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Suisse

Le fonds pour la sécurité et la paix en Europe devrait couler

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L'alliance centre-gauche a réussi à faire passer la création d'un fonds pour la sécurité de la Suisse et la paix en Europe dans la commission de la politique de sécurité du Conseil des Etats. Mais la proposition a du plomb dans l'aile (archives). (© KEYSTONE/GIAN EHRENZELLER)

Le projet de fonds pour la sécurité de la Suisse et la paix en Europe, dans le contexte de la guerre en Ukraine, ne convainc pas. Le Conseil fédéral n'en veut pas, indique-t-il dans une réponse publiée jeudi.

Le texte a été déposé par la commission de politique de sécurité du Conseil des Etats grâce à une alliance de centre-gauche. Celle-ci souhaite créer un fonds temporaire permettant de financer l'ensemble des besoins financiers supplémentaires à partir de 2025 de 10,1 milliards de francs pour la mise à niveau de l'armement de l'armée jusqu'en 2030. Il doit aussi permettre une contribution suisse de 5 milliards de francs pour le soutien à la reconstruction et la remise en état des infrastructures en Ukraine.

Le Conseil fédéral rappelle que les dépenses de l'armée et celles pour l'Ukraine sont planifiables. Elles ne présentent donc pas de caractère extraordinaire et ne peuvent pas être traitées en tant que dépenses extraordinaires.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

L'abandon de l'achat de drones est la "pire option"

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L'acquisition de six drones de reconnaissance de l'entreprise israélienne Elbit met au défi le Département de la défense. (Photo d'archives) (© Keystone/URS FLUEELER)

Stopper le projet d'acquisition de drones de reconnaissance de fabrication israélienne pour l'armée est la "pire des options", estime le chef de l'armement Urs Loher. Il entrevoit deux autres possibilités.

Ces deux autres variantes sont la poursuite du projet comme jusqu'à présent et le renoncement aux fonctionnalités souhaitées par la Suisse, a déclaré le chef de l'Office fédéral de l'armement (armasuisse) dans l'émission Samstagsrundschau de la radio SRF. Vendredi, on apprenait que l'abandon du projet était aussi une option.

Une analyse coûts et bénéfices est en cours afin d'évaluer plus précisément les variantes. Dans le cas d'un abandon du projet d'achat, il faudrait notamment déterminer si une partie des paiements déjà effectués pourrait être remboursée ou si le fournisseur ferait valoir des coûts supplémentaires en raison de ses investissements.

L'acquisition de six drones de l'entreprise israélienne Elbit coûte 298 millions de francs, selon la Confédération. L'achat du système de reconnaissance par drone ADS-15 pour 250 millions avait été décidé par le Parlement en 2015.

L'achèvement du projet était prévu pour 2019, mais il a ensuite été repoussé à 2026. Cinq drones sont certes arrivés entre-temps en Suisse, mais ils ne remplissent toujours pas les exigences que la Suisse impose à ces engins volants dépourvus de pilote.

Projets passés au crible

Le projet de drone est l'un des 17 projets phares en cours du Département fédéral de la défense (DDPS). Le conseiller fédéral Martin Pfister les fait désormais tous passer au crible, ont rapporté samedi les journaux de Tamedia. Le DDPS a confirmé le projet à Keystone-ATS.

Parmi les projets les plus importants se trouve l'acquisition de 36 avions de combat américains de type F-35A. La semaine dernière, il est apparu que la Suisse et les Etats-Unis avaient des avis divergents sur le prix. Berne part d'un prix fixe de six milliards de francs, tandis que Washington fait valoir un montant supplémentaire de 650 millions à 1,3 milliard de dollars, a annoncé le DDPS.

D'autres projets servent par exemple à la surveillance de l'espace aérien ou à la défense aérienne au sol. Pour la surveillance des projets phares, le conseiller fédéral Martin Pfister a créé la division "Planification, controlling, numérisation et sécurité" et placé Robert Scheidegger à sa tête.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Migros cesse l'offensive des marques à l'étranger

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Migros Industrie se focalise désormais clairement sur l'assortiment en Suisse, selon son directeur Matthias Wunderlin (image d'illustration). (© KEYSTONE)

La Migros se retire complètement des affaires de marques à l'étranger. Le géant orange ne produira plus que pour des tiers à l'étranger, a dit le directeur Industrie Matthias Wunderlin dans une interview publiée samedi dans les titres de CH Media.

Des produits comme le chocolat Frei ne seront à l'avenir plus que produits comme marques commerciales pour des entreprises tierces, comme la chaîne espagnole de supermarchés Mercadona. Aux Etats-Unis, Migros n'a plus que des négociants comme clients et ces affaires font l'objet d'un examen.

Les anciens projets de prestige comme une ligne propre de cosmétiques en Corée du Sud ou de shampoings en Inde font partie du passé, a relevé M. Wunderlin. Dans le secteur du café et du chocolat, Migros ne fera plus qu'exporter. Migros Industrie se focalise désormais clairement sur l'assortiment suisse.

Le développement de la marque de café Coffee B sera abandonné à des partenaires comme Edeka en Allemagne ou Keurig en Amérique du nord et au Mexique. Il n'est plus question de "conquérir le monde", a affirmé M. Wunderlin. L'expansion se fera désormais via des contrats de licence. Des discussions sont en cours avec de potentiels partenaires en Europe.

Migros Industrie travaille à l'optimisation de ses usines de production en Suisse et des fermetures ne sont pas exclues. On peut se demander si 47 emplacements sont nécessaires, selon M. Wunderlin.

Le transformateur de viande Micarna a déjà fermé une unité à Ecublens, dans le canton de Vaud, et délocalisé les activités à Courtepin, dans le canton de Fribourg. La centralisation de la production de boissons à Aproz, dans le canton du Valais, fait aussi l'objet d'un examen.

Le maintien de l'unité Mibelle à Buchs, dans le canton d'Argovie, n'est pas garanti sur le long terme. Après la vente au groupe espagnol Persan, son avenir est ouvert.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Genève

La Ville de Genève a planté près de 400 arbres depuis l'automne

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En mai dernier, les paysagistes de la Ville de Genève mettaient la dernière main à l'aménagement d'une esplanade végétalisée devant le Conservatoire de musique (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Exactement 391 arbres ont été plantés durant l'hiver dernier par les Services des espaces verts (SEVE) de la Ville de Genève. La municipalité compare ce chiffre aux 215 arbres qui ont été abattus en 2024.

L'objectif est de replanter trois arbres pour chaque spécimen abattu, relève la Ville de Genève. Durant quatre ans, le SEVE est parvenu à respecter ce ratio. Seule la dernière saison n'a pas pu être pleinement atteinte, pas par manque de volonté, mais par manque de surfaces à verdir.

Les lieux susceptibles d'abriter des arbres en ville étaient déjà peu nombreux, mais aujourd'hui ils "se tarissent". Malgré ce nouveau contexte, tout sera mis en oeuvre pour trouver des parcelles disponibles et développer le taux de canopée, note le conseiller administratif Alfonso Gomez, cité dans le communiqué.

Le SEVE doit également tenir compte, lors du choix des essences, des effets du dérèglement climatique. Il faut être capable pour un arbre de résister aux canicules et à la sécheresse. Cette politique se traduit par la grande diversité d'arbres qui ont été mis en terre l'hiver dernier, soit 121 espèces et variétés.

Par ailleurs, les soins apportés aux arbres feront à l'avenir l'objet "d'une attention encore plus accrue". Le suivi des jeunes arbres se fera en outre plus longtemps. Habituellement, la période d'attention particulière courait les trois premières années qui suivant la plantation. Ce délai a été rallongé à cinq ans.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Une 16e édition pour les cours de français à Lausanne-Vidy

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En 2024, les cours de français ont accueilli 400 personnes de 78 nationalités différentes lors des 22 cours donnés à Lausanne (photo symbolique). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Pour la 16e année consécutive, la Ville de Lausanne et son Bureau pour les immigrés (BLI) proposent des cours de français à ciel ouvert cet été aux personnes allophones. Organisés sur la plage de Vidy, gratuits et sans inscription, ils se tiennent dès lundi et jusqu'au 8 août.

Les cours se déroulent du lundi au vendredi, de 18h00 à 19h30, en plein air, "dans un cadre estival et convivial, entre le théâtre de Vidy et la piscine de Bellerive, indique la Ville dans un communiqué. Ouverts à toutes et à tous, ces cours accueillent toute personne souhaitant apprendre le français, sans distinction de parcours, d'âge ou d'origine, écrit-elle.

"Chaque soir, une nouvelle thématique du quotidien est abordée: faire ses courses, aller chez le médecin, se déplacer, etc. Cette approche permet à chacune et chacun de rejoindre les cours à tout moment", est-il souligné.

Depuis maintenant trois ans, une halte-jeux est désormais à disposition pour que les parents puissent confier leurs enfants dès l'âge de deux ans. Elle est gérée par des professionnels de la petite enfance.

En 2024, les cours de français ont accueilli 400 personnes de 78 nationalités différentes lors des 22 cours donnés. Près de 80% ont exprimé le souhait de poursuivre leur apprentissage du français après l'été, précise encore la Ville.

www.lausanne.ch/vidyplage

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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