Rejoignez-nous

Suisse

Les agriculteurs manifestent contre les mesures d'économies

Publié

,

le

L'agriculture exprime son ras-le-bol mercredi face à des mesures d'économie jugées injustes (image prétexte/archives). (© KEYSTONE/LEANDRE DUGGAN)

Le monde agricole s'est réuni mercredi sur la Place fédérale à Berne pour protester contre les mesures d'économies de la Confédération. L'agriculture n'est pas responsable et ne doit pas faire les frais d'une politique financière mal ficelée, clame-t-elle.

"Avec ses mesures d'économies, le Conseil fédéral touche un secteur qui n'est pas responsable des problèmes, qui en fait toujours plus et qui est déjà vulnérable", écrit l'Union suisse des paysans (USP) dans un communiqué.

La faîtière reproche au gouvernement de vouloir tailler dans les fonds dédiés à l'agriculture à hauteur de plusieurs centaines de millions de francs. Une injustice pour l'USP qui rappelle les conditions de travail de plus en plus compliquées dans le secteur.

Le Conseil fédéral a adopté le 20 septembre 60 mesures pour alléger le budget fédéral. Celles-ci proviennent du rapport Gaillard, qui prévoit notamment des mesures d'économies de 210 millions de francs par année dans l'agriculture. Les autres secteurs ne sont pas épargnés par les coupes, à l'exception de l'armée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture
Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Vaud

Quelque 20% des jeunes Vaudoises et Vaudois ne veulent pas d'enfant

Publié

le

En dix ans, la proportion de jeunes Vaudoises et Vaudois ne souhaitant pas avoir d'enfant a plus que triplé (image prétexte). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

En dix ans, la proportion des Vaudoises et Vaudois de 20 à 29 ans ne souhaitant pas avoir d'enfant a plus que triplé, passant de 6% en 2013 à 20% en 2023, révèle l'enquête nationale sur les familles et les générations. Celle-ci montre également que les mères vaudoises travaillent plus qu'il y a dix ans, tandis que les tâches domestiques et familiales sont réparties de manière plus égalitaire.

"Le non désir d'enfant a fortement augmenté en dix ans, que ce soit en Suisse ou dans le canton de Vaud", constate Statistique Vaud mardi dans sa publication NUMERUS. Reste que près de la moitié des jeunes Vaudois désire avoir deux enfants, qu'un quart en souhaite trois ou plus, et que 9% se voit plutôt avec un enfant unique.

En 2023, dans le canton de Vaud, les ménages les plus nombreux sont ceux d'une personne (36%), poursuit Statistique Vaud. Les ménages familiaux (couple avec enfant ou famille monoparentale) représentent un tiers des ménages (33%), tandis que les couples sans enfants en constituent un quart. Les ménages avec enfant comptent le plus souvent un (45%) ou deux enfants (42%), tandis que 13% des ménages comptent trois enfants ou plus.

Mères plus actives professionnellement

Les mères sont plus nombreuses à travailler avant la naissance du premier enfant (84% en 2023 contre 71% en 2013). Si, en 2023, elles étaient 72% à occuper un emploi à plein temps avant cet événement, elles n'étaient plus que 34% à reprendre ce même pourcentage après la naissance. Près de la moitié des mères est passée à un pourcentage entre 50% et 89%, et environ une sur cinq à moins de 50%.

Du côté des pères, 94% travaillaient à plein temps avant la naissance de leur premier enfant, et 87% d'entre eux ont conservé ce taux d'occupation après l'heureux événement.

Les ménages avec enfant(s) de moins de 13 ans constituent 44% des ménages familiaux. Dans 75% de ces ménages, les deux parents exercent une activité professionnelle. Le modèle de répartition le plus répandu est celui où l'homme travaille à plein temps (entre 90% et 100%) et la femme entre 50% et 89%. A noter que cette configuration est plus fréquente dans le canton de Vaud (35%) qu'en moyenne suisse (28%). Dans le canton de Vaud, la seconde configuration est celle où les deux parents travaillent à plein temps (20% des ménages).

Tâches domestiques plus égalitaires

Si, en 2023, les Vaudoises étaient plus nombreuses à travailler hors de la maison qu'il y a dix ans, la répartition des tâches domestiques au sein du couple est devenue plus égalitaire dans ce même laps de temps. Quelque 51% des ménages interrogés disent assumer les tâches domestiques de manière conjointe, contre 33% en 2013.

En revanche, bien que 55% des ménages disent que c'est aussi bien le père que la mère qui accompagne l'enfant à la crèche ou à l'école (contre 37% en 2013), c'est majoritairement la mère qui reste à la maison lorsque l'enfant est malade (60% des ménages).

L'enquête sur les familles et les générations est une enquête nationale, réalisée tous les 5 ans par l'Office fédéral de la statistique. La première édition a eu lieu en 2013. Quelque 1700 personnes de 15 à 79 ans vivant en ménage privé ont participé au volet vaudois de l'enquête en 2023.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Économie

Les députés débattent sur les limites d'âge à la BCV

Publié

le

L'organisation de la Banque cantonale vaudoise (BCV) a été discutée au Grand Conseil, notamment la question des limites d'âge au Conseil d'administration et à la Direction (archives). (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

L'organisation de la Banque cantonale vaudoise (BCV) est actuellement débattue au Grand Conseil. Alors que le Conseil d'Etat défend la suppression de toute limite d'âge au sein de l'établissement, les parlementaires ont décidé mardi en premier débat de fixer une petite cautèle pour les membres de la direction générale.

Dans sa modification de la loi, le gouvernement veut supprimer la limite d'âge fixée à 70 ans pour les membres du Conseil d'administration (CA) et de réduire le nombre de maximum de mandats de quatre (seize ans au total) à trois (douze ans au total).

"La suppression de l'âge limite pour le CA facilitera les renouvellements, permettra davantage de flexibilité et des départs étagés. Cela permettra aussi de conserver plus longuement au sein du CA certaines compétences qui se font rares sur le marché", argumente le Conseil d'Etat.

S'agissant de la direction générale, il propose, pour la limite d'âge de ses membres qui est actuellement de 65 ans, de renvoyer aux règles applicables au personnel de la banque autorisant les collaborateurs, avec l'accord de l'employeur, à travailler jusqu'à 68 ans.

"Actuellement, les membres de la direction générale doivent quitter la BCV dans l'année de leurs 65 ans, tandis que les autres collaborateurs peuvent, avec l'accord de l'employeur, travailler jusqu'à 68 ans. La proposition vise à harmoniser l'âge de départ des membres de la direction générale en renvoyant aux règles applicables pour le personnel de la banque", justifie le gouvernement.

Deux amendements

La commission du Grand Conseil chargée d'étudier ces changements a préféré une solution médiane pour le CA: "Le président et les membres du CA sont nommés pour quatre ans. Ils sont rééligibles jusqu'à la limite de 70 ans révolus; toutefois la durée totale de leur mandat ne peut excéder douze ans".

Largement accepté en commission, cet amendement n'avait pas passé la rampe la semaine passée dans l'hémicycle, le groupe PLR n'ayant pas suivi ses représentants au sein de ladite commission. Il avait été refusé par 70 voix, contre 53 oui et sept abstentions. C'est donc la version du Conseil d'Etat qui a été ainsi maintenue.

Les députés ont repris ce premier débat, inachevé la semaine dernière, mardi. Ils devaient cette fois se prononcer sur la modification concernant la direction générale.

Ils ont accepté par 74 oui, 57 non et cinq abstentions l'amendement de la commission qui fixe une petite cautèle. Il stipule que "le président et les membres de la direction générale sont tenus de se démettre de leur fonction à l'âge prévu de 65 ans. Une dérogation est possible jusqu'à 68 ans, sur décision des organes compétents".

Deuxième débat nécessaire

Cette nouvelle formulation autorise le départ des membres de la direction générale à 68 ans, mais évite le renvoi au règlement de la BCV, car il peut être modifié par l'institution elle-même, sans contrôle démocratique. Ce que critiquaient certains commissaires.

Un deuxième débat immédiat a été refusé mardi et aura donc lieu, sans doute, la semaine prochaine.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Suisse

Le président tchèque Petr Pavel en Suisse pour une visite d'Etat

Publié

le

Le président tchèque Petr Pavel et son épouse Eva Pavlova à leur arrivée à Zurich-Kloten. (© KEYSTONE/TIL BUERGY)

Le président tchèque Petr Pavel, accompagné de son épouse Eva Pavlova, a été accueilli mardi à Zurich-Kloten par la présidente de la Confédération Viola Amherd pour sa visite d'Etat de deux jours en Suisse. Au menu, les questions européennes notamment.

Après son arrivée à l'aéroport, le président devait se rendre à un forum économique de l'EPFZ, puis au Laboratoire fédéral de Spiez (BE) ainsi que chez Armasuisse à Thoune (BE), indique le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE).

Mercredi, le président de la République tchèque sera reçu avec les honneurs militaires sur la Place fédérale à Berne. Il rencontrera une délégation du Conseil fédéral pour s'entretenir des échanges bilatéraux, de questions migratoires, économiques, d'économie et de sécurité, notamment en lien avec la guerre en Ukraine.

La politique européenne fera l'objet d'échanges, en lien avec les négociations en cours avec l'UE. Le conflit au Proche-Orient et la coopération bilatérale figurent aussi au programme.

Environ 11'000 citoyens tchèques vivent en Suisse, et 1600 Confédérés en République tchèque. Le volume des échanges commerciaux entre les deux pays a atteint 5,2 milliards de francs l'an dernier, le triple d'il y a une vingtaine d'années. La Suisse est le 7e plus grand investisseur en République tchèque.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Genève

Genève: mystère autour de la femme retrouvée dans l'Arve en 2014

Publié

le

La femme qui a été ressortie morte de l'Arve, à Genève, le 12 novembre 2014 n'a toujours pas été identifiée, malgré les recherches menées en Suisse et à l'étranger (illustration). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

La femme qui a été ressortie morte de l'Arve, à Genève, le 12 novembre 2014, n'a toujours pas été identifiée, malgré les recherches menées en Suisse et à l'étranger. Le délai de prescription pénale est toutefois encore ouvert.

"Les éléments d'enquête laissent supposer que cette femme aurait des liens avec un ou plusieurs de ces pays: France, Espagne, Portugal et Brésil", a indiqué mardi la police genevoise, qui avait lancé un appel à témoins en 2018. Le corps avait été pris en charge à la hauteur des chutes, près du quai du Cheval-Blanc.

Le cadavre flottait dans l'eau, a précisé une porte-parole de la police genevoise. Depuis qu'il a été repéré, un hommage anonyme est régulièrement publié pour "L'Inconnue de l'Arve" dans les pages des avis mortuaires de la Tribune de Genève.

La police genevoise lance un nouvel appel à témoins dans plusieurs langues. Elle prie toute personne ayant des informations de contacter la Brigade criminelle de Genève au 022 427 72 40 ou encore le 117.

Cette femme était âgée d'environ 40 à 50 ans il y a dix ans. Elle mesurait 1,56 mètre pour 56 kilos. Ses cheveux étaient longs, décolorés en blond et attachés en chignon. Elle portait des boucles d'oreilles avec des perles et une montre argentée de la marque LOTUS. Elle avait un tatouage représentant un trèfle à quatre feuilles sur le dos de la main droite, près du pouce.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Derniers titres

Les 2 derniers titres

Votre Horoscope

Cancer

Le moment n’est pas très bien choisi pour prendre des décisions significatives pour la famille… Prenez le temps d’entendre chacun !

Les Sujets à la Une

X