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Suisse

Migros se lance dans la location d'électronique de divertissement

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Yuno loue notamment des téléphones mobiles. (Archives) (© KEYSTONE/AP/JEFF CHIU)

Migros a pris une participation non spécifiée dans la jeune pousse Yuno, une société spécialisée dans la location de l'électronique de divertissement lancée en 2021 via l'incubateur de Sparrow Ventures, la société de capital-développement du géant orange.

"Notre objectif consiste à faire de Yuno le premier loueur d'électronique grand public en Suisse", a déclaré Lorenz Lüchinger, directeur général (CEO) de Sparrow Ventures, cité dans un communiqué, précisant que la dynamique de croissance des nouveaux contrats est supérieure aux attentes.

La jeune entreprise zurichoise dispose à présent d'un financement de croissance à hauteur de plusieurs millions et entend poursuivre "sa trajectoire ascendante". Avec cet apport d'argent frais, dont les détails n'ont pas été divulgués, Yuno entend "développer son portefeuille clientèle et étoffer en permanence son assortiment d'articles électroniques" en location, qui compte actuellement plus de 220 références.

"Yuno nous permet de proposer aux Suisses une alternative durable à l'achat et d'étoffer le portefeuille actuel du groupe Migros", assure M. Lüchinger, qui se félicite de cette possibilité offerte à la clientèle de choisir "en fonction de la situation".

Cette dernière définit la durée du contrat et peut choisir entre différents modèles d'abonnement. "Yuno ne facture pas les coûts initiaux et l'assurance est comprise dans le tarif de location en cas de sinistre, de même que le service sur les appareils", selon le communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse Romande

Renvoi des étrangers en situation irrégulière: chiffres valaisans

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La question du renvoi des étrangers en situation irrégulière s'est invitée jeudi matin au Grand Conseil valaisan (image d'illustration). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La question du renvoi des étrangers en situation irrégulière s'est invitée jeudi au Grand Conseil valaisan, à la suite d'une interpellation de l'UDC du Valais romand. Pour le domaine de l’asile, 230 personnes faisant l’objet d’une décision de renvoi en force n'ont pas encore quitté le canton.

Cent cinquante d'entre elles sont dans la phase d’organisation du renvoi, précise le Conseil d'Etat. Les autres font l’objet d’une suspension en raison par exemple d’une demande de réexamen, d’une nouvelle demande d’asile, d’un mariage ou d’une demande de permis humanitaire.

A cette liste s'ajoutent les ressortissants de pays dont le retour sous contrainte est impossible (Erythrée, Iran, Russie, Syrie). En moyenne, cette population se trouve en situation irrégulière depuis six ans.

De plus, 117 personnes relevant de la loi sur les étrangers et l’intégration (expulsions, refus d’octroi ou révocations de permis) sont concernées par une décision de renvoi ou d’expulsion pénale. Celles-ci se trouvent dans la phase d’organisation du retour.

La question des ressortissants algériens

Le renvoi de ressortissants algériens pose actuellement problème. A la fin mai 2025, 23 personnes demeuraient dans en Valais en procédure de renvoi. En moyenne, ces personnes sont dans l'illégalité depuis dix ans, l'une l'est depuis 1996. Une situation qui a interpellé le député UDC Damien Fumeaux,

"L’exécution des renvois est devenue une tâche de plus en plus complexe et fastidieuse, nécessitant beaucoup de temps et de ressources humaines pour être effectuées dans les délais", a conclu le Conseil d'Etat dans sa réponse.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Vaud

Prilly: le syndic Alain Gilliéron ne se représentera pas en 2026

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Le syndic de Prilly (VD) Alain Gilliéron ne se représentera pas en mars 2026 aux élections communales (archives). (© Keystone/CYRIL ZINGARO)

Une page se tourne dans la commune de Prilly, dans l'Ouest lausannois: le syndic Alain Gilliéron ne se représentera pas lors des élections communales de mars 2026. Son parti a indiqué jeudi qu'il ne rempilerait pas, après 26 années passées à l'exécutif communal, dont 22 en tant que syndic.

"Son engagement, son sens de l'intérêt général et sa loyauté envers la population ont profondément marqué Prilly. Il continuera à accompagner et soutenir la nouvelle génération", écrit le PLR Prilly dans un communiqué. Pour cette dernière législature, il était le seul élu de droite dans une Municipalité à majorité de gauche (2 Vert-e-s, un PS et un Centre).

Son dernier mandat aura d'ailleurs été marqué par plusieurs problèmes au sein de l'exécutif. L'an passé, M. Gilliéron avait été blanchi par les conclusions d'une enquête administrative ordonnée par le Conseil d'Etat vaudois à son encontre, sur signalement de l'élue écologiste et vice-syndique Rebecca Joly. Elle dénonçait alors de possibles irrégularités dans des dossiers sous la responsabilité du syndic.

Cette législature en cours a aussi été le théâtre de tensions entre le municipal socialiste Ihsan Kurt et ses autres collègues, dont une altercation violente le 2 mai dernier avec Alain Gilliéron. La Municipalité avait alors demandé au gouvernement vaudois la suspension de l'élu PS, chose faite en juin dernier.

Cette mise à l'écart a ensuite été confirmée par la Cour de droit administratif et public (CDAP), rejetant un recours de M. Kurt. Celui-ci reste donc suspendu jusqu'au 31 décembre. Il y a dix jours, l'intéressé a annoncé, lui aussi, qu'il ne se représenterait pas pour un nouveau mandat.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Valais: l'utilisation des caméras piétonnes ancrée dans la loi

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Le conseil d'Etat veut se doter d'une loi liée à la présence de Bodycams sur son territoire cantonal (photo d'illustration). (© KEYSTONE/DPA/HENNING KAISER)

Le Grand Conseil valaisan a accepté jeudi matin de modifier, en une seule lecture, la loi sur sa police cantonale. Celui-ci va permettre l'utilisation des caméras piétonnes (bodycams) et la recherche automatisée des véhicules. Seuls les Vert-e-s ont voté contre.

Le plénum a accepté trois des 26 amendements déposés. Les députés ont principalement tenu à ce que la police cantonale puisse utiliser une bodycam afin de documenter ses interventions, sans avertissement préalable ou autorisation spéciale, dans le cadre de certaines missions.

La volonté du Centre du Haut-Valais d'ajouter l'utilisation des tasers dans cette nouvelle mouture de la loi n'a par contre pas été soutenue par la majorité du Parlement. Le souhait du Centre du Valais romand de créer un alinéa sur le port du bracelet électronique, afin de "compléter l'arsenal des outils à la disposition de la justice", a été retiré dans l'attente d'une solution à l'échelle fédérale.

Le Grand Conseil n'a pas validé la demande des Vert-e-s de donner le droit aux personnes contrôlées de demander le déclenchement de l'enregistrement de la caméra piétonne. Il a aussi refusé aux citoyens au bénéfice d'une autorisation d'établissement (permis C) de faire partie de la police cantonale. Neuchâtel, Jura et Bâle-Ville avaient, par le passé, pris une décision inverse.

Une utilisation stricte

Le choix de doter la police cantonale d'une dizaine de bodycams est lié à une volonté de faciliter le travail d’enquête, afin d'"identifier des auteurs", avait souligné le Conseil d'Etat dans son message au Parlement. Ces caméras sont déjà utilisées dans la plupart des cantons romands.

Le nouvel article 58a de la loi sur la police cantonale délègue à l'exécutif cantonal de légiférer, dans une ordonnance, sur les modalités d’exécution de l’utilisation de ces données. "Il est impératif que l’utilisation des bodycams soit strictement réglementée", précise le Conseil d'Etat dans son message.

Les bodycams seront utilisées "lors des missions de maintien de l'ordre et par les groupes d'intervention" de la police cantonale, avait précisé mardi le conseiller d'Etat en charge de la sécurité, Stéphane Ganzer, lors du débat d'entrée en matière.

Mise en conformité

Avec cette modification de la loi, la police cantonale sera par ailleurs habilitée à utiliser le système de recherche automatisée de véhicules ("système RVS") uniquement pour la prévention d’infractions et plus dans le cadre de la poursuite de crimes et délits. De plus, la durée de la conservation de la donnée sera réduite de 100 à 30 jours. Le Valais modifie sa loi pour se mettre en conformité avec une décision du Tribunal fédéral d'octobre 2024.

Au vote, la modification de la loi sur la police cantonale a été acceptée par 112 voix contre 9 et 6 abstentions. Seuls les Vert-e-s ont voté contre. Le Parlement a ensuite accepté de traiter cette modification légale en une lecture unique (101 voix contre 26).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Neuchâtel: le lynx tiré était gravement malade

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Le lynx abattu, contrairement à celui en pleine forme sur la photo, était très affaibli et souffrait de la maladie de Carré (image symbolique). (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

Le lynx, abattu le 9 septembre par un garde-faune du canton de Neuchâtel, était gravement malade. Un rapport démontre que l’animal souffrait de la maladie de Carré et présentait d’importantes inflammations touchant plusieurs organes internes.

Les constatations de l’Institut pour la santé des poissons et des animaux sauvages (Institut für Fisch- und Wildtiergesundheit – FIWI) "confirment que la décision du garde-faune d’abattre l’animal était justifiée et conforme au droit fédéral", a indiqué jeudi le canton.

Le rapport précise que la maladie de Carré affaiblit fortement le système immunitaire. Celle-ci s'accompagne généralement de troubles neurologiques tels que désorientation, vertiges et perte de conscience. "Ces symptômes pourraient expliquer, au moins en partie, le comportement inhabituel, peu farouche et parfois agressif du lynx", a précisé le canton.

Le décès de ce lynx avait suscité de nombreuses réactions dans la population et le canton avait été pris à partie.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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