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Suisse

Le Parlement accepte une réserve d'électricité inscrite dans la loi

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Le ministre de l'énergie Albert Rösti a répété tout au long des débats la nécessité de créer des réserves d'électricité en Suisse (archives). (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

La Suisse aura une réserve d'électricité hydraulique et thermique pour faire face à une éventuelle pénurie. Le Parlement a éliminé mercredi les dernières divergences du projet gouvernemental visant à renforcer la sécurité de l'approvisionnement en cas de pénurie.

Jusqu'à présent, le Conseil fédéral a passé par des ordonnances d'urgence valables jusqu'en 2026. Il veut désormais une loi pour le long terme. Le projet vise à compléter les dispositions concernant la réserve, l'hydroélectrique étant déjà réglée dans la loi.

Le gouvernement a prévu d'inscrire dans la loi la réserve thermique complémentaire, composée de centrales de réserve, de groupes électrogènes de secours regroupés en pools et d'installations de couplage chaleur-force (CCF). Le Parlement a ajouté une réserve liée à une réduction de la consommation.

Les exploitants d'installations reçoivent une rémunération pour leur participation à la réserve. Ils perçoivent une indemnité pour l'énergie qu'ils fournissent en cas de recours à la réserve.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Climat

Lourtier: l'armée a respecté le délai fixé pour le pont provisoire

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Le pont va permettre aux 400 habitants de Lourtier et du haut Val de Bagnes de retrouver leurs habitudes. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La route provisoire entre Champsec, Lourtier et le haut Val de Bagnes sera ouverte à la circulation dès mercredi à 06h00. Le pont de 51 mètres est désormais posé. L'armée a tenu les délais impartis.

Chef de la division territoriale 1, le divisionnaire Raynald Droz sera présent, mardi en début de soirée, pour signer la Convention de mise à disposition de l'ouvrage, puis le remettra symboliquement à l'Etat du Valais, pour six mois. La pose de l’enrobé sera effectuée demain, avant sa venue, précise la commune de Val de Bagnes dans un communiqué lundi

Durant la nuit de dimanche à lundi, aucune activité de lave n’a été détectée, malgré la présence d’orages. Aucun événement n’a d'ailleurs été signalé depuis dimanche 22 juin. La météo prévoit des orages presque quotidiens cette semaine, rendant difficile une estimation précise des précipitations à attendre et de leurs éventuelles conséquences.

Les minages se poursuivent

Les différents compartiments de la zone de décrochement restent relativement stables. Le point le plus avancé progresse de 50 à 60 cm par jour, une tendance constante depuis plusieurs jours.

Des opérations de minage de blocs seront menées ces trois prochaines semaines dans la zone et des travaux préparatoires pour relancer le chantier de la galerie seront également réalisés cette semaine, dont l'ouverture demeure prévue en décembre.

Sondages géologiques

L’empierrement de la route de la Sasse est terminé. La poursuite des travaux sera définie par la commune de Val de Bagnes, dès l’adoption du tracé définitif de cet axe et l’attribution des travaux à réaliser.

Enfin, à partir de mardi et pour une durée de 3 jours et 2 nuits (selon la météo), des sondages géotechniques auront lieu dans la zone de l’ancien pont de la route cantonale entre Lourtier et Sarreyer, sur la rive droite du Fregnoley. Ces mesures sismiques, ordonnées par l’Etat du Valais, visent à définir la qualité des roches souterraines, en vue de la reconstruction du pont détruit en juillet 2024.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Vaud

Vevey refuse les caméras de surveillance à la gare

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Le dispositif de vidéosurveillance à la gare de Vevey a été rejeté dimanche par le peuple. (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

Vevey ne veut pas que le secteur de la gare soit surveillé par des caméras. La population a refusé dimanche en votation le projet qui visait à installer 44 caméras dans ce quartier afin de lutter contre le deal de rue.

A l'issue d'une campagne houleuse, marquée notamment par la rupture de collégialité du syndic Yvan Luccarini, la population a refusé à 60,6% la pose de ces caméras (3008 voix contre, 1888 pour). Le taux de participation a atteint 36,4%.

Le projet avait été initié en janvier par la Municipalité de Vevey, l'une des villes vaudoises les plus touchées par le deal avec Yverdon et Lausanne. Outre la vidéosurveillance, le "paquet" imaginé par l'exécutif prévoyait l'engagement de travailleurs sociaux, la création d'un observatoire social et l'amélioration de l'éclairage public.

Le Conseil communal avait donné son feu vert en mars, et décidé dans la foulée de soumettre le projet au peuple via un référendum spontané. Pour financer son projet, la Municipalité avait prévu un crédit de près de 800'000 francs, dont 220'000 francs pour renforcer l'éclairage public.

"Somptuaire et inutile"

Le camp du "non" s'est réjoui dimanche du refus d'une "dépense somptuaire et inutile". Il estimait en effet que les caméras n'auraient pas réglé le problème, créant tout au plus un déplacement des dealers et une "dispersion imprévisible" du problème.

Le corps électoral s'est aussi "méfié d'une potentielle dérive vers une société de surveillance", comme l'explique Elliott Messeiller, conseiller communal Décroissance alternatives et membre du comité du "non".

Citant le faible taux de participation, ils en déduisent que "le ressenti de la population est loin du tableau horrifique d'une ville livrée au deal et aux agressions brossé par les partisans de la vidéosurveillance."

Les opposants rappellent finalement qu'ils demeurent favorables au reste du "paquet" imaginé par la Municipalité pour limiter l'impact du trafic de drogue. "Le travail social de proximité doit notamment être réactivé d'urgence", affirment-ils.

"Aucune alternative"

De son côté, la Municipalité relève que ce refus "ne résout pas" la problématique du deal et que, "dans l'immédiat", les préoccupations des personnes impactées vont "perdurer".

L'exécutif, qui misait sur l'aspect "dissuasif" des caméras, dit aussi regretter "qu'aucune alternative concrète n'ait été proposée sur le volet sécuritaire" durant la campagne. Et d'ajouter que le résultat de dimanche "ne constitue pas un signal de fermeté pour dissuader le deal de rue et la commission d'autres infractions, comme l'explique Anna Iamartino, membre du PLR Vevey et du comité du "oui".

" La Municipalité dit néanmoins rester "déterminée à agir" pour améliorer la situation.Une Municipalité qui, pour mémoire, ne s'exprimait pas au nom de son syndic durant cette campagne. Yvan Luccarini avait rompu la collégialité fin avril pour s'opposer au projet concocté avec ses collègues. L'élu de Décroissance alternatives estimait notamment que l'efficacité des caméras de surveillance n'était pas démontrée.

Keystone ATS avec Sophie Vassutine

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Suisse

Commerce de détail: la consommation de sacs plastique a diminué

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L'utilisation de sacs plastique pour aller faire ses courses est devenue beaucoup plus rare (image symbolique). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

La consommation de sacs plastique jetables à usage unique et de sacs en plastique réutilisables a considérablement diminué dans le commerce de détail suisse. Les objectifs ont été largement dépassés.

Tandis qu'en 2016, 417'781'000 sacs plastique à usage unique avaient été distribués, ce chiffre est tombé à 51'121'067 l'an dernier, ce qui correspond à une baisse de 88%, indique lundi l'association des entreprises de commerce de détail, la Swiss Retail Federation. Entre 2020 et 2024, la consommation de sacs en plastique réutilisables est passée de 48'846'092 à 16'214'871 unités, soit un recul de 65%.

Cette diminution s'explique notamment par deux accords de branche passés en 2016 et 2019 entre la Communauté d'intérêt (CI) du commerce de détail et la Swiss Retail Federation. Le but était d’abaisser de 70% à 80% la consommation des sacs plastique jetables à usage unique d'ici fin 2025 et de 35% celle des sacs en plastique réutilisables.

Ces objectifs ont donc été largement dépassés et ce dès l'année qui a suivi leur entrée en vigueur. Depuis lors, la consommation de sacs plastique s'est stabilisée à bas niveau. La sensibilisation et la mobilisation des consommateurs ont manifestement porté leurs fruits, note la faîtière de la branche.

Surveillance abolie

L'obligation de faire payer la distribution de sacs plastique reste inchangée, promet la faîtière. Cette mesure garantit la continuité des valeurs atteintes. Certains détaillants, comme Aldi, C&A, Hornbach, Loeb, Lidl ou Tchibo, vont encore plus loin et ne distribuent plus aucun sac en plastique, même contre paiement.

Au vu de ce succès "retentissant et durable", le suivi annuel des valeurs est toutefois devenu superflu et va être supprimé, indique la Swiss Retail Federation. Le but est notamment d'alléger sa charge administrative, ainsi que celle des entreprises.

Début juin, plusieurs médias rapportaient que la Swiss Retail Federation envisageait de ne plus rendre obligatoire le paiement des sacs plastique. "La réintroduction des sacs gratuits, bruit récemment colporté à tort par certains médias, n'a jamais été envisagée", assure pour sa part la faîtière.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Valais: le gouvernement contre une modification de la Constitution

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Le Conseil d'Etat valaisan appelle à refuser une modification légale qui aurait plus de désavantages que d'avantages selon lui (photo d'archives). (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

Dans le cadre des votations fédérales du 28 septembre, le Conseil d'Etat valaisan invite à rejeter l'introduction d'un impôt cantonal sur les résidences secondaires occupées principalement par leurs propriétaires. Le gouvernement a pris cette position lundi.

Le projet d’arrêté fédéral prévoit une modification de la Constitution afin de permettre aux cantons de prélever un impôt foncier spécifique sur les résidences secondaires utilisées principalement à des fins personnelles par leurs propriétaires.

Pour le Conseil d'Etat valaisan, ce projet, qui entraînerait la suppression de la valeur locative, "aurait pour conséquence des pertes fiscales significatives, sans apporter de solution équilibrée en matière de fiscalité immobilière. Elle compromettrait également l’entretien du parc immobilier privé", estime-t-il dans un communiqué.

Environ 70 millions de francs

L'Exécutif cantonal valaisan estime que "cette réforme fiscale serait défavorable au canton du Valais, qui compte un grand nombre de résidences secondaires. L’introduction d’un impôt cantonal sur ces biens ne permettrait pas de compenser de manière satisfaisante les pertes de recettes fiscales liées à la suppression de la valeur locative. Un tel déséquilibre affecterait considérablement les finances cantonales."

Les recettes de l’imposition de la valeur locative perçues en Valais sont estimées à 70 millions de francs (35 pour les communes, 35 pour le canton).

"En l’absence de déductions pour les frais d’entretien, les propriétaires pourraient réduire ou reporter des travaux de rénovation, ce qui nuirait à moyen et long terme à la qualité du parc immobilier", ajoute le gouvernement qui se dit également inquiet. "L’absence d’obligation de présenter une facture pour les déductions pourrait favoriser une augmentation des travaux réalisés au noir dans les habitations."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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