Suisse
Mobilezone reprend l'allemand Siga Exchange
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Le distributeur d'abonnements et de téléphones mobiles Mobilezone s'est porté acquéreur, via sa filiale allemande, de son partenaire Siga Exchange.
La transaction, dont les deux parties ont convenu de ne pas dévoiler les modalités, devrait être finalisée d'ici le 6 janvier.
Basé à Heilbronn, dans le Land de Bade-Wurtemberg (sud), Siga gère les télécommunications dans les 11 bases de l'armée américaine outre-Rhin, principalement avec des offres de Deutsche Telekom. L'entreprise revendique pour 2022 un chiffre d'affaires d'environ 6 millions d'euros (presque autant en francs).
La fusion a pour objectif d'exploiter immédiatement des synergies et de développer les activités existantes sur les sites. "L'orientation stratégique (de Siga) renforce notre activité avec Deutsche Telekom", a déclaré Wilke Stroman, responsable du marché allemand pour Mobilezone, cité lundi dans un communiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Culture
Affluence record pour les Urbaines
Pour sa 29e édition, les Urbaines a réuni plus de 7500 personnes entre vendredi et dimanche, une affluence record selon le comité d'organisation. Le festival des expérimentations artistiques a programmé 44 propositions disséminées dans onze espaces à Lausanne, Renens et Chavannes.
Le festival a confirmé sa "vitalité" dans le paysage culturel suisse et international, "rassemblant des publics tant locaux qu'internationaux, avec une présence marquante des scènes anglo-saxonnes", relève lundi soir un communiqué.
La 30e édition des Urbaines est d'ores et déjà programmée du 4 au 6 décembre 2026.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Le Chat Noir fait vibrer Genève depuis 40 ans
En décembre 1985, quatre amis d'enfance fondent un lieu de vie nocturne à Carouge. Devenu un club à rayonnement international, le Chat Noir célèbre son 40e anniversaire tout au long du mois de décembre, en rendant hommage aux différents formats qui ont fait sa patte.
Les artistes prévus pour décembre ont été choisis pour faire résonner les formats qui ont façonné le Chat Noir. Moncef Genoud y a déjà rappelé les premières années jazz samedi. Jean, nouvelle voix francophone, représentera les découvertes du Chat Noir vendredi, comme indiqué dans un communiqué. Enfin le groupe Blackats fera résonner ce lieu où il est né, à la suite de jam sessions carougeoises, le 19 décembre.
D'autres formats qui "racontent l'ouverture du Chat" sont également au programme: des open mic, des spectacles d'humour et des Drag shows, entre autres. Les Troubadours du Chaos y fêteront aussi leurs quinze ans, avec "40 impros pour les 40 ans".
Histoire de famille
Le club, connu internationalement, est fondé le 7 décembre 1985 par quatre amis d'enfance: Alain Gilliand, sa femme Catherine et son frère Pierre-Edmond, ainsi que Roland le Blévennec. Le lieu a ensuite été transformé tel qu'on le connaît aujourd'hui par Nathaniel Gilliand, fils du couple fondateur, Guillaume Noyer et Priscille Alber, qui avaient repris la programmation.
L'Association de Soutien à la Musique Vivante gère la partie artistique et promotionnelle depuis 1995 et organise 250 à 300 évènements par an. Le club se revendique comme une scène incontournable pour les artistes émergents, avec 80% des artistes programmés qui viennent du Grand Genève, et 90% qui sont en développement.
Louise Attaque, Clara Luciani, Gäel Faye ou encore Gad Elmaleh font partie des figures qui sont passées sur la scène du Chat Noir. Des artistes qui témoignent de la renommée et de l'éclectisme du lieu, à la fois restaurant, bar et club.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Régler la certification des formateurs de chiens d'assistance
La Confédération doit encadrer la formation et la certification des organisations formatrices de chiens d'assistance et d'alerte médicale. Le Conseil des Etats a tacitement adopté lundi une motion de Pascal Broulis (PLR/VD) en ce sens.
Actuellement, la Suisse ne dispose pas de cadre réglementaire spécifique en la matière, regrette le Vaudois. Comme la demande pour ces chiens augmente, de plus en plus de personnes se tournent vers cette spécialisation, souvent sans disposer des qualifications et de l'expertise requises.
Ainsi, l'absence de standards officiels permet à toute personne ou organisation de se proclamer "formatrice de chiens d'assistance" sans contrôle de compétences, de méthodes ou de résultats, selon M. Broulis. Cette situation génère une hétérogénéité préoccupante dans la qualité des prestations.
Le motionnaire critique aussi la sélection des bénéficiaires. Certaines organisations attribuent des chiens d'assistance à des personnes dont les besoins ne sont pas justifiés ou dont la capacité à gérer un chien de travail n'a pas été correctement évaluée.
Risques sécuritaires
Tout cela fait craindre des risques sécuritaires alors que ces chiens sont destinés à accompagner des personnes souffrant d'épilepsie, de diabète, de maladies neurodégénératives, de handicap physique ou de troubles du développement. C'est pourquoi M. Broulis demande une certification des organisations formatrices et des titres protégés pour les chiens d'assistance et d'alerte médicale.
Les critères devraient couvrir le processus dans son entier, selon le Vaudois. Et de citer sélection et formation des chiens, méthodes d'éducation respectueuses du bien-être animal, formation des éducateurs canins, évaluation et sélection des bénéficiaires ou encore suivi post-placement. Des sanctions doivent être envisagées en cas de non-respect.
Le Conseil fédéral était d'accord avec le texte. Le National doit encore se prononcer.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Viticulture: le National s'aligne sur les Etats et débloque 10 mios
La viticulture aura droit à 10 millions de plus. Le National a finalement suivi lundi, par 101 voix contre 76, le Conseil des Etats sur cette enveloppe supplémentaire en soutien à ce secteur en difficulté. Des élus de tous bords étaient partagés sur ce thème.
Ce soutien supplémentaire avait été rejeté de justesse en commission.
Le secteur viticole est en grande difficulté depuis des années, a déclaré Yann Pahud (UDC/VD). Et aucune mesure durable n'a été prise. "Nous avons aujourd'hui la responsabilité d'agir là où nous le pouvons", a-t-il ajouté. La majorité du Centre et de la droite l'a suivi.
Un peu moins de 1,5 million en plus a aussi été décidé pour la production de pommes de terre. Plusieurs élus de gauche et du PVL jugeaient inutile d'augmenter les fonds alloués à ces deux secteurs sans qu'un plan clair n'ait été établi.
"Ce qui nous est proposé aujourd'hui a été fait à l'arrache et n'est pas suffisamment solide", a déclaré Gerhard Andrey (Vert-e-s/FR). "Nous voulons investir dans une agriculture d'avenir, et cela passe surtout par l'agriculture biologique, selon nous", a appuyé Barbara Schaffner (PVL/ZH). Sans succès.
A la rescousse d'Agroscope
La Chambre du peuple a également validé le soutien de 10 millions pour la vaccination contre la langue bleue et refusé de couper dans l'aide au centre de recherche agronomique et agroalimentaire Agroscope. En coupant dans le fond dédié à Agroscope, on perdrait la recherche nécessaire à la transition de la viticulture, ce qui ne fait pas de sens au vu du soutien qui lui est accordé, a argumenté Alex Farinelli (PLR/TI).
Les députés ont par contre confirmé la volonté de leur commission d'injecter les 290 millions supplémentaires en provenance du canton de Genève dans les prestations de la Confédération à l'assurance chômage supprimées en 2025. Le but est de bénéficier d'une flexibilité financière. Les Etats avaient proposé de n'injecter qu'une partie de cet argent, soit 150 millions.
Seule l'UDC voulait biffer toute aide supplémentaire afin de réduire la dette suisse. Elle n'a pas été suivie.
Focus sur les accords de libre-échange
Une condition a en outre été ajoutée au budget du Secrétariat d'Etat à l'économie. Un million supplémentaire doit être alloué au personnel affecté aux négociations d'accords de libre-échange.
L'opération a été décrite par le PLR comme un coup d'accélérateur pour conclure davantage d'accords. La gauche estime au contraire qu'aucun accord supplémentaire n'en découlerait, mais que d'autres secteurs s'en retrouveraient péjorés. Elle n'a pas convaincu.
Les débats se poursuivent.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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