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Suisse

Martin Haefner place sa fortune dans une fondation après sa mort

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Martin Haefner, qui détient notamment Amag, a fêté ses 70 ans en 2024 (archives). (© KEYSTONE/ALEXANDRA WEY)

Le propriétaire d'Amag et investisseur Martin Haefner a réglé l'avenir de sa fortune. Le milliardaire, sans enfant, fait partie des personnes les plus riches de Suisse. Avec son épouse Marianne, ils ont créé une fondation.

La fondation d'utilité publique Martin+Marianne Haefner, basée à Zurich, fait partie du règlement de la succession de M. Haefner, a déclaré son porte-parole Aloys Hirzel mardi soir à AWP, après un article publié par la Luzerner Zeitung. La fondation détiendra un jour l'ensemble des participations dans des entreprises, a-t-il précisé.

Cela ne sera cependant le cas que lorsque plus aucun des deux époux ne sera en vie, selon le journal lucernois. La fortune du couple, y compris les participations dans des entreprises, ne seront détenues par la fondation qu'après leur décès, a souligné M. Hirzel.

L'an dernier, Martin Haefner a fêté ses 70 ans. En plus d'Amag, il détient des participations importantes dans des entreprises industrielles comme Swiss Steel, Autoneum et Rieter.

Selon le Registre du commerce, la fondation a été créée à mi-décembre dernier. Elle est présidée par le président du conseil d'administration de Flughafen Zürich, Josef Felder, qui est depuis des années membre du conseil d'administration d'Amag, dont il est vice-président.

La fortune de la fondation servira, le cas échéant, pour des buts d'utilité publique en Suisse dans les domaines de la science, de la technique, de la lutte contre la pauvreté, de la culture et de la biodiversité de la flore et de la faune. Son accent principal sera la science et la technique, la lutte contre la pauvreté et la promotion des femmes, selon le Registre du commerce.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

Un léopard rend visite à l'ambassade de Suisse à Katmandou

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Le léopard s'était caché dans une ruelle étroite sur le site de l'ambassade. Il a été anesthésié puis emmené au zoo pour y recevoir des soins et être mis en observation. (Image d'archive) (© KEYSTONE/EPA/NARENDRA SHRESTHA)

Le site de l'ambassade de Suisse à Katmandou, au Népal, a connu une visite surprise. Un léopard de 4 ans y a été récupéré lors d'une opération de sauvetage menée conjointement par le National Trust for Nature Conservation, la police népalaise et le service des forêts.

On ne sait pas encore d'où venait le félin et comment il est arrivé à l'ambassade, mais il est probable qu'il soit venu du corridor de la rivière Nakkhu, situé à proximité, et qu'il ait cherché refuge contre l'activité humaine sur le terrain de l'ambassade, explique Gobinda Prasad Pokharel, responsable de la protection de la nature au National Trust for Nature Conservation, aux médias locaux. SRF a rapporté l'information mardi.

Le léopard s'était caché dans une ruelle étroite sur le site de l'ambassade. Il a été anesthésié puis emmené au zoo pour y recevoir des soins et être mis en observation. L'ambassadrice suisse Danielle Meuwly a remercié les forces d'intervention sur la plateforme X: "Grâce à votre engagement, cette opération de sauvetage a pu être menée à bien".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

La Suisse, pays de référence pour les prix des médicaments aux USA

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Interpharma s'inquiète que nouveau modèle américain pour la fixation des prix des médicaments (photo d'illustration) (© KEYSTONE/AP/JULIO CORTEZ)

Le gouvernement américain poursuit ses projets visant à aligner davantage les prix des médicaments sur ceux pratiqués dans d'autres pays, dont la Suisse. La méthode inquiète la faîtière Interpharma qui craint une pression sur le système suisse de formation des prix.

L'administration américaine a lancé un projet pilote sur cinq ans qui vise à baisser les prix pour le programme public Medicaid. A l’avenir, les prix pratiqués aux Etats-Unis doivent être calculés sur la base des prix moyens de huit pays de comparaison, dont la Suisse.

Les entreprises pharmaceutiques doivent divulguer leurs prix internationaux nets, y compris tous rabais et ristournes. Les autorités américaines se basent sur ces données pour abaisser les prix pratiqués aux Etats-Unis au niveau des pays où ils sont les plus bas, indique mardi Interpharma dans un communiqué.

Pression sur les prix

Pour l'association des entreprises pharmaceutiques, cela implique une pression considérable sur la fixation des prix. Si la Suisse sert de référence aux Etats-Unis, les médicaments ne seront plus proposés dans notre pays qu’à des prix comparables à ceux pratiqués outre-Atlantique.

En effet, les fabricants ne pourront pas proposer les médicaments à des prix de référence comparativement bas dans de très petits pays et faire ainsi baisser le prix dans le plus grand marché au monde. En outre, la formation de prix de référence à l’échelon international menace la disponibilité de traitements innovants en Suisse.

Appel au monde politique

La Suisse se retrouve ainsi au c½ur d’une discussion mondiale sur les prix. Pour Interpharma, la politique doit à présent agir et moderniser le système de prix dans son ensemble.

Elle demande d'une part d'inclure une comparaison de prix avec l’étranger en parité de pouvoir d’achat. Elle veut d'autre part introduire un prix provisoire fixé par le fabricant à partir du jour d’octroi de l’autorisation de mise sur le marché.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Culture

Le numérique s’impose, la lecture et le sport restent essentiels

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Le numérique rythme désormais les loisirs des Romands, en particulier chez les jeunes, selon l'Observatoire romand de la culture (image d'illustration). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le numérique domine désormais les loisirs des Romands, surtout chez les jeunes, selon une étude de l’Observatoire romand de la culture (ORC). Lecture, sport et sorties culturelles gardent toutefois une place centrale, avec des pratiques qui varient selon l’âge.

Le numérique est devenu la norme pour la majorité de la population. Films et séries en ligne, musique en streaming et réseaux sociaux sont plébiscités, en particulier par les 15–24 ans, indique l'étude, basée sur un sondage mené auprès d'un millier de personnes dans toute la Suisse romande, et récemment publiée par l'ORC. Ces activités se pratiquent majoritairement à domicile, mais environ un quart des personnes les consomment aussi en déplacement.

La lecture de livres, elle, traverse les générations. Si elle reste présente à tous les âges, les plus âgés s’y adonnent davantage: 35% des 65 ans et plus lisent "très souvent", contre seulement 10% des 15–24 ans.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Dispositif pour renforcer les liens entre la culture et l'inclusion

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Le Service de la culture (ici son chef de service, Alain Dubois) veut développer l'inclusion et renforcer les liens avec le Service de l'action sociale (photo d'archives). (© KEYSTONE/OLIVIER MAIRE)

Le canton du Valais lance le dispositif "culture et cohésion sociale", fruit d’une collaboration entre les services de la culture et de l’action sociale. Ce nouveau programme vise à renforcer les liens entre culture, cohésion et inclusion, en soutenant des projets et des structures oeuvrant pour un accès à la culture pour tous.

S’inscrivant dans les priorités cantonales en matière de politique culturelle, sociale et sanitaire, ce nouveau concept prévoit le financement de projets innovant, "ayant pour but d’encourager la participation active des publics à l’offre culturelle, tout en favorisant le lien social", explique mardi l'Etat du Valais dans un communiqué.

Le premier volet du dispositif intitulé "croisées" soutient des initiatives culturelles destinées à favoriser l’inclusion sociale et le dialogue interculturel. Les projets doivent être portés par une structure culturelle professionnelle, en partenariat avec une institution sociale, médico-sociale ou sanitaire ou accueillant des publics empêchés au sens large.

Ils peuvent concerner la participation culturelle, la création partagée ou des actions de médiation menées dans des domaines variés (littérature, arts visuels, musique, arts de la scène, cinéma, patrimoine). Chaque projet peut bénéficier d’un soutien financier allant jusqu’à 20'000 francs, pour un budget total de 60'000 francs au maximum.

Développer l'accessibilité

Le second volet dénominé "objectif culture inclusive" encourage la transformation des structures culturelles valaisannes vers davantage d’inclusion et de représentativité. Les projets, portés par des institutions culturelles en partenariat avec des acteurs des secteurs sociaux ou sanitaires, peuvent aborder différents axes, comme l'accessibilité ou la suppression de barrières techniques ou architecturales.

Chaque projet peut bénéficier d’un soutien jusqu’à 30'000 francs, incluant un accompagnement par un ou une experte en inclusion culturelle mandaté par le canton, pour un budget total de 90'000 francs au maximum.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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