 2%, a-t-il annoncé mardi dans un communiqué.
Le produit d'exploitation s'est par contre contracté de 2% à 34,6 milliards, alors que les charges ont baissé de 4% à 24,9 milliards.
La banque a par ailleurs profité de la confiance de ses clients, encaissant dans son coeur de métier, la gestion de fortune mondiale, pas moins de 60 milliards de dollars d'afflux nets générant des commissions sur l'exercice écoulé.
Les actionnaires profiteront d'un dividende de 0,55 dollar par action, après avoir reçu 0,50 dollar au titre de 2021. L'établissement zurichois va par ailleurs lancer un nouveau programme de rachat d'actions à hauteur de 5 milliards de dollars, après en avoir acquis pour 5,6 milliards l'année précédente.
Au seul quatrième trimestre, la banque aux trois clés a vu son bénéfice d'exploitation accélérer de 12% sur un an à 1,94 milliard, tandis que le profit net a bondi de 23% à 1,65 milliard.
Ces chiffres sont clairement supérieurs aux prévisions des analystes consultés par l'agence AWP.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Les économistes d'UBS davantage confiants pour l'économie en 2025
Les économistes d'UBS ont revu à la hausse leurs estimations de croissance du Produit intérieur brut (PIB) suisse pour l'année en cours. Ils se montrent en revanche plus pessimistes pour l'année prochaine, en raison du spectre des droits de douane américains.
Les experts tablent sur une progression du PIB apurée des événements sportifs de 1,3% en 2025, contre 1,0% auparavant, selon le communiqué du géant bancaire publié lundi. La création de richesse a été portée par trois premiers mois solides. Le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco) a indiqué lundi matin que le produit intérieur brut helvétique s'est enrobé de janvier à mars de 0,8% en glissement trimestriel et hors retombées des évènements sportifs, contre 0,7% selon une première estimation.
Mais le fameux "Jour de la libération" proclamé début avril par le président américain risque de changer la donne. "Au cours des prochains trimestres, les droits de douane américains devraient avoir un impact négatif sur les exportations, notamment en raison de la compensation d'effets anticipés, et le PIB devrait donc stagner", soulignent-ils. Ce n'est que l'année prochaine qu'ils escomptent un retour à la croissance.
Pour 2026, la croissance ajustée du PIB est calculée autour de 1%, contre 1,2% jusqu'ici.
Les économistes de la banque aux trois clés mettent en garde contre un scénario plus dur. Si les relations commerciales ne se stabilisent pas ces prochains mois, comme espéré, "une récession mondiale n'est pas exclue". L'économie suisse n'y échapperait pas. Dans ce cas, la contribution du commerce extérieur serait nettement négative.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
L'initiative SSR critiquée de toutes parts au Conseil national
L'initiative SSR, qui veut faire passer la redevance radio-TV de 335 à 200 francs par an, est mal partie au National. A part l'UDC, tous les partis ont critiqué lundi l'initiative populaire "200 francs, ça suffit". Le Conseil fédéral est aussi opposé.
Le texte de l'UDC, de l'Union suisse des arts et métiers (usam) et des Jeunes PLR demande aussi d'exonérer toutes les entreprises. Des oratrices et orateurs de tous les partis, sauf de l'UDC, ont qualifié l'initiative tour à tour de périlleuse, dangereuse, irréaliste, irresponsable ou encore arriériste.
La SSR est nécessaire à la cohésion de la Suisse et à la démocratie, notamment car elle fournit une offre dans les quatre langues nationales, a-t-il été dit en substance à plusieurs reprises.
La SSR s'éloigne de plus en plus de son mandat et occupe le terrain des médias privés, a contré Benjamin Fischer (UDC/ZH). Son parti tient au moins à un contre-projet indirect visant à rendre plus efficace le service public dans le domaine de la radio et de la télévision.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Les PME de l'industrie suisse ont gardé le moral en mai
Le moral des petites et moyennes entreprises (PME) de l'industrie en Suisse est resté bon en mai, même s'il a légèrement reculé par rapport au mois précédent. L'apaisement du conflit commercial avec les Etats-Unis y est pour beaucoup.
L'indice PMI des PME calculé par la banque Raiffeisen a baissé de 50,9 à 50,5 points en mai, mais reste supérieur au seuil de croissance situé à 50 points, observe la coopérative bancaire saint-galloise dans son relevé mensuel publié lundi. L'apaisement du conflit commercial avec les Etats-Unis semble avoir rassuré les PME industrielles, même si l'incertitude liée à la politique douanière américaine reste forte.
"L'attitude du gouvernement américain indique qu'il tient compte dans une certaine mesure des marchés et n'a pas l'intention d'aller jusqu'à l'extrême", relève la banque Raiffeisen.
Les quelque 200 entreprises interrogées par Raiffeisen font état d'une nouvelle hausse de leur production en mai, même si celle-ci est moins forte que le mois précédent: la composante de l'indice PMI des PME correspondante s'est établie à 51,5 points, contre 53,8 points en avril. Dans le même temps, la part des PME industrielles enregistrant une hausse des nouvelles commandes a augmenté: la composante y relative est passée de 51,6 à 53,2 points en un mois.
Les trois autres composantes de l'indice (emploi, délais de livraison et stocks des marchandises) se situent en revanche sous le seuil de croissance de 50 points. Si la composante des stocks avait encore nettement augmenté en avril, elle a enregistré un net mouvement contraire en mai, chutant de 51,4 à 44,6 points.
La composante emploi a également diminué, mais dans une moindre mesure (de 49,1 à 48,8 points). En revanche, les délais de livraison se sont améliorés en un mois: la composante correspondante a progressé de 46,7 à 49,5 points.
Sérénité face à des taux d'intérêt négatifs
En raison de la force du franc suisse, la Banque nationale suisse (BNS) s'est déclarée prête à assouplir encore la politique monétaire. Elle pourrait annoncer une baisse des taux d'intérêt à 0% lors de sa prochaine réunion le 19 juin. Un passage à des taux négatifs au cours de l'année n'est pas exclu. Le président de la BNS Martin Schlegel s'est montré ouvert à cette idée.
Face à cette éventualité, la plupart des PME de l'industrie suisse se montrent sereines. Un peu plus de 40% des entreprises interrogées par la banque Raiffeisen dans son enquête ne voient ni un impact positif ni un impact négatif sur leur propre entreprise. Seules 12% des PME industrielles s'attendent à des inconvénients, par exemple en raison de coûts potentiels pour le maintien de la liquidité.
S'établissant à environ 33%, la part des entreprises qui s'attendent à des effets positifs d'éventuels taux d'intérêt négatifs est nettement plus élevée. Elles espèrent notamment une baisse des coûts de capital, une reprise des investissements et un taux de change plus stable. Certaines PME rapportent par ailleurs que les baisses de taux d'intérêt de la BNS ont déjà entraîné une embellie sensible de la conjoncture dans le secteur de la construction.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
La croissance helvétique revue à la hausse au 1er trimestre
Le produit intérieur brut (PIB) de la Suisse s'est enrobé sur les trois premiers mois de l'année de 0,8% en glissement trimestriel et hors évènements sportifs, indique lundi le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco).
Un premier pointage mi-mai laissait entrevoir une croissance de 0,7%.
L'économie helvétique continue ainsi d'accélérer sur une pente ascendante, ayant progressé de 0,3% au troisième trimestre 2024 et de 0,6% au quatrième, précise le point de situation périodique. Sur un an, la cadence de croissance a atteint 2,2%.
La performance repose notamment sur le moteur à l'exportation que constitue l'industrie chimique et pharmaceutique, ainsi que sur un rebond de la demande intérieure.
"Les exportations vers les Etats-Unis se sont fortement accrues, ce qui suggère des effets d'anticipation possibles en lien avec la politique commerciale américaine," supputent les économistes fédéraux.
Formulée en mars, les projections de croissance du Seco pour l'année en cours et la suivante s'établissent à respectivement 1,4% et 1,6%.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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