Suisse
Les éditeurs romands ratifient l'accord avec la SSR
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Les éditeurs romands ont ratifié mercredi l'accord passé en mai dernier entre la SSR et les patrons de journaux alémaniques. En échange d'une limitation de l'offre en ligne de la SSR, les éditeurs rejettent l'initiative "200 francs, ça suffit".
"Dans un monde où la désinformation et la mésinformation prennent de plus en plus de place, il est plus que jamais nécessaire de renforcer les médias qui mettent en avant le travail journalistique et la qualité de l’information", a déclaré le président de Médias Suisses, Stéphane Estival, cité dans un communiqué. La SSR et les éditeurs doivent être complémentaires et non concurrents, a-t-il insisté.
"La ratification de l’accord par Médias Suisses constitue un signal fort. Afin de garantir la diversité des médias en Suisse et de renforcer la confiance de la population, les médias privés et publics doivent oeuvrer ensemble", a dit pour sa part la directrice générale de la SSR, Susanne Wille.
Textes plus courts sur les sites de la SSR
L'accord avait été dévoilé en mai dernier en marge du Swiss Media Forum à Lucerne. Il n'avait pas encore été ratifié par le pendant romand de l'association des éditeurs alémaniques (VSM, pour Verband Schweizer Medien).
L'accord reconnaît l'importance pour la SSR d'avoir une offre en ligne pour remplir son mandat, mais le média de service public s'engage à se concentrer plus fortement sur ses activités principales, à savoir la radio et la TV. Il continuera à renoncer à la publicité sur son offre numérique et n'utilisera les plateformes comme YouTube ou Instagram que lorsque les publics-cibles ne peuvent être atteints par d’autres moyens.
La SSR limitera dorénavant la longueur de ses textes en ligne à 2400 caractères. Pour les transmissions sportives, elle se concentrera sur les contenus non couverts par les diffuseurs privés.
La SSR mettra à disposition des acteurs privés du matériel brut sans logos. En outre, elle promet d'investir la majeure partie de ses moyens marketing en ligne dans des entreprises média privées suisses.
"Conséquences lourdes"
En contrepartie de ces concessions, les éditeurs rejettent l'initiative "200 francs, ça suffit", portée notamment par l'UDC et mise au vote le 8 mars prochain. "Cette initiative entraînerait un important démantèlement pour les régions linguistiques, avec des conséquences particulièrement lourdes pour la Suisse romande", écrit Médias Suisses.
A noter que le TX Group s'est désolidarisé de cet accord, exigeant une limitation plus drastique des activités en ligne de la SSR. L'entente doit encore être approuvée par la Commission de la concurrence (Comco).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Hockey
Ambühl, Schelling et Krueger intronisés en 2026
Un trio suisse peut se réjouir d'un honneur particulier. La Fédération internationale (IIHF) va introniser Andres Ambühl, Florence Schelling et Ralph Krueger dans son Hall of Fame en 2026.
Pour Ambühl, cette distinction arrive de manière inhabituellement rapide. Le Grison de 42 ans ne s'est retiré du sport de haut niveau que ce printemps, alors qu'une intronisation survient généralement au moins deux ans après la retraite. Mais ses 20 participations au championnat du monde (un record) ont pesé dans la balance.
Médaillée de bronze aux JO 2014, Florence Schelling a pour sa part disputé 44 matches dans le cadre des championnats du monde, un record absolu pour une gardienne. Ralph Krueger fut quant à lui l'un des artisans du retour au tout premier plan de l'équipe de Suisse messieurs, qu'il a entraînée de 1998 à 2010.
La cérémonie d'intronisation aura lieu à Zurich lors du dernier jour du Championnat du monde 2026, qui se déroulera également à Fribourg (15-31 mai). Tous deux membres du "Triple Gold Club" (titres olympique et mondial, ainsi que victoire en Coupe Stanley), le Canadien Patrice Bergeron (ex-pigiste de Lugano) et le Suédois Niklas Kronwall seront également à l'honneur.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
L'ex-patron de Credit Suisse (Suisse) brigue la présidence de SIX
Cette fois, c'est confirmé: André Helfenstein, l'ex-patron de Credit Suisse (Suisse), est bel et bien candidat à la présidence du groupe financier SIX, l'opérateur de la Bourse suisse.
Son nom sera proposé à l'assemblée générale du 6 mai prochain, en remplacement de Thomas Wellauer, en poste depuis 2020.
Le nom de M. Helfenstein comme potentiel nouveau président de SIX circulait depuis quelques jours. Il restera comme le dernier patron de l'entité helvétique de Credit Suisse, avant que la grande banque ne soit rachetée par son concurrent UBS en 2023. André Helfenstein siège au conseil d'administration de SIX depuis 2020.
Thomas Wellauer avait annoncé son retrait de la présidence et de l'organe de surveillance en mai.
Le groupe SIX est une entreprise commune des banques suisses et appartient à quelque 120 institutions financières, à commencer par UBS. La dernière grande banque du pays y a multiplié sa participation par deux avec la reprise de Credit Suisse, pour détenir désormais plus d'un tiers des parts. Le conseil d'administration comprend aussi des représentants de la Banque cantonale de Zurich, de Raiffeisen Suisse, de Vontobel, de Pictet et de Saxo Bank Suisse.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Swiss Re lancera en 2026 un programme de rachat d'actions permanent
Le réassureur Swiss Re promet vendredi à ses actionnaires un programme de rachat d'actions "durable", doté d'une enveloppe de 500 millions de dollars par année, dès 2026.
Le groupe zurichois remanie en outre quelque peu ses objectifs pour l'année prochaine, tout en reconnaissant un important, mais ultime impact de la restructuration de son unité réassurance vie et santé.
La finalisation de la réorganisation de ce portefeuille grèvera les résultats du dernier trimestre 2025 d'environ 250 millions de dollars, prévient le géant du secteur à l'occasion de sa journée dédiée aux investisseurs.
L'objectif de bénéfice net pour l'année prochaine est relevé à 4,5 milliards de dollars, contre 4,4 milliards pour l'année en cours.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Jeux olympiques
Au LAD d'Epalinges, plongée au coeur de l'analyse du dopage
A Epalinges, le Laboratoire suisse d'analyse du dopage (LAD) examine chaque année près de 20'000 échantillons d'urine et de sang. Pour ses 35 ans, il a ouvert exceptionnellement ses portes aux médias.
Cet institut affilié au CHUV a ouvert exceptionnellement ses portes aux médias à l'occasion de ses 35 ans et à l'approche des Jeux olympiques de Milan-Cortina, qui promettent des mois d'activité intenses.
Le parking de cet immeuble situé à deux pas du terminus du M2, sur les hauteurs de l'agglomération lausannoise, est un habitué des livraisons. Le rez-de-chaussée du bâtiment est occupé par une célèbre enseigne de bricolage. Mais c'est un autre type de colis que reçoivent quotidiennement les employés en blouse blanche occupant le deuxième étage: des échantillons d'urine et de sang.
Les agences antidopage et les fédérations sportives qui organisent leurs propres contrôles confient à des laboratoires les prélèvements biologiques réalisés sur les athlètes. Ces flacons scellés sont anonymisés. Seul le sport pratiqué et le genre sont connus. Ils sont généralement expédiés au laboratoire le plus proche après le contrôle. Cela n'empêche pas le LAD de recevoir des prélèvements en provenance de 107 pays différents, comme l'explique Tia Kuuranne, la directrice finlandaise de l'institut.
"Oeuvrer à l'équité sportive"
A leur arrivée à Epalinges, les prélèvements passent d'abord par le laboratoire de réception, où l'on vérifie leur intégrité pour s'assurer qu'ils n'ont pas été manipulés. Ils sont ensuite aliquotés - c'est-à-dire séparés en plusieurs petits échantillons.
Dans un coin de la salle, une machine remplit des petites fioles d'un liquide jaunâtre à la teinte plus ou moins prononcée. "C'est un automate", précise un collaborateur du LAD. "Il est bien plus fiable qu'un humain pour ce genre de tâche. Il ne peut faire que ce qu'on lui demande, mais il fait toujours ce qu'on lui demande."
La formation des employés du laboratoire lausannois est variée. Ici se croisent pharmaciens, chimistes, biologistes et techniciens en analyses biomédicales. Mais tous partagent la même vision d'un "sport propre". "Si on peut oeuvrer à l'équité sportive, c'est positif", souffle l'un des chercheurs.
Une analyse rigoureuse
Une fois préparés, les échantillons sont envoyés à l'étage inférieur, dans l'une des bruyantes "salles des machines", chacune étant dédiée à une "famille" de substance: les stimulants dans l'une, les stéroïdes anabolisants dans l'autre. Là, ils sont glissés dans d'imposants spectromètres de masse capables de détecter des centaines de métabolites, révélant ainsi les traces potentielles de substances prohibées par l'AMA.
Des centaines de graphiques - un pour chaque métabolite - sont ensuite rigoureusement analysés par les collaborateurs du LAD. "Elles passent toujours devant quatre yeux, ceux d'un technicien et d'un responsable", indique Raul Nicoli, l'un des scientifiques du laboratoire.
2% d'échantillons positifs
Après l'analyse, le LAD garde les échantillons pendant trois mois avant de les détruire, sauf si l'autorité ou la fédération - à qui l'échantillon appartient - demande de le conserver plus longtemps. "Cela peut servir si la technologie progresse au point d'être capable de détecter des substances plusieurs années après le test", explique la directrice.
C'est pourquoi le LAD stocke dans ses frigos plus de 100'000 échantillons congelés. Parmi les fioles de forme et de taille différentes, un collaborateur s'empare d'un imposant flacon. "Celui-là est américain, ils font toujours plus compliqué", s'amuse-t-il.
Comme l'indique la lettre inscrite sur sa surface, il s'agit d'un échantillon "B". Lors d'un contrôle, l'athlète doit en effet remplir deux récipients et seul celui marqué d'un "A" est ouvert à l'analyse. Si le test est positif - environ 2% des 20'000 tests réalisés chaque année au LAD le sont -, l'athlète peut exiger une contre-analyse à partir de l'échantillon "B".
Dans ces situations, l'athlète - ou son avocat - est invité à assister à l'ouverture du deuxième échantillon, pour s'assurer qu'il s'agit bien de son prélèvement et que tout se fait dans les règles. Certains contrôlés positifs ont ainsi déjà arpenté les couloirs du LAD d'Epalinges. "C'est assez courant, glisse le directeur administratif du laboratoire, qui ne révèlera évidemment aucun nom. Mais de notre expérience, la contre-analyse confirme systématiquement le résultat initial."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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