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Suisse

Novartis: la filiale Sandoz étend sa collaboration avec Ares

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Certaines bactéries de type Escherichia coli, qui contaminent notamment les aliments ou l'eau, sont résistantes aux antibiotiques, ce qui rend le traitement difficile (archives). (© KEYSTONE/EPA/CHRISTIAN CHARISIUS)

Sandoz, la filiale de Novartis dévolue aux médicaments génériques, étend sa collaboration avec Ares Genetics dans le domaine de la résistance aux antibiotiques. L'accord de collaboration a été étendu jusqu'au 31 janvier 2025, a indiqué Sandoz mercredi.

La résistance microbienne aux antibiotiques (AMR) est un problème de santé majeur: 1,3 million de décès sont, en effet, imputables à ce phénomène chaque année dans le monde. "En tant que leader des antibiotiques génériques, notre objectif chez Sandoz est de jouer un rôle déterminant pour vaincre cette menace croissante", a indiqué Richard Saynor, directeur général (CEO) de Sandoz, cité dans le communiqué.

L'accord avec Ares Genetics, filiale de OpGen porte sur la surveillance des données dans le but de mieux informer sur l'utilisation des antibiotiques. Une approche combinant un grand flux de données (Big data) et l'intelligence artificielle doit permettre de soutenir les professionnels dans leur diagnostic et étendre les options pour traiter l'AMR à l'avenir, notamment avec "le repositionnement ciblé des antibiotiques clés".

Dans une première étape, Ares Genetics développera une plateforme répertoriant les différents composés et leurs combinaisons possibles pour lutter contre les agents pathogènes critiques, suite à quoi Sandoz pourra orienter son portefeuille. Dans un second temps, les deux entreprises se concentreront sur l'utilisation correcte des antibiotiques en utilisant l'analyse génomique des pathogènes, permise par la nouvelle génération de séquenceurs NGS d'Ares Genetics et ses technologies bioinformatiques.

Les détails financiers ne sont pas dévoilés.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse Romande

Valais: rapport pour faire face au vieillissement de la population

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Le nombre de lits en EMS va sensiblement augmenter ces dix prochaines années en Valais (photo d'illustration). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le Département de la santé, des affaires sociales et de la culture (DSSC) met en consultation le rapport provisoire de planification des soins de longue durée pour la période 2026-2035. L'objectif est de faire face à l’accélération du vieillissement démographique.

La population valaisanne est plus âgée qu’en moyenne suisse, la part des 65 ans et plus représentant 20.9% en Valais contre 19,6% au niveau national. En 2035, la population cantonale âgée de 65 ans et plus aura augmenté de 36% par rapport à 2023. Celle des 80 ans et plus, de 55%.

Pour la première fois, la planification englobe une période de dix ans au lieu de quatre, afin de permettre une vision à plus long terme pour les communes et les partenaires. Désormais, elle intègre également l’offre en appartements à encadrement médico-social, qui devra s’étoffer en tant qu’alternative à l’EMS. Les soins à domicile poursuivront également leur croissance, tout en bénéficiant de l’appui des structures intermédiaires (lits de court séjour en EMS et structures de soins de jour).

Besoin de mesures cumulatives

Le rapport provisoire de planification des soins de longue durée prévoit entre 442 et 769 lits de long séjour en EMS supplémentaires sur la période 2026-2035.

Le nombre de lits d’EMS augmenterait cependant moins rapidement que celui des personnes âgées. "Une telle évolution ne sera soutenable que si l’offre en appartements à encadrement médico-social, intégrée pour la première fois dans cette planification, augmente de manière à pouvoir y héberger entre 664 et 1305 personnes supplémentaires", précise le DSSC dans un communiqué diffusé mercredi.

Des hausses dans divers domaines

Le nombre d’heures de soins à domicile pour les personnes de 65 ans et plus se situerait, selon les prévisions, entre 1,1 et 1,7 million d'heures, en 2035. Les heures d’aide à domicile devraient se situer entre 289’547 et 346’215 heures ,en 2035.

La planification prévoit jusqu’à 161 nouveaux lits de court séjour en EMS et jusqu’à 348 places en structures de soins de jour à l’horizon 2035.

Consultation jusqu'à fin mars 2026

Les incidences financières de la planification sur les contributions et subventions d’exploitation versées par les pouvoirs publics sont estimées, pour 2035, à un montant compris entre 69 millions de francs pour une prise en charge orientée EMS et 94 millions pour une orientation prioritairement à domicile. Les subventions d’investissement sont, quant à elles, évaluées entre 12 millions (orientation domicile) et 15 millions (orientation EMS) de francs par an. Ces subventions étaient en moyenne de 8 millions de francs entre 2010 et 2024.

La prise en charge orientée EMS s’avérerait moins coûteuse à l’exploitation que la prise en charge orientée domicile (25 millions de francs de moins en 2035). Mais elle nécessitera des investissements plus conséquents (3 millions de francs de plus par an).

La consultation est ouverte jusqu’à fin mars 2026.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

L'initiative sur l'alimentation mal partie au National

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L'initiative sur l'alimentation a été déposée en août 2024 (archives). (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

L'initiative sur l'alimentation est mal partie au National. Mercredi, tous les orateurs et oratrices ont fustigé le texte, qui contient des délais irréalistes et entraînerait trop de coûts pour l'Etat. La gauche et le PVL plaident pour un contre-projet.

L'initiative d'un comité citoyen veut encourager la production et la consommation de denrées alimentaires végétales plutôt qu'animales. Elle souhaite aussi augmenter le degré d'autosuffisance, pour le faire passer de 46% à 70%, préserver les ressources en eau souterraine et promouvoir une agriculture et un secteur agroalimentaire durables. Ces exigences doivent être atteintes dans un délai de dix ans.

Il faudrait réorienter les habitudes de consommation et de production, critique le centre-droit. La gauche et le PVL sont aussi opposés à l'initiative. Mais ils jugent l'idée bonne, c'est pourquoi ils souhaitent un contre-projet direct limité à la préservation des écosystèmes et de la biodiversité ainsi qu'à la protection de la qualité des eaux, de la fertilité des sols et de la biodiversité.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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La Suisse ne sera pas tenue d'importer les "nouveaux OGM" de l'UE

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Qualifiées de "nouveaux OGM" par leurs détracteurs, les nouvelles techniques génomiques (NGT) permettent de modifier le génome d'une plante, mais sans introduire d'ADN étranger, contrairement aux OGM de première génération. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La Suisse ne sera pas obligée d'importer de l'UE des aliments génétiquement modifiés issus de nouvelles techniques génomiques, indique le DFI. Berne a en effet négocié une exception concernant la mise sur le marché de produits qui sont des OGM ou en contiennent.

Qualifiées de "nouveaux OGM" par leurs détracteurs, les nouvelles techniques génomiques (NGT) permettent de modifier le génome d'une plante, mais sans introduire d'ADN étranger, contrairement aux OGM de première génération. Un accord a été conclu par les 27 début décembre pour autoriser dans l'UE des plantes issues de ces techniques.

Dans le cadre du protocole sur la sécurité des aliments dans les accords Suisse-UE, Berne a négocié avec l’Union une exception concernant la mise sur le marché de ce type de produits, précise mercredi le Département fédéral de l'intérieur (DFI), répondant à une demande de Keystone-ATS.

La Suisse pourra ainsi continuer à édicter de manière autonome sa propre réglementation et ne sera pas tenue d’harmoniser sa législation avec celle de l’UE dans ce domaine.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Le Parlement s'oppose à la fin des adoptions internationales

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La communication du Conseil fédéral sur son souhait d'interdire les adoptions internationales a été préjudiciable pour le traitement serein d'un dossier aussi sensible, a déclaré Isabelle Chassot (C/FR). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Les Suisses doivent pouvoir continuer à adopter des enfants à l'étranger. Après le National, le Conseil des Etats s'est opposé à la décision du gouvernement de mettre fin aux adoptions internationales. Mais il s'est montré plus mesuré que sa Chambre consoeur.

Les députés ont tacitement validé une motion de commission qui s'oppose au projet du Conseil fédéral présenté en janvier. Les sénateurs ont toutefois précisé le texte afin de laisser une marge de manoeuvre suffisante au gouvernement.

Ce dernier est chargé de modifier son projet mis en consultation. Il doit contenir deux variantes sur lesquelles le Parlement pourra se prononcer: l'interdiction d'adoptions internationales ou une réduction des pays de coopération comprenant également une réforme organisationnelle.

"Nous disposerons ainsi au Parlement d'une base suffisante pour débattre", a déclaré Isabelle Chassot (Centre/FR) pour la commission. Le dossier repart au Conseil national.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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