Suisse
Les médecins romands réclament des baisses de primes
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2020/09/417123873_highres-1000x600.jpg&description=Les médecins romands réclament des baisses de primes', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
La faîtière des médecins romands réclame une baisse d'au moins 4% des primes d'assurance-maladie pour 2021. Elle estime qu'avec la crise sanitaire, et l'arrêt pendant 41 jours des consultations non-urgentes et des interventions planifiées, les caisses paieront probablement environ 2 milliards de francs de moins en 2020 que ce qu'elles auront perçu. Un chiffre contesté par les assureurs.
La Société médicale de la Suisse romande (SMSR) rappelle les récents chiffres publiés par la faîtière des hôpitaux suisses H+. La baisse de l'activité des hôpitaux aurait occasionné une perte de revenu entre 1,4 et 1,8 milliard de francs au premier semestre, voire jusqu'à 2,6 milliards de francs d'ici la fin de l'année.
Un sondage réalisé par la SMSR début mai avait estimé à 62,5% la baisse d'activité moyenne des cabinets médicaux. "Au final, il est probable que les coûts totaux de la santé à charge de l'assurance obligatoire baisseront d'environ 1,5 à 2,5 milliards de francs en 2020, soit -4% à -8%, écrit jeudi la SMSR.
Cette situation devrait générer une nouvelle augmentation des réserves des caisses maladie. "Si rien n'est fait, les assureurs maladie verront leurs réserves actuelles de quelque 9 milliards encore exploser en 2020", écrit la SMSR, qui demande au Conseil fédéral d'intervenir pour faire baisser les primes d'au moins 4%.
Cette crise montre en outre "qu'il devient impératif de fixer les primes a posteriori sur la base des coûts réels de la santé", ajoute la faîtière. "Plutôt que de le faire de manière anticipée sur la base de prévisions financières toujours pessimistes".
Les médecins romands soulignent aussi qu'une crise comme celle du coronavirus implique surtout un risque financier pour les prestataires de soins, qu'ils soient privés ou publics. Dans de telles situations, les réserves, en main des assureurs, ne servent à rien, ajoutent-ils.
Chiffres contestés
Sans surprise, les assureurs ne font pas la même lecture de la situation. "Contrairement à ce qu’affirme la SMSR, nous n’observons pas de diminution des coûts de la santé au premier semestre de cette année, en comparaison avec ceux de l’an dernier. Ces coûts sont restés constants. Il faut même s’attendre à une augmentation d’ici à la fin de l’année, étant donné que le système de santé tourne à nouveau à plein régime", a écrit à Keystone-ATS Christophe Kaempf, porte-parole de santésuisse, association des assureurs maladie.
"Nous ne voyons pas pourquoi les primes devraient diminuer si les coûts de la santé augmentent. Nous fondons nos analyses sur les mêmes données que le monitoring de l’OFSP, qui est plus précis qu’un simple sondage: ces chiffres recensent les coûts effectivement remboursés par les assureurs-maladie depuis le début de l’année".
Suisse
La cagnotte de 133,8 millions est tombée à l’Euro Millions
Une personne vivant en Belgique a trouvé la combinaison gagnante du tirage de l’Euro Millions de mardi. Elle remporte au total 133,8 millions de francs. Pour gagner, il fallait jouer les numéros 2, 8, 13, 29 et 49 et les étoiles 2 et 11.
Lors du prochain tirage vendredi, 16 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande. Cette loterie transnationale est proposée dans douze pays européens, dont la Suisse et le Liechtenstein.
https://jeux.loro.ch/games/euromillions
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Sport
Projet NBA Europe: "Encore beaucoup de travail", estime la FIBA
La FIBA a affirmé "qu'octobre 2027" était "un objectif réaliste" pour le lancement du projet NBA Europe. Elle a aussi rappelé qu'il y avait "encore beaucoup de travail" avant d'en voir les contours.
Dans une conférence de presse organisée en visioconférence, le secrétaire général de la FIBA, Andreas Zagklis a aussi rappelé que le rôle de l'instance était "de permettre à chacun de trouver sa place dans cet écosystème".
L'arrivée de la NBA en Europe, via une possible compétition sous l'égide également de la FIBA à l'horizon 2027, intrigue autant qu'elle divise alors que la puissante ligue nord-américaine avait confirmé son intérêt en mars dernier.
En novembre, Paulius Motiejunas, le patron de l'Euroligue - compétition européenne rassemblant cette saison 20 équipes - a notamment qualifié dans la presse italienne le projet de "mauvaise nouvelle".
De son côté, Andreas Zagklis a à nouveau défendu le projet, estimant que "ce qui est en train d'être créé est beaucoup plus compatible avec le modèle sportif européen et les critères de la FIBA que ce que nous avons connu ces dernières années".
Validant "l'objectif réaliste" d'"octobre 2027" pour son lancement, il a ajouté l'importance d'un "événement qui nous permette de tout regrouper sous un même toit".
"Sous un même toit signifie sous le toit de la FIBA, mais cela ne veut pas dire que la FIBA contrôle tout", a-t-il précisé. La Fédération internationale n'oublie pas non plus "son rôle qui est de réunir tout le monde", alors que Zagklis a mentionné "de bons échanges avec l'ECA", la société organisatrice de l'Euroligue.
Il a aussi évoqué "plusieurs autres réunions" en 2026, notamment avec l'ECA. "Nous avons beaucoup de travail à effectuer pour dessiner cette nouvelle compétition", dans laquelle certaines équipes pourraient se qualifier via la Ligue des champions (BCL) mais aussi via un possible "tournoi de qualification" de fin de saison.
Egalement interrogé sur les aspects commerciaux, notamment les sponsors ou les droits TV, le secrétaire général de la FIBA a repoussé ce sujet "entre le début et le milieu de l'année 2026" estimant que la Fédération se concentrait "sur l'élaboration du projet et comment il pourrait avoir du sens pour l'écosystème tout entier".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Suisse
Migros étend son réseau de distributeurs de snacks
Migros poursuit le développement de son réseau de distributeurs automatiques de snacks en Suisse alémanique. Ces automates permettent aux clients de se procurer des en-cas et des boissons 24 heures sur 24, aux mêmes prix qu'en supermarché.
Les distributeurs de couleur orange sont désormais disponibles à Wald, dans le canton de Zurich, et Wattwil, dans le canton de Saint-Gall, et depuis début décembre dans trois emplacements en ville de Zurich. D'autres installations sont prévues en Suisse orientale et dans la région zurichoise, a détaillé mardi à AWP un porte-parole de Migros, confirmant une information des journaux CH Media.
Pour l'instant, il n'existe aucun projet en Suisse romande. "Mais cela pourrait venir dans les prochains mois", estime un porte-parole de Migros Suisse orientale qui assure la communication concernant ces distributeurs.
Migros a installé son premier distributeur à Coire, dans les Grisons, en 2022, suivi un an plus tard par deux autres à Abtwil, dans le canton de Saint-Gall. Pour l'instant, les distributeurs sont situés exclusivement à proximité immédiate des magasins Migros existants.
Selon Migros, les produits sont proposés aux mêmes prix de vente qu'en supermarché. D'après les médias, cela pourrait permettre au distributeur de concurrencer plus efficacement le chef de file du marché, Selecta, qui est actuellement en pleine restructuration.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Psychologue et ex-voisins assassinés: prison à perpétuité à Zurich
Un homme accusé des assassinats de son ancienne psychanalyste à Zurich et d'un couple d'anciens voisins à Laupen (BE) écope de la peine de prison à perpétuité. La justice zurichoise n'a pas assorti cette peine d'un internement, comme le demandait l'accusation.
Dans son jugement rendu mardi, le Tribunal de district de Zurich a reconnu le prévenu, un Espagnol de 47 ans, coupable d'assassinats et de brigandages. Il a suivi le réquisitoire du procureur concernant la lourdeur de la peine. La défense avait, elle, exigé l'acquittement du prévenu qui nie avoir commis les crimes reprochés.
Crimes "répugnants"
"Les explications de l'accusé ne convainquent d'aucune manière", a commenté le président du tribunal lors de l'énoncé du jugement. Il avait notamment déclaré qu'il ne se souvenait pas de l'homicide commis à Laupen, alors que les victimes étaient ses anciens voisins. De plus, il n'a présenté ses alibis que durant son procès, la semaine dernière.
Pour le juge, il ne fait aucun doute que les deux crimes "répugnants" sont des assassinats liés à des actes de brigandage. L'accusé les a commis avec une violence extrême, alors qu'il avait des problèmes financiers. Il a assassiné ses victimes, car celles-ci le connaissaient. Ces véritables bains de sang témoignent de son absence de scrupules.
Pas de libération automatique
En l'absence de maladie psychique constatée par les experts, l'assassin ne peut pas être interné, estime la Cour. En revanche, il ne sera pas libéré à l'issue de sa peine, sans que son cas ne soit évalué par une commission d'experts, comme c'est le cas pour chaque peine de prison à perpétuité. Une telle évaluation ne sera possible qu'au bout de 15 ans de réclusion.
Les faits incriminés remontent au 15 décembre 2010 et à la même date cinq ans plus tard. Selon l'acte d'accusation, le prévenu - un monteur d'échafaudages souffrant de dépressions - a dévalisé et assassiné son ancienne psychothérapeute à son cabinet. Il a infligé 14 coups de couteau à sa victime âgée de 56 ans.
Lors du deuxième crime, il a cambriolé et assassiné ses anciens voisins, un couple âgé, en leur assénant une trentaine de coups de manche de hache ou de marteau. Il venait alors de s'échapper d'une clinique psychiatrique.
Arrestation 10 ans après le second crime
L'accusé n'a été arrêté qu'en janvier 2024 à Genève, à son retour en Suisse, à l'issue d'une longue enquête. Son ADN a été trouvé sur les deux lieux de crimes ainsi que sous les ongles et sur les vêtements des victimes.
L'accusé et son avocat ont fait valoir que cet ADN a pu être déposé bien avant les crimes, le principal intéressé souffrant d'une maladie cutanée qui lui fait semer beaucoup de pellicules. Dans le même temps, le prévenu disait ne pas se souvenir de s'être rendu au nouveau cabinet de la psychologue, où cette dernière a été trouvée morte, mais seulement à l'ancien cabinet.
Soutenu par son défenseur, il a aussi déclaré qu'une autre personne a pu disperser volontairement l'ADN de ce dernier pour lui faire porter le chapeau. Une théorie "irréaliste" selon le procureur, "absurde" selon la Cour. "Il n'y a pas d'autre explication: le tableau d'ensemble montre que seul lui peut être l'auteur (du double crime)", a souligné le président du tribunal.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
VaudIl y a 2 jours
Cambriolage avec violence à Yverdon: trois personnes arrêtées
-
SuisseIl y a 3 jours
Un motocycliste se tue sur l'A1 dans le canton de Vaud
-
VaudIl y a 2 jours
Fresque en Lego: Yverdon-les-Bains s'empare du record du monde
-
LausanneIl y a 2 jours
Avec le nouvel horaire, Renens sera reliée directement à Epalinges
-
LausanneIl y a 2 jours
Une voiture percute la vitrine d'un tea-room à Lausanne
-
InternationalIl y a 3 jours
Bénin: l'armée a repris le contrôle, selon l'entourage du président
-
SuisseIl y a 2 jours
Les Suisses changent de moins en moins de logement
-
SuisseIl y a 3 jours
Incendie mortel dans un appartement à Sierre (VS)


