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Économie

Le SECO analyse la situation suisse en comparaison européenne

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La Suisse doit encore relever d'importants défis dans le domaine de la protection de la santé au travail (image d'illustration). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Les travailleurs suisses sont près d'un quart à se sentir en danger pour leur sécurité ou leur santé, contre 34% en Europe. Ce sont les résultats de la participation du SECO à l'Enquête européenne sur les conditions de travail, pour l'année 2021.

La part des employés souffrant de problèmes de santé tels que des douleurs aux épaules, au dos ou à la tête est elle aussi plus faible en Suisse (37%) qu'en Europe (46%), où les employés déclarent trois probèmes de santé ou plus.

La situation helvète est encourageante, particulièrement vis-à-vis du degré de liberté de décision individuelle, calculé à 57% contre 48% en Europe.

Demeurent tout de même d'importants défis à relever pour le pays dans le domaine de la protection de la santé au travail, précise le Secrétarait d'Etat à l'économie (SECO) dans un communiqué.

A ce sujet, la cadence élevée de travail compte parmi les difficultés professionnelles les plus courantes en Suisse, avec 59% des employés concernés, contre seulement 49% en moyenne européenne.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Les fournisseurs de garages plus optimistes au premier trimestre

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Au niveau de l'emploi, la situation est toutefois considérée comme mauvaise par 8% des sociétés interrogées contre 0% au trimestre d'avant. Elles sont 40%, contre 41% auparavant, à l'estimer "satisfaisante" et 52% (59%) "bonne". (© KEYSTONE/GIAN EHRENZELLER)

Les fournisseurs suisses de garages se montrent un peu plus optimistes quant à l'évolution des affaires au premier trimestre 2025 qu'ils ne l'étaient au quatrième trimestre 2024. Cela, malgré des difficultés économiques persistantes.

"La branche des fournisseurs de garages reste robuste, même en cas d'évolution incertaine de l'économie", est-il dit dans un communiqué publié par l'association professionnelle Swiss Automotive Aftermarket (SAA).

Ainsi, pas moins de 64% des entreprises interrogées, contre 62% au trimestre précédent, jugent le chiffre d'affaires "bon". Elles sont 32%, contre 34% antérieurement, à estimer qu'il est "satisfaisant" et 4% (4 auparavant%) "mauvais".

La situation du rendement est elle considérée comme plus positive. Les fournisseurs sont 56% (contre 45%) à penser qu'elle est bonne et 36% (52% auparavant) à la trouver satisfaisante. Ils sont 8% (contre 3%) à la juger mauvaise.

Au niveau de l'emploi, la situation est toutefois considérée comme mauvaise par 8% des sociétés interrogées contre 0% au trimestre d'avant. Elles sont 40%, contre 41% auparavant, à l'estimer "satisfaisante" et 52% (59%) "bonne".

Elles sont en outre 72%, contre 69% au précédent trimestre, à se préparer à une augmentation des frais de personnel.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

BP s'envole à Londres sur des rumeurs d'entrée au capital d'Elliott

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Les investisseurs réagissaient à une information publiée dimanche par l'agence Bloomberg, révélant qu'Elliott Investment Management "a acquis une participation significative dans le géant britannique de l'énergie", sans en préciser l'ampleur. (© KEYSTONE/AP/KIRSTY WIGGLESWORTH)

Le géant britannique des hydrocarbures BP s'envolait de plus 7% à la Bourse de Londres lundi, après des informations de presse pendant le week-end faisant état d'une prise de participation "significative" du fonds d'investissement activiste Elliott Management.

Les investisseurs réagissaient à une information publiée dimanche par l'agence Bloomberg, révélant qu'Elliott Investment Management "a acquis une participation significative dans le géant britannique de l'énergie", sans en préciser l'ampleur.

Le cours de Bourse de BP est à la traîne par rapport à ses rivaux, notamment américains. Or ce fonds est connu pour demander des changements stratégiques au sein des groupes dans lesquels il investit.

Ces informations propulsaient le cours de Bourse de BP lundi de 7,44% à 465,50 pence peu avant 09h00 GMT.

"Ce n'est pas la première fois qu'un investisseur activiste cible BP", en particulier pour lui demander "d'abandonner ses objectifs de réduction de combustibles fossiles", rappelle Kathleen Brooks, analyste chez XTB.

Le fonds activiste Bluebell appelle ainsi depuis plus d'un an BP à revoir encore à la baisse ses ambitions jugées "irrationnelles" sur les énergies propres.

Mais "la différence ici est qu'Elliott est plus connu que Bluebell et a l'habitude d'imposer les changements qu'il souhaite au sein des entreprises", poursuit Mme Brooks.

BP, qui doit publier mardi son résultat annuel pour 2024, a annoncé le mois dernier 4700 suppressions d'emplois en interne et 3000 chez ses sous-traitants, dans le cadre d'un programme pluriannuel de simplification et de recentrage de BP", destiné à améliorer sa compétitivité et à "réduire ses coûts".

Le groupe a annoncé tout au long de l'année 2024 des résultats bien moins bons qu'espérés, avec des bénéfices en forte chute sur les trois premiers trimestres.

Dans l'espoir de doper son cours en Bourse, BP a annoncé en décembre son intention de réduire "de manière significative" ses investissements dans les énergies renouvelables, après avoir déjà freiné sur ses objectifs climatiques.

Il s'agit d'un changement de stratégie radical pour l'entreprise, qui s'était distinguée à partir de 2020 par un ambitieux plan de neutralité carbone.

Et BP pourrait aller plus loin: les investisseurs spéculent depuis des mois sur un possible abandon de sa promesse de réduire la production de pétrole de 25% d'ici à 2030 par rapport à ses niveaux de 2019.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Économie

Ralentissement des immatriculations en janvier

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Dans la catégorie des véhicules de transport de personnes, le recul a été de 30% par rapport au même mois en 2024, appuyé par un délaissement pour les mobilhomes (-31%). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Le nombre de mises en circulation en Suisse a reculé de 2% sur un an en janvier, à 19'397 véhicules routiers à moteur. Les voitures électriques et hybrides ainsi que les motocycles affichent les plus fortes progressions.

Dans la catégorie des véhicules de tourisme (-3%), ceux fonctionnant au diesel ont reculé de 28% et ceux à essence de 23%, indique lundi l'Office fédéral de la statistique (OFS) dans son relevé mensuel. Les électriques (+23%) et les hybrides normaux (+18%) ont par contre accéléré.

Dans la catégorie des véhicules de transport de personnes, le recul a été de 30% par rapport au même mois en 2024, appuyé par un délaissement pour les mobilhomes (-31%). Les utilitaires n'ont pas fait mieux avec une baisse de 5% des immatriculations, tout comme les véhicules industriels qui freinent de 7%.

De leur côté, les véhicules agricoles ont progressé, prenant 18%, et les motocycles affichent une hausse de 20%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Trump demande d'arrêter la production du penny, jugée trop coûteuse

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La production d'un centime coûte deux centimes, selon Donald Trump (archives). (© KEYSTONE/AP/MARIANNA BERTAGNOLLI)

Le président américain Donald Trump a demandé dimanche à son secrétaire au trésor d'arrêter la production jugée trop coûteuse du penny, le centime de dollar, afin de réduire les dépenses publiques. Il a signé un décret allant en sens.

"Pendant bien trop longtemps, les Etats-Unis ont frappé des pièces d'un centime qui nous coûtent littéralement plus de 2 centimes [à produire]. C'est du gaspillage!", s'est emporté Donald Trump sur son réseau social Truth Social.

"J'ai demandé au secrétaire au trésor américain d'arrêter de produire de nouvelles pièces d'un centime. Eliminons le gaspillage du budget de notre grande nation, même si c'est un centime par un centime", a-t-il écrit.

Le milliardaire Elon Musk, qui supervise la commission à l'efficacité gouvernementale (DOGE), avait remis la question sur la table en janvier, rappelant dans un message sur le réseau social X le coût de production d'un penny.

Supprimé en Suisse

Le débat n'est pas nouveau aux Etats-Unis, plusieurs textes de loi en ce sens ayant déjà été présentés au Congrès, sans être adoptés. Le décret de Donald Trump devra probablement être approuvé par les parlementaires américains.

Mais l'actuel secrétaire au trésor, Scott Bessent, pourrait simplement donner l'ordre d'arrêter la production du penny, avait indiqué en janvier le professeur d'économie Robert Triest de l'université de Northeastern. Les prix seraient probablement arrondis à 0,05 dollar près en cas de suppression du centime, avait-il ajouté.

D'autres pays ont déjà supprimé leurs pièces d'un centime, comme la Suisse en 2007 et le Canada en 2012, qui avaient également invoqués des coûts de production trop onéreux.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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